La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1209)
chienne Vénus au Château (suite de l'épisode précédent N°1208) -
Quand le dernier coup eu été donné, il me fit mettre à genoux
- Cest bien Ma belle petite chienne, je suis extrêmement fier de toi et je sais bien que tu as compris que je tai Moi-même conduit à fauter, mais cest Ma volonté afin de tester tes capacités à labnégation absolue et lobéissance totale sans aucun esprit de rébellion ou sentiment dinjustice de ta part. Et tu as été très digne durant ta sanction et cela me rend encore plus fier de toi
Viens Ma chienne, prosterne-toi devant Le Maitre
Il est temps de te récompenser, considère cela comme un cadeau de bienvenue dans Mon Cheptel. En effet, jai décidé de te donner ton nouveau Nom. Durant toute ton éducation, tu seras dorénavant chienne Vénus, ton seul objectif sera de Me satisfaire quoi quil arrive... Jai souvent pour habitude pour Mes chiennes et chiens, de les faire dormir en Chenil ou au Cachot et de laisser le tout début de leur éducation à mon Majordome, Walter ou à Marie, ma cuisinière et donc pour toi, tu néchapperas pas à cette règle, bien évidemment
Parfois quand je le déciderai, tu dormiras dans un panier aux pieds de Mon lit et je moccuperai de ton éducation, mais tu nauras pas de traitement de faveur. Durant toute Mes soirées D/s, tu seras à Ma droite à genoux ou dans nimporte quelle position de Mon choix...
Le Noble sallongea dans Son lit et mordonna de grimper et de me coucher à Ses pieds. Il se servit alors de mon corps comme un repose-pieds
En quelques minutes, malgré le poids de ses jambes, je tombais dans un profond sommeil, la fatigue me gagnant... Ce fut la conversation entre le Maitre et Son Majordome qui me tira de mon sommeil.
- Te voila réveillée Ma chienne, viens à ta place prosternée à Mes pieds et attends
(puis sadressant à son Majordome)
Voila Ma nouvelle trouvaille, Ma nouvelle acquisition qui va intégrer Mon Cheptel, mon cher Walter.
- Ça sera Monsieur le Marquis un réel plaisir pour Marie et moi-même de nous occuper delle, dit le Majordome avec une voix perverse.
- Oui et je compte sur vous deux pour lui montrer comment on éduque, ici, les chiennes de son espèce, mon bon Walter. Va donc la conduire en cuisine auprès de Marie, quelle puisse manger à sa faim avec un supplément de vitamine et occupez-vous bien delle, si tu vois ce que je veux dire ! (puis sadressant à moi). Va, Ma chienne, tu reviendras après Me voir jen ai pas fini avec toi, me dit-il avec une caresse sur mes fesses
Je suivis donc le Majordome à quatre pattes et à un moment donnée, au détour dun couloir capitonné par une épaisse moquette, il sarrêta et me saisit par la gorge, mobligeant à relever la tête et à le fixer droit dans les yeux.
- Je vais me faire un plaisir à tutiliser pour me vider les couilles dans tous tes orifices de chienne. Mais avant cela, allons aux cuisines et nous sommes presque arrivés
suis moi en silence.
Marie saffairait en cuisine quand nos entrâmes, elle sarrêta net de travailler pour me détailler de la ta tête à la croupe, mon corps étant toujours en quadrupédie :
- Mais que vois-je Walter, pourquoi Mademoiselle de Bourbon est-elle ainsi ?
- Cest la nouvelle chienne de Monsieur le Marquis, dit le Majordome
- Eh bien dit donc, je ne laurai jamais imaginé, une bourgeoise pareille de laristocratie française ! Mais cest une bonne idée de Monsieur le Marquis ! Enfin une noble chienne racée qui va pourvoir maider dans ma cuisine. Aller, la chienne vient me montrer ton corps de salope que je puisse juger de tes capacités.
Je mapprochais timidement de la perverse cuisinière et une fois arrivée à son niveau, je me mis directement en position à genoux et baissais les yeux. Je la sentais tourner autour de moi, me jaugeant, me caressant les fesses, remontant jusquà mes épaules en passant par le creux de mes reins avec sa main baladeuse et indéniablement vicieuse.
- Tu es de bonne composition, la chienne. Ça va être un réel plaisir, pour nous, de te dresser, dit-elle. Viens la chienne me lécher mon minou assoiffé par une bonne langue de salope comme toi, tu es très excitante, la pute !
- Marie, on soccupera delle après, car pour le moment, Monsieur le Marquis veut quelle mange à sa faim avec un supplément de vitamines, intervint Walter.
- Bien, mais elle ne perd rien pour attendre !
(puis allant chercher une gamelle bien remplie)
Tiens la chienne et bien entendu, tu mangeras toujours à quatre pattes. Et dépêches-toi, je nai pas que ça à faire, il me tarde que tu me lèches, salope !
Marie me servit une espèce de pâtée qui à la vue ne me paraissait pas du tout alléchante mais au goût, cétait tout le contraire, je dirais même que cétait succulent. Alors, je me dépêchais pensant retrouver le Maitre sous le regard de Marie et Walter. Je me sentais humiliée mais aussi très excitée en même temps de devoir manger ainsi à quatre pattes et nue avec mon cul bien exposé... Alors que je terminais ma pâtée, je sentis une main sur mes fesses, puis une deuxième et les deux se dirigèrent sur mes hanches. Ces mains me maintenaient fermement quand je sentis le gland violacé de Walter venir se frotter contre mes lèvres intimes. Mon excitation suffisait largement à ce quil me pénètre comme sil entrait dans du beurre, jétais si humide que sa verge dressée me baisa aisément de suite très profondément. Le Majordome ne se préoccupait pas de préliminaires et il me besognait sans ménagement, sauvagement. Prise ainsi à quatre pattes, sous ses puissants coups de boutoirs, je relevais la tête quand il me tira une poignée de cheveux en arrière comme on tire une queue de cheval. Cest ainsi la tête relevée que je vis face à mon visage, un sexe de femme, et je compris ce que lon attendait de moi. Marie la cuisinière me présentait sa chatte à lécher, et en mempoignant la nuque, elle attira mon visage contre son sexe déjà fort trempé.
Besognée par la chatte, léchant celle de Marie, cette prise de possession de deux de mes orifices durant un long moment était divine, je me sentais chienne en chaleur, je me faisais prendre jusquau moment où en concert, les deux pervers bras droits du Noble jouissaient en même temps. Walter déchargea sa semence, après sêtre retiré, sur mes fesses par un flot saccadé de sperme souillant le haut de mon fessier, tandis que Marie lâchait sa cyprine sur mon visage en accentuant son étreinte de sa main derrière ma nuque pour plaquer encore plus intensément mon visage contre sa chatte qui jouissait amplement. De mon côté, malgré lenvie folle de jouir, je mabstiens de tout orgasme nayant eu aucune autorisation à jouir
Il me fallut ensuite nettoyer la verge de Walter pendant que Marie me fouettait les fesses à coups dune large spatule de cuisine en bois
Ils soccupèrent de moi durant plus dune heure me dressant à leurs moindres exigences comme par exemple me faire pisser sur le carrelage et lécher ma propre urine à quatre pattes après lavoir reniflé
Plus ils mhumiliaient, plus jen étais excitée !
(A suivre
)
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