Collection Histoire Courte. Baby-Sitter Fouineuse (2/4)

Je pensais arrêter cette histoire après la diffusion sur H.D.S du chapitre 1/1, à la demande d’une lectrice, je vais écrire une suite, un petit résumé et c’est parti, j’espère que je chapitre 2 et certainement 3, voire 4 plaira autant à mes lecteurs que le n°1…

• Sylvie, tu es prête, j’aime beaucoup ta minijupe, Pierre aussi, depuis notre fin de nuit la semaine dernière, il n’arrête pas de me parler de toi, je suis venue te chercher, il est rentré tard, il est temps que tu rejoignes notre étude pour soulager notre travail.
Il te dira que c’est lui qui est le meilleur avocat de nous deux, il oublie que c’est souvent moi qui lui prépare ses dossiers.
Quand tu travailleras avec lui, évite de te faire dévorer, c’est un bourreau de travail, nos ébats avec nos amis nous permettent d’avoir des moments de défoulement.

Nous roulons vers leur maison, je connais assez la route, j’ai gardé leurs s plusieurs fois alors que la salope me conduisant allait se faire enfiler sans que je ne le sache.

• Puis-je te poser une question ?
• Attends, je me gare, on a du temps, j’ai du mal à me concentrer quand on me parle et que je conduis.

Elle arrête sa voiture, une Mercedes, moi qui n’aie qu’une vieille C1 Citrôen.

• Me fais-tu le coup de la panne ?
• Ça se pourrait, j’attends ta question.

Elle se tourne vers moi, j’ai d’un coup le souvenir de sa bouche sur mon clito avant que je ne suce Pierre son mari, elle avance sa main et la passe sous ma jupe, elle atteint ma chatte rapidement, car le morceau de tissu est vraiment mini.

• Regarde, tu es comme moi, je n’ai pas de culotte, mais je t’empêche de me poser ta question !
• Tu peux me caresser, nous ne roulons pas, j’aime ta chatte épilée au laser, j’ai vu que tu étais naturellement brune sur ton CD ta nuit de noces.
• Tu aimerais que je t’offre une épilation comme la mienne, ce n’est pas donné pour une étudiante comme toi.


• On verra, j’aime ma toison et j’aime la travailler cela me détend, dit moi, quand sur le CD, ton mari te déflore, qui tenait la caméra, ce n’était pas une image fixe, comme lorsqu’une caméra est posée sur un meuble.
• Mon beau-frère Gaétan, tu es observatrice, cela te servira dans ton métier, surtout au cours des audiences, souvent, la sentence pour nos clients dépend d’un mot prononcé par la partie adverse qui est en contradiction avec ce qui a été dit précédemment.
• Ton beau-frère, ils étaient complices.
• On peut le dire, si tu avais vu la suite sur un autre CD, tu aurais compris que la caméra est posée et que les deux hommes sont avec moi, Pierre au début m’a fait croire que son frère serait là simplement pour filmer, mais rapidement, j’ai compris qu’il était échangiste.
• Tu t’es laissé faire sans ne rien dire !
• J’avais l’exemple de mes parents qui ont eu une vie d’ennui, quand Gaétan m’a présenté sa queue, moi qui comme tu l’as vue, était une oie blanche, j’ai compris qu’en suivant ses envies, j’aurais une vie à l’abri de la monotonie.
• À ce que j’ai vu, tu n’as pas été déçu.
• J’ai eu quelques moments assez extraordinaires dans ma vie, en plus de mon mariage et de ma nuit de noces, la création de notre cabinet, le voir se développer ai jouissif.
Mais le meilleur moment ça a été la naissance de Lionel et Sylvain, chaque fois que j’ai arrêté ma contraception, pour être sûr qu’ils soient bien de Pierre, aucun homme ne m’a pénétré.
Ce qui a été drôle, c’est qu’à chaque fois, je suis revenue partouzer encore plus cochonne qu’avant, souvent, c’est Pierre qui est candaulisme quand je me fais baiser, mais pendant ces dix mois, c’est moi qui le regardais baiser nos partenaires de jeux érotiques.
Pendant la conception de mes s, hormis Pierre, les seules personnes avec qui j’ai eu des rapports, ce sont des femmes, ma grossesse leur faisant envie, elle me léchait recueillant le plus de cyprine possible que mon corps fabriquait.

Je vais te faire une dernière confidence, avant que nous rejoignions mon mari puis nos amis, le lendemain du CD que tu regardais quand nous sommes rentrés, je suis allée faire retirer mon stérilet.
Pierre, ce coup si est persuadé d’avoir une fille, ce soir, je ne serais active qu’avec vous, si je suis rapidement enceinte, je te propose d’être la marraine de notre fille.
• Vous partouzez et vous baptisez vos s, la fidélité dans le couple s'est imposée par l’église.
• Tu as raison, mais j’ai des rapports avec d’autres hommes comme le premier soir avec mon beau-frère, mais seulement en présence de Pierre, de plus je t’ai dit qu’il adorait regarder.
De plus, ni Pierre ni moi ne sommes croyants, sauf au moment présent de notre vie et surtout notre plaisir, quand nous parlons de baptême donc de parrain et marraine, c’est un baptême républicain que nous faisons, ce sera encore le cas avec notre fille.

Son beau-frère, si un jour, je me marie, si j’ai un beau-frère aurais-je la force de me laisser baiser par lui, et si la bite du frère était plus efficace que la bite de celui qui serait officiellement mon régulier, ne pourrait-il pas y avoir un conflit.
Ce soir, je vais avoir une partie de la réponse à cette question si Nicolas est là, j’aime baiser avec lui, mais accepterais-je de le voir sauter, Véronique par exemple.
Nous repartons après un baiser fusionnel, il est vrai que je suis une femme et qu’en rapport de ce qu’elle m’a dit, aucun problème si sa grossesse est déjà commencée.

• Bonsoir Pierre, heureuse de vous revoir, j’espère que vous allez me faire passer une bonne soirée.
• Ce soir, soirée initiatique pour toi ainsi que pour Henri, le fils des pharmaciens, il sait depuis sa jeunesse que ses parents sont libertins, mais comme nous avons un principe d’être autant d’homme que de femmes dans nos soirées, n’étant ni marié, ni fiancé, il a dû attendre que l’on te rencontre pour pouvoir rejoindre ses parents.

• Mais, si ses parents sont là, s’il fait l’amour à sa mère, c’est de l’e.
• Tu nous prends pour des pervers, ce soir Gaétan sera là avec Louison ma belle-sœur, j’ai de fortes chances de la baiser, mais en partie à trois, ma bite peut-être en contact indirect avec celle de mon frère, seulement si nous la prenons en double pénétration.
Il m’arrive de sucer la bite d’un garçon, mais jamais la sienne, tu vois, rien de dépravé dans nos pratiques entre nous.

Nous reprenons la voiture de Véronique, car étant en attente de grossesse, pas d’alcool ce soir pour elle, elle pourra nous reconduire au matin.
Nous sommes les derniers, à nous garer dans la cour d’un manoir un peu à l’écart de notre ville, la pharmacie doit bien leur rapporter pour ce pays, l’appartement au-dessus de la pharmacie est un petit palais, nous sommes reçus par Yvette la maîtresse de maison et Louis son mari en smoking comme tous les hommes de la soirée.
Je les connais, car la pharmacie est la seule de notre ville, c’est chez eux que je vais chercher mes plaquettes pour ma contraception.

Nous entrons, je reconnais la salle où ils nous conduisent, vue dans les vidéos, un jeune homme beau comme, j’allais dire un Dieu, nous sommes chez des libertins, il serait bizarre de trouver le moindre crucifie dans toute la maison.

• Bonjour, je me présente, Henri, vous devez être Sylvie, Véronique m’avait dit que vous étiez jolie, elle était loin de la vérité, alors nous sommes les héros de cette soirée, j’espère qu’ils ont prévu un moment où tous les deux nous serons très proches.
Excuse, je veux te tutoyer, ça rapproche, je vais voir nos autres invités, car je suis encore un des habitants de cette maison des plaisirs.
Mais avant, que veux-tu boire, champagne ?

Il va me chercher une coupe, me fait un baisemain et part vers les Martins que je reconnais des CD.

• Bonsoir, je viens vers vous alors que tout devrait nous opposer, je m’appelle Wan !
• On se connaît, je n’ai pas de souvenir.

• Moi, non, mais mon mari Antoine à ce que je sache est votre amant.

La conversation avec cette jeune femme d’une trentaine d'années asiatique avec son visage caractéristique est posée, sans la moindre animosité.

• Je vous vois sereine envers moi, pourtant, j’ai fait l’amour avec votre mari.
• Si nous nous tutoyons, si tu savais par quel parcours, je suis arrivée ici en France et grâce à qui, alors, qu’Antoine soit un coureur de jupons et que je l’accepte est très naturel.
• Nous n’en sommons qu’à l’apéro, raconte-moi.
• Je suis née en Thaïlande aux portes de Bangkok dans un quartier des plus pauvres, je ne te dirais pas à quel âge, mes parents m’ont vendu pour être serveuse chez un couple ayant des moyens et surtout des commerces que tu peux comprendre.
J’ai fait croire à Nicolas en vacances dans cette ville que j’étais majeure et il m’a permis de venir en France où il m’a épousé, j’ai très vite compris que son seul plaisir c’étaient les femmes.
J’en ai pris mon parti et m’étant intégré à notre groupe libertin, malgré mon parcours, j’aime le sexe, j’aurais l’occasion de te le faire voir aux cours de la soirée.
Trinquons à l’amour libre.

Nous avons levé nos coupes, c’est à ce moment qu’Yvette s'est avancée nous invitant à passer à table.
Je me trouve entre Louis le maître de maison et Henri son fils, en face de moi, Wan, Yvette qui semble être très proche de la petite thaïlandaise, et de l’autre Gaétan frère du maître de maison.
Pendant le repas servi par deux serveurs, un homme et une femme, entre chaque plat, ils ont des caméras et nous film.
Je les vois faire un gros plan vers les cuisses de Wan, vu l’emplacement des mains de ses deux voisins, homme et femme, nul doute que les mains que je ne vois plus devant moi doivent être proches ou dans la chatte de la petite.
Je dis la petite, car avec ses yeux bridés et sa petite morphologie, la jeune femme ressemble à une poupée, j’avais la même, il n’y a pas très longtemps dans ma collection de poupées Barby quand ils ont créé la collection des filles du monde.

Je comprends pourquoi une autre caméra portée par la soubrette vient au-dessus de mon épaule, les mains de Louis, mais surtout d’Henri vient d’entreprendre le même chemin sur moi que celles sur le corps de Wan.
J’écarte mes cuisses fermement décidées d’être à la hauteur de l’honneur qui m’est fait de pouvoir pénétrer ce groupe de notables libertins de notre ville.
Mieux, je passe ma main vers la braguette d’Henri, je suis fascinée sur ce que ma main touche, un monstre de longueur et de grosseur, comment une femme peut-elle recevoir un tel morceau dans sa chatte !
Restes-t-elle estropié marchant comme les cow-boys que j’ai vus au cinéma, c’est à ce moment qu’Yvette se lève et prend la parole.

• Mes amis, dégagés la table, comme de coutume chaque fois que nous intronisons de nouveaux membres, posez tous sur les dessertes derrière vous.

Un mouvement de tous et la longue table se vide de tout ce qui l’encombre.

• Sylvie et Henri, mon fils chéri, mettez-vous nus.

Je me lève, mes cuisses couvertes de la cyprine qui a coulé et je fais tomber le peu de vêtements qui me couvrent, à mes côtés Henri en fait autant.
Louis me prend la main afin que je puisse monter sur la table en me servant de ma chaise, d’un bond Henri me rejoint, toutes les femmes émettent le même cri.

• Oh !

En découvrant les attributs du fils de nos hôtes, j’avais senti sa verge, mais que dire de ses couilles…

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