Redonner Le Moral À Mon Frère Est Primordial...

Je m’étais aperçus depuis longtemps qu’Arnaud mon frère ainé lorgnait sur les cuisses ou les seins de ma femme lorsque nous nous retrouvions en famille, il faut dire qu’elle prête peu d’attention à sa tenue lorsqu’elle s’assoie ou se penche, au début j’en éprouvais de la jalousie et puis au fil du temps cette jalousie s’est transformée en excitation car Maude s’est toujours comportée en femme fidèle au point que je désirais de plus en plus la voir dans des positions plus érotiques, puis scabreuses, la voir nue, offerte aux bons désirs de mon frère me hantais, mais par respect pour sa femme je n’ai jamais osé en parler a Maude que je soupçonne d’avoir des pensées qui rejoignent les miennes
Et puis hélas comme beaucoup de couples le leur a volé en éclats il y a un an, Marco en a beaucoup souffert mais je pense qu’il a repris le dessus, dans les réunions de famille il est de nouveau le premier à lancer des blagues graveleuses et ses yeux ont repris leurs observations concernant ma femme…
- Chérie ? tu as vus comme Marco a retrouvé le moral ?
- Oui, j’ai vus aussi qu’il n’était plus aveugle
- Normal, il regarde ce qu’il y a de beau à voir ! d’ailleurs je voulais te remercier pour le charmant ‘spectacle’ que tu lui offre parfois
- Moi ? voyons chéri je sais me tenir en société
- Ce n’est pas un reproche au contraire, mon frère vient juste de reprendre goût à la vie mais pour le moment il ne veut pas essayer de remplacer son ex
- Il a tort, elle ne s’est pas privée elle !
- J’aimerais que nous lui redonnions envie
- Envie de quoi ?
- De sexe …
- Et tu comptes t’y prendre comment ?
- Toi …
- Quoi moi ?
- Je suis à peu près certain que tu as des pensées affectueuses, voire très coquines pour lui, je me trompe ?
- J’aime bien Marco, c’est vrai qu’il a un look qui plait aux femmes mais de là à coucher avec …
- Il n’y a qu’un pas !
- Tu ne serais pas jaloux de me savoir ou voir allongée sous lui ?
- Rien que de l’imaginer je bande, j’aimerais le voir te déshabiller, caresser et embrasser les moindres parties de ton corps, le voir te …
- STOP !! arrête voyons c’est indécent !
- Si je comprends bien ça ne te laisse pas indifférente ?
- Il doit être costaud, il doit avoir de l’expérience …
- J’en suis certain ! alors ? ça te dirait de tenter ?
- Je … comment faire pour l’approcher ?
- J’ai mon idée, pour qu’il ne soit pas dépaysé ça va se passer chez lui
- Quel prétexte vas-tu inventer ?
- L’autre jour nous lui avons envoyé un SMS pour la nouvelle année car il était parti chez des amis, mais ce soir nous allons lui apporter ses étrennes à domicile
- Tu comptes lui offrir un cadeau ?
- Oui, toi
- Je ne vais tout de même pas me jeter dans ses bras ?
- Laisse-moi faire, va plutôt choisir une tenue qu’il saura apprécier
- Pas de culotte ?
- Justement, si !
Maude partagée entre envie et appréhension met deux heures avant de sortir de la chambre… si mon frangin n’est pas tenté de lui mettre une main au cul je n’y connais rien, une jupette qui cache à peine la lisière de ses dim-up résille, mis en valeur par des escarpins vertigineux, un corsage qui explose et laisse entrevoir ses larges aréoles brunes, a peine maquillée, un parfum discret, du coup j’ai envie de profiter de suite de cette créature de rêve !
- Bas les pattes chéri !
- Tu es certaine d’avoir mis une culotte ?
- Petite certes, mais culotte quand même ! enfin, à condition de ne pas avoir de fuites, et c’est limite ! nous y allons avant que je ne change d’avis ?
- C’est parti, Marco nous attend avec le champagne
Dans la voiture Maude regrette d’avoir mis cette jupe qui malgré ses efforts en tirant dessus dévoile ses cuisses bien au-dessus de la limite autorisée
- Quand même regarde ça, je suis dénudées jusqu'à l’entrejambe, mes tétons qui vont crever le corsage et pour couronner le tout ma chatte qui avale mon slip
- Il va être à point pour ce que je désire en faire, ha, nous arrivons, détend-toi tout va bien se passer
- Jeeeeee … je mouille !
- Impec !
Comment Marco va-t-il réagir ? Malgré la boule au ventre je ne vais pas reculer maintenant, nous entrons directement au salon, mon frère ne quitte pas Maude des yeux
- Vous partez en soirée ?
- En quelque sorte
- Tu n’as pas peur que ta femme attise la convoitise des mâles en rut ainsi vêtue ?
- J’espère bien
- Tu es le plus jeune des garçons mais aussi le plus imprévisible !
- Tu n’arrives pas loin derrière moi ! en passant nous voulions t’offrir tes étrennes
- Enfin une bonne pensée pour ton grand frère ! et qu’est-ce c’est ?
- Avant sert-nous donc une coupe
- Ok asseyez-vous je vais au frigo
Dès qu’il a tourné le dos je briffe Maude
- Je vais, ou plutôt ‘TU’ vas lui offrir son cadeau lorsqu’il aura rempli les flutes
- Quel cadeau ?
- Ta petite culotte
- T’es fou ? si tu voyais dans quel état elle est ….

- J’imagine, mouillée et parfumée à souhait
- Et c’est peu dire, c’est une vraie serpillère !
- Attention le voilà … hoouaa un bon millésime ton champagne !
- Je n’ai pas l’habitude de me foutre de mes invités
- Nous non plus, Maude ? donne les étrennes à ton beau frère
- Marco ? il y a longtemps que je te connais et je suis sûre que ce modeste présent va te faire plaisir
- Venant de toi il ne peut être que magnifique... où est-il ?
- Ici …
Debout face à Marco ma femme passe ses mains sous sa mini-jupe et en deux déhanchements subtils fait glisser lentement sa petite culotte jusqu'à ses chevilles pour la tendre à mon frère carrément médusé, bras ballants, yeux exorbités, bouche ouverte
- Mais ??? qu’est-ce c’est ?
- L’écrin qui protégeait ma chatte, il est tout chaud, excuse l’humidité... vas-y prend le, il est à toi désormais
- Merci … en effet il est à tordre … je suppose que c’est ton odeur la plus intime ?
- Sens le, lèche-le, hume le longtemps, choute-toi de son fumet subtil
- Vous êtes devenus fous vous deux ?
- Dès que la culotte aura perdu son arôme tu peux retrouver le même directement à la source
- Si la fontaine n’est pas tarie
- Évite de t’assoir sur le cuir du canapé
- Alors éponge là avec tes moyens personnels afin d’éviter une catastrophe
- Comment ?
- Ainsi …
- Je respecte trop ta femme pour me permettre de la traiter comme une vulgaire fille a soldat
Maude s’est campée devant lui ventre en avant, écartées outrageusement, jupe relevée jusqu’aux reins, doigts qui tirent sur les lèvres luisantes, aucun homme normalement constitué ne peux refuser une telle invitation sous peine de passer pour un rustre ou un impuissant …
- Désolé p’tit frère tu n’as pas le droit de décliner une telle requête, fais-le au moins pour ton tapis ça goutte … écarte-toi la chatte chérie… mmmmmmmuuuuuummmmmm quelle fontaine !
Ma bite s’est réveillée instantanément et celle de Marco aussi car il se tripote fermement la braguette, ma femme tend les mains vers la bosse proéminente et repousse celle de Marco qui gêne ses intentions, il n’ose pas interrompre le débouclage de sa ceinture pas plus que les boutons qui tenaient le pantalon a ses hanches, celui-ci tombe en accordéon jusqu’aux genoux, reste le slip hyper tendu …
- Tu le fait toi-même ou bien je m’en charge ?
- Vous ne foutraient pas la paix tant que je ne vous aurais pas fait plaisir ? bien …
Marco commence à se déshabiller totalement et s’allonge sur le tapis bite en main … et quelle bite ! quel gland bien découpé !
- Vient sur moi en soixante-neuf Maude
- J’arrive !
Mon frère délaisse sa queue qui change de mains pour choper les fesses menues et les porter à bonne distance de langue, après m’être dessapé je me mets à genoux près du couple illégitime, je mate le cuni ravageur et la fellation torride, les deux produisant des bruits de succions indécents, c’est beau un couple en pleine action, ma queue a été rarement aussi tendue , je modère ma masturbation afin de rester excité le plus longtemps possible
Maud s’acharne sur le membre pour lui faire cracher sa sauce et la boire en totalité, Marco commence à donner des signes prévisible en serrant et desserrant les cuisses, il va juter dans la bouche de mon épouse qui l’a compris et creuse les joues pour aspirer le divin jus, mon frère sort la langue du vagin afin d’exprimer sa jouissance en meuglant sourdement
- Rrrrhhhhhhoooooouuuuuuuuuaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh ! arrête ! arrête !
- Ça te fait mal ?
- Mon bout est hyper sensible, il y a une éternité que je n’ai pas jouis aussi fort
- Même en te masturbant en pensant à ma femme ?
- Même ça, je le reconnais, j’ai souvent baisé Maude par la pensée
- Buvons une coupe en attendant que ta verge soit de nouveau opérationnelle
- Vous ne repartez pas ?
- Avant tu vas emmener ma femme dans ton lit et l’honorer comme elle le mérite… elle adore la levrette
- Et tu comptes mater ?
- Si tu le permets je peux aussi participer, pour une double par exemple ?
- Marco ? ta chambre est bien au bout du couloir ?
- Ça n’a pas changé
- Je t’attends … je VOUS attends mes chéris !
Désormais nous nous partageons ma femme, à part les fois où il dégotte une copine qu’il fait tester à Maude … qui m’invite à la partager, dès que nous aurons trouvé la perle rare nous vivrons tous ensemble …