Collection Cocu. Femme Déçue, Femme Adultère (1/1)

Entre Cyprien et moi, tout a commencé le lendemain de nos noces, je me suis mariée en méritant ma robe blanche.
J’avais accepté d’attendre cette nuit magique pour lui offrir ce que j’avais de plus précieux, ma virginité.
J’ai passé de longues nuits à élaborer comment les choses se passeraient, je savais que mes beaux-parents nous avaient réservé la suite nuptiale dans ce grand hôtel de Normandie.
Il m’enlèverait mes affaires une à une afin de découvrir mon corps, je lui demanderais d’embrasser mes seins l'un après l'autre commençant à échauffer ma chatte.
Mon nombril serait titillé par cette langue friponne faite pour mon plaisir.
Je dois être honnête, je suis vierge, mais je me caresse souvent avec mon index que je pose sur mon clitoris, ce qui le fait démarrer au quart de tour tellement il est sensible.
Étant toujours prêt à jouir, le moment où dans mes rêves la bouche de mon amoureux parviendrait dessus serait gage de grand bonheur.
Je suis certaine que lorsque la bite de Cyprien entrera en moi, éclatant mon hymen, je serais tellement chaude que je jouirais sans sentir la moindre douleur.
Pour faire bonne mesure, avant de nous faire monter notre petit-déjeuner, il recommencera le même processus pour finir par jouir encore plus fort en moi, me faire féconder dès la première fois dans mes rêves les plus chauds, ce serait le bonheur suprême.

Hélas, comme Perrette allant au marché portant sur sa tête un pot de lait, se voyant déjà à la tête d’une exploitation agricole de 1 000 vaches dans cette belle Normandie, j’ai vite déchanté.
Tout le repas, mon mari est resté à la buvette qu’il m’avait imposée avec ses copains à biberonner de la bière.
Pour ouvrir le bal, beau-papa s’y est coltiné, s’excusant du comportement de son fils.
Quand il s’est agi de le ramener dans notre chambre, en sortant de l’ascenseur, c’est à quatre pattes qu’il est parti vers la chambre, à mis chemin, il a inondé la moquette d’une fusée sympa.


C’est bien sûr, moi, qui ai ouvert notre porte, je l’ai tirée à l’intérieur, car il s’était endormi.
Je l’ai mis dans la salle de bains la tête dans le bidet, le temps d’aller nettoyer le couloir du mieux que j’ai pu risquant d’en remettre une couche.
J’ai ouvert mon lit laissant tomber les pétales de rose, je me suis déshabillé déchirant ma robe de mariée de rage.
Dans la salle de bains, il a envoyé une fusée, coup de chance dans le bidet pendant que je prenais un bain.
Bref une nuit de noces pourrie et un pucelage persistant, au matin, il est venu me rejoindre, je me suis dépêché de me lever, car il avait une haleine de chacal, j’ai mis un peignoir et je suis allé voir mon beau-père pour lui dire que je divorçais.

Il avait lui aussi revêtu un peignoir et m’a pris dans ses bras pour me cajoler et une nouvelle fois s’excuser.
C’est à ce moment que je me suis rendu compte que Serge était un homme comme les autres, du moins contrairement à son fils, il bandait.
Comment me suis-je retrouvé sur son lit, je ne saurais le dire tellement, je me suis sentie troublée quand j’ai pris cette tige dans ma main.
Nous n’avions pas prémédité notre geste, mais d’un coup, j’ai senti qu’il investissait ma chatte, j’aurais dû le repousser, mais ce sont mes jambes qui ont entouré sa taille quand il a été entièrement au fond de moi.
Il me pilonnait comme un mort de faim et plus ses coups de queue étaient violents plus je hurlais de plaisir, fière d’être femme et presque contente que dans la chambre voisine, mon mari sache qu’il était cocu par son propre père.
Il m’a empli la chatte au risque d’être le papa de mon garçon, quand il m’a libéré, je me suis levée remis mon peignoir et rejoint ma chambre sans un mot.
Il n’a rien fait pour me retenir, j’ai vu une fraction de seconde dans ses yeux l’envie de me dire quelque chose, mais rien n’est sorti de sa bouche.
Dans notre chambre, notre poivrot dormait du sommeil typique des ivrognes en ronflant à réveiller son père dans la chambre où je venais de perdre mon pucelage ainsi que mes illusions.

Je me suis douchée mettant trois doigts dans mon vagin, je les ai ressortis avec quelques gouttes de sang, mais sans grande douleur.
Je me suis habillé avec le tailleur blanc qui était prévu que je porte pour rejoindre l’aéroport pour notre voyage de noces.
J’ai trouvé son portefeuille sur la table avec de belles coupures et les deux billets ainsi que son passeport que j’ai mis dans mon sac avec le mien, direction les îles au soleil, plus précisément la Jamaïque.
J’ai quitté le sol de France sans aucun remords, mon mari étant dans l’impossibilité de me rejoindre par un vol suivant.
Dans l’avion, un steward est venu me demander pourquoi j’étais seule, sa liste de passagers stipulait que nous étions deux, pendant que les personnes dormaient et que mystérieusement ses collègues hôtesses aient disparu, je me suis retrouvée dans leur espace de travail à lui sucer la bite.
C’était bien sûr ma première fellation, m’attachant à faire ça bien, espérant en faire de nombreux autres dans mon village de vacances de destination.
Je n’ai pas été déçu une femme seule qui plus est jolie et blonde, dans ce village fait pour la fête, dès le premier soir, j’ai goûté à ma première bite noire.
Il était musclé et très bien monté, ma chatte était cicatrisée et j’ai commencé à jouir dès les premiers centimètres de son introduction.
Le lendemain, m’étant levé très tard, c’est un homme marié lui aussi en voyage de noces qui s’est intéressé à moi, au restaurant où un buffet permanent nous permettait de nous restaurer.
Il a eu une façon très pro de me draguer, en m’obligeant de m’intéresser à lui, il m’a bousculé sans que je pense l’avoir fait exprès, propulsant, sorti de mon assiette de la sauce de salade sur son pantalon de Tergal et sa chemisette.
Je me suis excusée, lui proposant d’aller dans son bungalow nettoyer les dégâts, sa femme y étant couchée, il m’a demandé de venir dans le mien, encore un peu oie blanche, je me suis laissé prendre, jusque sur mon lit dès que nous sommes entrés.

Nous avons fait cocu, l’autre femme récemment mariée sans aucun scrupule, il m’a prise en levrette me mettant un doigt dans le cul.
La sodomie, j’avais envie d’essayer, pensant à mon alcoolique qui m’aurait pris l’anus, s’il avait été moins con.
C’est un gentil organisateur du camp qui me l’a fait, avec les autres, ils baisaient les femmes intéressantes à tour de rôle et ce jour, commençant à avoir de l’expérience, j’ai senti que c’était mon tour.
Ma rosette est passée de vie à trépas.

Quinze jours avec différentes bites en moi, j’étais devenue une fieffée salope, certainement la plus grande de tout le club, j’ai même eu dans la dernière nuit, une expérience lesbienne et une double pénétration.
Mon grand noir, avait dragué un couple d’habitué qui voulait faire ça à quatre, il est arrivé avec eux, j’ai trouvé l’expérience sympa, surtout que pour commencer, c’est avec Susy que nous les avons échauffés, lui sucé la chatte en soixante-neuf a été une expérience captivante, l’aurais-je eu si tout c’était passé normalement, il est trop tard pour le savoir.
C’est le seul couple avec lequel, j’ai échangé mon numéro de téléphone, ils habitent non loin de chez-moi dans l’appartement que nous avions meublé comme un nid d’amour avec mon mari, n’ayant pas consommé.
Dans l’avion du retour, pas de bite à sucer, mais la cure de baise que j’avais faite depuis ces deux dernières semaines me suffisait surtout qu’en France, j’étais bien décidée à continuer de baiser tout ce qui se présenterais à moi.
Un moment d’inquiétude à l’aéroport, mon mari était là l’œil noir, j’étais prête à l’affronter quand j’ai été saisi par un bras, c’était Serge qui était là lui aussi, son fils en le voyant a tourné les talons.
La voiture de mon beau-père avec son chauffeur nous attendait, il a rapidement ouvert sa braguette et je lui ai fait une fellation, nous étions à deux doigts qu’il me saute de nouveau quand il m’a arrêté devant un immeuble de luxe de la rue d’Iéna.

Quand nous sommes montés dans cet immeuble que je ne connaissais pas, je n’ai posé aucune question, quand il a ouvert la porte, il a arraché mes vêtements comme je l’avais fait avec ma robe de mariée, mais c’est dans le couloir qu’il m’a enfilé la chatte suivie de l’anus comme la pute de luxe qu’il venait de se payer.
J’ai très vite compris qu’il n’était pas jaloux, me permettant d’avoir autant d’amant et d’amante, autant que j’en voulais.
Il ne me là jamais demandé, mais j’ai mis un point d’honneur à les faire cocu qu’à l’extérieur, alors que j’étais toujours mariée et qu’à aucun moment, il n’a parlé de divorce.
Je sortais le soir dans une boîte près de l’étoile ou un jour, j’ai donné rendez-vous à Susy et Fred son mari.
J’ai visité leur appartement, ou nous avons partouzé à trois, puis à dix, ayant invité des amis libertins comme eux.
C’est avec eux que j’ai connu le club libertin où je vis aujourd’hui, nous y sommes allées plusieurs fois, jusqu’au jour ou mon beau-père après m’avoir baisé, m’a conduite.
Il est resté sur un canapé pendant que plusieurs mâles m’assaillaient, me montrant qu’il était aussi candaulisme.
En revenant dans mes cinq pièces, il m’a demandé de faire mes cartons, la carte bancaire avec une sommes à plusieurs zéro qu’il alimentait régulièrement m’avait permis de m’acheter un max de belles fringues.
Il m’a fait retourner à la Jamaïque pour Noël dans l’hôtel où j’avais passé ma lune de miel seule, le gentil organisateur à la queue noire étant absent, il me sautait comme il le faisait en France sans me poser plus de questions même s’il me voyait entré dans divers bungalows.
C’est la veille du départ qu’il m’a convié à une réunion, me présentant au personnel comme la nouvelle propriétaire, nous étions chez lui et les hommes fort séduisants qui était avec nous était son notaire et son avocat, ils étaient jumeaux.
Ils avaient élaboré les contrats qu’ils m’ont fait signer.
Ce n’est pas tout, pour le voyage de retour, mon premier steward que j’avais sucé était sur notre vol, je suis allé le voir de moi-même alors que Serge était réveillé, dans le réduit, il était avec une hôtesse qui s’est éclipsé dès qu’elle m’a vue, j’ai pu me délecter du sperme de mon deuxième amant à deux pas de mon premier qui plus est mon beau-père.

Son chauffeur nous attendait à l’aéroport, il nous a conduit dans la région parisienne dès 9 heures du matin, devant un immeuble où il y avait marqué « Club Privé », dès que la porte s’est ouverte, une grande black répondant au doux nom de Prune m’a reçu par un « bien venue patronne. »
J’ai été surprise de pénétrer dans ce lieu où les nuits devaient être chaudes, c’est là que j’ai compris dans les heures qui ont suivi que les papiers signés avaient plusieurs avantages pour moi.
Serge, mon beau-père devenait mon père, car il m’avait reconnu.
Il me faisait propriétaire de tous ses biens en tant que sa fille au détriment de son fils.
Il aurait pu m’épouser après avoir fait casser mon mariage avec son rejeton, mais les démarches étaient trop longues avec Rome et il était très pressé, j’ai compris pourquoi deux mois après, il était mort, privant Cyprien de tous recours pour accaparement d’héritage, il avait fait les choses dans les règles, la loi lui interdisant de le déshérité intégralement, il lui avait laissé une usine de pipe à Saint-Claude.
Il avait oublié, volontairement, de me dire qu’il avait une longue maladie à l’issu fatal ce qui est survenu rapidement.
Aux dernières nouvelles, le notaire et l’avocat qui sont devenus mes chargés d’affaires et aussi mes amants, m’ont prévenu que Cyprien est à la porte de la faillite, car sur terre, en ce moment, il est préférable de se faire tailler des pipes que de les fabriquer.

À l’heure actuelle, je suis derrière la vitre sans teint qui surplombe la salle ou les libertins s’en donnent à cœur joie, j’ai mon portable en main parlant avec Prune qui est dans la salle.
Elle se dirige vers une jeune blonde plus qu’appétissante, je reviens de mon hôtel à Cuba où j’ai pris une cure de soleil étant bronzée intégralement, j’espère que ça va lui plaire.
Cuba, car en plus de la Jamaïque, j’ai un hôtel là-bas.
Je regarde si Susy et Fred sont là, oui, ils se dirigent vers le fond où des salles avec vitres tintées, vont leur permettre de baiser devant un groupe de voyeurs qui sentant le bon coup les suivent.
La petite blonde regarde vers la vitre, sans me voir bien sur, elle suit Prune dans une minute elle sera avec moi, tous dans le club savent que je suis là à tous surveiller et gérer, j’habite dans un très grand appartement attenant à mon bureau.
La blonde sait très bien que je vais me gouiner avec elle, chaque fois que je choisis l’un où l’une d’entre mes clients ou clientes, ma réputation de salope est telle que tous se précipitent.
Merci à Cyprien d’avoir dégueulé dans le couloir.

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