La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1206)
chienne Vénus au Château (suite de l'épisode précédent N°1205) -
- Bonne nuit, Ma chienne
La nuit fut douce et légère, je revis en rêve ce que Monsieur le Marquis mavait fait vivre et je me sentais plus vivante que jamais. Mais jappréhendais la réaction de mes parents quand jaller leurs annoncer et cest pour cela que je pris mon petit déjeuner dans ma chambre quune esclave me porta, elle sappelait esclave Phryné MDE
- Avant de quitter ma chambre, va dire à Monsieur le Marquis et à mes parents que je vais passer une grande partie de ma journée dans ma chambre car jai beaucoup de travail à rattr pour mon entreprise. Va maintenant, jai des coups de fil à passer et je ne veux surtout pas que lon me dérange, quand à ce midi, tu me feras monter un plateau repas.
Elle partit donc passer le message à tout le monde. Je passais donc une bonne partie de ma matinée sur mon ordinateur, à travailler. En début daprès-midi, Monsieur le Marquis se présenta dans ma chambre
- Bonjour Ma chienne, jespère que tu as bien dormi et que ta matinée a été fructueuse pour ton travail
Mais il est temps de te préparer pour ta soirée qui sera riche en émotions, je te le promets. Mes chiennes vont te préparer un bon bain dans ma salle de bain privée
. Cette soirée, Cristal, est spéciale pour toi car aux yeux de Mes invités, tu entreras dans notre monde comme Domina même si on sait, toi et moi, où est ta véritable place. Ce soir, je veux te voir tamuser comme jamais, fait Moi honneur, je veux voir une jeune femme enjouée et dynamique et non tête baissée comme la chienne que tu es au plus profond de ton âme
Je veux à la place, te voir jouer un rôle de comédienne, celui dune magnifique Domina dans la robe que jai choisi pour cette occasion
Son entrée dans ma chambre, son regard, son charisme, le fait de me sentit ce que jétais, soumise à Lui, me fit instinctivement baisser les yeux et me mettre à genoux sur le parquet
- Hummm ! Rien que de te voir à ta place là agenouillée et les yeux baissés, jai envie de te baiser comme une chienne, une grosse salope en chaleur mais je mabstiendrai pour aujourdhui
Mais regarde, petite chienne, comme je bande dans Mon pantalon avec cette évidente bosse, approche Ma belle, je vais te donner un présent
Monsieur le Marquis sapprocha de moi et prit de ses lèvres ma bouche dans un baiser très Dominant et sensuel tout en insinuant sa main, ses doigts dans ma petite culotte
- Mais quelle chienne en chaleur ! Tu mouilles ! Cest bien ! Tu nas pas à avoir honte dêtre aussi trempée par de simples mots car quand on est ce que tu es, une véritable soumise doit réagir ainsi, toujours être excitée par les mots, les gestes, le regard du Maître
.
Je pris les doigts du Châtelain dans ma bouche et les nettoya comme si il sagissait de Sa belle verge, cétait divin et tellement excitant, il allait et venait dans ma bouche comme sil me la baisait avec sa queue que jen gémis de plaisir. Puis, sans me dire un mot de plus, il sortit de ma chambre. Je sortis à mon tour pour rejoindre les chiennes du Noble dans sa salle de bain. Le bain était coulé et elles mattendaient et commencèrent par me déshabiller et minvitèrent avec délicatesse à me plonger dans limmense baignoire en forme de coquillage pour me laver le corps délicatement, leurs mains se baladaient sur tout mon corps stimulant mes sens et lune dentre elle déposa sa divine bouche sur mon clitoris pour le lécher divinement tandis quune autre entreprit de me doigter vigoureusement ma chatte déjà très excitée avec ce que le Châtelain mavait dit. Elles avaient des doigts divins, une autre commença à membrasser langoureusement et je me mis à faire de même, un pur moment de détente, plus elles me stimulaient plus lenvie à la jouissance montait en flèche
Visiblement, elles avaient eu pour consigne de mexciter un maximum
Celle qui me branlait la chatte accéléra le mouvement pendant que celle qui soccupait de mon clito accéléra aussi et cest à ce moment-là que je fus submergée par une jouissance animale où je hurlais mon plaisir orgasmique sans pouvoir me retenir, je coulais fontaine en flots discontinus, cétait tellement bon que je sentais tout mes muscles vaginaux se contracter sous leffet des doigts de celle qui me doigtait ma chatte surchauffée, trempée. Après ce moment très intense, elles se remirent à me nettoyer soigneusement puis minvita à sortir du bain.
- Mes Chers amis, soyez toutes et tous les bienvenues chez Moi pour fêter, comme il se doit, larrivée dans notre communauté de notre monde D/s, la fille de mon ami le Comte de Bourbon. Elle a passé lâge de sa majorité et donc, peut selon nos statuts, faire partie pleinement de notre communauté. Bienvenue à notre nouvelle Domina, la Maitresse Cristal de Bourdon !
A ce moment, les portent de la salle souvrirent et je fis mon entrée. Je dus faire abstraction de mes envies et besoin forts de soumise pour obéir à Celui pour qui je souhaite tellement me soumettre et qui, pour cette soirée, me veut Domina, certainement pour ne pas contrarier mes parents, estimant quils nétaient pas encore prêts à entendre la vérité sur moi. Je mapprochais donc fière, le sourire aux lèvres et je me mis à coté de Lui et dit :
- Monsieur le Marquis, cest avec grand plaisir que je me présente devant nos amis Dominants de notre communauté D/s. Cela fait maintenant quelques temps que je participe avec grand plaisir à Vos soirées sans pourvoir y participer, cantonnée au rôle de simple spectatrice. Maintenant cela va être possible et je ne vais pas me gêner. Je Vous remercie encore une fois Monsieur le Marquis davoir permis tout cela possible.
- Que les festivités commencent, servez-vous Mes amis, mes chiennes et chiens sont là pour cela, lança le Noble sur un ton enjoué...
s-
Il sapprocha de moi et me murmura doucement à loreille :
- Tu es sublime, Ma belle chienne, mais ce soir fait-moi honneur durant toute cette soirée car elle est pour toi
Mais je ten réserve une bien plus belle, si tu es digne de devenir mienne
Alors obéit à Mes Exigences
.
Le repas fut servi par des soumises chiennes et soumis chiens et durant le repas je pris mon courage à deux mains, en choisissant un esclave mâle au hasard qui était en train de finir de servir le dernier convive de la table :
- Toi, le chien, suis-moi. Sur la croix de Saint-André et surtout le clébard, pas un bruit, je ne veux pas tentendre...
Je saisis alors un martinet au manche en PVC dur et commença à lui fouetter le dos très sèchement, cela durant une quinzaine de minutes sous les regards du Châtelain et de tous les convives qui nen perdaient pas une miette. Lesclave mâle était bien dressé car malgré la force de mes coups, il ne bronchait pas. Je regardais de temps en temps mes parents qui semblaient être très fiers de leur fille. Ils me voyaient comme ils voulaient me voir, en cette Domina quils rêvaient faire de moi, mais au fond de moi, je hurlais de simuler cette Maîtresse que je ne voulais pas être
Puis, je lui sortis le plug de lanus de lesclave mâle pour y enfoncer un crochet quun autre Dominant accrocha à lanneau au-dessus de lui. Pendu comme cela, on dirait un poisson dirent plusieurs personnes. Je me saisis alors dun sublime fouet et je me mis à lui asséner de violents coups mais toujours maitrisé pour éviter de mettre son dos à sang. Au bout dun moment je me délaissais de ce soumis-chien qui navait pas bronché malgré lintensité du fouet. Je regagnais ma place sous les applaudissements appuyés de lassemblée et plus particulièrement ceux de mes parents qui ne tarirent pas déloges à mon sujet.
La soirée battait son plein entre cravache, fouet et autres accessoires BDSM pour finir en orgie sexuelle totale des Dominants enculant, baisant tous les esclaves chiennes et chiens à leur portée, alors que dautres godant et fistant les chiennes MDE, dautres pissant dans la bouche ou éjaculant leur sperme sur les esclaves à leur disposition... De mon côté, toujours pour obéir au Maitre, je continuais à simuler que jétais une Domina alors je pris une belle petite salope de chienne car javais attrapé le gode ceinture que mes parents mavaient offert pour mon anniversaire. Jalternais entre sa bouche, sa chatte et son cul voulant à tout prix, la faire jouir en me disant quau moins si je navais pas lâme dune Maîtresse, je pourrai au moins donner du plaisir à cette petite femelle en chaleur
Jattrapais donc un stimulateur clitoridien et lui lappliqua et je la sentais au bord de lexplosion orgasmique quand dun coup, elle craqua et jouit dans un cri bestial, tellement animal, telle une vraie chienne. Le Noble sapprocha de nous et la chienne se mit instantanément prosternée à Ses pieds.
- Tai-je autorisé à jouir, chienne ?, dit le Châtelain sur un ton réprobateur
- Non Maitre. Je Vous prie, Maitre Vénéré, de pardonner mon comportement et de me sanctionner pour avoir joui dans Votre accord.
- Je pense que ce nest pas à Moi que tu dois des excuses, salope de chienne, mais à celle qui daigne soccuper de toi.
- Mademoiselle de
heu
Maîtresse de Bourdon, veuillez pardonner mon comportement pour avoir joui alors que vous ne my avez pas autorisée et de bien vouloir me sanctionner, dit la soumise chienne honteuse.
Au moment où jallais répondre, japerçus mes parents qui observaient en silence toute la scène et qui tendaient loreille pour écouter ce que jallais répondre à cette soumise fautive. A leur visage, je compris quils attendaient de moi que je sanctionne sévèrement la pauvre petite femelle que javais fait jouir. Alors il me fallut simuler une sévérité que je répugnais, mais je me devais encore et encore dobéir au Noble et donc je pris une grosse bouffée dair pour annoncer la sanction sous le regard attentif du Châtelain et de mes parents :
- Tu as entièrement raison. Tu vas être sanctionnée et je suis sûre que Monsieur le Marquis, le Maître qui te soumet, te sanctionnera aussi car tu as osé désobéir. Comme sanction tant que je serais dans le Château, tu seras exhibée et attachée durant tout mon séjour sur cette croix Saint-André à te faire baiser ou fouetter par qui voudra te posséder et tu ny seras détachée uniquement pour boire, manger et faire tes besoins mais aussi pour venir aux pieds de mon lit pour subir la suite de ta punition quand je daignerai te faire appeler à Mes pieds
Maintenant va rejoindre, Marie aux cuisines et explique-lui ta faute et quelle te sanctionne aussi. Hors de ma vue, la chienne.
- Eh bien Cristal, tu es une très prometteuse comme Domina, je suis fier de tavoir dans nos rangs, dit le Noble tout en regardant mes parents qui exprimaient encore une fois une grande fierté à mon égard.
Le restant de la nuit fut tout aussi orgiaque et cela dura jusquau petit matin. Une fois les invités partis, on se retrouva dans le bureau de Monsieur le Marquis pour papoter de la soirée, le Noble, mes parents et moi-même :
- Ma fille, je suis très fier de toi, tu as fait honneur à toute notre famille des Bourdon qui est composée de Dominants depuis plus de 50 ans
Le fait davoir simulé, toute la nuit, ce personnage de Domina qui ne me convenait pas du tout, le fait davoir obéi au Châtelain et que maintenant lorgie était terminée, je décompressai totalement et la fatigue aidant, je navais plus quune seule envie, celle de vider mon sac, sans équivoque, en me répétant mille fois dans les couloirs qui nous menèrent jusquau bureau du Maitre : Au diable les conséquences, je nen peux plus, je dois tout leur dire. Alors jestimais que le moment était venu et je marmais de courage, serrant les poings pour leur annoncer sur un ton décidé :
- Papa, maman, je ne peux plus jouer la comédie. Jai essayé de me mettre à la place dune Domina toute cette nuit, vous mavez vu fouetter, à la manuvre au gode-ceinture, punir cette malheureuse petite femelle que jai fait volontairement jouir, mais ce rôle de Maitresse, ce nest pas ma place. Je ne suis pas Domina. Certes jai pris plaisir mais pas à ce que jai fait, jai pris plaisir à mimaginer subir et pas faire subir. Je ne peux pas continuer comme cela car je me mens à moi-même, en vous mentant. Je suis profondément soumise, pas Domina, je le sais. Et jen suis malheureuse au plus haut point
Un grand silence tomba net, je vis mes parents muets de stupeur, aux yeux effarés, ils étaient sidérés par mes propos
Monsieur le Marquis ne disait rien et observait attentivement la suite des évènements. Mon père après ce temps de silence de stupéfaction, semporta dans une colère phénoménale, il partit dans un discours hurlant disant que jétais la honte de la famille, que mon grand-père devait se retourner dans sa tombe et patati et patata, pour finir par ces mots :
-
tu nous fais honte, oui honte, Cristal, terriblement honte à moi et à ta mère
(puis se tournant vers le Maitre, il baissa un peu le ton pour lui dire) Edouard, je suis désolé mais nous partons que nos valises soit prêtes dans une heure, sil te plait, nous ne pouvons pas rester plus longtemps, nous somme déshonorés....
A ses mots choquant pour moi, je tournais le dos de tristesse, à mes parents, de me sentir pas du tout comprise et je quittais la pièce en courant comme une ado qui retournerai dans sa chambre pour pleurer sur son lit, ce que je fis dailleurs
. Au bout dune heure, je vis par la fenêtre de ma chambre, la voiture de mes parents garée devant le perron, ma mère et mon père étaient là ainsi que Monsieur le Marquis. Je quittai ma chambre, descendis à toute allure à lextérieur pour les rejoindre et quand je mapprochais du coffre du véhicule, je ne vis pas mes bagages
- Mais ? Mais où sont mes bagages, papa ?
- Encore au Château, on a bien discuté avec ta mère, tu nes plus la bienvenue chez nous...
- Mais papa
je
- Il ny a pas de mais, coupa-t-il, tu es assez grande pour vouloir prendre tes décisions et mettre à mal notre famille alors débrouille-toi toute seule... Tu nous fais honte
Et pour ton entreprise, tu peux y faire une croix dessus, je naccepterai jamais de léguer une telle entreprise à une folle pareille. Adieu, tu nes plus notre fille, dit-il en me tournant le dos, tout aussi furieux quune heure auparavant.
Sur ces mots, sans membrasser, très en colère, furieux, quils montèrent tous les deux dans la voiture. Celle-ci démarra en trombe faisant crisser les pneus sur les graviers pour quitter les lieux le plus rapidement possible. Je meffondrais alors en larmes dans les seuls bras pouvant me consoler, ma tête allant se blottir au creux de Sa poitrine, celle de Monsieur le Marquis dEvans qui menlaçait avec douceur et tendresse. Il tapotait et caressait mes cheveux afin de massurer de son soutien dans cette consolante accolade
(A suivre
)
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