Fureur Noire Des Cocus
Par chance le trajet retour est court. Jai à peine le temps dexposer mon plan daction à Rana, ma passagère en furie. Elle ma promis de suivre mes indications pour le bon déroulement de notre intervention, mais agit comme si elle navait pas entendu mon manque dintérêt pour des accouplements sans amour. Sa main sest égarée sur ma braguette pendant que je conduisais ma voiture. Jarrive à destination en érection. Elle est fière de mavoir fait bander ! Dire quEloïse mattend chez elle depuis une semaine. Rana ne perd pas espoir de me séduire pour punir son mari. Patricia, comme prévu, me donnera sa réponse ce soir. Elle se sera attachée définitivement à celui qui la bourrée durant toute la matinée et menverra sur les roses, refusera clairement de cesser ses soins fictifs aux dames âgées. Contrairement à celui de Rana, mon espoir de conserver linfidèle est dans les chaussettes ! Dailleurs pourquoi irais-je membarrasser de garder cette menteuse nymphomane ?
Au passage dans le jardin, jatt la fourche plantée dans le fumier. Nous entrons par la porte de la cave et passons, par le couloir de lentrée, dans mon bureau, au rez-de-chaussée. Nous en laissons la porte ouverte pour suivre, à louïe, ce qui se déroule à létage. Cest mon poste dobservation depuis la sinistre visite de Claude ce maudit recruteur et depuis le début de mon cocufiage. Là-haut, dans ma chambre, les amants sont trop absorbés par leurs activités sexuelles pour nous entendre arriver. Les râles damour se mêlent aux grincements précipités du sommier et aux halètements sauvages du mâle.
Je branche mon ordinateur et je déniche les téléchargements des exhibitions sexuelles et nocturnes de Patricia. Rana fixe le spectacle, aussi admirative que scandalisée. Sa main a délaissé mon entrejambe et sest plaquée sur sa bouche quand est apparue la preuve filmée des relations de son mari avec ma compagne. Elle a deux mains comme tout le monde. La deuxième appuie sur son bas-ventre et la peau de son visage noircit sous lafflux de sang.
Tout à coup montent dautres cris. Les « futurs mariés », Mamadou et Patricia, se disputent. Lambiance nest plus à la fête. Patricia explose :
-Va te faire foutre, abruti. Pas question de me faire enculer par toute la troupe ce soir. Tu mas promis lexclusivité. Personne dautre que toi ne me touchera désormais. Non, ni deux ni trois ni dix, toi seul ou personne ! Tiens tes promesses.
Voilà donc quelle est bien décidée à suivre le gourou qui la fascine, à poursuivre la sale besogne, elle ne menace plus, elle implore et exhorte Mamadou à tenir ses engagements. Rana tend loreille quand son mari élève la voix :
- Essaie de comprendre. Je dois dabord en discuter avec le manager, lui présenter notre projet commun de spectacle chaud en couple. Pour le persuader il me faut un peu de temps. Ce soir ce sera pour toi la dernière séance collective. Cest programmé à lavance, on ne change pas une programmation aussi facilement. Demain notre nouvelle situation sera validée et nous travaillerons uniquement en couple. Mais ce soir, à mon plus vif regret, tu dois y passer. Allez, ne me dis pas que cest fait pour te déplaire. Une tournée générale de foutre dans tous les trous te comblera de bonheur. Certains tont déjà connue, pénétrée et fait jouir dans des positions variées et tu y as trouvé ton compte de salope en chaleur. Alors en recevant des engins de plus en plus importants ton trou du cul se dilatera sans difficulté. Cest une dernière occasion den profiter. Mais jinsiste : Je veux vérifier que ton cul s-y prête, ici et maintenant. Mets-toi en position et je vais tenculer en douceur- Promis, je serai doux, délicat malgré mes dimensions exceptionnelles !
- Menculer en douceur ??? Cest déjà fait avec tes promesses mensongères.
- Quelle splendide expérience tu viens de vivre ; continuons
. Prétends que ce nétait pas bon. Tes hurlements mont dit le contraire. Quelle baiseuse tu fais ! Jadmire ton courage et ton extraordinaire endurance quand je te baise. Et puis, malgré tes qualités formidables, force est de constater que ton sexe est tout rouge et tout gonflé. Mieux vaut le laisser au repos ; et je te dois toujours ton dixième orgasme. Eh ! bien, tu vas apprendre avec moi à jouir du cul, veinarde !
-Quel salaud tu fais. Tu essaies de te satisfaire dans tous les trous gratuitement. Je veux dabord voir mon nouveau contrat. Ou bien tu dégages, jen ai marre de te servir déponge à sperme.
A nen pas douter elle croit pouvoir négocier un contrat professionnel avantageux. Sa trahison nest motivée que par son désir de gagner vite beaucoup dargent. Pour elle peu importent les moyens, les promesses de Claude lui ont fait entrevoir que la fin justifie les moyens ? Elle vit toujours dans lillusion de ramasser une fortune, fût-ce en pactisant avec ce Mamadou. Or le grand costaud poussé à bout darguments résout ses problèmes de façon invariable. Il a sa méthode que Patricia connaît déjà.
- Bon, je connais un bon moyen de te calmer, pouffiasse. Assez de cris inutiles. Ici !
Elle ne sortira pas gagnante de ce débat inégal . Pourquoi sentête-t-elle à provoquer lirascible étalon ? Après autant dorgasmes dans la matinée, neuf si je comprends bien, où trouve-t-elle encore la force de résister ? Par son discours elle a réussi à le rendre fou. Le plus fort cogne, frappe, crie pour sencourager lui-même à taper plus fo.rt. De nouveau la pluie de coups couvre les gémissements épuisés de la victime. Si elle na pas le vice chevillé au corps, la leçon portera ses fruits. Mes discours les mieux charpentés nauraient pas obtenu des résultats plus favorables pour moi. Jai boudé notre lit pendant plusieurs jours, sans résultat positif puisquelle a continué à forniquer devant les caméras puis dans notre lit avec cet individu insatiable.
Rana la prend en pitié, voudrait que nous mettions fin à la raclée. Ce nest pas le moment de se montrer. Il convient dattendre la meilleure occasion. Rana ne perd pas de temps, elle abaisse le zip de mon pantalon et voudrait se livrer à une fellation. Jempoigne sa tignasse crépue et la maintiens à distance de mon sexe. La rage de Mamadou me sauve :
- Maintenant tu me suces la queue ou je tassomme. Et alors je te ramonerai le derrière, à te faire crever de jouissance. Je vais te casser, te mettre sur les genoux, te couper les pattes, te rendre incapable de venir faire ta salope ce soir. Fini de jouer ! Et tu verras le déferlement demmerdes qui suivra ton abandon de poste. Tu las voulu, tu vas être servie. Allez, couchée sur le ventre, par terre. Hum
Par amour de toi, je taccorde une dernière faveur, je ne tenculerai pas à sec. Tu as du beurre ?... Bien
On va à la cuisine, sur le carrelage, rejouer le Dernier Tango à Paris. Ca te laissera un souvenir impérissable Tu peux me remercier. Si tu ne marches pas droit, je te ferai sentir la différence entre les deux méthodes
.- Noooooon, je ne veux pas. Au secours
.
Qui pourrait la secourir ? J e nentends plus rien. Il a dû lui mettre sa grosse patte de satyre sur la bouche pour lui imposer silence. Je cherche à deviner ce qui se passe en haut. Un cri terrifiant, comme le dernier cri du cochon quon égorge, échappe au bâillon. Fourche à la main, je gravis les marches et je me précipite à la cuisine. Trop tard, Mamadou, lamoureux, a planté son énorme dard noir entre les fesses écarlates de Patricia, écrasée sur le sol.
- Quest-ce qui se passe ici, je tai entendue appeler au secours ? Vous faites quoi ? Qui cest celui-là ; il te viole ou vous faites lamour? Tu las dans le cul ? Cest contre ta volonté ou tu as crié par vice ?
- Oh ! Mon amour, tu arrives à temps. Aide-moi à sortir de là. Il ma agressée. Le salaud mencule
ça fait mal. Il a une queue énorme. Délivre-moi. Pique-le ou tue-le, c »est tout ce quil mérite ce bandit
- Hé, cest elle qui
Jappuie sur le manche. Les explications de Mamadou ne mintéressent pas. Je lai assez entendu, je sais ce quil voudrait me révéler. Il ne salira pas Patricia devant moi, bien quelle mériterait de savoir combien il la méprise. La piqûre des pointes de fourche lui a fait comprendre que le moment nest ni aux confidences ni aux dénonciations. Derrière lui, menaçante se tient une épouse furieuse de lavoir surpris dans une posture sans équivoque. Cest une catastrophe pour le glorieux fouteur pris en flagrant délit. Je le menace :
- Veux-tu mourir du tétanos ? Ferme-la et pousse-toi, à plat ventre, à côté de ma femme si tu ne veux pas que je te transperce.
Il se retire de lanus, sallonge à côté de Patricia. Déjà Rana lui emprisonne chevilles et poignets. Pat proteste.
Mais quest-ce quelle fait, celle-là. Mon chéri, empêche-la, elle est folle. Je suis la victime, le coupable, cest ce cochon.
Je saisis un rouleau de scotch gris et je la bâillonne comme je viens de bâillonner son comparse. Je ne supporte plus leurs voix. Rana applaudit et demande :
- Et maintenant, Quest-ce quon leur fait ? Tout sest déroulé pour le mieux. As-tu prévu une suite ou veux-tu que je men charge.
Elle est avec moi, contre son homme. Son désir de vengeance fait presque peur. Sur ma proposition , tant bien que mal et plutôt assez mal, nous les traînons de la cuisine jusquà mon bureau. La descente descalier laissera des souvenirs douloureux à leurs fesses. Lun à côté de lautre, assis sur le tapis du bureau, face au moniteur de mon pc, ils attendent une suite terrible faite pour les surprendre.
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