Les 1001 Perversions De Nathalie (4)

Nathalie soumise - Le 4ème jour

Nathalie se réveille en fin de matinée, en sueur après une nuit agitée par des rêves érotiques.
Elle, si respectable avant sa rencontre avec Marc et Léa, maintenant elle devient insatiable, tout l’excite. Elle a besoin de sexe. Il lui semble qu’elle a perdu trop de temps emprisonnée dans sa vie sage de bourgeoise…
Elle a envie de jouir. Tout le temps, tout de suite. Elle rejète les draps, écarte les cuisses. Trois doigts enfoncés dans sa chatte trempée, elle imagine des hommes la regardant se frotter comme une furie. Elle se frotte pour eux. Ils bandent pour elle. Ils la veulent tous à la fois et ils lui font tout et elle en redemande !
La voix de Germain derrière la porte de sa chambre l'arrache à sa masturbation :
- Monsieur Marc et madame vous attendent au salon. Ils désirent que vous soyez nue.
Nue, se dit-elle… Va-t-elle comme la veille devoir sucer Marc ? Que lui réservent-ils aujourd'hui ?
Lorsque elle entre au salon, l'accueil lui semble moins chaleureux que la veille. Sans ambages Marc annonce :
- Nathalie, vous connaissez déjà Germain.
Germain, qui jusqu’alors se tenait près de la porte, s’avance. Il est gros, ancien boxeur, son visage carré, son nez cassé et ses multiples cicatrices le rendent impressionnant. Il guide Nathalie par le bras jusqu’à un fauteuil et la fait s'agenouiller.
- Germain… Veuillez vérifier !
La voix froide de Léa, habituellement si douce, la fait frémir.
- Met-toi à quatre pattes... plus vite !
Elle s’exécute, toujours à genoux devant le fauteuil vide, son visage tourné vers le mur. De cette façon, elle exhibe ses fesses à Germain. Ainsi offerte, elle laisse deux doigts parcourir sa fente sans s’y attarder.
- Alors, Germain ?, s'enquière Marc.
- Elle est mouillée !
Germain attache un collier autour de son cou. Glissant un doigt dans la boucle, il maintient Nathalie à genoux.

Elle est menottée dans le dos, et une chaînette relie les bracelets au collier.
Germain se place face à elle. Elle a son pantalon tout près de son visage, et a un petit mouvement de recul. Il ouvre sa braguette. Elle sent, à travers le slip, la pine frotter contre son visage. Une main lui maintient la tête, la fait pivoter à droite, à gauche.
La bite est très grosse, plus elle se frotte, plus elle grossit. Le gland est sorti du slip, à moitié recouvert d’un prépuce épais que Germain s’amuse à faire rouler sur son visage. À chaque passage, une odeur âcre la submerge, qui l'excite et l’attire à la fois.
Léa ordonne :
- Baisse son slip avec les dents ! Ensuite, tu lécheras cette queue délicatement, lentement, pour t'imprégner de ce parfum qui te grise, je le sais.
Nathalie obéit, fait glisser le slip à l’aide de sa langue et des dents, découvre la queue raide. Elle coince l’élastique sous les couilles. Elle a devant les yeux un sexe énorme. Elle le détaille. Il est foncé, les veines bleues, qui courent et battent le long de la hampe, le rendent encore plus majestueux. Il est presque plus gros que le sexe de Houssam.
Elle ferme les yeux, presque rêveuse, et commence à faire courir sa langue sur la tige tendue. Elle part du sommet pour descendre sur les deux grosses couilles velues, lourdes et pleines. Marc ordonne :
- Je veux voir dégouliner votre salive, et je veux vous voir récurer cette queue !
Elle obéit avec docilité et application. Elle voit le cylindre de chair monter et descendre le long de sa bouche. Ses lèvres parcourent les veines épaisses qui donnent à la queue une forme noueuse et tortueuse.
Elle glisse la langue entre le prépuce et le gland, la faisant tourner délicatement, les relents l’enivrent. Elle dépose de la salive au sommet de la bite, la laisse couler, puis la récupère avec une volupté qu'elle a du mal à cacher.
Elle gobe gloutonnement la queue quand Léa le lui ordonne. Ses lèvres se referment sur la chair épaisse qui recouvre encore le gland congestionné, puis glissent lentement pour le dégager.

Elle est comme ivre. L’odeur de Germain, sa soumission de femelle obéissante la grisent. Elle avale la verge tout entière, la ressort, apprécie la douceur et la chaleur du gland sous son palais. Ses mouvements de bassin trahissent son envie de plus encore. 
Germain grogne qu'il va juter. Sur l'ordre de Marc, Nathalie garde docilement la bouche grande ouverte. Germain se recule et elle voit sortir les jets de foutre qu'elle recueille sur sa langue et ses lèvres. Elle est fascinée par le spectacle et avale le liquide visqueux, tiède et salé.
La situation humiliante dans laquelle elle se vautre a levé toute inhibition. D'elle-même, elle nettoie la bite et récupère avec sa langue le foutre qui macule son visage.
- Germain, vous pouvez vérifier de nouveau, si vous  voulez !
Avec le pouce et l’index, Germain écarte les nymphes.
- C’est extraordinaire, elle est trempée, cette fois, ça dégouline sur mes doigts.
Il s’applique à étaler la mouille épaisse le long du périnée, se rapprochant de plus en plus de l’anus qui palpite, s’ouvre à l’approche d’un doigt. Nathalie est au bord de la jouissance.
- Bien, ça suffit, Germain, laissez-nous !
Léa retire les menottes et le collier et lui ordonne de mettre ses mains sur ses hanches et d’écarter les jambes, debout, de dos à Marc.
Elle s’exécute, curieuse de la suite des évènements, mais surtout follement excitée, au bord de l'orgasme.
- Tourne-toi, et approche de Marc lentement, qu’il ait le loisir de t’admirer.
- Couchez-vous sur mes genoux, Nathalie, dit Marc en s’approchant du bord du fauteuil.
Fermant les yeux, elle s’allonge sur ses genoux, attendant l’exécution de la sentence. Son fin pantalon de lin est tendu, elle le sent, alors que sa main se pose sur l’une de ses fesses, la parcourant et provoquant un délicieux frisson.
Elle tourne la tête pour regarder Léa qui vient de s’asseoir dans le canapé leur faisant face. Elle est indécente, elle vient de passer l’une de ses jambes sur l’accoudoir, s’exhibant à eux deux.
Elle imagine que Marc ne la quitte pas des yeux. Sa main la parcourt, glissant sur l’une de ses fesses avant de parcourir l’autre.
Puis il la force, sans qu'elle n’oppose beaucoup de résistance, à écarter les jambes. Sa main parcourt sa raie, elle ferme les yeux alors que son index pointe sur son petit trou plissé avant de glisser plus bas, où l’humidité règne. Elle les rouvre pour découvrir que Léa se caresse. Ses doigts parcourent sa fente lisse et déjà luisante de son plaisir naissant.
- Eh bien, Marc, tu ne devais pas la corriger, cette petite peste ?
Elle se cambre dans l’attente de la punition. Mais au lieu de celle-ci, c’est son index qui force ses lèvres qui s’ouvrent.
- Je suis sûr que Nathalie préfère un autre style de correction. Je me trompe ? dit-il alors que son index la pénètre. Il poursuit :
- Léa veut jouir, venez...
Marc se lève et la conduit vers le canapé. Elle le voit se positionner entre les jambes gainées de nylon noir de Léa. Il dépose un baiser sur son sexe, puis sa langue parcourt la fente, l’ouvrant encore davantage à son passage. Léa ferme les yeux alors que Nathalie s'empare de ses lèvres, trouve sa langue.
Entre les cuisses de Léa, l’action gagne en intensité. Marc aspire le bouton tout en pénétrant de son index le con de Léa. Nathalie quitte sa bouche, sous ses yeux, à quelques centimètres, elle voit Marc s’affairant sur le clitoris dardé. Il glisse un second doigt recourbé dans sa chatte, Léa geint, se cabre.
Marc fixe Nathalie dans les yeux et lui tend ces deux doigts à sucer. Elle a souvent léché ses doigts alors qu'elle se masturbait, mais là, le partage du plaisir de Léa devant les yeux de Marc la rend folle.
Alors que Marc glisse de nouveau ses doigts en Léa, elle l’embrasse. Sa langue se glisse entre ses dents pour la fouiller ; elle pose sa main sur la chatte, trouve son bouton dardé qu'elle masturbe. Puis c’est sa bouche qui s'empare de son clitoris. Sa langue se darde pour parcourir toute sa fente et enfin faire le tour de son bouton.

Marc lui laisse donner le maximum de plaisir à Léa. Elle continue de la lécher, d’aspirer son clitoris, en s’aidant de son index qu'elle a glissé dans sa grotte, lui arrachant des râles de plaisirs.
- Continue, cochonne, je vais jouir ! Divine salope, tu fais ça si bien…
- Nathalie, vous allez pouvoir la boire à sa source, elle adore !
- Ouiiiiii !!!
Léa jouit dans une longue plainte, elle se cambre alors que Nathalie essaye de rester soudée à son plaisir, sa bouche plaquée sur son clitoris.
Léa est la première à reprendre ses esprits, elle se lève, laissant Nathalie étendue sur le canapé.
Marc s'est déshabillé et s'approche, vient sur elle. Il la lèche. Il l'embrasse. C’est grisant de le voir lui faire ce cuni, de goûter sa mouille sur sa bouche. Elle est offerte, palpitante.
Il lui ordonne de se mettre à quatre pattes pour le recevoir, de se cambrer. Elle se met en levrette, elle se sent femelle prête pour la saillie. Il plonge les doigts en elle. Ils sont gluants de mouille. Il les lui donne à lécher, elle tire une longue langue pour bien tout nettoyer.
Elle adore se prêter à ce jeu d’humiliation, lui montrer quelle parfaite chienne elle peut être. Tout, pour être baisée ! Elle est devenue une vraie nymphomane. Mais elle s'en fout, tout ce qu'elle veut, c’est qu'il la prenne et qu'il lui fasse du bien, et du mal, et que ça n’arrête pas.
Il prend un fouet terminé par plusieurs lanières de cuir.
- C’est un chat à neuf queues. Les capitaines pirates s’en servaient pour punir leurs hommes.
Il vient derrière elle, frotte avec les lanières de cuir sa fente et la raie de ses fesses, la faisant encore une fois frissonner. Elle se cambre. Il se présente à l’entrée de son cul, et d’un coup, fait entrer sa queue. Elle pousse un long râle de plaisir.
Il l'encule fort, sensuellement, ponctuant chaque pénétration d’une caresse du fouet, ou d’un coup plus vif sur son dos. Elle sent à la fois la chaleur de sa queue qui va et vient en elle, augmentant son plaisir à chaque pénétration. Une montée inéluctable vers l’orgasme et la morsure cuisante du chat à neuf queues, et aussi la brûlure des coups précédents, qui ne s’atténue pas.
Et tout se mélange ! Ses grognements de mâle en rut, les plaintes que lui arrache sa queue, les cris que lui arrache le fouet, le claquement du fouet sur sa peau, dans les rares moments de silence, le bruit mouillé de sa pine dans son cul.
Et quand elle jouit, elle reçoit un coup de fouet à chaque cri qu'elle pousse. Et le coup de fouet double son cri d’orgasme d’un cri de douleur, comme un écho, avant qu'elle ne s'écroule, vidée de toute énergie, le dos brûlant, la chatte apaisée.
Sur le ventre, elle tend le cou, tire la langue, offre son visage à la queue de son mâle, qui crache sa semence tiède, et qu'elle accueille avec bonheur.

(à suivre)

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