La Stagiaire

Voilà déjà quelques mois que cela ne fonctionnait plus sexuellement parlant avec ma femme. Du coup, je me noyais peu à peu dans le travail, y investissant de plus en plus de temps et d’énergie.
Au début, je n’avais pas remarqué cette nouvelle stagiaire qui pourtant me lançait régulièrement des regards appuyés. Tout commença par des questions qu’elle venait me poser sur mon travail, prétextant rencontrer des difficultés pour lesquelles, elle venait chercher des réponses disait-elle. Suite à quoi, elle ne ratait pas une occasion de saluer mon expérience et mon savoir-faire. Je mentirais si je disais que cela ne flattait pas mon égo. J’en avais conscience et à posteriori, elle aussi certainement.
Elle se disait d’origine malgache. Elle avait la peau très brune et des lunettes soulignaient ses grands yeux noirs. C’était une belle femme, un peu ronde mais aux courbes harmonieuses. Je ne lui avais pas prêté attention à son arrivée mais au fur et à mesure de nos échanges, je n’avais pu ignorer son charme certain. Nous passions de plus en plus de temps ensemble. Chaque pause était l’occasion de nous retrouver et de discuter autour du travail dans un premier temps mais plus encore par la suite. Elle se confiait sur sa relation avec son petit copain qu’elle trouvait « peu satisfaisante » selon ses propres termes. Je ne savais pas ce qu’elle entendait par là et me bornant au rôle de confident, je ne cherchais pas à en savoir plus ou à obtenir des précisions sur sa pensée. Elle m’exprimait un certain mal-être et un manque de confiance en elle qu’elle n’arrivait pas à circonscrire malgré ses efforts. J’essayais de la rassurer sans trop en faire toutefois car je sentais bien que je jouais avec le feu.
Sentant que nous dépassions allégrement au fil des jours le strict rapport professionnel, je décidais, peut-être un peu tardivement, d’établir une certaine distance entre nous. Je l’évitais à chaque fois que cela m’était possible ou je la renvoyais vers un ou une de mes collègues pour l’aider ou la former lorsqu’aucune autre solution ne s’offrait à moi.

Je percevais le trouble que cela provoquait en elle, ne comprenant certainement pas ce revirement chez moi mais j’étais convaincu de faire le bon choix.
Un soir que je finissais tardivement quelques travaux en suspens et que je me pensais presque seul, je levais les yeux pour la voir s’approcher de moi. Elle désirait me parler. Ne désirant pas offrir aux regards et aux oreilles indiscrètes de quoi alimenter les ragots, je lui proposais de nous isoler discrètement dans une des salles de réunion à l’étage inférieure.
Nous franchissions à peine le séant qu’elle prenait l’initiative de se rapprocher de moi, progressivement mais rapidement. Je tentais bien une manœuvre pour me défiler mais elle se retrouvait déjà contre moi.
- « Ce n’est pas une bonne idée ! » lui lançai-je.
- « Pourquoi ? » m’interrogeait-elle levant son visage vers moi pour me percer de son regard.
- « J’ai quelqu’un. Tu le sais ! »
- « Oui. Je ne veux pas te créer de problèmes. Je veux juste que tu me fasses l’amour ! »
- « C’est pas une bonne idée… » répétai-je plus pour me convaincre que pour elle.
Elle avait glissé ses mains sur mon entrejambe et jouait avec mon sexe à travers mon pantalon. Affichant déjà une belle bosse, il m’était difficile de lui dissimuler mon désir. Je tentais bien de balbutier quelques prétextes futiles mais je perdais peu à peu l’esprit, emporté par la vague de chaleur que ses caresses attisaient en moi. Je fermais quelques instants mes yeux, sentant ses mains qui s’affairaient à ouvrir mon pantalon, suivi bientôt par la sensation de sa bouche sur mon sexe qui achevait de me faire perdre la raison. Je rouvrais les yeux pour la découvrir à genoux, me regardant avec intensité tandis qu’elle s’affairait sur mon sexe turgescent de désir et de plaisir mêlés.
- « Viens t’asseoir là ! » m’intimait-elle me désignant une des chaises autour de la table.
Incapable désormais de lui résister, je m’exécutais. Elle baissa plus encore mon pantalon pour reprendre de plus belle la fellation qu’elle avait entreprise.
S’il n’avait s’agit de son âge, je n’aurais pas suspecté un tel talent pour la chose. J’avais connu des femmes plus mûres et moins douées que cela. Non seulement elle était douée mais elle aimait cela sans aucun doute. Me lançant de temps à temps des regards équivoques, elle prenait un plaisir apparent à prendre les choses en main et à me « tenir » en quelque sorte. Elle se délectait de chacune de mes réactions et m’observait amusée et visiblement satisfaite. Elle jouait alternativement avec mon gland qu’elle suçait avec vigueur pour enchaîner sur des gorges profondes qui ne manquaient pas de produire leur petit effet. A ce rythme, je n’allais pas tenir bien longtemps…
Je tentais bien de la prévenir mais, elle ne s’arrêta pas, me pompant avec avidité jusqu’à ce que plusieurs abondantes giclées de mon sperme viennent la satisfaire. Elle n’en perdit pas une goutte et avala tout avec une gourmandise non dissimulée. Elle me suça ensuite durant de longues minutes comme si elle finissait un bon repas. Elle ne me laissa même pas le temps de débander et faisait tout ce qu’il faut pour que je garde ma vigueur.
- « Viens maintenant… »
Elle releva sa jupe pour venir s’asseoir sur la table de réunion. Ecartant ses jambes qui me laissaient entrevoir son intimité (et son absence de dessous), elle renouvela son invitation emprunte d’empressement. Je tentais bien de balbutier quelque chose mais elle n’en avait cure et semblait posséder par le désir. Elle m’attira à elle. Prenant mon sexe en main, elle joua quelques instants avec, le faisant glisser le long de sa fente et autour de son clitoris avant de le conduire en elle et de me susurrer à l’oreille :
- « Baise-moi. Baise-moi s’il-te-plaît… »
Il n’était plus le temps pour les réticences de façade et je décidais de saisir pleinement cette belle occasion. J’initiais donc un va et vient en douceur m’appliquant à faire monter le plaisir progressivement et à profiter au maximum de cet instant. Je pouvais la sentir frissonner sous mes caresses et contracter son périnée autour de ma queue ce qui avait pour finalité de me faire bander encore plus durement.
Au fur et à mesure notre plaisir respectif montait en parallèle. Je dégrafais son chemisier pour m’emparer de ses seins et les offrir à ma bouche. Elle était particulièrement réceptive à ma bouche sur ses tétons qui se dressaient sous l’effet de la succion. Passant sa main dans mes cheveux, elle m’incitait tacitement à les dévorer de plus belle. Je la pilonnais désormais avec vigueur. La faisant reculer sur la table à coups de butoir, je me saisissais d’elle fermement pour redoubler mes assauts entre ses cuisses. Encourager par ses gémissements et ses mots explicites.
- « Baise-moi… Oui baise-moi comme ça. Je te veux en moi… »
En réponse, mes coups de rein redoublaient d’intensité, lui arrachant des cris qu’elle tentait vainement d’ en m’embrassant. L’appréhension d’être surpris ou entendu n’ajoutait qu’à l’excitation.
- « On va finir par se faire surprendre. » lui disais-je.
- « Alors dépêche-toi de jouir en moi ! »
- « Tu es sûre ? »
- « Oui j’en ai envie ! »
Elle ne se fit pas prier plus longtemps avant que, le souffle court, je ne jouisse en elle et qu’elle m’adresse un sourire emplit de satisfaction.
- « C’est tellement bon de te sentir venir en moi. »
Je l’embrassais pour toute réponse.
On se rhabilla prestement. Reprenant un peu nos esprits et notre sens commun. On se savait pas quelle heure il était, ni si quelqu’un s’était avisé de notre absence. Je jetais un œil à ma montre prenant connaissance de l’heure tardive et de l’heure pleine qui avait couvert nos ébats. Si on remontait, il serait difficile de justifier cette longue parenthèse. Heureusement, nous étions visiblement seuls à notre retour. Sans plus attendre, je prenais mes affaires et me dirigeait vers la sortie tel un voleur. Elle avait également repris ses effets et elle me suivait. Afin d’éviter l’ascenseur (et des rencontres gênantes), je lui proposais d’opter pour les escaliers. A peine dans la cage, Je dévalais les premières marches, pressait de m’éloigner de cet endroit et des yeux indiscrets qui y résidaient.
Je ne savais pas si on s’était aperçu de notre manège et dans quelle mesure, la machine à café ne serait pas le théâtre d’une nouvelle rumeur dès demain matin. Pris dans mes pensées, j’en fus tiré par sa voix. Je me retournais pour voir qu’elle s’était arrêté à mi-chemin.
- « Viens ! » m’ordonna-t’elle.
- « Quoi ? »
- « Viens je te dis ! »
Je remontais les quelques marches qui nous séparaient. Elle m’attrapa par le col.
- « Prends-moi ! »
- « Quoi ?! Ici ?! »
- « Oui ! »
- « T’es folle ? On va nous surprendre ! C’est sûr ! »
- « Mais non ! Tout le monde est parti. »
- « On n’en sait rien ! Non ! Viens ! On s’en va ! »
- « On aura peut-être plus d’autres occasions ! Viens ! Prends-moi ! J’en ai encore tellement envie ! »
Elle se passa de mon assentiment pour ouvrir une nouvelle fois ma braguette et se saisir de ma queue. Elle me branla avant de se mettre à califourchon et me sucer à nouveau. Je ne mis pas longtemps à bander et à lui céder. Une fois assurée que je ne lui résisterais plus, elle me tourna le dos pour se cambrer en une position dès plus équivoque. Je soulevais sans attendre sa jupe et la prenait en levrette. Mon sexe n’eut aucun mal à faire son chemin, lubrifier par mon sperme encore présent auquel se mêler un flot de cyprine qui ruisselait le long de ses cuisses. La sentir mouiller ainsi m’exciter au plus haut point. Je m’agrippais à ses hanches, la culbutant sans aucun égard. Elle me voulait. Elle m’aurait. Je la baisais sauvagement faisant claquer son fessier à chaque coup de queue. Après tout, elle était venue me chercher, encore et encore. Elle en revoulait. Encore davantage. J’étais bien décidé à lui donner ce qu’elle voulait. Et je pensais déjà à l’amener dans ma voiture pour lui en remettre une bonne dose. Je ne pensais qu’à me vider les couilles dans ce cul jeune et ferme qu’elle m’offrait avec insistance.
- « Tu voulais vraiment que je te baise depuis le début en fait ? »
- « Oui… Oh oui… »
- « Tu es pas venue me voir pour des conseils, tu voulais juste ma queue… »
- « Ta queue et toi. Je voulais que tu sois en moi. »
Elle m’excitait et me faisait perdre toute ma raison. J’en étais au point même où je me moquais d’être surpris en pleine action. Je lui adressais des mots salaces qui ne semblaient pas la gêner outre-mesure. Pour toute réponse, elle tournait son visage vers moi, me jetant son regard suppliant tout en se mordillant les lèvres. Elle écarta ses fesses à l’aide d’une de ses mains pour me mettre sa belle petite rondelle sous les yeux. Un message clair auquel je me pressais de répondre par un beau crachat en plein centre suivi de mon gland que je lui présentais sans attendre. Je tournais un peu mon gland autour histoire de répandre ce lubrifiant naturel et improvisé avant de pousser celui-ci plus avant. A ma grande surprise, bien que serrée à souhait, sa rosette avala mon gland sans opposer trop de résistance. Le reste du chemin fût plus difficile. A mi-parcours, je me retirais, admirant la béance magnifique de son cul offert avant de la pénétrer à nouveau par surprise. Elle lâcha un cri de stupeur vite effacé par un regard coquin qu’elle me jeta et des encouragements.
- « Vas-y ! Continue ! Je veux tout ! Je veux te sentir en entier ! »
Cette fois je ne m’arrêtais qu’une fois en elle jusqu’à la garde, achevant mon passage à coups de reins. Sa petite rondelle bien serrée était une véritable gourmandise et ses mots me rendaient complétement fou.
- « Encule-moi ! Encule-moi bien ! Encule-moi comme une chienne ! Je suis ta petite chienne. »
Je jetais toutes mes forces sur ce cul offert et consentant, me délectant de l’entendre réagir à chaque fois que mes couilles venaient claquer contre son cul.
- « Put… je vais le démonter ton cul. »
- « Oui ! Vas-y ! Mon cul est à toi. Fais-en ce que tu veux… »
- « Il est tellement bon ton cul ! »
- « Ta queue aussi. Remplis-moi vite le cul que je puisse m’en occuper. »
Je n’eus pas le temps de lui répondre que je me vider à nouveau en elle. Avant que je ne puisse me retirer, elle m’arrêta :
- « Reste… Reste encore un peu. J’adore te sentir en moi. »
- « Je crois que je t’ai mis le paquet. »
- « Oui je sens ton sperme bien chaud qui coule encore... J’adore…»
- « Je crois que j’ai atteint mes limites… Je t’ai tout donné… »
A ses mots, elle se retira d’elle-même pour se retourner et me faire face. Elle s’empara de mon sexe pour me venir caresser les couilles et tout en portant mon sexe à sa bouche, elle ajouta en me jetant un regard perçant :
- « Je sens qu’il en reste encore là-dedans mais, ne t’inquiète pas, je suis là pour te les vider. Tu vas me vider tout ça… Où tu voudras du moment que c’est en moi. »

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