Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari - Suite- Épisode 8
Épisode 8
Isabelle en était à sa dernière nuit pour rembourser la dette de son mari. Elle en avait profité pour se venger de linfidélité de son mari. En plus elle se découvrait une sexualité de jouisseuse qui lui faisait profiter des hommes qui sétaient lâchés avec elle. Il y avait Jean-Joseph, avec son gros canon entre les jambes. Albert, naimait pas son prénom mais vénérait sa queue, véritable manche à enculer. Lautre cétait Noël et cétait le gros cochon de la bande ; spermophile, il congelait tout son sperme quil envoyait six ou sept fois par nuit.
La suite :
Lorsque Isabelle a vu le pot de vaseline elle a su tout de suite que c'était pour son arrière-train. Mais elle se demandait ce que contenait la valise de ce cochon dAlbert.
-tout le matériel est pour ta femme. Tu vas voir comment elle va en profiter, précisa Noël à l'infortuné Bertrand toujours attaché juste en face du canapé où sa femme donnait du plaisir à ses 3 compagnons de poker.
Isabelle nétait pas tout à fait d'accord. La vaseline allait sans doute servir à Albert pour la sodomiser. Elle se rappelait du 6 août et du mauvais moment quelle avait passé lorsque Albert s'en était pris à son anus. Elle se sentait beaucoup plus détendue aujourdhui
Ils avaient tous les 3 envoyé leur première purée. Ils étaient moins pressés et Isabelle se disait qu'elle commençait à penser à son propre plaisir. Noël avait ouvert la mallette mais Isabelle ne voyait pas ce quelle contenait. Dautant quAlbert venait de se planter devant elle et lui avait mis sa queue en bouche pour accélérer sa remise en forme.
-Regarde bien Bertrand comment ta femme va monter vers lorgasme avec ces outils, dit Noël en montrant un vibromasseur dune vingtaine de centimètres terminé par une boule en sorte de mousse. De lautre main il tenait deux sortes dovules.
-À votre tour de jouir Isabelle, on va vous aider un peu. Celui-là, cest pour votre clitoris et ces deux là vont vibrer dans vos deux trous.
Noël se tourna vers le mari et avec un air lubrique, Noël montra les télécommandes des deux ovules.
-Tu vois, jai pensé à tout. Il y en a un pour sa chatte et un pour son trou du cul. Mais je vais dabord vérifier si son rectum est prêt, ironisa Noël en se tournant vers Bertrand, le majeur dressée vers le plafond montrant ainsi son intention.
-Ho non ! Sil vous plaît laissez ma femme, supplia le mari qui avait compris où allait aller le doigt tendu de Noël.
-Tu vois, ce quil va me faire. Mais ça mest égal, Albert ma mis beaucoup plus gros que le doigt la dernière fois.
Toujours installée par les deux compères, jambes ouvertes, Isabelle vit le plus cochon des trois approcher la main avec le majeur levé.
-Je vérifie sil y a de la place pour luf vibrant, prévient le lascar en enfonçant le doigt bien profond dans lanus de la jeune femme. Et non c'est encombré vous n'avez pas pensé à aller au toilette Madame. Allez venez avec moi je vais m'occuper de ça. Isabelle avait rougi est était un peu désappointée. Les 2 autres hommes laidèrent à se mettre debout. Jean Joseph lui donna une petite claque sur la fesse en lâchant un Hum ! qui en disait long. Noël avait apporté la petite valise avec lui. Dans la salle de bain Noël sortit une sorte de seringue. Immédiatement Isabelle compris à quoi elle allait servir.
-vous ne mépargnez rien.
-ce n'est quand tout petit lavement juste pour nettoyer votre rectum. Jen ai prévu un autre pour plus tard.
-vous avez tout prévu. Vous allez tout me faire.
-c'est peut-être la dernière nuit alors on veut en profiter. Mais vous allez voir des orgasmes explosifs.
-Cest bien possible ; jai senti que ça chauffait quand vous aviez votre langue sur mon sexe.
La seringue contenait un demi-litre. Le regard D'Isabelle se posa sur la valise et elle constata qu'elle contenait une autre seringue le beaucoup plus grande. Pour le moment, l'homme lavait mis la femme penchée avec les 2 mains posées sur le rebord de la baignoire.
-Venez là, je vais vous laver à fond. Il ne faut pas qu'il reste un peu de matière donc les poils. Cest linconvénient davoir des poils au cul.
Isabelle pensait que cet homme était vraiment un cochon. Il était en train de prendre un malin plaisir à passer une éponge savonneuse dans sa raie. Cela finit avec le doigt dans le cul.
-C'est propre vous pouvez y aller.
Dans la pièce de vie les 2 autres types étaient en train de boire une bière. Tout de suite ils reprirent Isabelle dans la même position. Noël plaça le premier ovule dans la chatte puis il fallût un peu pousser avant II voir le 2e disparaître dans le cul de la jeune femme. Maintenant que les engins étaient introduits, Albert et Jean Joseph prirent chacun dune main Isabelle et là placèrent sur leur membre. Au même moment Noël venait d'appuyer sur le bouton des télécommandes et Isabelle sagita des hanches. Elle souffla aussi.
-c'est redoutable ça.
-Attends de voir ce qui va se passer avec celui-là, dit Noël en plaçant le vibro sur le haut de la chatte. Isabelle souffla de plus belle, la bouche en rond et le regard au plafond. Manifestement cela lui faisait beaucoup de bien. Elle serrait fort les manches qu'elle tenait. De son côté Noël qui n'en pouvait plus avait passé lengin à Albert et était monté sur le canapé pour offrir sa bite à la bouche de la femme. Bertrand, le mari, s'agitait de plus belle. Voir sa femme avec une bite dans chaque main, une dans la bouche et trois machin vibrant qui la faisait monter en plaisir lui était insupportable.
-Vos trucs vont finir par me faire jouir avant vous. Cest redoutable vos trucs, dit-elle en reprenant Noël en bouche.
C'est parole a fait mis le feu au bas-ventre de Noël. Il faut dire qu'il avait l'habitude de lâcher la purée 6 ou 7 fois lorsqu'il passait une nuit avec une femme.
-Hé, Albert, arrête de lui poser ça sur le clito, elle va jouir trop vite.
-Non, pourquoi vous lenlevez, jétais prête.
-Ce sera encore meilleur tout à lheure. Et maintenant, on va passer à la surprise dAlbert. Dabord, on enlève les amuse-gueules.
Noël sétait positionné en maître de cérémonie. Et cétait un vrai cochon. Il demanda à la jeune femme de pousser et elle sexécuta avec un « Hou, cest dur ! » mais réussissant à expulser lovule vibrant de son rectum. Lautre vibrait toujours dans sa chatte la maintenant ainsi à un très haut niveau dexcitation.
Et Noël, ce jour-là réussit à assouvir sa perversion.
-Isabelle, vous allez lâcher les bites de mes deux compères de poker et vous allez vous retourner devant votre mari en posant les mains sur le canapé.
Isabelle se dit quelle allait se prendre un membre dans la chatte ou plutôt dans de cul. Elle ne fut pas surprise lorsque deux mains lui écartèrent les lobbes fessiers. Elle sursauta quand la canule du clystère lui pénétra lanus accompagnée dune réflexion de Noël : « Un lavement pour la dame avant quelle jouisse ».
-Quest-ce-que vous faites à ma femme.
-On lui donne un bon clystère avec mon jus de couilles, lui répondit Noël, hilare. Je vais essayer de lui mettre les trois litres de sperme que jai décongelés hier. Ça fait bien 300 jutées.
-Oh non, cest pas vrai se contenta de dire Isabelle, qui constatait que ça faisait moins mal que de prendre les 23 cm dAlbert dans le fondement.
-Arrêtez, laissez ma femme vous en avez assez fait, gémissait Bertrand sur sa chaise.
-Tavais quy penser avant de perdre tant au poker. Tu vas voir comment elle jouit tout à lheure.
Toute occupée quelle était, Isabelle navait pas oublié de faire payer son mari de lavoir mise dans une telle situation.
-Alors, Bertrand, tu ne savais pas que ta femme pouvait prendre deux litres de sperme dans le cul ?
-Tu es un gros dégueulasse.
Cela amusa beaucoup Noël qui sadressa à Isabelle : « Y en a un petit peu plus ; je vous le mets « quand même ? » suivi du « FUIII
II iii « ! du liquide qui rentrait.
-Ça y est, je suis pleine.
Mais Noël ne lentendait pas de cette oreille.
-Avec ce qui me vibre dedans, je ne vais pas retenir ce lavement longtemps.
Jean-Joseph et Albert étaient super excités par ce quils vivaient. Jean-Joseph exhibait un braquemard plus raide que jamais. Il attrapa le vibro à clito et le plaça dans le haut de la chatte dIsabelle. « Ça mexcite de trop ce quils me font ces salauds. Je suis devenue une jouisseuse prête à tout », pensait la jeune femme. Pendant que Noël essayait de faire rentrer le troisième litre se sperme. Leffet fut presque immédiat. À peine la canule enlevée et après un « Jen peux plus », le trou souvrit et après un filet, tout partit et atterrit sur le mari à un mètre de là toujours attaché sur la chaise.
-Oh ! Arrêtez, maintenant vous avez tout fait, laissez-nous rentrer chez nous.
-Quest-ce-que tu peux être con mon pauvre mari. Tout ce qui est sorti de mon cul, jaurais bien aimé te lenvoyer dans la figure. Et je ne vais pas partir dici sans avoir joui à fonds. Et je peux te dire quils vont arriver à me faire orgasmer au maximum Noël est un cochon mais il sait exactement où jen suis et il va me faire languir le plus possible pour me faire exploser de jouissance et jattends ça, avait anticipé Isabelle.
-Ouais ! bravo ! beau discours senflamma Albert. Dailleurs mon pauvre Bertrand, tu vas voir à quel point ta femme a envie de jouir. Allez Isabelle, venez vous asseoir sur ma bitte. Si vous réussissez à vous la mettre dans le petit trou, Noël vous met le vibrateur sur le clito.
(à suivre)
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