Voyage Initiatique 01

[Histoire Fictive]

Hey ! Moi c’est Thomas et il y a peu de temps j’ai fait un tour du monde. J’ai toujours assumé mon homosexualité et durant mon périple j’y ai fait des rencontres plus ou moins marquantes. Certaines relèves de simples plans cul ou de baises mémorables tandis que d’autres se démarquent pour avoir changer le cours de ma vie. J’ai donc voulu faire un condensé de tout ça pour vous offrir un petit tour du monde version cul.

Pour me si, j’ai 24 ans, je suis plutôt grand, masculin et quand même bien foutu. Je suis brun, les yeux noisette et une barbe de 3 jours entretenue. Je n’ai jamais trop eu de mal à chopper et j’arrive en général à avoir un peu qui je veux. Donc si vous le voulez bien on peut commencer le voyage.


Chapitre 1 : Espagne - Aéroport de Madrid


J’ai décidé de commencer mon périple par l’Amérique du Sud car je me suis toujours senti attiré par ce continent. Mais les lignes directes sont compliquées à avoir et c’est naturellement que les escales deviennent nécessaires. J’ai pour ma part une seule escale pour aller jusqu’au Pérou et c’est Madrid en Espagne. Malheureusement cette escale dure 4h et je sais que ça allait être compliqué de m’occuper tout ce temps dans ce grand aéroport.

Ça fait déjà une heure que je suis assis sur un banc face à la porte d’embarquement et les minutes semblent être des heures. J’avais tenté de lire mais en vain… Je souhaite aussi garder de la batterie pour dans l’avion donc j’essaye d’utiliser mon téléphone le moins possible. Je m’enfonce dans mon siège pour prendre une position plus lascive et je me mets à observer les autres personnes dans l’aéroport. On y voit de tout. Des familles avec des s en bas-âge qui sont tendus car les petits pleurent, des groupes d’amis qui se relayent pour dormir paisiblement, des couples enlacés et des gens seuls. En voyant ces couples je me rappelle ma dernière relation avec Joris avec qui j’ai partagé de nombreux moments.

Malheureusement il n’était pas en accord avec mon envie de partir voyager et a rompu avec moi quelques semaines avant le départ. Ça faisait deux ans qu’on était ensemble et malgré des moments compliqués, je souris en me disant qu’un jour j’espère pouvoir le retrouver, ou du moins retrouver quelqu’un avec la même sensibilité, sensualité et gentillesse. Il avait toujours été là pour me faire rire et me réconforter mais il était aussi présent pour m’engueuler quand je faisais une connerie. Même si aujourd’hui nous avons rompu, nous sommes restés en contact car au fond nos sentiments mutuels ne sont pas tous partis. C’est donc naturellement que quelques heures auparavant j’ai reçu un message de sa part me souhaitant un bon voyage malgré le fait qu’il n’approuve pas totalement cette décision. Je repense encore un moment à notre relation avant de refaire un tour d’horizon.

Cette fois-ci, je me concentre uniquement sur les personnes seules. Voir ce qu’elles font, imaginer ce qu’elles pensent ou encore où est-ce qu’elles vont. Vont-elles voir de la famille ? Partent-elles aussi en voyage ? Ou au contraire y rentrent-elles ? Tant de questions qui disparaissent quand mon regard croise celui d’un homme assis à une dizaine de mètres. J’ai assez d’expérience et de recul pour savoir quand quelqu’un me mate et c’est exactement ce qu’est en train de faire ce gars. Je l’observe en silence avec un regard impassible pour voir s’il est à mon goût ou non. Il doit avoir environ 25 ans et son teint mat, ses cheveux noirs et son regard sombre me permettent d’affirmer qu’il est d’origine hispanique. Il a les cheveux rasés sur les côtés en dégradé et un peu plus de cheveux sur le dessus. Son visage est dur mais harmonieux. J’aime beaucoup ce type de mâchoires carrées qui offrent plus de profondeur. Il a l’air musclé à la vue de son tee-shirt serré et de son pantalon moulant ses cuisses à la perfection. Je remonte mon regard sur son visage et l’observe m’observer. Je connais assez bien ce moment où chaque parti sonde l’autre pour voir si quelque chose est envisageable.
Puis vient l’heure de réfléchir au côté organisationnel pour voir si ce quelque chose peut se produire dans de bonnes conditions. Je regarde ma montre et voit qu’il me reste encore deux heures et après un bref tour de hall je remarque le panneau des toilettes.

Je me lève et me dirige calmement vers les toilettes sans quitter le latino des yeux. Il comprend le signal et se lève à son tour. Je le sens marcher quelques mètres derrière moi et déjà mon pantalon commence à se déformer à cause de mon membre qui grossit. Durant le trajet, je réfléchis à l’attitude que je vais adopter. Je suis versatile et je n’aime pas quand on discute de savoir qui aura quel rôle. Je laisse le moment décider et je m’adapte aux intentions de l’autre. Avec l’habitude, je commence à cerner la personne avant de faire quoi que ce soit mais ce latino fait partie des gens qui peuvent autant être actif que passif. On arrive enfin dans les toilettes et le latino referme la porte principale en y laissant devant le panneau hors service qui se trouvait à côté. Ça nous permet d’avoir plus d’intimité et être presque sûr de ne pas être dérangé. En espérant qu’il n’y ait pas un mec de la maintenance qui vienne à ce moment-là.

Je suis de l’autre côté de la pièce et le latino est resté à côté de la porte. On continue de s’observer mais étant seuls, nous nous permettons de prendre plus nos aises en caressant doucement nos paquets respectifs. Il rompt le silence pour me demander mon prénom tout en s’approchant un peu plus de moi. Je fais de même en entamant une avancée vers lui. Je parle plutôt bien espagnol donc le dialogue est facile. Il s’appelle Juan et, comme je m’y attendais, est âgé de 24 ans.

Plus qu’une dizaine de centimètres séparent nos deux bouches et déjà mes mains enserrent sa taille. On s’arrête quelques secondes pour sentir nos souffles de plus en plus saccadés avant de fondre l’un sur l’autre dans un baiser des plus langoureux. Ce contact charnel débloque l’ambiance et je sens ses deux mains venir me pétrir les fesses.
Il me dirige vers les lavabos pour pouvoir prendre un appui. Les baisers sont fougueux et nos souffles sont maintenant haletants. Mes mains parcourent son corps et se retrouvent rapidement sous son tee-shirt qui finit au sol dans la minute qui suit. Juan me colle à ses pectoraux pour je l’embrasse de tout son corps avant de diriger ma bouche vers ses aisselles. Je le sens heureux et j’aime beaucoup son corps. Il sent bon et semble bien prendre soin de lui. Il pense ensuite à enlever mon tee-shirt qui me tient chaud depuis tout ce temps. Il me rend la monnaie en baisant mon corps de sa bouche avant de descendre de plus en plus bas. Il déboutonne le bouton de mon jean et retire la ceinture. Mon pantalon se retrouve aux chevilles et mon caleçon le rejoint quelques secondes plus tard. Juan semble affamé vu comme il prend ma queue en bouche directement. Elle était déjà bandée aux trois quarts et il finit de me la dresser avec sa langue qui me procure de bonnes sensations. Mes 20 centimètres sont maintenant au complet et mon instinct animal se dévoile de plus en plus. Mes mains enserrent sa tête et force le rythme pour qu’il encaisse ma queue au plus profond de sa gorge. J’alterne des coups rapides avec des coups plus lents en gorge profonde. Il prenait appui sur le rebord du lavabo pour encaisser au mieux et quand il avait un moment pour respirer il me fixait avec un regard plein de désir.

Je le relève et le place face au miroir tandis que je me retrouve derrière lui. Je m’agenouille et baisse son pantalon aux chevilles. Les lieux ne nous permettent pas de prendre non plus tout notre temps et je décide passer direct au vif du sujet. Vu la tournure de la situation, il me paraît évident que c’est à lui d’être pris par derrière et ne sachant pas s’il est clean ou pas je me contente de lui malaxer les fesses et d’y déposer quelques lèches. Je sors une capote de ma poche et me relève pour faire face à nos reflets dans le miroir. Il se regardait avec excitation avant de porter son attention sur moi.
La capote en place, je me dresse derrière lui et commence à toquer à la porte de son cul avec ma bite. Il relève une jambe pour m’offrir une meilleure amplitude et mes mains s’agrippent à ses hanches pour commencer la pénétration. Son regard transcrit sa douleur mais son excitation m’incite à continuer. Au bout de quelques minutes je suis au fond et me pose quelques secondes pour le laisser reprendre son souffle. Mes premiers allers retours ne se font pas attendre et ses gémissements prennent possession de la pièce.

Ma queue lui défonce le cul depuis bien 5 minutes et la douleur initiale à laissé place à la jouissance. Il en demande toujours plus et l’utilisation de sa langue natale m’excite encore plus. Il a vraiment un bon cul serré et je pense qu’il ne doit pas se faire prendre souvent comme ça. Face aux miroirs, on ne rate rien de notre baise et on a l’impression de voir une baise d’un point de vue extérieur et intérieur. Je me retire quelques secondes, histoire de le retourner et le prendre en face à face, lui recroquevillé sur le peu d’espace libre des lavabos. Il profite de ce moment de liberté pour venir m’embrasser à pleine bouche. Je reprends place dans son cul et accélère un peu plus mes mouvements. Cette position me permet de le masturber durant la pénétration et ses yeux transpirent de jouissance. Il finit par amplifier ses râles avant de tout lâcher son jus sur son torse musclé. Je me retire de son cul et enlève la capote. Je ne lui laisse pas le temps de respirer qu’il se retrouve à genoux sous ma queue en friction avec ma main droite. Le rythme effréné de ma main à raison de ma contenance et quelques secondes après Juan se retrouve avec plusieurs jets bien crémeux sur le visage. A bout de souffle, je ferme les yeux et me laisse aller accompagné d’une sensation bien agréable qui s’avère être la bouche de Juan sur mon pieu.

Après s’être bien nettoyé et embrassé plus tendrement, nous sortons discrètement des toilettes. Heureusement pour nous, personne n’est venu ou ne nous a vu sortir de là. Plus détendu qu’avant, on part se rasseoir à notre banc initial à la différence qu’il se place à côté de moi. Il reste encore un peu plus d’une heure d’attente et Juan me fit le plaisir de me tenir compagnie. On parle de tout et de rien et je fais plus ample connaissance avec lui. Il a l’air d’être un gars super cool et gentil. On échange nos contacts pour se revoir un jour si l’occasion se présente. J’espérais qu’il prenne le même avion que moi mais le sien part après le mien en direction de la Norvège. On se dit adieu au moment de mon embarquement avec une étreinte partagée. Je n’oublie pas de le remercier pour ce moment et dans un sourire franc, je fais demi-tour pour faire face à la porte d’embarquement qui marque le départ officiel de mon périple.

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