Collection Zone Rouge. Le Vieux Pervers (1/1)

Vieux pervers, la suite de mon aventure le démontrera, pour commencer, je me présente, Jennifer, quinze ans, écolière quand je fais la connaissance de Romain, l’amant de maman.
Maman 34 ans, blonde platinée, j’ignore si c’est naturel, car elle est très pudique et malgré que je sois une jeune fille ne m’a jamais rien montré, elle est infirmière à l’hôpital, souvent de nuit.
Romain, de deux ans, son cadet, une force de la nature, depuis qu’elle le connaît, si elle est pudique pour mes yeux, ne l’est moins pour mes oreilles, ses vagissements m'ont éveillé à ma sexualité, car si je ne l’ai jamais vu nu, j’ai vite trouvé pourquoi mes seins commençaient à pousser et que ma minette me démangeait.
L’absent du premier jour, celui qui a dépucelé maman ne sachant même pas que j’existe, je suis officiellement née de père inconnu.
Maman que j’ai toujours vue avec de nombreux hommes différents, mais avec elle, vu son caractère pour Romain presque trois ans, c’est un exploit.

Enfin, celui qui va devenir le principal personnage de mon histoire, j’oserais dire de ma vie, Lucien, retraité de je ne sais quel métier, soixante-huit ans, portant beau comme l’on dit, avec ses cheveux tout blancs et sa grosse moustache.
Je n’aime pas son nom, Lucien, je l’appelle Papy, il apprécie.

Pour finir, le lieu où tout ce petit monde réside, au bord du lac d’Annecy pour Papy et dans le vieil Annecy pour nous.
J’oubliais, Romain est simple chauffeur-livreur dans une entreprise bien connue pour ses meubles, son entrepôt est sur Épagny.

• Maman, peux-tu me donner de l’argent, je voudrais acheter la nouvelle paire de basket, tendance, toutes mes copines en ont, les miennes sont ringardes.
• De qui te moques-tu, le mois dernier, c’était déjà la nouvelle tendance pour celle que tu n’as mis une seule journée.
• C’est ma faute s’il pleut toujours dans ton pays de merde, nous aurions mieux fait de rester dans le Sud.


• Plein toi, regardes la belle vue que nous avons sur le lac grâce à Lucien qui nous loue cet appartement.

Lucien, première fois que je parle de lui pour une action positive, il est présent, réparant un robinet qui fuit dans la cuisine.
Le lendemain, je reçois un appel sur mon portable, c’est lui qui me demande de venir goûter chez lui.
Je vois déjà les pervers se lécher les babines et non, pas de situation indécente pour une adolescente, juste cette proposition.

• Jennifer, j’ai entendu l’altercation avec ta maman concernant l’achat de baskets, ne lui demande plus rien, viens me voir, combien coûtent-elles.
• 250 €.
• À tout de même, tiens-les voilà, je note la somme sur ce petit carnet, avec la date, ce sera le tient.

J’aurais été plus vieille, je me serais peut-être posé des questions, mais là, j’ai mes basket, test pour maman, va-t-elle voir que je me les suis achetés et me poser la question de comment.
Tout se passe bien, le petit carnet se rempli, exemple, je souhaite me faire percer les oreilles pour mes 16 ans, elle accepte et la période de cicatrisation passée, je mets officiellement la paire de fausses imitations de diamant qu’elle m’a offert avec Romain.

• Tes oreilles méritent mieux que du zirconium, allons en acheter une paire en vrai diamant, il va sans dire, pas un mot à ta maman, cela te ferait une bonne base dans ta vie, si je venais à disparaître.
• Ne parle pas de malheur, Papy, j’ai encore besoin de toi.

Vêtements, chaussures, coiffeur, épilation pubienne, en passant par les ongles, maman toujours amoureuse ne s’aperçoivent de rien.

J’arrive à mes dix-sept ans, un jour, il m’offre un bouquet de roses, sexuellement, je suis à la limite de chercher un copain, je sens que minette a faim.

• Jennifer, j’ai des soucis avec le fisc, ils me demandent des justificatifs pour les cadeaux que je t’ai faits, je leur ai fourni tous les tickets de caisse ou de facture, mais ils veulent des preuves que c’est bien toi qui vas profiter de ces cadeaux.

Peux-tu me signer tous ces papiers, attention, j’espère qu’à ton âge tu t’es choisi une signature.
• Oui Papy, j’en ai une, je signe ma carte de scolarité et de bus avec.

Je suis fière de signer ces nombreuses feuilles A4, il les fait défiler si vite que je me garde bien de lire ce qu’il y est marqué.
Maintenant, chaque fois qu’il me fait un cadeau, je lui signe sa feuille surtout que les cadeaux sont toujours là.

J’ai 18 ans, c’est mon anniversaire, maman et Romain me paye mon permis que j’ai du premier coup.
Papy, officiellement, m’offre une mini Austin surtout que j’ai mon Bac et que je vais aller en formation de coiffeuse, métier que je souhaite apprendre.


• Jennifer regarde tes reconnaissances de dette, il y en a pour 502 000 €, il va falloir me rembourser.
• Papy, que me dis-tu, c’était des cadeaux, de plus j’étais mineur quand tu m'as fait ces cadeaux et que tu m’as fait signer tes papiers.
• Non, quand tu as signé, il n’y avait aucune date, je les ai mises après, toutes sont d’après ta majorité.
• Comment je peux payer, je n’ai pas d’argent ?
• Une jolie fille a toujours de l’argent sur elle, croit ma vieille expérience.
Justement, tu es jeune, tu as ton petit capital entre tes jambes, je vais te faire un dernier cadeau, suis-moi.

Je comprends ce vieux pervers, quand il m’a vu, il a voulu me sauter et par ses cadeaux, il arrive à ses fins ayant été patient pour éviter de se retrouver avec des rapports avec mineur.

• Suis-moi, j’ai une dernière surprise pour toi !

Nous sortons sur le palier, il va jusqu’à la porte voisine qu’il ouvre.

• Entre, tu es chez toi, je vais te faire l’amour, nous irons chez mon notaire et cet appartement est à toi, allons dans la chambre, je veux t’avoir nue.

C’est ainsi que je perds mon pucelage, Lucien veut que je lui suce la queue avant de se mettre dans la fourche de mes jambes pour me prendre.

Je dis Lucien, car mon cerveau refuse que ce soit Papy qui me déflore, il redevient l’homme avec ses pulsions.
Chaque fois que je jouis, car il réussit cet exploit, il recommence après avoir changé de position, c’est l’amant que toute femme doit rêver d’avoir, son âge, le ratt quand il m’a rempli la chatte de son sperme, il met un certain temps à de démarrer.
Pendant cinq jours, après que j’ai fait savoir à maman que je m’installais dans un logement de mon amant, nous faisons l’amour, le troisième jour, il me sodomise, bizarre au départ, j’apprécie à la longue.

Ce matin, il va pour me quitter, il me fait la déclaration suivante.

• Tu es une vraie femme maintenant, je t’ai bien formé pour satisfaire les hommes, à 20 heures, ça va sonner à ta porte, tu auras pris un bain et tu seras en peignoir, je t’enlèverais 500 € de ta dette chaque fois que tu recevras les clients que je t’enverrai.

Quand je parlai de pervers, grand pervers, je devrais dire, il me prostitue à partir de ce soir-là.
Je reçois l’homme, que dire, Lucien ou lui, c’est du kif-kif, j’écarte les cuisses, il entre en moi, se secoue et éjacule, au suivant, car rapidement, j’ai une grande clientèle.

• Je suis content de toi, ta dette se rétréci à vitesse grand V, ce soir nouvel expérience pour toi, j’ai une amie qui voudrait connaître les plaisirs les biens, je sais que tu es inexpérimenté, mais tout s’apprend.
Huit heures, tu prépareras un petit encas, reçoit là dignement.

À l'heure prévue, je reçois une femme dans la cinquantaine qui est fort bien mise, ce que je retiens de cette soirée, c’est que cette femme semble être amoureuse des seins des autres femmes, elle passe la soirée à me les sucer, mais surtout vouloir me les arracher.
Elle me fait hurler du mal que je ressens au début jusqu’à arriver à un moment d’extase qui m’échappe au moment où j’ai eu peur qu’elle ne me les arrache.

Cela fait quatre ans que je suis la maîtresse de Papy Lucien et qu’il me prostitue, je suis couché depuis peu, car hier, j’avais une soirée avec un de mes clients les plus fidèles.

J’entends la sirène des pompiers, je vais sur le balcon, ce sont eux qui sortent un brancard.
Dans le même temps, du bruit sur le palier, je mets un peignoir et je vais voir.

• Que se passe-t-il, c’est l’appartement de mon Papy.
• Crise cardiaque, c’est sa bonne qui l’a trouvé et nous a appelé.

Je vois ressortir le brancard avec une forme sous un drap, Papy m’a quitté, rapidement, je suis convoqué chez un notaire après qu’il eût été porté en terre.
Je retrouve maman et Romain, eux, c’est normal, Romain est son fils.
Pour commencer, Romain me tend une lettre, que je dois lire avant qu’il commence.

« Jennifer, je vais te donner les clefs de plusieurs choses qui te sont arrivé dans ta vie.
Quand j’étais jeune, j’avais un ami qui s’appelait Ludo, nous avions décidé de braquer un fourgon postal le lendemain dans la banlieue de Marseille, nous avions peur, c’était le premier, nous avons décidé d’aller dans une boîte où nous savions les filles assez chaudes pour finir la nuit en leur compagnie.
C’est là que Ludo a rencontré ta mère, nuit chaude et au matin, nous les avons quittés pour aller vers notre destin, nous étant équipés, nous avons braqué le fourgon et mis dans notre coffre de nombreux sacs pleins de billets.
L’un des convoyeurs a tiré dès que nous avons démarré, Ludo a pris une balle dans le dos que j’aurais dû prendre si à ce moment, je n’avais pas tourné mon volant pour zigzaguer.
Arrivé à notre point où une voiture de rechange nous attendait, je savais que la police risquait de remonter jusqu’à moi, j’ai récupéré une barque de pêcheur, puis le corps de mon ami et j’ai été l’immergé au large de Marseille dans une toile de jute, lesté.

Quand j’ai ouvert les sacs dans notre planque, j’ai trouvé des millions de Francs à cette époque, la lecture du journal m’a donné une réponse, Johnny passait au Palais des Sport et c’était la recette que nous avions braquée.
Avant de mourir dans mes bras, il m’a fait jurer de retrouver et de m’occuper de la jeune femme qu’il avait baisé la veille, j’ai été obligé de quitter la région avec Romain mon fils que j’ai eu quelques années plus tard.
Je vous ai retrouvé ta mère et toi après bien des années, tu avais 15 ans, Romain était avec moi et il est tombé amoureux de ta mère, ce qui m’a obligé de changer mes plans.
En te voyant, j’ai reconnu les traits de mon ami et je suis tombé amoureux de toi, j’ai fait tout ce que j’ai fait à deux titres, t’avoir dans mon lit et te resti à toi la plus grande partie de l’argent que nous avions volé et que j’ai réinvesti tout au long des années.
C’est pour te garder près de moi que je t’ai fait connaître le monde qui est le tien maintenant.
Écoute ce que va dire mon notaire, je t’ai aimé autant que ton père, adieu. »

• Vous avez lu.

Il regarde une feuille certainement écrite par Papy.

• Monsieur Romain, vous touchez un million d’euros si vous épousez madame dans les six mois, sinon comme le reste tout ira à ma petite Jennifer qui a illuminé ma vie ces dernières années.

C’est la principale disposition qui me fait hériter de la plus grande part de l’argent venant de mon père et de Papy.
Maman et Romain se mari pour toucher l’argent, sans contester l’héritage.
Pour ma part, je pourrais quitter le monde de la prostitution, mais j’ai peur de tomber sur un marlou qui me piquerait mon fric.
J’ai un carnet d’adresses qui me permet d’avoir autant d'amants mâles ou femelles pour satisfaire mes envies de baise.
Parmi eux, j’en ai repéré un qui ferait un père idéal, quand je serais prête, je trafiquerais sa capote pour qu’il me fasse un sans qu’il le sache, mais avec son ADN.
Le notaire de Papy qui est devenu mon notaire et aussi l’un de mes clients, devra le retrouver et faire valoir ses droits sur sa succession afin que son fils et sa fille en plus de mon argent touche sa part.
Je vous quitte, on sonne, je vais me faire baiser et ainsi continuer ma vie sans risque de tomber sur un marlou qui me piquerait mon pognon.

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