La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1211)
La Marquise esclave (suite de l'épisode N°1204)
La fête D/s en elle-même allait pouvoir commencer
Dehors tout était installé pour un fastueux banquet champêtre, campagnard, gargantuesque, digne des festins de lépoque des rois. Pour loccasion, Marie, la si précieuse cuisinière du Château était bien secondée car elle avait reçu le concours de chefs cuisiniers, pâtissiers, tous nommés meilleurs ouvriers de France. Des plats qui allaient de préparations très simples à des mets plus élaborées sétalaient sur de grandes et longues tables couvertes de nappes blanches immaculées sous les ombres des grands marronniers centenaires. Le travail se trouvait autant dans la préparation des divers mets que dans leur présentation. Une palette de différentes charcuteries formait un magnifique paon à la queue trainante. Des canapés de foie gras et figues, tomates basilic, chèvre menthe, agrémentés dolives, formaient de petites coccinelles se baladant dans une nature verte composée de diverses salades. Des verrines de différentes mousses de fruits et légumes formaient des papillons, les plats représentaient tous la viande dont ils étaient composés, du porc, buf, poulets, des poissons
La décoration de la table était faite de mousses végétales, de fleurs, de petites barrières, une véritable campagne fleurie sétalait sous les yeux émerveillés des Invités. Lapéritif était préparé sur une longue buvette sous chapiteau ouvert sur les côtés. Tous les types dalcool y étaient présents, ainsi que des boissons non alcoolisés pour ceux qui préféraient. Mais le kir royal au champagne était le plus prisé parmi les convives
En dehors de ceux qui faisaient le service, tout le Cheptel de Monsieur le Marquis Edouard dEvans avait reçu lautorisation de participer à la fête et au festin. Donc sous les marronniers, de grandes tables étaient disposées en cercle, au centre duquel se trouvait la table des mariés et de leurs témoins. Les Dominants étaient assis, évidemment, et de grandes nattes en jonc tressé avaient été installées dans lherbe pour les soumis, soumises et esclaves.
A la table centrale, le Seigneur et Maître que je vénérais et à qui jétais désormais liée à jamais de toutes les manières possibles, ainsi que le Commandant des pompiers nous autorisèrent, soumise Keira MDE, mon témoin, et moi-même à prendre notre repas à table à leurs côtés. Et nous eûmes lhonneur, lorsquils voulaient soulager leurs érections ou leurs vessies, de pouvoir être utilisée par les élus de nos curs. Avec le mélange aphrodisiaque qui recouvrait mes parois vaginales, mes lèvres et mon clitoris, je ne pouvais mempêcher, régulièrement, de me frotter contre ma chaise pour soulager un peu le feu dexcitations qui manimait. Mon nouveau Mari me regardait en souriant, devinant parfaitement ce qui marrivait. Il se pencha vers moi pour me murmurer :
- Ma chienne dAmour, tiens-toi un peu tranquille ! Ne tinquiète pas, au cours des festivités qui auront lieu tout à lheure, tu devrais avoir largement de quoi te frotter le sexe !
Puis, Il déposa un baiser sur mes lèvres avant de reprendre, après un échange court mais intense de regards amoureux, la conversation quIl avait entamé avec son ami, le commandant. Lambiance était détendue. Un orchestre composé desclaves musiciens animait le fond sonore. Il faisait un temps magnifique, les mets étaient exquis, le vin et le champagne coulaient à flot, sauf pour le Cheptel et les soumis invités, à qui lalcool avait été interdit pour quils soient tous aptes à servir avec célérité si on faisait appel à eux.
Dès les premières notes, je souris en reconnaissant les notes de Tchaïkovski sur sa célèbre valse du ballet de « La belle au bois dormant » reprise dans le dessin animé de Disney. Le Noble mavait annoncé que nous danserions sur une valse, sans que je sache laquelle exactement. Je vivais réellement un conte de fée ! Il réalisait tous mes rêves ! Je me sentais tellement aimée ! Depuis toute petite, pour moi, cétait LA musique sur laquelle je voulais danser quand je me marierai. Encore une fois, Il navait rien oublié de tout ce que javais pu Lui dire ou écrire dans mes journaux de soumise. Il me tendit Sa main pour minviter à venir tout près de Lui pour entamer notre danse. Nous navions pas spécialement répété, mais le Seigneur et Maître était un fabuleux partenaire qui guidait dune main de Maître, et javais toujours aimé les danses de salon, entre autre la valse et surtout les danses latines. Les Invités commencèrent par nous regarder évoluer en cercle autour de la piste, puis ils se joignirent à nous.
- Jespère que tu nas pas considéré cela comme un ordre, Marquise esclave. Jai invité la mariée en tant que témoin du marié, non lesclave, me dit le Commandant en me souriant.
- Cest un honneur pour moi, Monsieur, de danser avec Vous ! Et si Vous voulez bien me le permettre, Vous êtes un très bon danseur !
- Oh oui je te le permets, petite chienne ! Je prends toujours avec plaisir les compliments, surtout venant de quelquun aussi très douée en la matière !
- Vous savez, avant de venir aux pieds de Monsieur le Marquis dEvans, ma vie, ce qui me rendait réellement heureuse, cétait la danse, le chant et la musique. Jai même eu loccasion de faire partie dune comédie musicale
- Intéressant ! Jaurai aimé te voir sur scène.
- Le Seigneur et Maître a une copie de mon spectacle. Cétait il y a tellement longtemps
juste après Lavoir connu
- Alors je verrai cela avec Lui !
Nous ne poursuivîmes pas plus loin la conversation, le rythme de la musique et de la danse était trop soutenu pour quil soit facile de se parler, et nous enchainions les passes à grande vitesse, tournoyant presque sans discontinuer. Les danses senchaînèrent pendant une bonne heure. Au bout dun moment, le Seigneur et Maître quitta la piste de danse et sinstalla et sassit dans un fauteuil que Walter Lui avait apporté et mis tout près. Il me fit signe que je pouvais continuer à danser, mais malgré mon amour de la danse, mon Amour pour Lui était plus fort, et je décidais de Le rejoindre, me remettant en quadrupédie. Il me fit alors mettre à genoux, et mautorisa à poser ma tête sur les Siens, me caressant doucement les cheveux, et déposant de temps à autre des baisers dessus. Nous étions biens, nous étions heureux.
Je repensais alors à ma vision du monde D/s lorsque je lavais découvert
A force de lectures de récits D/s, javais fini par entamer une discussion avec une soumise qui écrivait. Je ne concevais pas une telle relation sans amour. Je lui avais donc demandé des conseils sur comment annoncer à mon mari de lépoque que je me sentais soumise, et surtout comment lamener à devenir « mon » Dominant (totalement ignorante à ce moment-là de ma vie, je ne savais pas quil était interdit dutiliser un possessif en parlant dun Maître car ce dernier nappartenait jamais à Sa soumise). Elle ne mavait pas vraiment aidé, mais dans son récit, la soumise rencontrait un Dominant par le biais dun site Internet. Cest comme cela que javais voulu commencer à explorer notre monde. Très vite, je me suis dit que transformer mon mari en Dominant était impossible, et après un ou deux essais, je sus que loin dêtre un simple fantasme, ma nature était profondément celle dune soumise. Mais jaimais mon mari alors javais abandonné lidée de pouvoir vivre une relation D/s et amoureuse. Par la suite, je rencontrais alors Monsieur le Marquis dEvans.
Et ma nature finit par prendre le dessus, je ne me sentais plus heureuse dans mon couple, javais besoin de plus ! Je ne savais pas comment, ni quoi faire
. Jusquau jour où mon mari découvrit tout en revenant plus tôt que prévu de son travail, alors que je portais encore les marques dune journée au Château (voir « Marion au Château »). Il mavait quitté et ma vraie vie avait alors commencé
. Et tout ce qui sétait passé ensuite nous avait emmené, le Seigneur et Maître et moi à ce jour ! Rien narrive jamais par hasard, et il faut toujours continuer de croire en ses rêves et en ses convictions. Je vivais depuis de longs mois déjà la relation D/s idéale, comme je me limaginais, et notre mariage en était la consécration ! A regarder les danseurs, blottie contre Celui que jaimais profondément et à qui javais don de ma vie et de tout ce que jétais et que javais, je ressentais une puissante plénitude. Jétais à ma place, là où je devais me trouver, là où le Destin avait écrit dans les étoiles que je trouverai le bonheur.
Le Seigneur et Maître mavait autorisé, lorsque nous organisions cette belle journée, et suite à ma demande, à Lui faire un cadeau. Je ne possédais rien en tant quesclave, je navais que ma créativité. Il mavait octroyé des plages horaires pour que je puisse préparer la surprise que je voulais, ainsi que lautorisation de voir avec Walter pour sa mise en place et la financer si besoin. Alors que les Invités commençaient à fatiguer de danser, et que le dessert allait bientôt être annoncé, le Majordome se présenta devant le Châtelain, et après que ce dernier leut invité à parler, linforma quavec Sa permission, javais préparé un présent et que sIl le voulait, il pensait que cétait le bon moment pour que je puisse Lui loffrir.
- Avec plaisir, mon ami ! Alors Ma petite chienne dépouse, quas-tu pu préparer pour Moi, dis-Moi ?
- Seigneur et Maître Vénéré, je sais que Vous êtes sensible à la musique, et très souvent Vous me lavez dit, à ma voix. Si Vous me le permettez, je vais aller minstaller au piano.
- Mais tentendre jouer du piano est une très belle surprise, déjà ! Va Ma chérie, je ten prie !
Nous étions proches de lorchestre, je neus pas à aller loin en quadrupédie pour rejoindre mon instrument de prédilection. Walter avait amené le siège spécial soumis, celui dans lequel un gode long et épais avait été disposé à la verticale sur lassise et qui, une fois branché au piano, sactivait au son des notes. Je mempalais donc dessus, et je commençais à jouer un air que javais composé spécialement pour ce jour. Après quelques mesures dintroduction, je me mis à chanter des paroles que javais écrites et qui racontait notre histoire dans les couplets, et tout ce que je pouvais ressentir en tant quesclave amoureuse pour le Maître de ma vie et de mon cur. Lémotion et la présence du sexe factice qui sactivait en moi faisaient trembler ma voix. Le Noble sapprocha tandis que je chantais et sappuya sur le piano à queue sur lequel je jouais, me fixant dun regard ému et amoureux. Quand jeus finis, tout le monde, Lui en premier mapplaudit à men faire rougir tant javais perdu lhabitude de me produire en public.
- Ma chérie, il est rare quun Dominant remercie Sa soumise, mais là cest autant le Seigneur et Maître que lhomme amoureux qui te remercie du fond du cur pour ce magnifique cadeau ! Je taime tellement !
Et Il me tendit la main pour que je mextraie du gode et que je me relève, me serra dans Ses bras et membrassa avec fougue, nhésitant pas à laisser Ses mains ségarer sur mon corps nu. Une de Ses mains, vint se glisser entre mes cuisses, Lui arrachant un grognement de satisfaction en rencontrant mon sexe trempé. Alors il profita de la situation pour me masturber allègrement tout en minterdisant de jouir
Ses doigts me branlaient mon clito, il me le décalotta ce qui le fit de dresser immédiatement. Il tapota mon clito de chienne, le pinça, le vrilla du bout de ses doigts et le branla de nouveau mais cette fois avec frénésie. Sur Son ordre, je me tenais couchée sur le dos, sur le piano, les cuisses largement écartées et un seul mot de Sa part et jaurai laissé exploser ma jouissance dans un orgasme foudroyant. Mais comme aucune autorisation ne venait, je dus redoubler defforts à ne pas me laisser emporter par des vagues de plaisirs. Et je tenus bon, difficilement mais je réussis à ne pas jouir ! Jétais en sueur, la respiration rapide quand il stoppa sa masturbation sur mon sexe et séloigna en me souriant de satisfaction
A ce moment-là, Marie fit apporter la pièce montée qui entraina des exclamations de surprise et dadmiration devant le dessert. Celui-ci représentait, avec les traditionnels choux et nougatine, le Château. En saisissant ma laisse, le Châtelain me fit comprendre de me remettre à quatre pattes pour retourner près des tables. Il me fit remettre debout pour couper un mur en tenant ensemble le couteau, sous les applaudissements et les vivats des convives. Un excellent champagne Grand Cru fut servi, et nous trinquâmes les yeux dans les yeux croisant nos bras avant de boire la première gorgée, puis buvant dans le verre lun de lautre la seconde. Le Seigneur et Maître me sourit tendrement avant de reprendre Son regard Dominant qui me fit immédiatement baisser la tête. Il versa alors le reste de ma coupe dans un bol quIl déposa au sol. Souriante sous lordre implicite, je me laissais tomber au sol pour boire comme une chienne, ce que jétais avant tout. Les Invités firent honneur au travail de Marie et dun célèbre chef pâtissier en ne laissant pas le moindre chou dans le plat. Quand tous furent repus, Monsieur le Marquis Edouard dEvans se leva, amenant par ce simple geste le silence et lattention des Invités.
- Mes chers amis, maintenant que nous avons tous bien mangé et bien bu, je Vous propose de rejoindre lautre côté du parc, où mon cher Walter a uvré darrache-pied pour Vous offrir une chaude après-midi D/s, qui je lespère, vous plaira ! Amusez-vous, utilisez, usez et z des membres de mon Cheptel. Tous sont à votre disposition pour vous satisfaire ! ... Je vous demande donc dapplaudir chaleureusement mon Majordome, pour son gros investissement, je sais que vous ne serez pas déçu avec ce quil a préparé comme animations
Et tandis quIl parlait, Walter sapprocha de moi et memmena pour une destination que je ne connaissais pas encore. Il prit seulement la « précaution » de me remettre le mélange aphrodisiaque sur mes parties intimes
(A suivre
)
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