Marie Annick, La Copine Bourgeoise De Ma Mère

Depuis toujours ma mère s’est entourée d’un petit groupe d’amies. Elle était très proche de chacune d’elle. De mon adolescence à mon mariage j’étais très souvent entouré que de femmes et j’ai toujours adoré ça surtout qu’elles sont toutes différentes les unes des autres, tant physiquement qu’intellectuellement.

Dans mes histoires précédentes je vous ai parlé de Mireille avec qui j’ai perdu ma virginité (voir « Mon dépucelle avec une copine de ma mère » 1 et 2), Après elle j’ai couché avec 2 autres de ses amies avant de rencontrer celle qui ensuite est devenue ma femme.

Aujourd’hui je vais vous parler de Marie Annick. Avant leur mariage, ma mère et elle travaillaient pour une société de produits pharmaceutique. Ma mère a rencontrer mon père et a continué à travailler là bas alors que Marie Annick a arrêté toute activité le jour de ses fiançailles avec Edouard. Très rapidement elle a eu des jumeaux et depuis qu’ils sont partis aux Etats Unis, elle s’ennuie énormément dans leur Manoir à côté de Biarritz du coup elle nous rend régulièrement visite.

Ma mère n’aime pas trop aller là bas parce qu’elle trouve Edouard malsain. Toutes les histoires de tromperies que lui raconte depuis tant d’année sa copine ne doit pas l’aider à l’apprécier.
C’est pour ça que je suis étonné quand elle me dit que pour les vacances de la Toussaint on va partir à Biarritz. Elle ne peut prendre que 2 jours de congés donc elle ne restera que pour un long week end, mais je peux rester toutes les vacances si je le veux. Je ne prends pas de billet retour et nous aviserons sur place.

J’ai tout le confort dans la chambre d’un de leur fils, j’ai à ma disposition une télé avec canal + et un magnétoscope, il y a même un apple II C (la grande classe à l’époque). A force de tourner dans ma chambre j’ai aussi trouvé leur cachette de cassettes porno. J’ai aussi une salle de bain attenante à ma chambre mais je prétexte préférer les douches aux bains pour utiliser celle de Marie Annick.



Dès que je m’enferme dans sa salle de bain je récupère dans le panier de linges salle une de ses culottes et je passe de long moment assis sur les toilettes à me branler. Cette femme nourri une grande partie de mes fantasmes. Avec ses tailleurs toujours strictes, ses cheveux tirés en chignon et ses colliers de perles c’est la bourgeoise dans toute sa splendeur. Mais elle a passé assez de temps chez nous pour savoir qu’en fait c’est un bout en train et encore plus quand elle a bu.

La veille du départ de ma mère, à table, Edouard annonce qu’il doit partir pour une semaine en Angleterre, sa famille détient une banque privée qui vient d’ouvrir une agence à Londres. Marie Annick me supplie de rester avec elle pendant l’absence de son mari en m’assurant qu’elle va bien s’occuper de moi.
Au lieu de rester seul à la maison avec beaucoup moins de confort, j’accepte surtout que comme ça mon nez pourra encore profiter de ses effluves et peut être même que j’arriverai enfin à la voir nue.

Après avoir déposé ma mère à la gare, nous allons déjeuner au bord de mer elle passe son déjeuner a siffler une bouteille de blanc. Ensuite nous faisons les magasins, elle s’achète pas mal d’affaires et m’offre une paire de basket, un jean et 2 t-shirts. Avant de rentrer chez elle , nous nous arrêtons dans un video club et nous choisissons un film pour le soir ainsi que deux autres cassettes rien que pour moi.

On se prépare un plateau télé que l’on mange devant le film que l’on a loué, accompagné pour elle par encore quelques verres de vins blancs. Evidement c’est une comédie romantique qui la fait pleurer à chaudes larmes. Régulièrement elle se blottit contre mon épaule, ce qui me fait penser trop souvent à ses culottes et du coup je bande. Heureusement que j’ai ces moments parce que sinon je trouve le film nul bien que je sois habitué avec ma mère!
Le générique de fin se déroule, elle est toujours blotti contre moi, je n’ose pas bouger et je commence même à me demander si elle dort.
Une fois que tous les crédits sont passés elle me demande:
« Tu as déjà été amoureux? »
Je lui répond que je ne crois pas. Après un moment de silence elle ajoute:
« Tu es toujours vierge? »
Même si je suis plus à l’aise avec ma sexualité je n’ose pas trop répondre alors j’esquive en lui disant:
« C’est un interrogatoire pour ma mère? »
Elle rigole et se décolle de moi. Sous ses yeux il y a de longs traits noirs, tout son maquillage a coulé. Elle me regarde avec un sourire et me dit:
« Mais non béta, je m’intéresse à toi c’est tout! »

Je ne sais pas ce qui m’a pris mais je soulève sa tête, avec mes pouces j’essayes de lui enlever les traits noirs mais en fin de compte je l’étale encore plus. Je la regarde fixement et je pose mes lèvres contre les siennes. Elle ne me repousse pas alors je commence à faire rentrer ma langue dans sa bouche. Ses mains se posent dans mes cheveux, notre baiser devient plus fougueux et je lui caresse le dos. Nous restons un moment à nous embrasser, jai peur de décoller mes lèvres parce que je ne sais pas ce qu’il va se passer. Est ce qu’elle m’embrasse parce qu’elle en a envie, parce qu’elle est triste ou parce qu’elle a trop bu.

C’est elle qui rompt le baiser, elle se jète sur son verre qu’elle vide cul sec. Elle ne parle pas et je ne sais quoi lui dire alors je me penche vers elle. Marie Annick arrête mes lèvres et me dit:
« Attends! Tu sais en ce moment je ne vais pas bien. J’ai besoin de chaleur humaine, de bras chaleureux pendant quelques jours et c’est tout. Mais tu ne seras pas faire ça toi! »
« Pourquoi? »
« Parce que tu es trop jeune pour faire ce genre de distinction et parce que je suis bien vieille que toi, tu es même plus jeune que mes fils! »

Je laisse un moment de silence et je lui dis que la différence d’âge n’est pas un problème. Je lui raconte mon histoire avec Mireille. Bien sur je ne rentre pas dans les détails mais je lui parle des mêmes discussions que j’ai pu avoir elle.
Plus j’avance dans mon histoire plus sa main me caresse. Je ne manque pas de rajouter que maintenant quand nous voyons Mireille tout se passe bien et que personne ne s'est jamais douté de rien. Quand je finis de parler, Marie Annick reste un moment silencieuse mais garde sa main sur mon torse.

Soudainement, elle se lève et déclare:
« On reparlera de tout ça demain! Bonne nuit.»
Elle se penche, dépose un baiser sur ma joue et file dans sa chambre comme une . Une fois que je suis dans la mienne j’allume la télé pour essayer de penser à autre chose. Malgré les images sur l’écran je ne vois rien d’autres que notre long tango de langues et son corps que je n’arrête pas d’imaginer nu. J’ai très envie de sortir une des cassettes porno de ses fils mais je n’ai rien pour m’essuyer et je ne veux qu’elle découvre sur mes draps une grosse tache de sperme. Je finis enfin par m’endormir.

Dans la nuit je suis réveillé par ma porte qui grince. Je suis trop fatigué pour me lever la fermer alors je me tourne pour replonger dans les bras de Morphée. Mes yeux sont fermés mais je sens un poids sur mon lit puis une masse s’allonger à côté de moi. Je me retourne à moitié endormi, mon bras se colle contre une belle paire de sein, machinalement j’embrasse le premier morceau de peau qui se présente à mes lèvres et je referme les yeux.

Mais avant de m’endormir à nouveau, je réalise que je suis à Biarritz et qu’il n’y a aucune raison que je ne sois pas seul dans mon lit et en plus je suis à poil. Je me rappelle le bisous avec Marie Annick, c’est bien elle allongée à mes côtés. Je monte sur elle, elle porte une nuisette, et je l’embrasse à nouveau pendant un moment. Mes mains se baladent dans ses cheveux, son cou, les côtés de son ventre puis ses hanches. Je recolle ma bouche et fais suivre à mes lèvres le même parcours que mes mains. Pendant que j’embrasse ses hanches et ses cuisses, je rapproche le plus possible mon nez de son entrejambe pour profiter des ses effluves plutôt abondantes.


En même que ma bouche cajole ses jambes je passe mes mains sous son déshabillé et lui caresse la peau tout en remontant vers sa grotte secrète. Elle porte une culotte, quand mes doigts caresses ses poils à travers le tissu, elle se crispe. Je remonte l’embrasser sur la bouche et avant de retourner vers le centre de son corps je lui dis:
« Laisse moi t’aider à te détendre! »
Cette fois je passe directement ma tête sous sa nuisette et je commence à lécher le triangle de tissu qui cache cette zone tant convoitée. J’ai du mal à sentir avec ma langue ses lèvres intimes et encore plus son clito, alors je repousse le morceau de tissu pour enfin deviner son intimité malgré la lumière éteinte. Elle est très poilue, elle ne doit pas du tout s’entretenir. Malgré tout ma langue se fraie un passage et commence par lui titiller le bouton. Elle gémit immédiatement.

Avec une main je maintiens sa culotte sur le côté et de l’autre je pars explorer sa grotte que je sens bien humide malgré les poils. Je caresse du bout des doigt ses grandes lèvres alors que je pince avec mes lèvres son clito. Marie Annick écarte un peu plus les cuisses et plaque ses mains sur ma tête pour accentue la pression de ma bouche. J’en profite aussi pour introduire mon index en elle, ce qui la fait se cambrer et accen la pression de ses mains.

J’aspire son bouton qui a bien gonflé, et je le frictionne avec ma langue. J’ai maintenant 2 doigts qui vont et viennent dans son sexe trempé. Je les fais tournoyer en elle, sa peau se granule. Elle gémit de plus en plus fort, mes doigts sont compressés par ses spasmes vaginaux. Elle écrase encore plus ma tête contre elle, bien que j’ai du mal à respirer je continue de jouer avec son clito et de bouger mes doigts en elle.

La pression sur ma tête diminue, je ralentis la cadence de ma main et ma bouche progressivement. Je retire délicatement mes doigt, je pose un dernier baiser sur son sexe ce qui la fait frissonner et je viens m’allonger à côté de Marie Annick. Ma queue est tout droite et dure, je sens une main un peu humide, qui n’est pas la mienne, me branler tout doucement. Le corps de ma voisine se déplace sans lâcher sa prise qu’elle a de plus en plus serré.

Je pense qu’elle se penche sans doute pour me sucer à mon tour mais non, elle m’enjambe et vient directement s’empaler sur moi. Une fois que ses fesses sont contre mes cuisses elle lâche un grand « Aaaaaaaahhhhh! » et commence à basculer son bassin d’avant en arrière. Après plusieurs longues minutes de se mouvements elle commence à monter et descendre le long de ma queue. Une fois qu’elle est a un bon rythme elle brise le silence et me dit:
« Ca fait au moins 5 ans que je ne me suis pas fait bouffer la chatte. » En même temps qu’elle parle, elle contracte les muscles de son vagin pour me donner encore plus de plaisir.
« Tu recommenceras? »
Je la plaque contre moi, je l’embrasse à pleine bouche pendant que mes mains attnt ses fesses pour les malaxer mais surtout donner le rythme à nos ébats. Quand nos bouches se décollent je lui dis:
« Evidement! Autant que tu veux j’adore ça »
Elle se redresse, je l’att par la taille pour rythmer nos mouvements que je fais de plus en plus ample. Sa main se pose sur son entrejambe et elle caresse nos deux sexes. Je la préviens que je vais pas tarder à jouir, entre deux gémissements elle me susurre
« Attends moi! »
Elle att mes mains qu’elle pose sur ses seins, immédiatement je lui pince les tétons. Elle gémit de plus en plus fort. Je fais mon maximum mais je n’arrive plus à me retenir, je me déverse en elle en serrant encore plus fort ses tétons. Je ne sais pas si c’est l’éjaculation ou mes doigts mais elle atteint elle aussi l’orgasme.

Ses mouvements se font de plus en plus lents et petits, mes mains quittent ses seins et lui caresse son petit ventre et son dos. Marie Annick s’affale sur moi et m’embrasse alors que je suis toujours en elle. Nous nous endormons dans cette position.

Le lendemain quand je me réveille, je suis seul dans mon lit. Même si j’ai envie de rester nu, partir à sa recherche et lui sauté dessus j’enfile quand même un caleçon et un t-shirt. En sortant de ma chambre je suis l’origine du bruit que j’entends, Marie Annick est dans la cuisine, elle porte un peignoir en soie très coloré, ses cheveux sont lâchés, elle me rappelle Mireille. Dès qu’elle me voit, elle vient vers moi et pose ses lèvres contre les miennes et me dit:
« J’ai donné quelques jours de congé à la femme de ménage pour qu’on soit tranquille »
Elle m’embrasse à nouveau et retourne préparer le petit déjeuner en ajoutant
« Ce soir on dormira dans mon lit on sera plus confortable! »

Décidément j’aime de plus en plus les copines de ma mère!

Si ça vous a plu je vous raconterai comment Marie Annick m’a initié à la sodomie.

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