Le Riz Au Lait
Je reprends mon souffle. Ou plutôt, disons que
Jessaie de le retrouver. Lorgasme que je viens davoir et léjaculation qui en a découlé en sont la cause. Mais cétait tellement
bon. Mmmh
Oui
Mon rythme cardiaque est élevé et jarrive aisément à le sentir battre fort, mon cur. En parlant de cur
Je baisse la tête dun mouvement léger et mes yeux se posent la jeune femme qui est accroupie. Elle a les mains qui se cramponnent à mes jambes. Elle tend la bouche vers mon sexe qui se met à débander crescendo. En retour, je lui caresse les cheveux.
Bérénice a vingt ans. Nous sommes en couple depuis quelques mois. Elle habite Rennes, en Bretagne. Elle est en Licence métiers du livre et elle aimerait ouvrir sa propre librairie une fois ses études terminées. Cest une jeune femme gentille, généreuse dans la vie de tous les jours. En couple, elle donne le meilleur de son être pour rendre heureux lhomme quelle aime. Cet homme
cest moi. Elle mesure un mètre soixante et elle a un corps plutôt bien proportionné. Longs cheveux châtains et yeux chocolat
Un nez aquilin et de fines lèvres toujours parfumées à la vanille
Des gros seins aux aréoles rose foncé et des fesses généreuses
Un sexe garni de poils mais entretenu
Elle aime aussi bien Rousseau et Rina Ketty que Pino Daeni et la littérature érotique ou encore la musique celtique. Bérénice est une étudiante sérieuse. Dans lintimité, elle est
coquine.
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)
Quand je pense quà la base, nous étions censés préparer un riz au lait pour notre dessert de ce soir
Nous étions pourtant bien lancés et nous étions sérieux. Jusquau moment où
Bérénice en a décidé autrement
Bérénice et moi, nous nous sommes rencontrés sur un site Internet où lon peut publier ses textes érotiques, quils soient tirés de faits réels ou quils soient juste des fantasmes. Je my appelais «Mysterious». Elle, elle était «Parure». Je men souviens
Oui
Elle avait commenté un extrait de lune de mes histoires, Amour en musique.
Il y avait une messagerie privée. Dans un accès daudace, jai écrit à Bérénice. Le lendemain, jai reçu un message. Les premiers jours, nos échanges ont été informels et nous avons fait connaissance. Très vite, on sest aperçus quon prenait du plaisir à discuter. Néanmoins, on en voulait plus. Ça a été par mail puis par téléphone.
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)
De fil en aiguille, plus on échangeait, Bérénice et moi, et plus on sentendait bien. Plus on échangeait et plus une complicité naissait entre nous. Lâge et nos goûts différents, que ce soit en littérature, en musique, en cinéma ou dans les arts, ne changeaient rien à laffaire. Elle avait beau aimer Pino Daeni, Jean-Jacques Rousseau et Rina Ketty
Javais beau avoir un penchant pour Léonard de Vinci, Guillaume Musso et David Bowie
Elle avait beau être plus jeune
Ça ne changeait définitivement rien. On prenait du plaisir à apprendre à nous connaître et cétait le plus important. Plusieurs semaines se sont écoulées et nous commencions à être plus
intimes. On ne se lassait tout simplement pas de nous parler. Un exemple tout concret: la première fois où nous nous sommes téléphonés, cétait un dimanche et ça a duré
cinq heures!
Jai dû partir pendant lété pour travailler. Cétait dans le sud de la France. Jétais salarié dun club de football connu et janimais des visites guidées de son stade. Bérénice, elle, était restée à Rennes et elle avait trouvé un job à la Fnac et elle était préposée au rayon
littérature francophone. Pendant CETTE période, nos sentiments se sont développées. Et non seulement on commençait à sattacher lun à lautre mais
lété et la chaleur aidants, nous avons commencé à aiguiser une certaine forme de sensualité. Cétaient les débuts de notre téléphone rose.
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)
La fréquence de nos appels sest rapprochée et lon ne se passait plus lun de lautre. Cétait aussi simple que ça. Et plus on restait en contact, plus on réalisait, Bérénice et moi, que quelque chose de fort naissait entre nous. Ça a été ainsi quun soir, après le téléphone rose et nos orgasmes, jai avoué à la jeune femme que jaimais ces moments chauds que lon vivait ensemble mais que jen voulais à présent plus. Ça a été ainsi que je lui ai dit que je narrêtais plus de penser à elle et que
je voulais la rencontrer pour de vrai.
Et ce projet est devenu réalité lorsque mon contrat sest terminé au club de foot. Jai réservé une chambre dans un joli hôtel plein de charme du centre de sa ville pour le week-end. Jai voyagé en train pour retrouver Bérénice et lorsque je suis arrivé dans le hall de la gare, nous nous sommes vus
et nous nous sommes tout de suite reconnus. Javais le cur battant. Bérénice a couru vers moi et je lai réceptionnée dans mes bras. Ça a été fort en émotion. Bérénice était belle et elle sentait bon la rose et la vanille. Je lai enlacée. Je lai regardée dans les yeux. Bérénice avait les yeux
dilatés. Pétillants.
Ce week-end là, Bérénice mavait fait découvrir Rennes. Le grand parc du Thabor
Les portes mordelaises
Les berges de la Vilaine
La cathédrale Saint-Pierre
Le Roazhon Park
Le parlement de Bretagne ou encore le marché des Lices
Par la même occasion, javais pu mieux connaître Bérénice. Et ça a été très simple: je ne pouvais plus me passer de la jeune femme. Sa simplicité et sa gentillesse
Sa douceur et sa sensualité
Sa beauté et son audace
Bérénice était une jeune femme moderne.
Bérénice et moi, ça fait donc quelques mois que nous sommes ensemble. Nous sommes le 30 décembre et Bérénice est arrivée ici avant-hier. Ça a été la seconde fois que jai accueilli la jeune femme à la gare. Comme à Rennes en septembre, comme ici en octobre, ça a été un feu dartifice démotions.
Depuis avant-hier, nous rattrapons le temps perdu. Nous rattrapons le temps que nous navons pas pu passer ensemble depuis le départ de Bérénice, tout début novembre. Autant dire, amoureux comme nous le sommes lun de lautre, que nous ne nous sommes absolument pas gênés pour laisser notre amour
et notre désir sexprimer. Et nous en avons allègrement profité, déjà, pour être tout à fait honnête. Noël est passé et jai offert à la jeune femme que jaime un joli soutien-gorge push-up rouge en dentelle ainsi quun recueil de poèmes de Victor Hugo dans lequel il y a des dessins magnifiques à la pastel. Et alors que je me remets de mes émotions là et que Bérénice me regarde, les yeux particulièrement dilatés et expressifs, je me souviens
justement de ses yeux et de son sourire à ce moment-là. Rhoo
Oui. Elle était belle et elle semblait vivre le plus beau jour de sa vie. Ça ma fait un je-ne-sais-quoi de la voir ainsi, la «jolie coccinelle». Ça ma touché de la voir comme ça, heureuse. Elle a posé le soutien-gorge et le livre sur le lit de la chambre et elle sest blottie contre moi. Elle a passé ses deux mains autour de mon cou et elle a déposé ses lèvres sur les miennes. Jai posé mes mains délicatement sur le bas de son dos en retour et je lui ai rendu son baiser. Les lèvres de ma chérie étaient douces et elles sentaient bon la vanille.
Jai besoin de prendre une
«petite» douche, mon chat
Je nen ai pas pour longtemps. Sois sage, daccord?
(
)
Jétais en train de lire tranquillement un livre quand jai entendu la porte de la salle de bain souvrir. Je suis resté sans voix: la belle avait le corps tout mouillé. Elle était entièrement nue et de leau coulait le long de son corps avant de tomber au sol. Ses longs cheveux étaient emmêlés et des mèches lui tombaient sur le visage. Elle me souriait. Jétais
émoustillé. Ce nétait plus possible que je la quitte des yeux. Je me suis alors levé et je suis allé la rejoindre. Nous nous sommes embrassés.
Ché
ri
Je le mettrai, le soutien-gorge. Cest promis. Mais
Avant
Elle ma pris la main, ma guidé vers le lit et my a poussé. Je me suis retrouvé à y être allongé sur le dos. À califourchon, Bérénice a fait main basse sur moi et a commencé à soccuper de moi comme elle savait le faire. Une nouvelle fois, nous allions faire lamour. Jallais être servi
(
)
Les mains bien lavées et le Smartphone de Bérénice connecté sur le site Marmiton, nous étions prêts. Ce soir, nous allions nous régaler avec ce dessert, ça allait être sûr! Et ça allait être un nouveau moment de complicité quon allait passer ensemble. Cétait la fin daprès-midi et il commençait déjà à faire nuit? La cuisine était bien éclairée du coup et la pièce se réchauffait grâce au radiateur quon avait allumé dès le retour de notre promenade dans la vieille ville. Tous les ingrédients et ustensiles dont nous allions avoir besoin étaient disposés sur le plan de travail de la cuisine. Bérénice ma regardé dans les yeux et ma embrassé. Elle ma souri.
Bon. Trêve de plaisanterie, joli oiseau! Il serait temps que lon
commence. Jai faim, moi!
Quarante grammes de sucre
Une gousse de vanille
Vingt-cinq centilitres de lait et cinquante grammes de riz
Une passoire
Une casserole
Une balance
Une cuillère à soupe
Rincer le riz, le mettre dans une casserole et couvrir deau
Saler et porter à ébullition pendant trois à quatre minutes
Faire bouillir le lait avec le sucre et la gousse de vanille fendue en deux
Jeter le riz égoutté dans le lait, laisser bouillir et baisser le feu
Faire cuire quarante minutes à feu très doux et en remuant souvent
Retirer du feu, retirer la gousse de vanille et laisser refroidir
Selon ce que Marmiton disait pour la recette, il fallait compter quarante-cinq minutes de préparation
et quarante minutes de cuisson. Consciencieuse et sérieuse comme elle a pour habitude dêtre, Bérénice
Je pensais que la préparation du riz au lait serait respectée et appliquée à la lettre comme indiqué sur le site. Ce que jaurais dû savoir, anticiper et
me rappeler, cétait que Bérénice a un «cinquième as» et quelle est une sacrée «petite» coquine dans lintimité. Elle ma pris de court alors que jétais concentré et appliqué
Nous étions en effet en train de surveiller attentivement, consciencieusement la cuisson du riz à ce moment-là. Nous étions proches, lun de lautre. Bérénice était belle et elle sentait bon. Ja-dore être tout contre elle. Jaime sentir son corps contre le mien. Cest simple. Cest même clair, net, précis: je raffole de ça. Bérénice était dans sa robe noire et elle avait les cheveux coiffés en un chignon qui navait rien à envier à celui des femmes romaines de lAntiquité. Oh
oui. Bérénice était belle et javais envie delle. Et quand elle est allée laver les ustensiles que nous avons utilisés tout à lheure, son cul était dans ma ligne de mire, je me suis approché delle. Je me suis fait taquin en me collant presque contre son corps et ma main est allée sabattre tout doucement sur les fesses de la demoiselle. Elle a glapi et elle sest retournée brusquement. Elle était bouche bée, les yeux ronds. Faussement choquée, en fait. Elle jouait la comédie. Je le savais. Je la connais de mieux en mieux, la pupuce
Et là
Et puis, elle a souri. Elle a passé ses bras autour de mon cou. Ça a été juste après, ses lèvres sur les miennes.
Ché
ri
Je t'avais demandé d'être plus
fougueux, y'a pas longtemps. Avant-hier, quand nous sommes arrivés
Je te l'ai dit
J'ai embrassé Bérénice. Elle n'avait pas besoin de terminer la phrase. J'avais compris. Elle mourait d'envie que je la rende folle
Ça lui plaisait que je fasse preuve d'audace et de fougue. Oui, elle aimait que je sois sensuel et délicat. Mais ce dont elle avait envie, Bérénice
C'était que je me lâche et que je sois à l'écoute de mon instinct et de mes désirs. Que je sois
spontané. Elle, c'est ce qu'elle a fait
Le riz était en train de cuire dans la casserole et il y avait de plus en plus une délicieuse odeur de lait, de vanille, de sucre et de riz cuit dans la cuisine. Bérénice et moi, nous étions attentifs. Nous surveillons et remuons souvent, régulièrement la préparation. Rien naurait pu détourner mon attention. Quand soudain
Bérénice sest tournée vers moi et ma souri. Cétait son fameux sourire dun jour optimal et je ne pouvais que voir ses dents blanches. Elle était ravissante. Je lai observée attentivement. Ses yeux étaient particulièrement dilatés. Quand ils sont comme ça, je ne sais que trop bien ce que ça signifie. Elle, elle était excitée
Elle, elle avait envie de moi
Et la suite des événements ma donné raison. Bérénice a posé un doigt sur mes lèvres comme pour me demander implicitement de ne rien dire. Elle a retiré son doigt et elle a approché linstant daprès sa bouche de la mienne. Mais
Coquine comme elle est dans lintimité, Béré
Elle ne ma pas embrassé
Non. Elle a sorti la langue et elle men a donné un léger coup sur les lèvres. Les yeux de Bérénice brillaient et elle semblait être particulièrement contente de ce quelle venait de faire, de leffet que ça me faisait.
Ché
ri
Ne bouge pas
Te dérobes pas
Ya pas que du riz au lait au menu ce soir
Sur ce, elle sest mise à genoux
(
)
La jeune femme sest agenouillée lentement et pendant quelle le faisait, elle ne me quittait pas des yeux. Cest quelque chose quelle aime faire quand on fait lamour de quelque manière que ce soit. Et là, ça ne faisait pas exception. Elle était accroupie et le sourire quelle avait aux lèvres était radieux. Rhoo
Quest-ce quelle me faisait fondre, Béré
Un bruit, un soupir comme elle seule savait les pousser et ses mains se sont posées sur ma ceinture en cuir. Ses gestes étaient délicats et elle ma retiré la ceinture sensuellement. Affamée et impatiente comme elle était, Bérénice
Elle na pas du tout attendu pour faire main basse sur moi et enfoncer le clou. Ses doigts ont trouvé le bouton de mon pantalon. Ce dernier mis hors de son chemin sans chichis, Bérénice a porté son attention sur la fermeture éclair et la tirée dun coup sec, sans aucune hésitation. Affamée et impatiente, Bérénice a tiré le jean et celui-ci sest retrouvé à mes pieds.
Les yeux de ma petite amie me disaient quil ny avait aucun doute possible sur le désir que la jolie coccinelle avait pour moi à linstant-t. Je portais le boxer quelle ma offert pour Noël, quand nous nous sommes retrouvés. Sa façon de me regarder me donnait limpression dêtre un bonbon sucré et délicieux. Et quand elle a posé ses lèvres et sa langue sur la bosse qui apparaissait à travers le sous-vêtement, Bérénice ma regardé et elle a poussé un soupir de plaisir. Les choses sérieuses allaient commencer et les dés étaient sur le tapis
Bérénice passait sa langue sur mon sexe qui se montrait de plus en plus et que seul le boxer noir aux motifs de curs rouges cachait à présent. Sa langue était mouillée, juste ce qu'il fallait et ça m'excitait au plus haut point de sentir ET de voir ce qu'elle me faisait. Bérénice était une coquine de première. Ça, je le savais. Bérénice était audacieuse comme ce n'était pas permis et elle ne reculait devant rien pour me séduire encore un peu plus. Ça aussi, je le savais. En revanche, force est de constater que Bérénice m'a pris au dépourvu quand elle a baissé le boxer d'un coup et qu'il s'est retrouvé par terre. Ma queue en a jailli un peu comme un diablotin qui sort d'une petite boîte. Bérénice s'en est emparée du poing gauche.
Bonjour toi! Toujours aussi grosse
Toujours aussi dure
Hmmmm
Accroupie, Bérénice a levé la tête vers moi et elle m'a souri. Le poing enroulé sur mon érection, elle a entamé un mouvement de va et vient. Au préalable, juste avant de me prendre en main, elle s'est léchée la paume de la main. Ça avait été
sexy comme spectacle. Sa main coulissait bien et c'étaient des sensations agréables qu'elle me procurait, la pupuce. Je savais cependant qu'elle ne s'arrêterait pas là. La suite m'a donné raison
La prise en main a fait place à la mise en bouche. Sa main qui me branlait doucement mais sûrement, la jolie coccinelle bretonne a tiré une seconde fois la langue. Mais cette fois, c'était pour lécher mon sexe et le rendre humide
Pour que ce soir agréable dans sa bouche
Le bout de ses doigts caressait et titillait la peau de mes bourses. Bérénice, après quelques coups de langue sur et autour de mon gland, m'a pris goulûment dans sa bouche. Je me suis laissé aller
Agenouillé et mon sexe entre ses lèvres, Bérénice était magnifique. Je la regardais et j'étais attendri, subjugué par la passion et la folie qui avait pris possession d'elle. Oui
La voir
Voir ses va et vient sur mon pénis
Bérénice y mettait du cur. D'abord lents et amples, ils étaient plus fluides, plus rapides. Elle a même resserré ses lèvres autour de ma queue et m'a pris en gorge profonde. Je l'ai guidée en lui caressant les cheveux et en lui prenant doucement la tête. Tout en me masturbant, ma petite copine était déchaînée comme jamais et elle m'a fait perdre pied
(
)
Je reprends mon souffle. Ou plutôt, disons que
J'essaie de le retrouver. La pression et le rythme de la bouche de Bérénice sur mon membre ont été tellement intenses qu'ils ont eu raison de moi au final. Je n'ai pas pu me retenir et j'ai joui dans sa bouche en quelques jets. Et là, Béré' me regarde, fière et radieuse.
A
mour
Ça me plaît de te voir comme ça parce que je te donne du plaisir
Parce que je viens de te faire jouir
dans ma bouche. Mon amour
Aaaah
Bérénice a toujours les yeux brillants, dilatés. Elle s'est remise debout et elle m'a roulé une pelle. Sa bouche a un goût de sperme. De MON sperme. Quelle coquine
C'est un baiser au goût de sperme et ce n'est pas désagréable, tout compte fait.
Heu
Mon amour? Joli oiseau
C'est bien beau tout ça, que je te branle
que je te suce
que je te donne du plaisir
que tu éjacules sur moi
Mais
On a un dessert à terminer, là! Faut pas mélanger le boulot et le plaisir, tu sais?
Pour toute réponse, je lui ai tiré la langue. Bérénice m'a tiré la sienne en retour et je voyais qu'elle était brillante, sa calanque rose. J'avais hâte de prolonger ce repas
crémeux.
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