Kristine 9 Kristine Ou Sophie ?
Sur le chemin du retour, javais une véritable envie de baiser qui me prenait aux tripes. Jimaginais les mains et les lèvres de Damien sur ma nuque dégagée. Jentendais ses mots damour et de désir. Ses mains descendaient le long de mon dos. Il soulevait ma jupe découvrait mes fesses nues, insinuait ses doigts entre mes lèvres humides pour les écarter puis son sexe énorme menvahissait. Je sentais une longue houle me balancer et me faire entrer en résonance avec ses coups de boutoir jusquà lemballement final qui serait paisible et puissant nous emportant dans un tsunami de plaisir. Nous laissant nus et épuisés sur des rivages inconnus.
La maison était fermée. Jai quand même appelé Damien, en espérant quil était là mais jétais seule. Jai composé son numéro. Il ne ma pas répondu, jai seulement eu son répondeur. Je nai pas laissé de message. Je lui ai expédié un SMS. Jenrageais, je faisais un caprice comme laurait fait ma fille. Javais la boule au ventre. javais peur de lavoir laissé séchapper. Je me suis regardée dans la glace. Je me suis trouvée ridicule. Je pleurais de rage.
Je me suis précipitée dans sa chambre. Jai eu lidée douvrir son ordinateur. Jen étais persuadée, il y en avait une autre, une plus jeune, avec qui il allait partir. Comme il ny avait pas de mot de passe jai trouvé ses mails. Je nai rien trouvé de suspect. Des trucs de boulots et aussi des mails désespérés quil envoyait à Sophie. Des réponses que jai préféré ne pas lire. Et puis je suis tombée sur les photos et vidéos privées. Il y avait des vues de Sophie. Des photos de vacances et aussi des photos plus intimes. Jétais mal à laise mais poussée par la curiosité. Je nai compris que plus tard ce que je cherchais vraiment. Pour linstant je consultais compulsivement les documents avec limpression que chaque photo que je voyais pouvait témoigner de ma curiosité malsaine, comme si je laissais des traces de doigts sur chacune delle.
Jusquoù étaient-ils allés dans leur relation? Il y avait des séries de photos dextérieur, ils étaient heureux et souriants. Jamais je navais connu de tel moments avec Damien. Je me projetais dans cette relation imagée. Moi aussi je voulais ces ballades, ces sourires cette complicité. Pour linstant, il ny avait que des moments de sexe entre lui et moi. Des moments que je volais à mon quotidien de femme mal mariée avec un boulot à responsabilités. Je mesurais à quel point notre relation était incomplète et que je ne pouvais pas rivaliser avec ma propre fille. Les choses à caractère sexuel je ne les ai pas regardées. Jai seulement entrevu des photos dextérieur où on voyait la main de Sophie branler son sexe bandé. Et puis aussi une photo de la poitrine de ma fille avec des gouttes de sperme chaud de son amant, de son ex-amant devrais-je dire. Je nai pas voulu en regarder plus.
Je me suis retirée dans ma chambre. Les volets étaient mi-clos et on voyait les raies de lumière de la fin de journée à travers les volets. Je faisais défiler les images vues dans ma tête. Je mimaginais à la place de ma fille. Je mimaginais donner à Damien ce quelle, avec son orgueil déplacé de jeune pimbêche, navait pas pu lui donner.
Un SMS. Damien rentrerait plus tard que prévu. Il membrassait tendrement en attendant mieux. Jétais rassurée et folle de joie. Je me suis faite belle pour lattendre. Jai insisté sur le maquillage. Jaurais voulu porter des dessous sexy, mais jétais quasiment dépourvue dans ce domaine. Un oubli à réparer de toute urgence. Je me suis aussi pluggée lanus pour écarter mes chairs pour laccueillir par là. Je voulais que ma partie étroite devienne ouverte à son membre comme mon sexe pouvait lêtre. Je voulais être une putain quon encule à sa guise. Pourtant lintromission de lobjet ne sest pas faite sans mal et ce malgré le renfort du lubrifiant. Et une fois à lintérieur je nai pu le garder que quelques minutes avant que mon corps lexpulse me laissant encore une fois honteuse.
Quelles étranges impulsions me faisaient-elles me comporter comme une femme soumise à la recherche du plaisir dans lhumiliation? Doù venaient ces bouffées que ne pouvait pas contrôler?
Je me souviens de cette jeune fille sur un pont. Brune, le corps trop grand pour son âge et qui tenait son jeune frère par la main. Cette grande fille maladroite poussée trop vite vers dadolescence avec des seins que le reste de son corps navait pas encore assimilé. Elle était à la fois naturelle et totalement impudique à mes yeux. Cette image entrevue en voiture métait revenue plusieurs fois sans que je parvienne à en comprendre le rapport avec moi...
Il y a longtemps :
Cétait lété, mes parents avaient loué un appartement dans un station balnéaire. Nous formions une famille unie. Ma mère, mon père, mon petit frère. Jétais à lâge ou la fille que jétais devenait une femme. Souvent mon corps qui se modifiait provoquait un trouble que je ne savais expliquer. Je regardais parfois mon corps nu dans la glace relevant mon tee-shirt ou baissant ma culotte pour regarder le duvet brun qui ornait mon bas ventre. En dehors de ces moments de trouble, jétais encore une petite fille avec ses poupées ses jeux et qui jouait son rôle de seconde mère avec mon jeune frère.
Bruno était un jeune garçon qui habitait dans le même immeuble. Lui aussi était en vacances, nos parents avaient sympathisé autour dun apéritif. Je lavais dédaigné, ne desserrant pas les dents de la soirée et restant dans les jupes de ma mère comme une fille sage. Quand je le croisais dans lescalier je me sentais bizarrement gênée. Je le voyais avec une bande copains jouer au ballon sur la plage. Moi je restais assise sagement avec mon livre enviant en secret les filles plus qui elles aussi jouaient avec eux et qui étaient plus délurées que moi.
Un après midi alors que javais emprunté la clé à ma mère pour venir chercher mon livre, il ma surprise sur mon pallier. Il ma prise par la main, puis par la taille et ma embrassée sur la bouche, insérant sa langue à la recherche de la mienne.
-On va nous voir, il ne faut pas...
Il a tourné la poignée et on sest retrouvé dans lappartement. On a continué notre baiser fougueux. Je me serrais contre lui je lui caressais le visage, les cheveux. Ses mains avaient trouvé la peau nue de mes hanches. Jai reculé comme si javais reçu une décharge électrique. Instinctivement il a compris que je nétais pas prête. Il ma poussée sur le lit, cétait celui de mes parents. Il a ôté son tee-shirt. Jétais en envoûtée par son corps de garçon. Ma bouche me quittait pas la sienne. Ma mâchoire en devenait douloureuse. Je ne savais pas si je devais continuer ou arrêter. Il a posé ma main sur son entre-jambe. Je sentais quelque chose de dur son son short. Cétait donc cela un sexe dhomme. Je trouvais ça à la fois plus petit que mes idées mais aussi incroyablement plus dur. Il a guidé ma main dans son maillot et il ma fait toucher son membre. Je ne savais pas comment my prendre. Il ma aidée à décalotter son gland et ma montré le geste de la branlette.
-Vas-y continue maintenant. Fais moi du bien.
Mais je ne savais pas bien faire le geste. Je devais tirer trop fort en arrière. Il avait mal.
-Regarde, je vais te montrer comment faire.
Cétait la première vision de sexe que javais. Mon cur battait très fort. Jétais gênée mais aussi fascinée. Je regardais hypnotisée la main découvrir en recouvrir le bout de chair rose. Cétait écurant et obscène mais mon regard ne parvenait à se détacher.
- Aller, toi aussi, mon moi ta chatte.
Je restais figée et interdite.
-Vas-y, moi je tai bien montré la mienne. Faut quon soit à égalité.
Jai soulevé ma robe et écarté légèrement ma culotte.
-oh oui! cest bon. Je sens que ça vient.
Son sexe a craché un liquide blanc sur mes jambes avec une vigueur qui ma surprise.
-Bon faut que je file, on mattend.
Il ma laissée là, sidérée par ce que je venais de vivre. Jétais abasourdie, javais les jambes qui tremblaient. Je savais que je ne devais rien dire, mais jétais persuadée que cela se voyait sur moi. Je me suis regardée pendant longtemps dans la glace. Jai vérifié mille fois sur le dessus de lit, à côté, dessous pour être sûre quaucun détail ne me trahirait. Finalement je suis retournée à la plage parce que mon absence avait trop duré. Malgré ma culpabilité, jai réussi à donner le change à ma mère qui ne sest rendue compte de rien. Désormais, dans ma vie, du moins dans les quelques années qui ont suivi, il y aura ce formidable moteur de la transgression de linterdit couplé à la culpabilité qui me poussera à toujours aller plus loin.
Le soir, dans mon lit à côté de mon petit frère, je scrutais les yeux ouverts dans le noirs les bruits de la chambre des parents et jimaginais dans les soupirs et les grincement létreinte que je connaîtrais dici peu. Jai commencé à devenir secrète. Jobservais les aller et venues dehors espérant y voir Bruno. Je portais moins dattention à ma famille. Mon petit frère me devenait insupportable. Je nai revu, Bruno, quune seule fois avant la fin des vacances. Dans un couloir sombre qui menait à la cave on sest isolés. Cette fois là aussi, on sest embrassés et il a accompagné ma main pendant que je le branlais. Quand le jus visqueux et tiède a giclé sur mes doigts, il les a porté à ma bouche.
-Lèche.
Jai sorti une langue timide et jai goûté la substance gluante
-Tu vois que cest bon. Tu aime ça, comme une vraie femme.
Il y avait chez-moi ce sentiment de honte et de fierté.
Retour au réel
Je métais assoupie quand le bruit de la porte ma réveillée. Il était tard. Il faisait nuit.
-Damien, Damien. Cest vous?
Il me ma pas pas entendue. Alors je suis allée à sa rencontre dans la cuisine où il avait confectionné un casse-croûte. Quand il ma vue il est resté interdit. Il me détaillait de haut en bas. Javais enfilé des vêtements de ma fille. Une jupe courte et un chemisier qui me boudinait un peu.
- Je ne sais pas ce qui ma pris. Je suis confuse. Je me sens ridicule. Je ne sais pas ce qui ma pris
Javais du mal à enchaîner les mots tellement je me sentais ridicule. Il a posé un doigt en travers de mes lèvres pour mintimer le silence. Il a éteint la lumière. Nous nétions plus éclairés que par la pénombre de lescalier. Il ma serrée dans ses bras.
-Vous êtes magnifique Kristine. Vous avez fait cela pour moi. Cest un cadeau inespéré. Nessayez de vous justifier pas plus que je ne le ferai moi-même. Permettez-moi seulement de vous appeler Sophie.
Il ma embrassée tendrement sur la bouche. Je me suis cambrée pour mieux sentir son corps vigoureux et sensuel. Jessayais de reprendre les poses qui étaient celles de ma fille sur les photos en vidéos que javais regardées. Je voulais que limitation soit parfaite.
- Oh Sophie comme tu mas manqué.
Il a plaqué ses mains sur la jupe puis sous la jupe. Ses doigts ont remonté le long de mes cuisses puis plus haut vers le string que je navais pas. (Je nai pas de lingerie de ce type et même sil en reste dans le tiroir de ma fille, jamais je noserais en emprunter un. Allez savoir pourquoi.) Il a plaqué ses doigts sur ma fente puis en a introduit deux dans ma chatte. Jétais mouillée.
-Tu es bien plus large que Sophie. Mais je sais comment rétrécir ta chatte pour que tu me sentes bien te défoncer.
Il ma travaillé lentement avec ses doigts. Je me sentais gonfler de lintérieur. Je ne mouillais plus assez et ça commençait à me brûler un peu en dedans.
-Vous me faites mal.
-Tais-toi. Comme ça tu vas me sentir passer dans ta chatte de pucelle.
Il ma allongé sur le dos sur la table. Il a dégagé mes seins du chemisier. Il tapoté avec sa bite sur haut de ma chatte puis il me la enfoncé direct dans le ventre marrachant un cri de douleur. Il commencé à bouger. Il maltraitait ma matrice endolorie. Je me cambrais et creusais mon ventre pour mépargner. Son dard plongeait en moi à un profondeur que jimaginais incroyable puis ressortait me laissant vide et désemparée avant de reprendre un assaut encore plus vigoureux.
- Oh oui mon trésor prends moi comme une bête. Je te sens bien au fond de moi. Ta queue me remplit bien. Défonce moins fort.
Il s'activait de plus en plus fort que moi. Nos souffles et nos râles se mêlaient. Je le sentais vraiment fort en moins. Puis soudain c'est comme une digue qui s'est écroulée et mon ventre s'est relâché et je me suis sentie béante.
-Tu es large comme un gouffre je ne sens plus rien dans ta chatte. Je vais te la mettre par le cul.
Il est sorti des mes entrailles béantes. Il a posé son gland sur mon anneau puis il s'est introduit en moi une seule poussée. Malgré ma préparation je n'ai pu retenir un cri. Il m'a labouré sans ménagement aucun. Je faisais de mon mieux pour accueillir sa saillie.
-Tu me sens mieux dans ton cul de chienne.
-oh oui!. Oh mon amour je suis ta pute. tu me prends bien.
Je le sentais bien plus fort que dans mon sexe. Mon boyau épousait la forme son énorme queue et quand il bougeait, javais limpression que tout ce que javais à lintérieur du ventre bougeait avec lui. Je creusais mon ventre pour mieux le sentir. Je ne retenais plus mes cris de plaisir. Je me suis relevée. Ses mains se sont posées sur mes seins et il a étiré mes mamelons sans délicatesse. Il voulait me faire mal et jacceptais cette souffrance qui complétait ma soumission à ce garçon. Je voulais quil continue quil marque ma chair à jamais pour y marquer sa propriété. Pourtant il est sorti de mon cul et sest répandu sur mon dos et mes fesses. Quand je me suis retournée, jai vu que son sexe avait été souillé. Jétais morte de honte.
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