La Meilleure Amie De Ma Mère Et Moi 4
La meilleure amie de ma mère et moi 4
Cela fait maintenant quelques mois que je suis lamant de la meilleure amie de ma mère. Evidement, nous ne nous voyons pas tous les jours comme lors de notre première semaine de relation mais nous nous voyons le plus possible pour des baises toujours intenses. Je vais vous raconter un épisode de notre relation qui sest déroulé pendant lanniversaire de ma mère. Je ne peux pas révéler lâge de ma mère mais daprès le mien, mes précédents récits, et le fait que ce chiffre soit loccasion de faire une fête plus importante, vous pourrez aisément deviner quel anniversaire de ma mère nous célébrons. Pour loccasion, une salle des fêtes a été louée et une grande partie de la famille est réuni ainsi que pas mal damis de mes parents. Evidement, Stéphanie et son mari font parti des invités. Coté famille, ma tante Sophie est ici avec ses s et son mec dont elle semble toujours amoureuse. Elina est là aussi mais sans son mec. Malgré tout, je sais quelle ne le fera pas cocu. Céline qui est finalement la seule cousine que je baise de temps en temps na pas pu venir. Ma sur est évidement présente mais comme lidée de cet anniversaire est la sienne, elle est très occupée par lorganisation. Parmi les femmes que vous pourriez connaitre, Corinne na pas pu venir car elle est soit disant déjà prise. Je crois surtout quelle nose pas venir sachant que ma sur et moi serions là.
Vous laurez donc compris, ma meilleure chance de baiser est Stéphanie. Elle porte un ensemble pantalon veste gris avec un chemisier blanc. Lorsquelle arrive ma mère se jette dans ses bras, toute heureuse de voir sa meilleure amie à son anniversaire. Avec son mari elle fait le tour des gens quelle connait et elle vient donc me saluer. Je serre la main de son mari et je lui fais la bise. Cest assez bizarre de faire comme si de rien nétait et surtout, ça me fait bizarre de ne pas lembrasser. Elle me lance un regard amusé et dit :
«
- Ca fait un moment quon ne sétait pas vu !
- Oui cest sur (si on ne compte pas toutes les fois où je tai sauté !)
- Tu vas bien ?
- Oui et toi ?
- Oui impeccable.
Son mari séloigne discuter avec dautres gens et ma mère nous rejoint. Cest assez excitant de discuter avec elles. Finalement, tout le monde est invité à passer à table. Il ny a pas de plan de table et comme je suis allé aider mon père et ma sur à ramener les derniers cadeaux sur lestrade de la salle, je nai plus trop de choix pour me placer. En fait je nen ai même plus du tout. Avec Stéphanie, nous ne serons donc pas à la même table. Je me retrouve à une table composé de cousins éloignés (je comprends même pas quon parle encore de cousins pour parler des s dune cousine à ma mère) et damis de mes parents que je ne connais pas trop. Je ne lai pas dit mais le repas est à midi (enfin en début daprès midi) et il y en a un autre le soir. Moi qui ne suis pas fan des grands et longs repas, je vais être servi et jai maintenant une certitude, laprès midi va être longue !
De temps en temps, mon regard et celui de Stéphanie se croisent mais nous ne pouvons pas avoir plus de contact. Tout en faisant semblant découter les conneries de lun de ces soi-disant cousin qui connait tout sur tout et qui est plus fort que tout le monde, jadmire Stéphanie. Je ne peux malheureusement pas voir son cul mais je peux voir son visage et son sourire radieux. Elle est très jolie mais la trouver belle nest pas compliqué car lorsque je regarde juste devant moi, jai ce fameux cousin et sa copine. Et avouons le, je nai pas la prétention dêtre beau mais eux ils sont vraiment moches. Lui malgré quil pense être le plus beau et le plus fort du monde, cest un plouc qui nest jamais sorti de son trou et elle, elle a lallure dune boule avec un nez à peu près aussi grand que sa tête et des cheveux orange-rouge hyper courts. Je ne vous parle même pas de leurs dents (enfin pour celles qui leur restent). Bref, vous lavez compris, je préfère largement regarder Stéphanie entre eux deux que de les regarder. En plus il me gonfle franchement. Je vous avoue quà cet instant, je maudis vraiment ma sur qui trouvait sympa de laisser les gens sassoir où ils veulent.
Le repas est i-n-t-e-r-m-i-n-a-b-l-e ! A tel point que je regarde mon portable alors que nous mangeons le désert. Je sais, cest mal poli mais je ne suis pas du genre à faire semblant (sauf si cela peut mapporter quelque chose) et puis je me dis que si je suis désagréable, jai une chance de pouvoir changer de table ce soir. Soudain, jentends lautre me dire :
«
- Ctinteresse po ? (je tente de reproduire son dialecte qui ne doit pas avoir de grammaire)
- Non pas du tout (cest le moment dêtre insupportable pour changer de table)
- Tas fais des etudes alors tu me parle po. Tes petentieu ou quoi ?
- Ca na rien à voir. Mais écouter un type comme toi qui nes jamais sorti de ton village raconter quil est plus fort que tout le monde, ça ne mintéresse pas du tout !
- Tveux causer de quoi ?
- Les sujets de discussion intéressants ne manquent pas mais comme tu ne parles que de tes champs et de la chasse, javoue que nous navons pas de sujet en commun.
- Avant tetais po petentieu comme ca. Tu venai meme mange à la maison !
- Quand mes parents étaient invités par les tiens et que javais cinq ans. Tu remarqueras que depuis que je suis en âge de rester seul, je ny suis jamais retourné.
- Te un con. Po étonan que ta pas de copine.
- Si cest pour avoir un truc comme la tienne. Je préfère ne pas en avoir ! Au fait tu nas pas besoin de la tenir tout le temps, personne ne va te la piquer. »
Jai obtenu ce que je voulais, il sénerve et les autres nous demandent de nous calmer. Je décide alors de me lever et daller prendre lair. Quel bonheur, je suis enfin débarrassé deux et je ne suis plus à table. Ma mère vient me voir pour savoir ce quil sest passé même si en réalité, elle a déjà tout deviné (elles sont fortes ces mamans !). Dautres personnes commencent à sortir car le repas prend fin. Des animations ont été prévues et les gens discutent.
Il manque une dernière table. Nous retournons dans la réserve avec Stéphanie pour en ramener une. Dès que nous sommes hors de vue, je lui remets une main aux fesses. De son coté elle caresse mon torse. En arrivant dans la réserve, nous nous embrassons quelques instants avant de repartir avec la table avant que quelquun ne vienne voir ce que nous fabriquons. Javoue que maintenant, jai vraiment envie de la baiser ! Stéphanie rejoint un groupe et discute avec eux. De mon coté, je cherche un endroit où nous pourrions baiser. Les toilettes sont justes à coté de la porte dentrée mais il y a une porte pour les hommes et une autre pour les femmes. Bref, pas moyen dy aller discrètement. Il y a bien la réserve mais la pièce est minuscule, elle est pleine de table et de chaises et surtout il y a de grandes chances que quelquun vienne y chercher quelque chose. Evidement, il ne faut même pas penser à aller dans la cuisine à cause du traiteur. La seule pièce qui reste est réservée pour permettre aux s de se reposer. Je commence à perdre espoir lorsque le destin me souri.
Ma mère, qui est avec Stéphanie, me fait signe de la rejoindre. Je mapproche donc et demande à ma mère : (M=Maman ; S=Stéphanie ; J=Jerinak)
«
J - Quest ce quil y a ?
M - Comme je sais que tu es hyper actif et que tu ne tiens pas en place, est ce que ça te dérangerais daccompagner Stéph ?
S - Ne lembête pas avec ça.
J - Non pas spécialement !
M - Non il ne tient pas en place et il naime pas trop les grandes réunions comme celle-ci.
J - Surtout certaines personnes qui y sont !
M - Arrêtes un peu. Comme tu sais, Stéph adore la photo (Je nen sais rien. Je sais quelle aime la bite mais je fais comme si je savais) et elle aurait aimé photographier le moulin à eau.
S - Pas que le moulin. Je veux aussi profiter des couleurs de la nature.
J - Et il te faut un mannequin pour poser ?
M - Mais non, il lui faut un guide !
S - Ne lui dis pas ça sur ce ton. Ton fil est mignon et il ferait un beau mannequin. Mais cest vrai que je ne photographie pas les gens. En fait il me faut un guide.
M -Comme nous sommes tout proches de chez tes grands parents et que tu connais bien le coin pour lavoir pratiquer avec ton grand-père, jai pensé que tu pourrais laccompagner.
J - Ok mais je ne veux pas promener la grand-mère où ton cousin à la con.
M - Non. Il ny aura que vous deux. Stéphanie a besoin de tranquillité pour ses photos.
J - Tu sais me faire plaisir quand tu veux maman (je pense quelle ne comprend pas le sens exacte de ma phrase).
S - Merci, tu es adorable. En route alors.
J Je vais chercher ma voiture. »
Stéphanie monte et ma mère nous souhaite bonne ballade. Si elle savait ! Après quelques mètres, je dis à Stéphanie :
«
- Jespère que tu ne veux pas vraiment prendre des photos de ce moulin parce que je nai aucune idée doù il se trouve !
- Oh tu as menti à ta maman. Ce nest pas bien. Mais ne tinquiètes pas, je pense quavec toi je peux faire quelque chose de mieux que de prendre des photos.
- Tu as tout prévu depuis le début ?
- En fait non, javais lattention dy aller mais quand ta mère tas proposé comme guide, jai sauté sur loccasion.
- Ca oui tu vas sauter dessus ! »
Je vais vers un endroit isolé que je connais. Le problème cest que nous devons garder nos vêtements propres et je nai pas de couverture. Il va donc falloir rester dans la voiture ou du moins ne pas aller par terre. Stéphanie na pas attendu que nous soyons arrivés. Elle passe sa main sur la braguette et louvre. Elle engouffre sa main à lintérieur de mon pantalon pour saisir ma bite sous mon boxer. Elle me branle doucement pendant que jentre sur un petit chemin qui nous mène le long dun bois assez isolé. Nous sommes donc à labri des regards indiscrets. Je serre le frein à main et nos langues se rencontrent enfin. Nous nous embrassons à pleines bouches. Elle tient toujours ma bite dans sa main. Jouvre son chemisier et je caresse ses seins par-dessus son soutien gorge. Nous manquons de place à lavant et nous sortons donc de la voiture. Nous nous enfonçons un peu dans le bois. Heureusement quil ny a personne car jai la bite qui sort par la braguette et le chemisier de Stéphanie est grand ouvert avec ses seins qui sortent à moitié de son soutient gorge. Lorsque nous sommes hors de vue depuis le chemin, nous nous arrêtons. Stéphanie saccroupi devant moi et baisse mon pantalon, libérant enfin ma bite qui vient frapper son visage.
Elle commence alors à me sucer. Cela me fait un bien fou après cet après midi de merde. Stéphanie me suce longuement. Jaimerais tellement que nous fassions un 69. Mais le sol est un peu humide alors nous ne pouvons pas nous allonger. Stéphanie se redresse et après mavoir embrassé, je maccroupi à mon tour devant elle. Je baisse son pantalon et son string. Ma bouche entre en contact avec son ventre. Je fais le tour de sa chatte en embrassant ses cuisses avant de lécher son clito. Je le suce un moment puis jenfonce des doigts dans sa chatte. Elle gémit doucement pendant que sa chatte dégouline. Je me redresse. Je me colle à Stéphanie qui lève une jambe pour lenrouler autour de moi. Ainsi, je peux rentrer ma bite en elle. Je passe un bras autour de ses hanches et un autre autour de ses épaules. Nous nous embrassons fougueusement pendant que ma bite la pénètre à toute vitesse. Peut être est ce parce que nous sommes dans les bois, mais notre rapport est bestial. Je la culbute avec violence, comme elle aime. Elle veut que je la prenne par derrière.
Elle repose donc sa jambe par terre et me tourne le dos. Elle se penche en avant en posant ses mains sur ses genoux. Je me place derrière elle et pose mes mains sur ses hanches. Comme nous baisons sauvagement dans ce bois, je bourre son cul dun seul coup. Puis je la saute à fond, comme un animal. Stéphanie pousse des cris de plaisirs. Ces gémissements raisonnent dans toute la foret. Au bout dun bon quart dheure, elle est prise dun orgasme. Jai envie de jouir dans son cul mais elle ne veut pas prendre le risque que mon sperme coule de son cul et vienne tacher son pantalon. Elle reprend donc ma bite en bouche pour me sucer quelques instants avant que je ninonde sa bouche. Elle se redresse et nous nous câlinons un long moment. Cela fait presque deux heures que nous sommes partis. Il est grand temps de retourner à la fête.
Lorsque nous arrivons, ma mère vient à notre rencontre :
«
M - Alors cette séance photo ?
S - Très bien !
M - Tant mieux. Tu peux me montrer le résultat ? (Oups problème !)
J - Ce nest pas le moment maman.
M - Tu as quelque chose à cacher ? Peut être que tu nas pas retrouvé le moulin et tu ne veux pas lavouer ?
J - Mais si je lai retrouvé.
S - Oui. En fait cest surtout que jai laissé la carte mémoire dans la voiture pour mettre une autre carte pour faire les photos ce soir.
M - Ok tu me montreras ça plus tard alors.
S - Avec plaisir. »
Comme nous sommes partis un long moment, il est rapidement lheure de se remettre à table. Evidement il ny a toujours pas de place attitrée et comme il y a davantage de monde quà midi, chacun reprend une nouvelle place. Mais mon « travail » du repas précédent porte ses fruits. Alors que jaide ma sur aux derniers préparatifs, ma mère passe me dire que Stéphanie me garde une place à sa table et que jai du être plus sympa avec quelle quavec mes compagnons de table de ce midi car elle semble bien mapprécier. Tu métonnes quelle mapprécie !
Après avoir aidé ma sur, je rejoins donc la table de Stéphanie. Tant quà faire, elle ma gardé une place à coté delle, à lextrémité de la table. Son mari est assis en face de moi. Il y a dautres amis de mes parents et mes parents à cette table. Ce repas se déroule mieux que le précédent mais je regrette que Stéphanie ne porte pas une jupe ou une robe. Comme la nappe est longue, je peux facilement mettre ma main sur ses cuisses. Malheureusement il nest pas évident de faire plus puisquelle porte un pantalon. Cest si excitant de caresser une femme lorsque lon est assis en face de son mari et proche de sa meilleure amie qui est aussi ma mère. Finalement le repas se termine, ma mère ouvre ses cadeaux puis le « DJ » passe à laction (même si diffuseur de musique lui conviendrait plus que DJ vu quil ne fait que passer des titres les un à la suite des autres sans véritable transition). La luminosité est adaptée en conséquence et les jeux de lumière entre en action. Comme je vous lai déjà dit, je ne suis pas un grand danseur et je préfère donc rester assis et discuter. De temps en temps, je fais un saut dehors histoire de prendre lair. Tout le monde est mélangé dans la salle. Comme dhabitude, jai envie de baiser. Je cherche Stéphanie des yeux mais je ne la vois pas. Je lui envoi un SMS mais comme cest une femme de plus de 40 ans, son portable doit être dans son sac à main et donc elle ne me répond pas ! Finalement, je la vois qui danse dans un coin avec ma mère. Je lui fais un signe discret et je me dirige vers la porte du hall dentrée qui donne accès aux toilettes mais aussi et surtout au couloir qui mène à la réserve où je veux emmener Stéphanie. Jattends à langle du couloir et du hall pour être plus discret, même si lobscurité de la salle et du hall apporte déjà une bonne discrétion. Dans lobscurité, je vois donc la silhouette de Stéphanie arriver au milieu de quelques autres personnes. Elle me cherche un peu puis lorsquelle ma repéré, elle attend que ces quelques personnes sortent dehors ou aillent aux toilettes pour vite me rejoindre dans ce couloir.
Je la prends par la main et je lentraine dans la réserve. Elle semble hésitante mais rapidement, lexcitation prend le dessus et le risque de se faire surprendre disparait lorsque je lui montre mon idée. Je minspire de ce que Karine avait fait pendant mon stage en construisant une sorte de cabane en carton. Jentre dans la réserve et je renverse une table sur le coté pour la placer sous une table qui supporte dautre tables et des chaises. Nous nous faufilons sous cette table et je décale lensemble contre le mur du fond. Comme la pièce est étroite, une personne qui entre ne va voir que des chaises posées sur des tables. Nous sommes donc dans notre abri, invisible. De plus, la musique est forte donc elle va couvrir notre bruit. Elle sallonge sur moi et nous nous embrassons tendrement tout en nous caressant. Nous nous déshabillons lentement. Enfin Stéphanie est nue devant moi ! Nous nous embrassons de nouveau. Mes mains agrippent ses magnifiques fesses.
Stéphanie se retourne et nous entamons un magnifique 69. Elle me suce si bien maintenant ! En retour, je lui suce la chatte avec gourmandise. Nous nous bouffons mutuellement et cest vraiment excitant. Nous navons plus quune seule envie, que je la prenne violement. Mais nous navons pas beaucoup despace. Je reste donc allongé sur le dos et Stéphanie vient sallonger sur moi. Elle sempale sur moi et nous nous embrassons un peu puis lorsque le plaisir commence à monter elle vient poser sa tête dans le creux de mon cou. Cest tellement excitant de lentendre jouir dans mon oreille. Je suis en train de la sauter presque au milieu de tous les invités. En fait, seul un mur assez fin nous sépare de ceux qui sont en train de danser. Mes mains se posent maintenant sur son cul et je lui impose un rythme plus important.
A force de tripoter son cul, je veux maintenant la sodomiser. Elle se bascule donc sur le coté, elle fait face à la table que jai renversé pour nous cacher. Je me place derrière elle et jenfonce ma bite dans son cul. Je lai tellement défoncer tout à lheure dans la foret que je rentre aussi facilement que dans sa chatte. Je la culbute tranquillement dans un premier temps puis jaccélère la cadence. Stéphanie commence à couiner mais la musique est forte donc nous continuons comme si nous étions seuls. Mais soudain, la porte de la réserve souvre. Nous arrêtons immédiatement de bouger. Ma bite est aux trois quarts dans son cul. Stéphanie prend sur elle pour ne pas respirer trop fort. Je reconnais la voix dune tante dire :
«
- Où est ce quils se cachent ?
- Tu es sur quils ne sont pas dehors (cest la voix de ma mère) ?
- Dhabitude ils ont peur du noir alors je pense pas (ouf ce nest pas nous quelles cherchent, mais que la situation est excitante, ma mère est seulement à 50 centimètres de sa meilleure amie qui à ma bite dans le cul).
- Jai cru entendre du bruit venant dici pourtant.
- Il ny a personne ici. A moins quils naient escaladé les tables et les chaines (elles déplacent des chaises qui sont sur la table au dessus de nous).
- Ils sont trop petits pour ça.
- Oui allons voir ailleurs. »
Nous avons eu chaud. Nous ne bougeons pas pendant quelques instants puis je reprends mes va et vient. Stéphanie, qui est toute tremblante, tente de men empêcher. Jinsiste mais elle me repousse assez violement. Jarrête donc mais je ne peux pas rester sans jouir. Je plaque donc Stéphanie sur le dos et je me place sur elle pour la prendre en missionnaire. Elle tente encore de me stopper mais dès que ma bite entre dans sa chatte, elle enroule ses jambes et ses bras autour de moi. Je la culbute comme un sauvage et pour ne pas quelle couine, je pose mes lèvres sur les siennes. Je la défonce plusieurs minutes avant de jouir dans sa chatte. Nous nous rhabillons et Stéphanie sort de la réserve discrètement. Jattends quelques minutes puis je fais de même.
Lorsque jarrive dans la salle, je vois quune bonne moitié des invités est partie. Stéphanie est elle aussi sur le départ avec son mari qui semble avoir beaucoup bu. Ma mère me demande où jétais passé. Je réponds que je cherchais les petits (pour info ils étaient cachés sous des lits dans la pièce prévue pour quils dorment. Je le dis pour que vous puissiez continuer à vous branler sereinement lol). Ma mère me demande daider Stéphanie à amener son mari à sa voiture car il est bourré. Si elle savait que Stéphanie est aussi bourrée et remplie ! Jaide donc Stéphanie à aller jusquà sa voiture. Elle met son mari à droite, referme la portière et dépose un baiser sur les lèvres lorsque nous sommes derrière la voiture. Puis elle part vers le gite qui est tout près et où une bonne partie des invités va dormir. Dailleurs, je vais moi-même y dormir car même si mes grands parents habitent tout près, il y a déjà de la famille qui dort chez eux. Mais cela ne me dérange pas, bien au contraire !
Je compte bien en profiter pour baiser Stéphanie pour la troisième fois de la journée. Je pars dans les derniers et je prends donc la direction du gite. Ma sur est avec moi et je réalise que quasiment tout le monde va dormir là bas, mes parents, oncles et tantes, cousins
Mais cela ne va pas mempêcher de baiser Stéphanie. Nous arrivons et je vois que le gite est vraiment grand. Le mec devrait appeler ça « centre de vacances » et pas gite ! Il y a plusieurs étages avec des balcons. Pour ma part, je suis au 1er étage. Jenvoi un sms à Stéphanie pour savoir où est sa chambre mais elle ne répond pas. Je vais me doucher et lorsque je reviens, je vois quelle à répondu. Je mallonge nu sur mon lit et je lui réponds. Voici les sms que nous échangeons alors quil est 4h30 :
«
- T ds kel chambre ?
- 207 et toi ?
- 106
- Pk tu me demande ça ?
- Pour quon se voit !
- Peux pas y a mon mari.
- Moi je suis seul.
- Trop risqué de descendre.
- Il dort je pari.
- Oui il est bouré !
- Il sen rendra pas compte.
- Mais on pourrait me voir.
- Si tu veux pas descendre je monte
- On pourrait te voir
- Avec lentrainement de linternat, je gere !
- Tu gere koi ? »
Jenfile un short et un T-shirt puis je sors de ma chambre. Je me faufile discrètement jusquà létage supérieur mais là les choses se compliquent. Mes parents discutent avec plusieurs de leurs amis dans le couloir. Jattends un peu mais même si certains sont entrés dans la chambre de mes parents, dautres sont encore dans le couloir. Je décide de tenter un truc. Je tape plusieurs fois contre le mur du couloir. A ma grande surprise, cela fonctionne. Comme les gens pensent que cest quelquun qui se plaint du bruit, tout le monde entre dans la chambre de mes parents. Je remarque que la dernière personne qui rentre est Emmanuelle. Vous savez, celle que javais (avec ma sur) surpris en train de faire un plan à trois avec mes parents. Je crois que certains prolongent la fête ! Mais maintenant, jai le champ libre. Je vais vite devant la bonne porte et enfin jouvre doucement la porte de la chambre de Stéphanie et de son mari. Heureusement, elle nest pas verrouillée. Jentre donc doucement dans la chambre et je mavance. Stéphanie me regarde avec de grands yeux. Je sens quelle est tiraillée entre la surprise, la gêne et lexcitation. Je vois que son mari est affalé à gauche du lit. Son ventre menace de lentrainer par terre mais il reste quand même en place. Stéphanie est sous la couette mais je vois que sa nuisette est par terre. Elle me sourit et je comprends que malgré ses sms, elle espérait bien que je puisse venir. Quand on voit ce couple, on se demande vraiment comment cette femme si belle, si distinguée et si gentille a pu se mettre avec ce gros porc qui ne la baise même plus. Quel con, qui pourrait être allongé à coté de cette beauté et ne pas la sauter ?
Stéphanie ne bouge pas, je mapproche delle. Je magenouille à coté du lit et je lembrasse alors que son mari est dans le lit. Puis je passe ma main sous la couette pour caresser son corps nu. Dabord ses seins, puis son ventre, ses cuisses et enfin sa chatte. Mon bras a complètement enlevé la couette de son corps magnifique. Je pose maintenant mes lèvres sur ses seins puis je prends sa cuisse dans ma main pour décaler son bassin et accéder à son clito que je lèche comme dhabitude alors que son abruti de mari est allongé à quelques dizaines de centimètres delle. Elle fait de son mieux pour ne pas couiner trop fort mais je sens son souffle sintensifier. Soudain, jentends des gémissements mais ils ne viennent pas delle. Je comprends que dans la chambre de mes parents, la fête bat son plein. Je lexplique à Stéphanie avant de présenter ma bite devant sa bouche. Elle est toujours allongée à coté de son mari lorsque ma bite passe entre ses lèvres. Elle me suce comme une folle. Cest si excitant de se faire pomper par une femme allongée à coté de son mari. Je profite de notre position pour la doigter. Sa chatte dégouline et sa bave coule le long de ma bite. Il est grand temps que je la culbute.
Même si son mari semble bien endormi, je ne me vois pas monter sur le lit. Je fais pivoter Stéphanie encore un peu plus et je rentre ma bite en elle. Mais après seulement quelques allers-retours le lit couine affreusement et nous devons nous arrêter. Je dois la baiser ailleurs que sur le lit. Elle ne semble pas décidée à se lever. Je la tire doucement sur le coté et elle pose ses fesses par terre. Elle sallonge sur le dos contre le lit. Cela me donne une idée. Jatt ses jambes et je les relève le plus que je peux. Je me place entre elle et le lit puis elle fait glisser son dos pour se rapprocher du lit. La position est originale. Je tiens ses jambes et son bassin pour ne pas quelle bascule. Elle prend ma bite en main et elle lenfonce dans sa chatte. Cest assez sympa comme sensation car ma bite est dans un angle assez inhabituel. Je la culbute un bon moment dans cette position étonnante tout en écoutant les gémissements qui viennent de la chambre de mes parents. Mais cette position nest pas des plus confortables et elle ne permet pas une trop bonne pénétration. Stéphanie se relève, elle membrasse tout en me branlant et elle se place entre le lit et moi. Elle me tourne le dos puis elle se penche en avant.
Son cul est à ma merci. Je me place derrière elle et je frotte ma bite entre ses fesses. Je caresse un peu son petit trou puis jenfonce doucement ma bite en elle. Je pose mes mains de chaque coté de ses hanches puis je la culbute. Ses gémissements deviennent plus sonores. Elle est penchée en avant avec ma bite dans le cul. Son visage est quasiment au dessus de celui de son mari qui dort comme une grosse merde. Jintensifie mes coups de bites et Stéphanie peine à rester en appui sur ses mains. Elle pose son buste sur le lit et les couinements du lit reprennent et surtout le lit bouge énormément à cause de ce mouvement latéral. Son mari commence à se retourner. Je lâche le cul de Stéphanie et je me jette sous le lit. Jentends son mari lui dire :
«
- Quest ce que tu fous à poil ?
- Jai trop chaud alors je me suis déshabillée. Rendort toi.
- Tas ne quà pas te masturber !
- Quoi ?
- Me prends pas pour un con je tai entendu gémir.
- Si tu toccupais de moi, je naurais pas besoin de le faire !
- Et cest quoi toutes ces pétasses qui gueulent.
- Cest des femmes en couples qui ont un mari aimant !
- Oh tu me fais chier. Rhabille-toi et laisse-moi dormir.
- Cest ça dort. »
Jattends un long moment. Mais malgré tout, je nai pas débandé. Je vois la main de Stéphanie qui me fait signe. Je sors du lit. Elle est de nouveau allongée à coté de son mari et elle a remis sa nuisette. Elle a eu un orgasme lorsque je la prenais mais moi je nai pas jouis. Elle saisi ma bite et me branle doucement. Comme elle est allongée, elle narrive pas trop à me sucer. Elle se tourne sur le coté et se rapproche du bord du lit. Ainsi ma bite entre facilement dans sa bouche. Elle me suce un peu puis je décide daccélérer le mouvement. Je passe mes mains derrière sa tête et je lui baise littéralement la bouche. Jenfonce ma bite bien profondément au fond de sa bouche plusieurs fois lorsque je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Je ressors de sa bouche et elle me branle au-dessus delle jusquà léjaculation. Mes jets de sperme partent vers son visage et son cou. Nous nous embrassons tendrement et je quitte la chambre. Je suis dans le couloir lorsque la lumière sallume et que ma tante apparait devant moi. La mère dElina me dit :
«
- Tu es venu voir doù vient tout ce bruit ?
- Euh
oui cest ça.
- Tu es grand maintenant (oh ma tante a réalisé que je nai plus deux ans !) alors tu as du comprendre.
- Oui merci !
- Tes parents forment un couple libertin et depuis de nombreuses années ils participent à des orgies avec leurs amis.
- Javais cru comprendre oui.
- Au début je trouvais ça bizarre mais si ça leur plait. Cest important le sexe dans un couple et eux ils ont de bons gènes pour ça !
- Et toi tu nen aurais pas hérité par hasard ?
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que tu te promènes dans les couloirs en petite tenue, que tu es toute rouge et essoufflée !
- Je lai fait avec ton oncle. Je ne fais pas de partouze ! Et puis jai cru comprendre que tu as de bons gènes toi aussi !
- Tu crois ça ? (jespère quelle va me proposer de baiser car je me la ferais bien)
- Comme tu ne mas jamais présenté de petites amies, jai demandé à ta mère si tu nétais pas gay. Elle ma dit que tu es plus du genre à enchainer les conquêtes !
- Tu es plutôt bien renseigné (enfin pas totalement car tu nas pas lair de savoir que jai dépucelé ta fille !).
- Bon je vais essayer daller dormir comme je suis plus loin dans le couloir. Lavantage cest que les 5 chambres entre celle de tes parents et la mienne sont occupées par des couples qui sont à la partouze alors ils ne font pas trop de bruit ! Cest plus dans la chambre de nos autres voisins quil y avait du bruit qui nous gênait.
- Cest qui ?
- Cest la meilleure amie de ta mère et son mari.
- Ah mais tu es au 206. Je suis juste en dessous au 106.
- Ca devait être eux qui te gênaient plus que tes parents alors ! Elle couinait fort la blonde !
- Si cest elle que jentendais, cest sur.
- Elle est tellement jolie, son mari doit se faire plaisir. Surtout avec la tête quil a. Je me demande ce quelle lui trouve ! Mais bon tu vas pouvoir dormir tranquille maintenant.
- Je me ferais plaisir moi aussi avec elle !
- Tu vois que tu as nos gènes ! Tu aimes les femmes mures ?
- Jaime toutes les jolies femmes.
- Dommage que je sois ta tante alors (dit elle en rigolant).
- Oui cest dommage tu es si jolie (si seulement elle savait que ça ne me gène pas du tout et que jai déjà baisé une autre tante).
- Aller maintenant quils ont fini, va donc dormir plutôt que de dire des bêtises avec ta vieille tante.
- Oui toi aussi. Bonne nuit.
- Bonne nuit mon chéri. »
En passant devant la porte des mes parents, jai entendu des couinements de femmes dans tous les sens. Je me suis finalement rapidement endormi après cette longue journée qui avait pourtant assez mal commencé avec ce repas à midi mais qui sest bien terminé car jai baisé la meilleure amie de mère trois fois dans des endroits et des contextes très excitants. Après toutes ces émotions, jai très bien dormi même si jai été réveillé deux fois par les couinements dune femme et le bruit dun lit en mouvement. Ces bruits viennent-ils de la chambre 206 ou 207 ? Je crois que je ne suis pas le seul à connaitre la réponse ! Nhésitez pas à me contacter par mail : Mcfps@hotmail.fr ou rejoindre le groupe Facebook : Fans des histoires de Jerinak.
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