Puni D'Avoir Été Témoin D'Adultère ...

Lorsque je me suis approché de cette voiture garée dans une allée étroite d’un bois je ne pensais pas du tout tomber sur ma voisine… qui n’est pas seule et qui a les jambes écartées autant que le permet l’habitacle … la main d’homme fourrée entre les cuisses n’est pas celle d’Hubert, son mari … à voir les expressions changeantes de son visage les doigts travaillent habilement son vagin, d’où je suis je ne peux voir si le slip est simplement écarté ou carrément enlevé
Carole ne peux me voir car pour savourer le doigtage elle ferme les yeux, je ne peux voir le visage de l’homme non plus car il est trop occupé à téter un sein mis à l’air, belle poitrine ma foi ! je remarque aussi qu’elle ne reste pas inactive, son bras passé sur l’autre siège doit manipuler la verge de son amant qui a le pantalon descendu a mis cuisses
Je ne vais pas passer mon après-midi immobile posté sur le côté arrière de cette voiture ! ou j’avance pour mieux voir ou je me casse ! je choisi la première option, avec mille précautions, courbé en deux j’avance pas à pas, je suis arrivé au pare-brise sans encombre, le couple poursuit ses préliminaires, Il a changé de sein, heureusement le dos de l’homme masque ma présence, j’allonge le cou pour vérifier mes suppositions avec ou sans culotte ? … c’est sans ! le mince rempart de fine dentelle est accroché au levier de vitesse tel un étendard taché d’humidité, dommage, la grosse pogne m’empêche de vérifier si elle est vraiment blonde ! mais normalement les cils apportent un début de réponse ! Carole doit être une vraie blonde …quant à la verge qu’elle décalotte et recalotte nerveusement… elle aurait pu trouver mieux ! moyenne, très moyenne …Hubert serait donc moins bien monté ? ou alors ce type a un talent caché ?
Sans me vanter la bite que j’ai dans la main, qui doit être la mienne est supérieure à ce calibre, soudain l’homme se redresse, mal au dos ou envie d’attaquer le plat de résistance ?, du coup Carole ouvre les yeux …et me repère direct !
- VOUS ???? Nicolas que faites-vous là ???
Affolé l’homme s’emploie à remonter difficilement son froc, heureusement pour moi, ça me permet de détaler avant qu’il puisse me cavaler après ! c’est en courant que j’ai rentré ma queue en priant qu’elle ne se prenne pas une ronce au passage !
Je suis grillé, elle m’a formellement identifié, Nicolas c’est bien moi ! je vois Carole tous les jours pour prendre ma baguette où elle vend du pain avant d’aller ouvrir ma boutique de prêt à porter pour dame, changer de boulangerie m’obligerais à faire un kilomètre de plus à pied, autant crever l’abcès de suite, après tout ils n’avaient qu’à mieux se cacher pour tirer un coup, comme on dit : y’a des hôtels pour ça ! c’est donc d’un pas assuré mais un nœud au ventre que j’ai franchi la porte de la petite boulangerie, il y a du monde avant et après moi, impossible de lancer la moindre conversation, mais ses yeux parlent pour elle, j’y ai lu à la fois de la colère de l’anxiété et de l’interrogation… que faisiez-vous là ? qu’avez-vous vu ? allez-vous me dénoncer ? mon sourire paisible a eu l’air de la rassurer
A midi et demie au moment où j’allais fermer, Carole entre dans ma boutique
- Bonjour Nicolas …
- Bonjour Carole, ça va ?
- Disons que ça pourrait aller mieux …
- Je vois …
- Oui je sais, vous avez vu ce qu’il ne fallait pas voir
- Désolé d’avoir dérangé votre rendez-vous mais je me baladais au hasard
- Je comprends mais …
- Rassurez-vous je ne dirais rien à Hubert
- Je m’en moque, Hubert est le premier homme que j’ai connu, mais c’est un rustre qui ne connait rien aux femmes et surtout rien à mes envies, çà fait douze ans que je vis avec un éjaculateur précoce quasiment asexué
- Excusez-moi Carole mais ça ne me regarde pas
- Après ce que vous avez vu de moi je n’ai plus rien à vous cacher
- Évidement … ceci dit je vous trouve bien proportionnée, ne rougissez pas !
- Merci … je peux donc compter sur votre entière discrétion ?
- Bien sûr, toutefois j’aurais une remarque à faire ….

- LAQUELLE ?
- Je ne sais pas comment est pourvu Hubert mais celui que vous avez choisi comme amant est loin d’être un étalon !
- Je sais … j’aurais dût réfléchir avant de me jeter sur Denis, le premier mec qui m’a draguée …il existe des hommes très bien montés... vous par exemple, bonne journée Nicolas
- Heeeeuuuuu… bonne journée Carole !
Ainsi elle a vu ma queue ? cette femme a de la suite dans les idées, je revois son entrecuisses fouillé par ce minus, quel gâchis mais ainsi va la vie ! oublions cette vision érotique, tomber sur un couple en plein ébat n’est pas si fréquent, j’y pense et repense tellement en déjeunant que je fonce au magasin afin d’être tranquille pour me branler, mais une surprise m’attend lorsque j’arrive, Carole fait nerveusement les cents pas devant la porte
- Rebonjour ! vous avez oublié quelque chose Carole ?
- Entrons, pour vous remercier de votre discrétion je voudrais acheter une robe
- Alors je vous ferais un prix intéressant, quel genre voudriez-vous voir ?
- Quelque chose d’assez court et bien décolleté pour émoustiller mon futur amant
- Vous n’avez donc pas renoncé à chercher un homme plus viril ?
- Je suis plus que jamais décidée !
- Suivez-moi j’ai un modèle qui devrait vous convenir, par contre cette robe ne tolère aucun sou vêtements
- Pour ce genre de rendez-vous c’est du superflu !
- Vu votre silhouette vous devez faire du trente-huit ?
- Vous avez l’œil
- Je l’ai en noir ou en bleu électrique
- Je vais opter pour bleu c’est plus gai
- La cabine est au fond … si vous avez besoin d’un conseil appelez moi
- Merci Nicolas …
Je suis des yeux cette femme a la démarche féline qui ne prend pas la peine de tirer entièrement le rideau, si je me déplace un peu je peux assister à l’effeuillage, après avoir fermé la porte du magasin je fais semblant de ranger des pièces vestimentaires sur les présentoirs … le soutien-gorge est retiré par de lents gestes et suggestifs, une fois ôté Carole passe ses mains sous ses seins comme pour les ‘défroisser’ , les tétons sont aussi développés qu’hier par la bouche de son amant, cette femme sait pertinemment que je mate et ça l’excite, ensuite c’est la jupe qui glisse sur ses hanches entrainant le string a moitié cuisses dont elle se débarrasse définitivement sans complexes
Carole profite du miroir pour se regarder nue sous toutes les coutures, comme si elle se voyait pour la première fois, elle va même jusqu'à se plier en deux, pieds séparés, le derrière orienté vers moi … l’effet est immédiat, mon slip n’est plus assez grand … puis elle se saisit de la mini robe et perplexe la lève à hauteur de ses yeux
- Vous pouvez m’aider à l’enfiler ?
- Enfiler ? …. Aaahhhhhhoouuuuii ! la robe !
- Vous aviez compris quoi ?
- Rien-rien j’ai la tête ailleurs, vous me faites tellement d’effet !
- Je vois qu’il n’y a pas que votre tête de troublée ? !!!
- Ah, c’est aussi une tête quelque part ! ne dit-on pas que le gland est le premier cerveau de l’homme ?
- Et vous avez un gros cerveau ! ne faites pas le modeste, je l’ai vu hier !
- C’est vrai
- Ma petite chatte aurait besoin d’un peu de votre cervelle …
- Que fait-on pour la robe ?
- Ça peut attendre … approche Nicolas … la cabine d’essayage c’est mon fantasme
- Le mien aussi je ne l’ai jamais fait là-dedans, hélas il y a peu de place pour des préliminaires comme tu le mériterais …
- Nous les ferons plus tard j’ai envie d’un accouplement bestial

Pour faire vrai j’ai tiré le rideau derrière moi, Carole s’attaque aussitôt à mon pantalon tandis que mes doigts vérifient si elle mouille correctement, les poils sont parsemés de gouttelettes, les lèvres sont disjointes, j’en enfonce deux jusqu'à la dernière phalange lui arrachant un soupir d’aise
- Tu es prête pour la saillie ?
- Je ne pense qu’à ça depuis ce matin
- Pose un pied sur ce siège et guide mon pieu dans ta chatte
- Enfonce-toi d’un coup et reste au fond, laisse-moi savourer cet instant, je ne me suis jamais faite baisée par une si grosse et longue trique
D’un coup de rein savamment dosé je m’introduis entièrement dans son antre étroit étirant les moindres replis de sa gaine vaginale, ses ongles se plantent dans mes omoplates son vagin se resserre sur ma queue
- Accroche-toi à mon cou, je vais faire décoller tes pieds du sol …
- Oooooooohhhhhhh que c’est boooooonnnnnnnnnnnnn d’être ainsi enfilée !
L’angle est propice à ce genre d’exercice, je pousse lentement vers le haut, nos pubis s’écrasent, son clitoris y compris …
- Tu vas me faire jouir sans bouger …
- Nous pourrions certainement le réaliser, mais tu rêvais d’une baise virile non ?
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii …
- Alors je vais me retirer, tu vas te retourner et te pencher comme tu le faisais devant le miroir, pose tes mains là où tu avais le pied...
- C’est indécent comme position pour une femme, elle est vulnérable, ses deux trous sont à la merci de l’homme
- C’est un appel sou entendu pour une sodomie ou tu fais ta mijaurée ?
- Je n’ai jamais été prise ainsi
- Alors ça va être une première ! je vais te l’enfoncer jusqu'à l’estomac et en même temps je vais préparer ton anus avec mon pouce, dès que tu te sentiras prête je change de trou
- Noooooonnnnnn ! je ne l’ai jamais fait par-là !
- Tu veux un amant viril qui te changera des deux connards qui t’on baisée jusqu'à aujourd’hui ?
- Oui j’en ai envie !
- Alors donne-toi à fond sans arrière-pensées, je vais faire de toi une salope de première ! demain tu inviteras ton amant d’hier à se joindre à nous si tu veux
- Deux hommes rien que pour moi ? … baise moi comme tu le souhaite, je suis ta chose Nicolas, vas-y je suis prête !!!!!!!!
J’avance lentement mon bas ventre enfilant ma bite dans ce con serré bordé d’écume, ma présence chasse l’air présent dans le fourreau évoquant des sons disgracieux à faire rougir une pucelle
- C’est moi qui fais ça ?quelle honte !
- Si tu voyais comment ma pine ouvre ta chatte, ce n’est pas étonnant
- Ramone mon con mais pas mon cul, Denis s’en chargera demain quand je serais empalée à fond sur ta queue
- J’espère que tes envies se limiteront à deux hommes ?
- Qui sait ….