Une Étrange Cliente
A 39 ans, la boite pour laquelle je travaillais depuis presque 10 ans, a dû fermer. Je suis resté un moment sans retrouver du travail mais naimant pas être inactif, je suis devenu livreur de pizza pour un pote de lycée qui venait de se lancer. Au début cétait très fatiguant de bosser tous les soirs mais jai pris le rythme et cest un bon complément à mon chômage.
Comme tous les soirs de match de foot on a beaucoup de boulot. Je commence mon service à 19h plein dénergie mais à 23h ce nest plus la même chose, heureusement ça sest calmé alors avec mon pote on se pose un peu. Il va éteindre les fours quand le téléphone sonne pour une marguerite, cette fois cest sur ce sera la dernière pizza pour aujourdhui.
Lavantage de bosser dans ses conditions et pour un vieux pote cest quaprès ma dernière livraison je nai pas besoin de repasser à la pizzeria, je lui donnerai largent demain.
Je sonne à la porte indiquée sur mon bon de livraison, ladresse ne mest pas inconnue. Une grande brune, cheveux mi-longs raides, des yeux noirs profonds et plutôt pas mal maquillé mouvre la porte. Sa taille mimpressionne, elle est plus grande que moi, alors je la détail de haut en bas. Elle porte un chemisier blanc très près du corps qui laisse apparaitre un soutien gorge noir, une jupe plissée écossaise et des bottes avec de hauts talons denviron 10 centimètres, je comprends enfin sa taille mais elle est quand même très grande. En tout cas je ne lai jamais rencontré.
« Bonjour, voila votre marguerite. Ca fera 8 euros 70. »
Elle rougit, puis marmonne quelque chose que je narrive pas à comprendre. Elle se retourne pour aller chercher son sac. Je mate son cul ondulé, sa démarche est étrange, elle est sur le point de tomber à deux reprises. Je lui demande
« Ca va? »
« Oui, oui. Cest la première fois que je porte ses talons! »
Ca va voix est très grave. Je commence à avoir de plus en plus de doute sur cette « femme ».
Quand elle revient vers moi avec un billet de 10 euros dans la main je remarque que sa jupe courte est relevée au niveau de lentrejambe. Ce qui me fait gonflé, ses yeux se fixent sur mon érection à travers mon pantalon. Je ne sais pas si cest de me voir excité mais elle tombe. Je me dépêche de rentrer, je claque la porte et je pose la pizza pour laider à se relever en lui tendant ma main.
Une fois debout, je sens son souffle sur mon visage. Fébrilement je lui dis:
« Décidément ces talons! Ca va? »
Elle racle sa gorge et dune voix faussement aigüe elle me dit:
« Je vais juste massoir un instant ».
Je vais lui chercher un verre deau, dans la cuisine je vois des photos dun couple. Cest sur quelle nest pas la blonde du couple mais ça doit être le mari au cheveux longs et ondulés. Je nen reviens pas à part sa voie grave et son érection il fait tout à fait illusion. Je suis bi depuis toujours mais je nai jamais couché avec un travesti.
Je reviens rapidement avec un verre et une carafe deau. Elle, ou il, boit le verre rapidement. En le reposant elle me dit avec une voix grave qui doit vraiment être la sienne:
« Ca va mieux. Si vous voulez allez y! »
Elle pose sa main sur ma cuisse et enchaine
« A moins que vous nayez rien dautre à faire »
Sans même réfléchir je pose mes deux mains sur sa jupe et je lui caresse les cuisses. Elle se penche vers moi et colle ses lèvres au miennes, notre baiser devient tellement enflammé quelle en fait tomber le verre.
On se penche tous les deux pour ramasser les morceaux et nos têtes se cognent. On se relève en rigolant et en nous frottant le front, puis nos lèvres se ressoudent. Mes mains att ses fesses, alors que nos langues dansent ensemble je fais remonter sa jupe et jai eu une bonne idée parce quelle porte un string.
Je plaque encore plus son corps contre le mien et je sens que son érection et aussi puissante que la mienne.
Alors que nos langues continuent de se tripoter, sa main se pose sur ma queue complètement raide. Elle commence à dessouder nos lèvres avec un « Huuuummmm » tout en me malaxant le paquet à travers mon jean.
Un petit moment après elle me propose daller sur le canapé. Chaque coup de ses talons sur le carrelage font sursauté ma bite. Une fois assise sa jupe est remontée au dessus de ses collants et dévoile des portes jarretelles, nos lèvres se recollent. Je remonte avec mes mains encore plus sa jupe pour dévoiler son entrejambe. Sa bite est emprisonné dans un string en dentelles noirs.
Elle déboutonne mon jean et tombe sur mon boxer blanc qui a une tache de mouille. Nos visage se séparent, elle recule et je me lève pour me déshabiller. Alors que je fais tomber mon pantalon, elle me caresse le paquet bien moulé dans mon boxer et cest elle qui libère ma bite.
Elle me fait me rassoir et à genoux devant moi, elle se jette sur mon sexe et lavale directement. Elle me suce goulument, elle sempale rapidement et remonte tout doucement en faisant tournoyer sa langue autour de ma tige et en mettant beaucoup de pression avec ses lèvres. Elle insiste sur mon frein, je ne peux mempêcher de gémir et de lui dire:
« Vas y! Continues salope! »
Ca à lair de lui plaire parce quelle sexcite encore plus sur ma queue.
Au bout dun moment je la fais monter sur le canapé à 4 pattes, elle ne lâche pas mon sexe et continue de me sucer. Jen profite pour lui caresser les cuisses et je remonte vers son entrejambe. Je lui caresse la queue à travers son string en dentelle. Elle en a une encore plus grosse que la mienne, je veux profiter de toute sa longueur alors je pivote et me glisse sous elle. Je libère son sexe de son petit string, avec mes lèvres je la décalotte et suçote son gland en lui caressant ses couilles entièrement lisse.
Je pousse sur ses fesses avec mes mains pour encore plus engloutir sa bite. Japproche mon index de son petit trou qui est déjà occupé par un rosebud. Je le retire tout doucement et je le remplace immédiatement par deux doigts, son cul aussi est complètement lisse.
Au bout de seulement quelques minutes à faire aller et venir mes doigts dans ses entrailles tout en nous sucent mutuellement en 69, elle me demande darrêter parce quelle va jouir. Elle se soulève, je pensais quelle allait continuer à me sucer mais elle me tend une capote. Le temps que je lenfile elle retire son porte jarretelle, remonte sa jupe sur sa taille son sexe est raide.
Je suis toujours assis sur le canapé, elle place ses jambes de chaque côté de mes cuisses et empoigne ma bite. Elle pose mon gland plastifié sur sa rondelle et se penche vers moi pour membrasser encore et encore.
Avec mes mains jécarte ses fesses que jempoigne bien et je commence à lempaler tout doucement sur mon pieu. Son cul est bien ouvert, je ne rencontre aucune résistance et je la fais descendre tout doucement jusquà ce que son cul soit posé sur mes cuisses.
Elle monte et descend sur ma queue de plus en plus vite, elle pousse de petit cris et me demande entre 2 gémissements:
« Tu laimes ma chatte? »
Vu que depuis le début jessaye de la considérer comme une femme malgré sa bite qui vient taper régulièrement sur mon ventre je lui réponds:
« Oh oui je laime ta chatte! »
Le rythme saccélère, je sens des gouttes couler sur mes couilles et mes cuisses alors je rajoute:
« Tu mouilles petite coquine! »
Elle plante ses faux ongles dans mon dos et accélère encore plus ses mouvements. Puis elle me plante au plus profond de ses entrailles et simmobilise. Elle membrasse et me dit:
« Jai envie que tu me prennes comme une chienne! »
Elle me fait tout doucement ressortir de son petit trou, se lève et se place sur le côté du fauteuil.
« Une chienne sa encaisse et ça ne se plaint pas! »
Elle sort un petit « pardon » et je commence à la ramoner gentiment mais pas pour longtemps car jaccélère le rythme et lui redonne une fessée. Ma main sabat régulièrement sur sa peau qui rougit. Je la lime tellement brutalement que mes couilles tapent les siennes.
Je me laisse tellement aller que je ne contrôle plus rien, ma main narrête pas de taper son cul et je ponctue le tout de « salope », « grosse chienne », « petite pute »
Je sens mon foutre remonter de mes couilles. Je décule, retire le préservatif et je me branle sur son cul. Mais elle se retourne et me fini avec sa bouche alors que ses mains me malaxent les couilles. Au bout de quelques coups de langue je sens ma queue gonfler et je lâche plusieurs jets dans sa bouche de salope quelle sempresse davaler.
Une fois quelle a entièrement nettoyé ma bite, je laide à se lever et je lui roule une pelle pour moi aussi profiter du gout de mon jus. En même jempoigne sa queue qui est toujours raide, jai à peine le temps de faire 4 ou 5 allers retours que je sens ses veines se contracter autour de mes doigts et elle éclabousse ma cuisse.
Nos lèvres se dessoudent, elle se met à genoux et lèche son sperme sur ma cuisse et ma main. Elle se relève et cette fois nous partageons son jus dans une belle pelle baveuse.
Une fois que nous avons repris nos esprits, on se rhabille. Je lui dit que jaimerai que lon se revoit, avec une voix dhomme elle me répond:
« Je suis marié alors seulement quand ma femme sabsente. »
Elle me note son numéro de portable et me le tend en rajoutant
« Elle ne rentre que dans 3 jours »
Elle na écrit que son numéro alors je lui dit:
« Je marque quoi comme prénom? »
Dabord avec une voix dhomme elle me répond
« Jonathan »
Puis avec une voix plus féminine
« Enfin Katya »
Je pose un baiser sur ses lèvres et lui dis
« Moi cest Romain. »
Je me dirige vers la porte quand elle me tend le billet de 10 euros, je le refuse et lui dit:
« Celle la est pour moi mais demain à la même heure commande une nouvelle pizza. Tu thabilles de la même façon et quand jarrive cest toi qui me baises ».
On sembrasse une dernière fois avant que je rentre chez moi.
Le lendemain à 22h55, ladresse de Katya commande une nouvelle marguerite mais cest une autre histoire que je vous raconterez peut être
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