Collection Histoire Courte. Baby-Sitter Fouineuse (4/4)

Je pensais arrêter cette histoire après la diffusion sur H.D.S, à la demande d’une lectrice du chapitre 1, j’ai commencé à écrire une suite, un petit résumé, c’est parti, j’ai fini le chapitre 2, maintenant le 3 enfin le 4, j’espère qu’il plaira autant à mes lecteurs et la lectrice ayant voulu une suite à ces numéros 1, 2 et 3 …

Après avoir partouzé avec Henri, garçon qui fait battre mon cœur alors que je me pensais insensible au coup de foudre et Wan petite thaïlandaise femme de Nicolas mon prof et amant qu'il semble avoir sorti d’un bordel de Bangkok, elle aussi me faisant craquer, je reçois une invitation d’Henri pour venir dîner dans le plus chic restaurant de notre ville.
Il passe me chercher dans son coupé Audi après m’avoir fait parvenir une robe longue blanche et des chaussures à ma pointure.
Je me demandais comment il avait connu ma taille et la grandeur de mes pieds, quand j’ai vu Wan, j’ai compris qu’ils étaient de connivence et que c’était elle qui lui avait communiqué ces renseignements.

• Sylvie, tu dois te demander ce que Wan fait là, j’ai vu que notre amie te plaisait et comme j’avais la même envie de l’une et de l’autre, j’ai pris rendez-vous avec son mari.
Il m’a appris que tu étais sa maîtresse, j’ai cru que ma tâche serait bien plus difficile, ce n’était pas sans la chance que j’ai, il est amoureux de Françoise, l’une de ses élèves et voulait vendre Wan.
• Vendre Wan et Françoise cette grosse dondon, c’est la plus laide de son cours.
• Il m’a dit qu’elle avait des dons cachés, il n’a jamais autant joui avec elle qu’aucune des femmes qu’il a connues.
• Wan, c’est un salopard, mais tu as dit qu’il t’a vendu !
• C’est normal, ma mère m'a vendu à un bordel de Bangkok, il m’a racheté au souteneur qui me faisait travailler, Henri en me rachetant m’attache à lui.
• Mais c’est de la soumission, une femme est libre, je suis libre.
• C’est ce que tu crois, pourquoi as-tu accepté de venir partouzer avec Véronique et Pierre, tu vas me dire que c’est à cause des CD que tu as trouvées, c’est faux, c’est pour avoir un poste dans le cabinet que tu es venue.


Tu t’es donc vendu, mais tu as bien fait, une femme a un cul et quand on est une salope comme toi ou moi, il faut savoir se vendre, Nicolas m’a vendu pour 50 000 €, mais il va faire une bonne affaire, attend, là, je vais trop vite, tu verras tout à l’heure au dessert.

Je suis intrigué, mais n’a-t-elle pas raison, il est vrai que d’apprendre que j’avais un job de bon niveau d’assuré m’ai permis d’accepter sans broncher de transformer ma chatte en un saladier pour le coulis de fraises à la crème anglaise que nous avons fabriqué avec Henri.
Nous passons à table, pressés de savoir ce que la fin du repas va m’apporter, au cours de celui-ci, nous sommes assis sur une table ronde, je sens le pied de Wan venir sur mes jambes.
Je les écarte, rapidement ce pied dont elle a enlevé sa chaussure arrive à s’introduire en moi comme les femmes l’ont fait pour me remplir de fraise.
Dans ce restaurant huppé, je me vois mal servir de repas à tous ses clients, la plupart en smoking noir ou blanc comme celui d’Henri.
Je passe une partie du repas avec ce pied en moi, jusqu’au moment où le chef avec sa toque, nous apporte un gâteau brillant de bougies multicolores crachant des étincelles.
Il le pose devant nous, sur le dessus trois bagues sont enfoncées dans la crème, deux bagues identiques, trois anneaux enlacés surmontés de trois diamants, ainsi que les trois anneaux enlacés sans les pierres précieuses.
Henri se lève, pose un genou à terre, ce qu’il dit, seul le chef et nous l’entendons.

• Mesdames, je ne peux pas vous épouser, la loi m’interdisant d’être bigame, mais souhaitez-vous de partager ma vie.

N’oublions pas que j’ai toujours un pied au plus profond de ma chatte, est-ce la surprise de la demande de vie commune en trio, mais Wan a un mouvement qui me déclenche un orgasme.

• Oh, oui.

Ces deux mots sortent si forts de ma bouche que tous les clients les entendent, voyant Henri à genoux, pense qu’il m’a demandé en mariage et que ce oh, oui est mon acceptation.

Ils applaudissent à tous rompent jusqu’au moment où Henri se relevant, nous passe une bague à chacune, nous lui mettons sa bague et tous les trois sans aucune gêne, même pudeur, nous nous embrassons.
Une fois le repas terminé, nous quittons le restaurant sous les regards désapprobateurs, principalement de certaines femmes, nous partons fièrement, Wan au bras d’Henri moi à son bras opposé.
Tous des culs tournés, elles doivent baver de connaître la situation que nous venons de décider de vivre, une queue et quelle queue et une chatte à la disposition du moment présent.

Henri nous emmène dans un hôtel de haut luxe pour seller notre pacte de vivre une vie à trois.
Dès que nous entrons dans la chambre, notre homme se dirige vers la salle d’eau, la baignoire est aussi grande qu’un porte-avions avec eau bouillonnante, nous le suivons, il défait l’attache de nos robes et une par une en commençant par Wan, il nous dépose dans l’eau étant à température.
J’aime sa main sous mon cul, je sais que la verge que je vois avant qu’il nous rejoigne sera en moi et en elle dans quelques minutes.
J’ai le plaisir de m’apercevoir que je pense, dès cet instant, qu’elle et moi n’avons aucune bribe de jalousie, une verge comme celui de notre homme, il y en a largement pour deux quand nos bouches viennent de chaque côté la titiller.

• J’ai réfléchi les filles, je vais vous épouser puisque tous les trois, nous avons accepté de nous fiancer.
• Tu deviendras bigame !

Peu importe de quelle bouche cette phrase est sortie, nous pensons fusionnement la même chose.

• Nous allons nous servir de la législation, la première qui avale mon sperme après cinq minutes à me pomper la verge, je me pacs avec elle.
• Et l’autre.
• Pour ne pas embêter trop souvent mon notaire, je resterais marié pendant les trois premiers mois, il cassera le pacs et nous repartirons pour trois mois avec la deuxième et ainsi de suite.

• Super, chaque fois nous ferons une fête pour celle qui sera la favorite de notre roi seulement pour trois mois.
Wan, je vais être une bonne joueuse, à toi de commencer à pomper Henri.
• Je n’en ferais rien, à toi l’honneur.
• Vous n’allez pas commencer à jouer les enquiquineuses, à toi, tu es la plus prête.

Il prend la tête de Wan et la fourre sur sa queue, mon dieu, quelle expérience, je regarde comme elle fait, j’ai compris elle lui caresse les couilles et les serres de temps en temps.
Après cinq allé et retour, je reçois le divin jus dans ma bouche, après une nuit torride, il nous baise plusieurs fois nous apportant des orgasmes dévastateurs, au matin, son notaire nous attend et nous donne la liste de ce que nous devons lui donner pour le pacs.
Ce qu’il y a de bien, c’est que Wan récupère ses documents à temps et le changement se fera rapidement.

Pour habiter, Henri ayant réussi ses études, remplace ses parents à la pharmacie, qui partent en retraite dans leur maison en Normandie.
Ils restent actionnaires de l’officine, les partouzes semblant s’arrêter après leur départ, ou se continuent dans leur nouvelle vie, quant à nous, nous en sortons, notre homme a assez de travail avec nos deux chattes.

Depuis quelques jours, j’ai des envies de fraise et Wan de crème anglaise, contrôle fait, Henri va être papa, là encore pas de jalousie de notre part, il est arrivé à nous apporter la maternité en même temps à nous deux.

Je vais me retrouver en congé de maternité, car mes études finies, j’ai intégré le cabinet de Pierre et Véronique.
Pierre a bien essayé de me baiser, mais je tiens bon, j’ai réussi à lui faire comprendre que je n’avais plus qu’un seul homme et une seule femme dans ma vie.
Véronique le fait cocu avec Gaétan, mais il ne semble pas le remarquer, est-il aveugle ou veut-il être aveugle.
J’ignore ce dont la vie va nous apporter, mais nous verrons bien et dire que toute mon histoire vient de la curiosité que j’ai eu de regarder des CD cachés au bas d’une armoire faisant de moi une baby-sitter fouineuse.

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