Une Belle Entreprise 1/2
Je travaille dans une entreprise denviron 500 salariés. Dans ce genre de boîtes il y a ment plusieurs services, et le mien me plaît particulièrement (surtout que je mentends très bien avec ma hiérarchie :p).
Et il y a donc ment un service « finances », dans lequel je ne travaille pas, mais avec qui jai des contacts au quotidien. Je mentends bien avec la directrice financière, Laetitia, avec qui on partage quelques passions, comme la randonnée, ou la moto. Des rapports cordiaux, mais pas amicaux.
Elle a une réputation de manager intransigeant, qui mène son service à la baguette. Cest vrai que de prime abord elle a lair froide, et sévère. Mais jai toujours eu bons contact avec elle, sûrement car je ne me suis jamais arrêté à cette première façade.
Physiquement, elle est assez quelconque : bientôt 50 ans, elle est brune frisée, grande (environ 1m75). Elle shabille souvent de manière féminine, mais sobre : jamais de décolleté, ou quoique ce soit de sexy. Exception faite pour ses longues jambes, quelle met souvent en avant avec robes ou pantalons assez moulant. Sans être fine, elle nest pas non plus pulpeuse. Pas le genre de femme qui me feraient fantasmer en premier lieu ; et pourtant, son attitude et sa vivacité desprit me lont rendue désirable.
On a commencé à bien discuter quand jai appris quelle était motarde. Un jour en arrivant au travail, je la vois avec un pantalon de moto, une veste, tout léquipement. Jarrivais moi aussi en moto, et donc on a échangé quelques mots. Cétait lépoque des beaux jours, et profiter de la moto en cette saison est un vrai bonheur. Dans la journée je dois passer devant son bureau, et je la croise. Et là surprise : je la vois en robe dété. Normal pour la saison, mais ça ne colle pas avec la tenue de motarde du matin.
Ce jour-là jai fini assez tard, sur les coups de 19h30, je quitte le bureau, et je fais le tour des autres voir sil y a encore du monde ou si je dois fermer à clé.
- Mais je tai bien croisée en pantalon ce matin ? Tavais la robe dessous ?
Je me dis que remontée, sous la veste, cest jouable mais ça me paraît bizarre. Elle me dit que non, quand elle vient en moto souvent elle se change dans son bureau. Par réflexe je regarde par sa fenêtre, qui donne directement sur lentrée de lentreprise. Un curieux bien avisé pourrait donc la voir se changer ?
Elle voit mon regard et doit comprendre mon raisonnement. Je la vois sourire mais nous ne disons rien de plus.
- Tu finis tard ce soir ? dis-je pour changer de sujet avant que ça devienne du harcèlement.
- Dici un quart dheure je pense, me dit-elle.
- Ok, alors peut-être à demain, tu viens en moto ?
Elle me confirme dun hochement de tête, et me souhaite bonne soirée. Sur le chemin du retour je me demandais comment je pourrai faire pour la voir se changer.
Je navais alors jusque-là jamais fantasmé sur elle. Même si on sentend bien, ça en restait là. Pourtant il est arrivé plus dune fois que ses robes découvrent ses longues jambes nues, notamment un jour où était venu à mon bureau pour parler dun projet où jétais impacté. Elle sétait assise sur mon bureau et javais pleine vue sur ses jambes croisées et nues. Je nai pas réussi à voir, malheureusement, ce quelle portait dessous, ayant dû me lever quand elle voulait partir pour ne pas éveiller les soupçons. Mais cde jour-là je métais fait la remarque quelle avait quand même certains atouts.
Alors penser la voir se changer le matin en arrivant, sur elle et dans cette situation, avait de quoi me faire fantasmer !
Le lendemain sur le trajet, je guette pour voir si je la vois devant, ou dans mes rétroviseurs. Me disant que si cest le cas je peux essayer de lui laisser de lavance pour la surprendre en train de se changer.
Sur le coup je suis pas fier ; je me sens comme un ado pris en flagrant délit de matage par un trou de serrure ! « Tant pis » me dis-je, jespère simplement que ça ne nuira pas à nos rapports professionnels.
Je vais à mon bureau et évite autant que possible den sortir pour la croiser. Manque de bol ce jour-là aussi je finis tard, et cette fois cest elle qui fait le tour des bureaux. Je vois Laetitia en tenue de motard arriver dans mon bureau. Elle me salue et on discute 2 minutes de tout et de rien.
- Me semblait tavoir vu ce matin sur la route, devant moi, mais je te nai pas trouvé sur le parking, me dit-elle lair de rien.
- Oui jai fait un petit détour
Elle a un sourire en coin et me dit :
- Je ne me change pas devant la fenêtre quand même
!
Je sens le rouge me monter aux joues. Là dans ma tête je me dis que jai vraiment fait le con. Mais bon pas la peine de mentir, autant assumer, ça ne pourrait quaggraver les choses. Sur le coup je ne sais pas quoi dire, jai dû sortir un « oui, cest évident, si quelquun tavait vue te changer ça se serait su
»
Elle change subtilement de sujet, et à force de parler je décide de partir en même temps quelle. Je ferme le bureau et on se suit jusquau parking motos. Elle na pas lair de me tenir rigueur pour mon comportement idiot, et ça me rassure. On fait un bout de route ensemble puis chacun part de son côté.
Les jours qui suivent on se croise beaucoup moins : les contraintes professionnelles. Puis un projet voit le jour dans lentreprise, projet pour lequel je dois travailler de concert avec Laetitia. Quand japprends la nouvelle, je vais la voir dans son bureau pour quon décide dun moment afin de sorganiser. Je la surprends la tête enfouie dans les mains.
- Ça va ?
Elle relève la tête, je mattendais presque à la voir en pleurs, mais pas du tout.
- Oui oui, jai dû faire un faux mouvement, jai mal à la nuque !
On échange un peu sur sa douleur, et je lui préconise de se faire dorloter par son compagnon pour soulager la douleur. Je ne pousse pas plus loin les allusions, sachant que jaurai bien aimé la masser. Surtout quaujourdhui elle porte une chemisier blanc (avec un jean dommage !), qui met en avant sa poitrine.
On discute un peu de notre projet professionnel commun, et deux / trois fois mes yeux se perdent entre les boutons de son chemisier, où je vois un soutien-gorge gris avec quelques dentelles. Je ne vois quune partie de larmature, mais jai ça pourrait parfaitement correspondre à un ensemble de lingerie assez joli. Je perds un peu le fil de la conversation, et elle me reprend alors que jétais un peu perdu, en train dimaginer à quoi pouvait ressemble ledit ensemble sur Laetitia. Finalement la discussion tourne court, et on convient de se retrouver le lendemain en fin daprès-midi pour planifier les différentes tâches.
Le lendemain donc, dans la matinée, je croise Laetitia qui porte une tenue qui me semble trop sage de prime abord. Un peu déçu je détaille quand même : Un pantalon léger et ample
ample au niveau des jambes, mais qui suit bien les lignes des hanches et des fesses. Un t-shirt assez ample aussi, mais aurai-je halluciné : il me semble quelle na pas de soutien-gorge dessous. Pas trop eu le temps de détailler, on sest croisé à la machine à café. La journée se passe, et vers 17h30 je vais à son bureau.
Son bureau (la pièce) est assez grand : un grand bureau (le meuble cette fois) en L est positionné devant la seule fenêtre de la pièce, avec une chaise pour le visiteur dun côté, et la chaise de Laetitia en face. En arrivant je déplace la chaise pour me mettre à côté delle afin de pouvoir travailler plus facilement.
Plusieurs fois mon regard glisse sur son t-shirt. Quand elle tape sur son clavier, concentrée sur son écran, je profite du moment pour confirmer quelle na pas de soutien-gorge. Rien de choquant, et avec ce t-shirt ça ne se voit pas aisément ; par contre savoir sa poitrine nue sous ce seul bout de tissu me fait rêvasser quelques secondes.
Je la vois sétirer la nuque à plusieurs reprises, le mouvement tirant le tissu du t-shirt qui du coup épouse parfaitement son sein pendant une seconde. Sa poitrine a lair un peu tombante, jimagine des seins en poire. Je commence à avoir du mal à me concentrer sur notre travail.
On passe une bonne paire dheures à travailler, on est malgré tout assez efficaces. Très content quon est avancé aussi vite, je lui glisse un compliment du genre « cest agréable de travailler avec toi ». Elle semble surprise, faussement surprise à mon avis, après-coup et me demande pourquoi. Je lui dis que de travailler avec une femme séduisante et intelligente est toujours un plaisir, ce qui la fait doucement rigoler.
Elle se tire à nouveau la nuque, et je lui demande alors si elle sest faite masser par son compagnon.
- Non, répond-elle, il est en déplacement jusquà la fin du mois.
Je me lève alors, et lui demande en même temps :
- Tu veux que je men occupe ?
Elle na pas encore répondu que je suis derrière elle, attendant sa réponse. Elle tire ses cheveux sur le côté, et me dit :
- Cest vraiment gentil, si ça ne te dérange pas je veux bien.
Je ne suis pas un spécialiste du massage, loin de là, même si jai toujours plaisir à manipuler un corps féminin en espérant lui donner un peu de plaisir. Je pose mes mains sur ses épaules et commence à lui masser le bas de la nuque avec mes pouces, en faisant des petits cercles, et en remontant petit en petit. Elle ne dit rien et se laisse faire tout le long, je recommence ainsi deux ou trois fois, et fini par lui arracher quelques « hm oui », « ça fait du bien », qui entendus depuis lextérieur du bureau aurait été mal compris ! Jinsiste encore quelques minutes, puis retourne massoir à ma chaise.
- Dans ces conditions je suis pas capable de faire beaucoup, dis-je, relativement satisfait de sa réaction.
Elle relève la tête, elle a encore les yeux mi-clos.
- Cétait super, merci beaucoup ! Je te dirai si cest efficace pour la douleur, mais en tout cas après une journée de travail cest agréable.
- Il faudrait instaurer un massage systématique après chaque journée de travail alors, fis-je dun ton enjoué.
Elle sourit et acquiesce, et je continue sur ma lancée :
- Faudrait de lhuile, et surtout une table de massage.
- Ah oui tu vois les choses en grand là
dit-elle en sesclaffant.
- Quitte à faire les choses faut bien les faire. Avec une table de massage jaurai pu te masser des épaules jusquaux cervicales.
- Ah bon ? Tu ne pouvais pas là ? demande-t-elle surprise.
Je lui explique alors que masser à travers le tissu me semble pire que pas de massage du tout ! et que dans lidéal il faudrait que ses bras soient posés. Je me relève alors, ayant oublié que je discute avec la directrice financière de ma boîte à ce moment-là jai plus limpression de discuter avec une copine, un flirt et lui prend les mains. Tout en lui disant que « sûrement, dans cette position, ça serait plus agréable », je lui fais poser les bras sur son bureau, dans une position semi-allongée où sa tête se retrouve posée sur le bureau.
Le mouvement remonte un peu son t-shirt, qui découvre le bas de son dos. Je résiste à lenvie de le lui enlever, me rendant compte que jai déjà pas mal poussé ma chance.
- Effectivement, dit alors Laetitia, dans cette position ça doit être plus agréable. Reste le problème du tissu
Elle se remet en position assise ; le t-shirt nest pas retombé et laisse toujours son bas de dos découvert. Elle tire un peu sur le haut du t-shirt pour dénuder ses épaules, mais ça ne suffit pas vraiment. Elle fait une moue en me regardant, et je dis alors :
- Pas le choix, faut lenlever !
Elle fronce les sourcils, et me rendant compte que je lui suggère de se mettre à demi-nue devant moi, je rajoute en vitesse, avant quelle nouvre la bouche :
- Faudrait des serviettes en plus de lhuile et de la table de massage.
Elle fronce toujours les sourcils mais ne réussit pas à retenir un sourire en coin.
Je regarde lheure, et lui dis quil serait peut-être temps quon finisse la journée de travail et quon rentre chacun chez soi. Elle acquiesce, et je pars dans mon bureau chercher mes affaires. Je retourne à son bureau, pour lattendre, pousse la porte qui était restée entre ouverte.
La porte souvre, et cogne légèrement contre le mur, signalant ma présence. Je la vois alors dos à moi en train de se dandiner pour glisser dans son sur-pantalon de moto, pieds nus. Elle se retourne alors et me dis en prenant ses chaussures :
- Jenfile ça et on peut y aller !
On quitte le bureau, puis on roule ensemble jusquà devoir rejoindre chacun sa route.
Les jours qui suivent je me force à finir assez tard pour avoir ce petit moment privilégié où on se retrouve avec Laetitia pour discuter un peu avant de partir. Je profite toujours de ces moments-là pour détailler ses tenues et lui faire un peu de charme. Jusquà cette fin de journée où je vais la voir, et que je remarque quelle se tire encore la nuque.
- Encore mal ?
- Oui, dit-elle.
- Je te refais un demi-massage si tu veux, lui proposai-je alors.
- Un demi ? Comment ça ?
- Ben tu sais, tant quon na ni table de massage, ni huile
- Ah oui, dit-elle en rigolant.
Elle minvite à venir derrière elle.
- Ni serviette, ajoute-t-elle alors.
Je me positionne derrière elle ; ce jour-là elle porte un chemisier bleu foncé avec des motifs fleuris. Et un jean assez moulant. Je pars de la base de la nuque, le chemisier rendant laccès à ses épaules plus compliqué. Comme la dernière fois, je prends le temps de remonter plusieurs fois le long de sa nuque, et je la sens se détendre. A lentendre elle prend quand même un peu de plaisir, ce dont je nétais pas peu fier !
Je relâche alors sa nuque, et elle me dit :
- Pour un demi-massage cest plutôt pas mal ! ça te dérange si on essaye ce que tu suggérais la dernière fois ?
Jessaye de me remémorer de quoi elle parle, mais les idées ailleurs jai répondu « non, bien sûr », sans trop comprendre. Elle a alors posé sa tête sur ses mains, à moitié allongée sur son bureau. Jai recommencé mon action, essayant de masser un peu les épaules pour le chemisier, mais ce nétait vraiment pas évident.
Il est alors 19h30, et les couloirs de lentreprise sont vides depuis un bon moment. Laetitia se redresse alors, et dit dun air légèrement agacé :
- Ça me gêne en fait.
Ne comprenant pas encore de quoi elle parle, je la vois défaire quelques boutons de son chemisier pour quil soit un peu plus lâche au niveau des épaules. Elle essaye ainsi et je découvre une partie de son soutien-gorge, blanc cette fois. Dès quelle se met en position, elle réalise que cest encore plus incommodant. Elle se retourne vers moi alors et me dit en souriant :
- Il faut vraiment investir dans ces serviettes !
Elle comptait refermer son chemisier, voyant ça je dis sans réfléchir :
- Cette fois tu as quelque chose dessous, il ny a pas besoin de la serviette.
Me rendant compte que le « cette fois » était mal venu, je la vois légèrement rougir, puis réfléchir quelques secondes. Elle regarde par la porte, tendant loreille pour sassurer quon est seuls. Puis finalement décide denlever complètement son chemisier. Elle reste silencieuse, et se remet en position. Jadmire quelques secondes son corps : le soutien-gorge blanc est fin, et tendu par ses seins écrasés sur le bureau. Son ventre nest pas plat, quelques bourrelets mis en avant surtout dans cette position. Je ne dis rien mais un début dérection se pointe.
Je commence alors mon massage, bien plus commode, en partant des épaules, sans oublier ses omoplates. Ça dure plusieurs minutes, et régulièrement bute « malencontreusement » contre ses bretelles de soutien-gorge. Jespère lui donner envie de lenlever, sans y croire vraiment
Elle gémit carrément, ne parle plus. Je décide de finir en parcourant sa colonne vertébrale. Arrivé aux agrafes du soutien-gorge, mon pouce passe dessus, et je me retiens de ne pas les défaire, et continue jusquau bas, la sentant se cambrer de plaisir sous mes doigts.
Sa position me donne une vue dans lentrebâillement de son jean, où je vois un tanga blanc qui confirme complètement mon érection. Ma queue tendue malgré le jean nest pas discrète, aussi je profite dêtre dans son dos, hors de son champ de vision, pour la « repositionner ».
Laetitia se redresse alors et me remercie dune voix douce et calme. Elle se lève et récupère son chemisier. Elle est devant moi, et alors quelle enfile les manches, jai pleine vue sur sa poitrine. Je regarde malgré moi, et elle na pas pu manquer mon temps darrêt.
- On remet ça quand tu veux, lui dis-je alors, mes yeux remontant sur son visage.
Elle sourit et me dit :
- Attention, je pourrai te prendre au mot !
- Cest le but.
Elle regarde lhorloge de son bureau, puis change davis et enlève à nouveau son chemisier.
- Ok, dit-elle en se rasseyant. Alors de suite, un dernier petit plaisir avant de partir. Jai un peu de remord à profiter de toi comme ça, mais cest tellement agréable
- Ne ten fais pas, ça me fait plaisir, dis-je alors.
Elle sassoit, et se remet en position. Jécarte alors les bretelles du creux de ses épaules. Elles me gênent toujours, mais cest un moyen que jespère subtil de lui demander de sen séparer
- Ces morceaux de tissus nous cassent les pieds, dit-elle alors doucement.
- En effet
Je commence une nouvelle, et normalement dernière, fois mon massage, mais cette fois je mattarde plus sur son dos. La position nest pas idéale, mais parcourir son corps me semble alors irrésistible. Ses côtes, que je caresse parfois plus que je masse, mes indexes frôlant ses seins à travers le tissu du soutien-gorge ; ses hanches, avec mes pouces qui suivent la ligne de son tanga, sous son jean
Elle ne dit rien. Je repars du haut de sa colonne vertébrale et redescends ; arrivé à lagrafe du soutien-gorge, je ne résiste plus, je le défais lentement, guettant un signe de sa part. Seuls ses gémissements me confirment quelle ne dort pas. Jécarte alors le tissu, et reprends mon massage, ou mes caresses. Jarrête au bout de quelques minutes, me disant que jaurai quand même aimé avoir un peu dhuile. Elle se redresse alors lentement. Mes mains se posent alors sur ses hanches, et remontent vers sa poitrine pendant quelle se redresse complètement. Mes mains passent sous son soutien-gorge pour enfin, enfin !, atteindre sa poitrine. Je joue avec alors que passe sa main derrière ma nuque. Ces seins sont lourds dans mes mains, durs, ces tétons tendus sont un délice entre mes doigts. Elle se dégage alors de ma prise, et se relève. Face à moi, je fais glisser ses bretelles et lui enlève complètement le soutien-gorge. Sa main se pose sur ma queue, et commence à me masser, alors quelle sapproche de mes lèvres pour membrasser.
Elle sagenouille alors, et défait les boutons de mon jean. Ma queue est tendue depuis longtemps, elle la sort de mon caleçon, et lembrasse du bout des lèvres. Elle me lèche le prépuce, me donnant des petits coups de langue dessus, et commence à me branler lentement. Elle gobe alors mon gland, laspire, le suce, le relache, et ainsi de suite tout en me branlant encore. Je suis trop excité et je ne vais pas tarder à jouir, mais je veux la prendre, sur son bureau.
Elle ne lentend pas de cette manière, et alors que je la convie à se lever, elle me dit non.
- Cette fois tu te laisses faire mon cher...
Elle reprend son travail sur mon gland, et dune main me masse les bourses.
- Attention, lui dis-je dans un souffle, je vais pas tarder
Elle continue, avec gourmandise, sentant mon membre tressauter, elle commence à me lécher en partant de la base de la queue et en remontant jusquau frein, puis elle gobe une grosse partie ma queue, et commence à me sucer en vitesse, sa tête montant et descendant.
Je jouis dans un long râle, alors que mes jets de sperme lui remplissent la bouche. Elle me branle alors jusquà me vider complètement, alors que mes derniers jets finissent sur ses seins.
Adossé au mur, à côté de la fenêtre, je la vois à genoux devant moi, la bouche débordante de sperme, les seins et le ventre arrosés aussi
Elle sort des mouchoirs de son bureau et vide sa bouche dedans. De là où elle est, nimporte qui voulant entrer dans lentreprise aurait pleine vue sur sa poitrine souillée. Mais à cette heure-ci les chances de voir du monde ici sont minces
On utilise les WC pour faire un brin de toilette, puis on repart, comme dhabitude
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