Collection Histoire Courte. Baby-Sitter Fouineuse (3/4)

Je pensais arrêter cette histoire après la diffusion sur H.D.S, du chapitre 1/1, mais à la demande d’une lectrice, j’ai commencé à écrire une suite, un petit résumé et c’est parti, j’ai fini le chapitre 2 et maintenant, il y a un 3, j’espère qu’il plaira autant à mes lecteurs que le n°1 et 2…

Je suis arrivée avec Véronique et Pierre, les avocats ayant créé leur cabinet et m’ont promis de m’embaucher en CDI, dès la fin de mes études en fin d’année.
Ils m’ont surpris en train de regarder des CD qu’ils ont tournées dès la nuit de noces de Véronique la jeune fille qui était une oie blanche au début de son mariage.
Je suis ici pour être initiée à leur pratique libertine et je viens de recevoir l’ordre de me dénuder et de monter m’allonger sur la table que les invités ont préalablement débarrassée.
Henri le fils de la maison, devant lui aussi être initié, doit en faire de même, j’ai tâté sa queue sous la table et j’ai constaté qu’il était énormément monté, longue et grosse.
Quand il me rejoint, un Oh ! de surprise sort de toutes les bouches féminines.

• Mesdames, vous pouvez constater que je ne vous ai pas menti sur l’engin que j’ai donné à mon fils pour vous satisfaire, vous avez de la chance, conformément à nos principes, je me contenterais de vous regarder vous faire prendre.
Messieurs, j’ai l’habitude de recevoir vos bites depuis que j’ai été moi-même initié, je suis sûr que vous saurez me satisfaire.
Allez, préparez le dessert, au menu, coulis de fraise crème anglaise, Sophie, c’est toi qui prépareras le coolie avec ta chatte et Henri t’apportera sa cuillère pour touiller et mélanger les deux ingrédients.
Après mesdames, vous pourrez déguster, nul doute qu’un tel ustensile vous donnera toute satisfaction.

C’est ainsi que plusieurs mains m’aident pour m’allonger, Henri lui sportif s’allonge sans aucun problème à mon côté, la table étant assez large.
Pendant ce mouvement, ces messieurs-dames se dénudent, n’ayant jamais été sur une plage naturiste, hormis à la télé, je n’ai jamais vu autant de chattes et de bites toutes encore au repos.


Plusieurs mains m’écartent les jambes, les serveurs déposant une grosse barquette de fraise, reprend sa caméra, il fait un gros plan de ma chatte béante et couverte de liquide, est-ce le fait de m’exhiber, mais je sens que je suis trempée.
Les libertins sont de chaque côté de la table, c’est Wan qui prend la première fraise, écarte mes lèvres vaginales et enfilant sa main au plus loin la dépose, Yvette m’introduit la deuxième, je lève la tête, les hommes masturbent Henri qui commence à bander, mon Dieu, quelle verge, c’est vrai que les pharmaciens ont bien travaillés.
Nicolas prend de la crème anglaise assez consistante et en badigeonne le bâton tendu vers le ciel.
Combien y a-t-il de fraises dans la barquette apportée, 500, 1 kilo, je ne sais, mais plus elles en mettent en moi, plus je sens le jus couler le long de mon périnée et rejoindre mon anus.

• Bien mesdames, vous avez bien travaillé, Henri la crème est prête, viens couvrir notre amie et mélange bien la crème et les fraises, nous allons avoir un délicieux dessert que vous aurez préparé.

J’avais des doutes que la verge d’Henri serait pour moi, je me trompais, il arrive sur moi et sa pine se présente vers ma grotte remplie de fraise odorante, il entre doucement.
Il doit connaître la puissance de sa verge, car il entre centimètre par centimètre, faisant fuser du jus de fruits vers la bouche des femmes et des hommes les mieux placés pour en récupérer.
Je me contrefiche des fraises, ce qui m’importe, c’est le plaisir que je ressens quand le sexe est planté le plus profondément en moi, il lime doucement en cherchant ma bouche que je lui abandonne bien volontiers.
Pour la première fois, mon cœur se sert, il prend ma tête dans ses mains jusqu’à ce que j’atteigne l’orgasme, un orgasme dévastateur qui manque de me faire perdre la notion d’où je suis.
En homme respectueux des femmes, une fois mon plaisir pris, il éjacule dans la purée de fraises et de crème anglaise, préparant un dessert improbable pour toutes les bouches et les mains qui viennent en moi dès qu’il se redresse me libérant.

J’ai le temps de voir Wan qui prend cette bite dans sa bouche pour récupérer toutes les particules de dessert qui sont après avant de la quitter pour jouer des coudes et atteindre ma chatte.
Des vidéos que j’ai vues, jamais une femme n’avait servi de dessert aux autres libertins et quand un nouvel orgasme me dévaste, ce coup-là, je tourne de l’œil.

Qui m’a porté là, je suis dans une baignoire et un jet d’eau chaude entre dans ma chatte, c’est Henri qui tient le jet en même temps qu’il se passe de l’eau sur le corps, la baignoire ressemblant à un Jacuzzi permet à Wan d’être à l’opposer.
Sa main est entièrement en moi et permet à l’eau de nettoyer les bribes de fraises qui restent au fond de moi, sa main comme toute sa personne a beau être petite, voir que son bras sort plus loin que son poignet m’impressionne.
De la couleur rouge sort de ma chatte comme quand j’ai mes règles, j’espère que c’est du jus de fraise et non pas mon sang quand Henri est entré en moi, me défonçant avec son sexe gigantesque.
Wan semble insatiable, Henri étant à genoux à nos côtés, elle se penche et avec sa main libre, elle saisit la verge débandée et la met dans sa bouche, rapidement elle se tend de nouveau.

• Prends-moi, j’ai beaucoup aimé quand tu es entré en Sylvie, vous allez rire, j’étais si prêt que j’ai reçu du jus dans l’œil, j’ai vu la suite d’un œil, comme en ce moment je n’ai plus qu’une main, l’autre a disparu.

Plein d’humour la petite avec son accent chantant, quelque chose s’opère en moi, quand Henri m’a baisé, mon cœur n’a fait qu’un bon, ceci pour la première fois de ma vie.
Quand elle se soulève pour se pendre au cou de mon amant, elle s’empale sans autre fioriture, elle tourne la tête m’embrassant d’une telle manière que pour la deuxième fois de la soirée mon cœur fait un bon.
Je suis dans une baignoire, la chatte baignant dans l’eau, la main qui l’avait investi m’a quitté pour entourer le cou d’Henri et venir se suspendre pour qu’il entre en elle, l’eau m’empêche de voir, mais le sexe d’une femme aussi petite, ne peut certainement pas pouvoir absorber l’intégralité de cette verge.

C’est exact qu’elle a été une fille de joie à Bangkok, ce que je ne vois pas, c’est qu’Henri a ouvert l’évacuation et que l’eau se vide, quand les sexes joints sont visibles, je m’aperçois que je me suis trompée, le cul de ma petite repose sur les testicules de son amant.
Ma petite, je deviens possessive, je la considère comme à moi alors qu’elle est la femme de mon professeur qui plus est mon amant lui aussi, sans qu’il m’ait dit être marié.
Je suis contente pour elle au moment où une jouissance la transperce, je connais ce moment quand le plaisir part de vos lombaires pour finir dans votre cerveau, elle doit partir très loin, car ses yeux se révulsent.
Je devrais être jalouse que l’homme que j’aime même si c’est depuis peu, donne du plaisir à une autre, mais comme l’autre, je viens de découvrir que je l’aimais aussi, pourquoi serais-je jalouse, les mots que je prononce disent que je ne le suis pas.

• Jouis bien, mon aimée, profite de la bite de l’homme qui a pris mon cœur hier quand il est venu en moi.

Henri, n’a pas éjaculé, il aide Wan à sortir de la baignoire, puis moi et tous les trois nous retrouvons tout le monde.
Rapidement, je suis jalouse, car Henri satisfait deux des femmes présentes, mais ne sommes-nous pas dans un lieu de débauche que j’aspire à intégrer, parmi ces deux femmes, Véronique qui me montre son degré de perversité, elle qui était une oie blanche le jour de son mariage.
Gaétan, son beau-frère est allongé au sol sur une peau de bête à deux pas du canapé où Wan m’a entraîné, je vois très bien sa queue pénétrer sa chatte, ils sont vite rejoints par Henri qui bande toujours, c’est son anus qu’il vise la prenant en double pénétration.
Je devrais être jalouse, mais je me souviens du premier soir ou ayant trouvé ses cassettes, ils ont fait l’amour avec moi et qu’ils m’ont promis un avenir brillant dans leur cabinet, c’est grâce à cela que je viens de rencontrer l’homme qui fait battre mon cœur, je peux bien lui prêter un peu.

Prêter surtout que je prends du plaisir à lécher la chatte de Wan, ses petits seins tout mignons dans mes mains, j’ai commencé par les lécher avant de descendre vers son nombril fripon avant d’écarter sa chatte qui est sans grande lèvre, un abricot.

J’apprends rapidement à faire l’amour en 69 avec elle, car à son tour elle veut ma chatte, nous jouissons, je deviens une vraie lesbienne à son contact.

La soirée, c'est terminé, Nicolas à un moment s’est approché de nous, ma petite l’a envoyé promener, y aurait-il de l’eau dans le gaz.
Henri me raccompagne, au moment de me quitter, il prend son stylo et note sur son poignet mon numéro de téléphone.
Trois jours à 20 heures le soir.

• Sylvie, serais-tu disponible samedi soir, je t’invite au restaurant, je passerais te chercher à 21 heures, as-tu une robe longue ?
• Non.
• Je t’en fais porter une.
• Mais, connais-tu mes mesures ?
• Fais-moi confiance.

21 heures, je sors devant chez moi, son Audi sport est là, il m’embrasse, incroyable, il m’a fait livrer une robe blanche et des chaussures à ma pointure, il est en smoking blanc aussi.
Peu de temps et il arrête la voiture devant l’auberge des deux licornes restaurant trois fourchettes de notre ville.
Je passe devant ce restaurant depuis des années ne pensant jamais y entrer, pourtant, c’est ce que je fais après que le voiturier m’eût ouvert la porte du coupé sport.

• J’ai une surprise pour toi, j’ai réservé une table et une personne s'y trouve, je pense que tu vas apprécier.

Après tout ce tralala, je pensais qu’Henri allait me faire une demande en mariage, s’il y a une tierce personne, je me suis fourré le doigt dans l’œil.

• Wan, je suis heureuse de te voir, mais dis-moi, je t’ai eu au téléphone dans l’après-midi, tu m’as caché que nous dînerions ensemble, tu m’as dit que tu étais souffrante.

Wan à la même robe que moi ainsi que des chaussures blanches à hauts talons, je comprends mieux pourquoi quelques heures après ma première partouze, elle a tenu à ce que nous fassions les boutiques.
Nous avions acheté une robe identique, mais de couleurs différentes et des chaussures allant avec, la coquine, elle avait récupéré mes mensurations et ma pointure pour notre amant.
Que cache tout cela…

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