M. Le Principal
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Certaines jeunes personnes ne peuvent pas s'empêcher d'avoir un mauvais comportement. Et ces jeunes personnes ne semblent jamais apprendre. Et c'est là que j'interviens. Je suis le Principal du Lycée et cela fait partie de mon travail de veiller à ce que toutes ces jeunes personnes conservent l'attitude et l'étiquette appropriée. Et si elles ne veulent pas, elles font ma connaissance.
Mais je m'égare
Cette histoire commence en ville, et pas du tout à l'école.
Dans une rue de banlieue comme beaucoup d'autres, dans un petit pavillon avec les rideaux soigneusement fermés de peur que les voisins n'aperçoivent ce qui se passe à l'intérieur ...
"Es-tu prêt, mon chéri, ta petite écolière va sortir!" plaisantait Jessica, alors qu'elle ouvrait la porte de la chambre.
"Plus que prêt, bébé", répondit son mari Mike, sentant son excitation grandir.
Jessica et Mike aiment pimenter le sexe de petits jeux. Jessica adore se déguiser avec les costumes les plus sexy qu'elle peut imaginer, puis séduire son mari et l'exciter sans pudeur pendant qu'il prends des photos de son corps pulpeux et chaud. Invariablement, la séance de photos se termine avec Jessica sur le dos, ses cuisses écartées et la bite de son mari plongeant dans sa chatte humide.
Mais ce n'est que la première étape de leurs jeux sexy. Le plaisir augmente lorsque Mike charge les photos de Jessica dans l'ordinateur pour les mettre en ligne. Jessica imagine tous ces hommes excités qui caressent leurs grosses queues en regardant ses poses sexy dans ces tenues de salope effrontée. Mike aussi s'excite en imaginant tous ces hommes voulant baiser sa femme. Il rêve de la regarder se faire prendre par des queues enfoncées dans tous ses orifices.
Ensuite, assis devant leur écran, ils lisent les commentaires que les hommes ont envoyés au sujet de cette salope de Jessica:
"Je veux baiser ta femme et éjaculer sur ses gros seins!
Je viens de me branler sur la photo de ta femme et de lui éjaculer sur la gueule!
Avec sa bouche de pute, elle doit sucer comme une reine!"
Ils lisent les commentaires en se caressant mutuellement, laissant l'excitation monter doucement, avant que Jessica ne se retrouve sur le dos, cuisses écartées, avec la bite de son mari plongeant dans sa chatte humide.
Souvent, Mike attachait Jessica sur le lit et la baisait avec un gros gode noir pendant qu'elle pleurnichait et suppliait.
"T'aimes ça, être baisée par un nègre, n'est-ce pas? salope!"
"Admets-le, grosse pute! Tu devrais vendre ta chatte insignifiante aux hommes dans la rue, chienne!"
"Tu n'es bonne qu'à ça, grosse pute, n'est-ce pas? Admets-le!"
"Oh mon dieu, OUI, je veux qu'ils me baisent! Je veux qu'ils baisent tous ma chatte, tous ces hommes avec leurs grosses bites!"
Mike savait que les photos qu'ils mettaient en ligne, ce soir, rendraient fou de désir tous leurs abonnés. Jessica s'était surpassée cette fois-ci. Outrageusement maquillée, elle avait fait deux tresses avec ses longs cheveux bruns, agrémentés de jolis petits nuds. Son caraco de dentelle blanche ne cachait pratiquement rien de sa fabuleuse poitrine, et sa minijupe de tartan rouge, extrêmement courte, ne cachait rien de son absence de culotte. Ses longues jambes gainées de soie blanche et ses talons aiguilles complétaient sa tenue d'écolière sexy.
Mike commentait les photos qu'ils mettaient en ligne, Jessica à califourchon sur ses genoux, lui faisant face, montant et descendant avec sa chatte humide empalée sur son pieu rigide.
Au début, Mike et Jessica s'étaient rencontrés dans une partouze. Jessica avait pas mal bu et elle avait perdu la notion des choses. Elle se faisait baiser par tout un gang de jeunes gars, qui remplissaient chacun de ses trous de sperme. C'est quand Mike l'a vue, couverte de sperme, qu'il est tombé amoureux et qu'il a décidé de faire de cette petite salope sa femme.
Le lendemain, Mike et Jessica sont allé travailler. Jessica travaille à l'hôpital local en tant que laborantine. Bien sûr, au travail, Jessica s'habille normalement, même si sa longue blouse blanche souligne plus qu'elle ne couvre ses formes pulpeuses. Mais Jessica semblait attirer la population masculine de l'hôpital. Beaucoup de ces messieurs avaient quelque chose à faire dans ou près de son laboratoire, et passaient gentiment lui faire la bise, se frottant sans vergogne contre son opulente poitrine.
Quand elle rentra à la maison ce soir-là, elle trouva une lettre de son ancien lycée.
Elle l'ouvrit, supposant que c'était juste une invitation à une réunion de classe ou quelque chose comme ça.
Mais ensuite
"Nous avons le regret de vous informer ... en raison d'une erreur de calcul
nous avons constaté
un nombre de points insuffisants ... seulement deux jours ... assister à suffisamment de cours ... valider votre diplôme d'études secondaires. Dans le cas contraire
les exigences pour l'obtention de votre diplôme n'ayant pas été satisfaites
votre diplôme serait invalide
votre employeur ... dispositions immédiates
etc... Veuillez agréer ..."
Les jolis yeux de Jessica jetaient des éclairs lorsqu'elle termina sa lecture: "Les imbéciles! C'est tellement injuste! Comment peuvent-ils me retirer mon diplôme plus de 10 ans après! Je pourrais perdre mon travail parce qu'un idiot a commis une erreur!"
Mike l'a calmée en lui assurant que c'était juste une formalité, tout ce qu'elle avait à faire était de passer au collège, de prendre les dispositions nécessaires pour valider les points manquants, c'était juste l'affaire de quelques jours, qu'il était derrière elle, pas grave!
Le lendemain, Jessica posa quelques jours de congé, puis fit le détour en rentrant du travail, s'arrêtant au collège. Et c'est comme ça qu'elle est entrée dans mon bureau
"Donc vous voyez, M. le Principal" dit-elle d'une voix glaciale, "c'est vraiment une formalité idiote, je n'ai pas l'intention de perdre mon temps plusieurs jours ici, vous pouvez signer les formulaires de présence pour moi, c'est aussi simple que cela!"
Mon sexe gonflait doucement tandis que j'étais assis à mon bureau, regardant cette magnifique femelle. Ses seins opulents semblaient vouloir s'échapper du chandail serré qu'elle portait et je ne pouvais pas détacher mon regard d'eux. C'était ma chance et je n'allais pas la laisser passer. De plus, j'avais très envie de mater cette femme gâtée par la nature et qui me snobait.
Très sérieux, je pris ma voix la plus sévère: "Maintenant, écoutez ceci, jeune fille, je prends très au sérieux ma responsabilité d'éducateur, et il ne s'agit pas de formalité, mais il s'agit de diplôme!"
Ses yeux s'agrandirent sous la surprise et sa poitrine se souleva tandis que sa respiration s'accélérait de colère.
Je continuais sur le même ton: "Vous allez devoir répondre à toutes les exigences comme n'importe quel élève de cette école et vous respecterez toutes les règles de cette institution. Il n'y a pas de favoritisme ou de passe-droit ici, me comprenez-vous bien?"
Jessica n'avait aucune idée de ce quoi elle s'engageait, mais donna son accord, et elle sortit en hâte du bureau pour rentrer chez elle. Quand elle s'est plaint à Mike, il a ri et a dit de ne pas s'inquiéter, que ce serait fini avant qu'elle ne s'en rende compte.
Plus tard dans la soirée, Mike était allongé dans le lit contre Jessica et il commença à jouer avec son clitoris, la faisant gémir et vibrer sous ses doigts. "J'ai une idée, Jessica", dit-il en tripotant sa chatte duveteuse "Demain, j'aimerais que tu portes ta tenue d'écolière sexy au lycée, ça me semble approprié" il souriait méchamment en masturbant la chatte humide, conscient du pouvoir qu'il avait sur Jessica quand elle était dans cet état: "Oh, euh, oh mon dieu, je ne peux pas faire ça!" gémit Jessica. "Que vont-ils penser de moi?" Mike a plongé deux doigts dans sa chatte et, massant le clitoris avec son pouce, il a ajouté: "Ils vont penser que tu es une petite salope et tous ces jeunes adolescents boutonneux auront envie de baiser ta chatte, c'est ça qu'ils vont penser, Jessica! Et tu vas le faire pour les exciter, n'est-ce pas, petite pute? "
"Ooh! Mon Dieu! Oui! je le ferai, n'arrête pas, fais moi jouir! Ooh Mike, je serai ta petite écolière sexy, je te promets!"
Le lendemain, j'étais dans ma pièce secrète, derrière mon bureau, là où j'avais installé le système de surveillance perfectionné à mon arrivée au collège.
Bien sûr, j'avais consigné Jessica dans une pièce, comme c'était le cas pour beaucoup d'étudiantes, dirons-nous, troublantes.
Mais certains d'entre eux étaient des garçons, de jeunes athlètes. Beaucoup de noirs, des colosses, mis en difficulté scolaire, et qui risquaient de perdre leur bourse s'il ne redressaient pas la situation. Dans cette classe, deux étalons noirs de dix-huit ans, David et Jacques, qui faisaient des ravages auprès des filles du collège. Personne à l'école ne pouvait leur résister, mais ils savaient que je tenais leur avenir entre mes mains et ils se tenaient tranquille en ma présence.
La cloche a sonné et la classe a commencé à se remplir. Jessica apparut, se pavanant, ses gros seins exposés à l'envie, son ventre nu, ses longues jambes découvertes par la minuscule jupe plissée rouge, ses hauts talons qui claquaient sur le sol.
Mon sexe gonfla lentement dans mon pantalon tandis que je regardais cette petite salope s'approcher en se déhanchant du bureau du professeur. Chaque garçon dans la classe scrutaient fixement sous sa jupette tandis qu'elle se penchait délibérément pour remettre à l'enseignante sa paperasse. Sa petite culotte blanche parfaitement visible, elle resta penchée plus longtemps que nécessaire en souriant à l'enseignante, Mlle Greenwich. Mlle Greenwich, vieille fille sans grâce, lança à Jessica un regard que les femmes réservent aux bimbos, et ce regard disait: "Salope, je te hais!"
Jessica fut présentée à la classe puis elle se dirigea vers le siège qui lui a été désigné, le siège que je lui avais réservé, et pour lequel j'avais fortement insisté, ce siège se trouvant devant David, juste à côté de Jacques. Ils commencèrent immédiatement à commenter son anatomie remarquable, détaillant ses seins, ses fesses, ses cuisses, etc
Finalement, David tendit un crayon à Jessica pour le laisser tomber au sol à la dernière seconde, lorsqu'elle allait le saisir. Cela força Jessica à se pencher pour le ramasser, ses seins gigotants qui pendaient lourdement et clairement visibles à travers le haut transparent. Jacques ne pouvait pas résister et, comme prévu, il empoigna l'objet de sa convoitise, pinçant son mamelon brutalement, et soupesa le poids du sein tandis que David tendait la main pour palper ses fesses. Jessica cria de surprise et de douleur, le professeur leva les yeux, toute la classe s'esclaffa, il y eut un beau remue-ménage. Le visage rouge de colère, Mlle Greenwich envoya les trois perturbateurs chez le Principal, moi!
Quand ils sont arrivés, j'ai dit aux garçons de s'asseoir dans la salle d'attente et j'ai fait entrer Jessica dans mon bureau:
"M. le Principal" commença-t-elle rapidement "je n'y suis pour rien, ces garçons sont de terribles fauves!"
"Ne parlez pas tant vous n'y êtes pas invitée, mademoiselle!"
"Si vous souhaitez validez vos études secondaires et continuer votre carrière, vous devrez changer d'attitude et vous tenir de manière correcte, jeune fille!"
Jessica se tut immédiatement, totalement sous mon contrôle. Je regardais son corps époustouflant mis en valeur par son accoutrement de jeune salope. Pour les jours suivants, elle n'était plus sous la protection de son mari, elle était à moi, et j'espérais bien l'utiliser comme je l'avais prévu.
"Vous étiez en retard, ce matin, pour la rentrée en classe, Jessica" j'ai commencé. "Et puis cette tenue est inappropriée!"
Elle me regardait, anxieuse, puis baissa les yeux: "Mon mari voulait que je la porte" murmura-t-elle "C'était juste un petit jeu. Il voulait juste que je les allume un petit peu" dit-elle doucement, ses jolis yeux s'emplissaient de larmes.
Je lui tendis un mouchoir et je continuais de la sermonner: "Jessica, ce n'est pas un vêtement convenable pour l'école et vous le savez, ce jeu ne convient pas à une jeune fille, pour éviter que votre mauvais exemple ne se propage vous devrez être punie!"
J'ai sorti du tiroir du bas ce que j'appelle la «Discipline», une longue palette en chêne percée de trous. Je l'ai claqué sèchement sur le bureau avec un WHACK retentissant!
Laissant la palette à l'endroit où je l'avais posée, je me suis levé, j'ai contourné mon bureau en attrapant une chaise métallique que j'ai installée au centre de la pièce et je me suis assis dessus. Jessica était terrorisée, ses jolis yeux pleins de larmes. Je l'ai regardée sévèrement et lui ai dit: "Maintenant, ma chère Jessica, je n'aime pas être un homme violent mais vous devez apprendre la leçon. Normalement j'utilise la palette sur les fesses des jeunes personnes qui ont eu un mauvais comportement, mais aujourd'hui je ferais une exception. Venez ici, jeune fille, et installez-vous en travers de mes genoux immédiatement!"
Et, à mon plus grand plaisir, elle a obéi à mon ordre. Ma bite était raide et dure comme un roc tandis que cette respectable femme, laborantine à l'hôpital, se couchait en travers de mes genoux, sa minuscule jupe à carreaux découvrant son fessier rebondi et le fond de sa jolie culotte. Je soulevais sa minuscule jupette pour accéder à la ceinture de sa culotte, la faisant glisser jusqu'à ses genoux, découvrant son fantastique cul sans marque de bronzage. Je glissais une main sous elle et attrapais fermement un de ses seins presque nus, la chemisette transparente n'empêchait pas la chaleur de son sein de rayonner dans ma paume.
"C'est juste pour m'assurer que vous ne tomberez pas, ma chère" lui dis-je en agrippant la masse de chair pulpeuse.
"En fait, ça me fait de la peine de devoir faire ça, mais le devoir avant tout, les mauvaises filles doivent être punies!"
Après ça, j'ai posé ma main sur son cul nu, que j'ai caressé doucement pour qu'elle se calme.
Ma main palpait délicatement ce fabuleux cul à la peau soyeuse, à la chair tendre et ferme à la fois. Puis j'ai levé la main et WHACK! j'ai appliquée la première gifle sur la peau blanche."Ouche!" Elle s'est remis à pleurer doucement, je l'ai caressée, puis WHACK! encore une fois, une caresse, puis WHACK! Elle a commencé à gémir doucement alors que son cul rosissait.
"Là, là, voilà, c'est fini maintenant, chérie" je la consolais tout en caressant ses fesses rebondies.
"C'est fini maintenant, Jessica chérie" dis-je en massant son sein lourd d'une main et en palpant son cul nu de l'autre.
"Maintenant, tu comprends que tu mérites la punition Jessica ... je veux que tu l'admettes, dis-le maintenant ou je vais devoir recommencer à te fesser."
"OUI monsieur!" elle a dit doucement," j'ai été très très vilaine, et je mérite la punition M. Le Principal, s'il vous plaît, punissez-moi plus, j'ai été très très vilaine!"
J'ai commencé à glisser ma main entre ses cuisses serrées pour doigter sa chatte mouillée. Elle gémit et se tortilla sur mes genoux pour écarter les jambes, facilitant ainsi l'accès à sa chatte gourmande de caresses. J'écartais ses fesses serrées pour regarder son trou du cul, lillet brun semblait me faire un clin d'il.
"Lève-toi Jessica" lui ai-je ordonné "tu as raison, je ne pense pas que la leçon soit suffisante!"
Puis je l'ai conduite vers mon bureau et pendant qu'elle s'installait docilement les mains à plat sur le bureau, debout, jambes écartées, je l'ai dépouillée de tous ses vêtements de salope pour découvrir son corps fabuleux. Mes mains palpaient ses seins énormes, soupesant leur poids et pinçant les tétons, les étirant pour les faire saillir. Puis j'ai appuyé sur ses épaules pour qu'elle se penche jusqu'à ce que son visage s'appuie sur mon bureau en chêne et je l'ai attachée dans cette position, son cul se redressant comme une invitation charmante.
J'ai fais le tour du bureau pour me trouver face à elle, j'ai ouvert ma braguette et je lui ai ordonné: "Ouvre ta petite bouche impertinente, Jessica, et suce ma bite, voilà, lèche le gland. Comme ça, oui, c'est bien, bonne fille, suce bien!"
Elle a pris ma bite sans difficulté dans sa bouche tandis que je jouais avec ses seins et je lui ai dit:
"Ton mari, Mike, t'as dis de t'habiller comme une petite écolière sexy, Jessica, mais c'est ce qui arrive aux petites salopes coquines comme toi. Tu montres tes seins, les hommes veulent jouer avec eux et ensuite tu dois sucer leur bite comme une bonne petite pute, n'est-ce pas?" Jessica hocha la tête et continua frénétiquement à sucer ma bite, comme si elle était affamée de sperme.
J'ôtais brusquement ma bite de sa bouche et revenais derrière elle, écartant ses jambes pour caresser sa fente avec mon gland.
"Et quand tu portes des jupettes de salope comme aujourd'hui, les hommes voient ton petit cul quand tu t'assieds, Jessica, et leurs queues se raidissent et ils veulent te baiser, n'est-ce pas?"
"Ooh! Oui! Monsieur, je mérite d'être baisée durement, Monsieur!" elle gémissait, pendant que je plongeais ma bite dans sa chatte chaude et humide que j'ai baisée sauvagement, utilisant sans gêne cette chatte qui était autrefois la propriété de son mari mais qui m'appartenait maintenant. Je la baisais profondément dans sa chatte dégoulinante et je regardais avec ravissement cette belle femme se prêter à mon jeu au-delà de mes espérances.
"Tu as été très vilaine en te penchant devant tous ces jeunes gens dans la classe, Jessica! Tu as montré ta culotte et tes fesses à tous ces gamins pour les exciter! Tu as été très très vilaine, petite fille, et tu as besoin d'une punition spéciale. Chacun de ces garçons qui a vu ton cul, Jessica, est devenu très excité et leur queue a enflé, grosse et si douloureuse!"
Je lui saisis les hanches et heurtais ma queue au fond de sa chatte en lui disant: "Lorsqu'une petite écolière coquine comme toi montre son cul dans une mini jupette comme tu l'as fait, elle mérite la punition d'être baisée par le cul, Jessica, et tu le sais!"
Je sortis ma bite trempée de sa chatte juvénile et écartais le sillon de ses fesses, plaçais ma bite contre son illet brun, puis je la pénétrais d'une seule poussée dans son trou du cul serré jusqu'à ce que mon pubis heurte son cul
"Ooh! Mon Dieu! Oui!" Elle a couiné "Ooh mon Dieu, baisez mon cul plus fort, j'étais si méchante, j'étais sacrément salope!"
Je me saisis de la palette, inséra la poignée dans la chatte de Jessica et je lui baisais la chatte avec, tandis que ma bite défonçait son cul. "Est-ce que c'est ce que voulait ton mari, petite polissonne? " sifflai-je à son oreille.
"Est-ce que c'est ce qu'il voulait quand il t'a envoyé à l'école habillée comme une vilaine petite coquine? Il voulait que tu te fasses baiser la chatte et le cul comme une petite pute?"
"OUI! Ooh, Oui! Il aime regarder quand je me fais baiser par d'autres hommes et j'aime ça aussi! Ooh Putain! Je Vais Jouir! Je! Ooh Putain! Je Jouis! Ooh Putain! Baise Mon Cul! Fort! Plus Fort! Baise-Moi, Putain!"
Et tandis que son orgasme se finissait dans un râle, je remplissais son joli petit cul vicieux avec mon sperme.
Quand j'ai eu fini de me vider, je suis revenu face à elle pour lui présenter ma bite, elle l'a prise en bouche et l'a nettoyée sans poser de questions, comme la bonne petite fille bien éduquée à qui j'enseignais la leçon.
J'ai laissé Jessica là, attachée nue sur le bureau, je me suis rhabillé, je suis allé ouvrir la porte, et j'ai demandé à Jacques et David:
"J'ai besoin de deux jeunes hommes vigoureux ici pour terminer la leçon!"
Les yeux des garçons s'écarquillèrent devant le spectacle de la jeune femme blanche attachée nue sur le bureau devant eux.
Leurs queues commençaient à gonfler le devant de leur pantalon à la vue de ce corps offert quand je leur ai dit:
"Voilà, les garçons! Vous n'êtes pas irréprochables dans cette affaire, vous avez taquiné Jessica et vous avez fait du chahut en classe!
Mais j'ai expliqué à cette jeune femme que la tenue dévergondée qu'elle a portée en classe est la cause de ces débordements, car sa toilette a excité les hormones des jeunes hommes et les a conduit à un comportement extrême. Maintenant que j'ai montré à Jessica son erreur de costume, j'aimerais que vous m'aidiez, disons, à accen la leçon, pour être sûr qu'elle a bien compris et qu'elle ne refera plus cette erreur de conduite!"
Jacques me regarda, incrédule, et dit: "Ça veux dire qu'on peux baiser cette putain blanche pendant que tu regardes? ... Bordel, je vais me vider les couilles dans cette petite chienne blanche!"
Aussitôt, Jacques et David se sont déshabillés, exposant leur musculature de jeunes athlètes. Les yeux de Jessica brillaient de désir en détaillant leur corps d'ébène mais quand ils enlevèrent leurs sous-vêtements, ses yeux faillirent jaillir de sa tête.
"Ooh Mon Dieu!" Elle se lamentait en voyant David placer son énorme pieu noir à l'entrée de sa petite chatte blanche.
"Ooh! Merde! Le salaud! C'est trop gros, il va me déchirer! Non! Oh putain! Il m'ouvre en deux! Ooh!
Ooh! C'est tellement bon! Putain! Il me remplit toute! Baise ma chatte! Baise moi fort!"
Jacques se plaça face à elle et lui présenta sa grosse tige noire en disant: "Suce-moi ça, salope, mouille bien, lèche le gland, la tige aussi, n'oublie pas de me sucer les couilles, allez salope, ta grande gueule est faite pour sucer des bites! Des bites noires, c'est les meilleures, suce, salope!"
Jessica prenait du plaisir à lécher et à sucer sa bite noire, enroulant ses lèvres pulpeuses autour du gland.
"Ton salaud de mari t'habille comme une pute et tu aimes ça, hein salope? Eh bien ce soir, il pourra embrasser la bouche qui a sucé ma grosse bite noire, et il va aimer ça, hein, salope?" Jacques accentuait son balancement des hanches, s'enfonçant profondément dans la gorge docile de la jeune femme.
David baisait la petite chatte blanche, la bourrant profondément, heurtant de son gland le fond du vagin:
"C'est ça qu'il te faut, Jessica, une grosse queue noire pour élargir ta petite chatte blanche, quand j'aurai fini de t'élargir la chatte ton mari ne pourra plus se servir de toi avec sa petite queue blanche!"
Jacques sortit sa bite dégoulinante de la bouche de Jessica et la glissa entre ses grosses mamelles. Sa queue luisante de salive coulissait facilement entre ses seins.
"J'ai voulu te baiser à la minute où je t'ai vue dans cette putain de tenue de pute blanche bon marché, et maintenant je vais éjaculer partout sur toi, chienne!"
Il déchargea son foutre entre ses seins, puis s'essuya sur son visage et ses cheveux.
Par mimétisme, David se figea, plongeant sa queue au fond du vagin fertile et sans protection de Jessica, et la remplit de son sperme viril. Son sexe dégoulinant de jus mélangés, il le retira d'une Jessica frissonnante de son dernier orgasme. Ensuite, les deux jeunes taureaux échangèrent leurs places, David se faisant sucer la queue tandis que Jacques lui défonçait la chatte à grands coups de rein, avant de décharger son sperme vigoureux au fond de sa vulve fertile.
"Ramène chez toi cette chatte de salope pleine de sperme à ton mari, un petit cadeau pour lui apprendre ce qui se passe quand il habille sa femme en pute et qu'il la laisse sans surveillance."
Les garçons se rhabillèrent et partirent.
Après leur départ, je lui ai fais remettre sa tenue d'écolière sexy, puis elle s'est agenouillée devant moi et j'ai sorti ma queue pour me caresser devant elle. J'ai éjaculé mon foutre en visant volontairement son chemisier sur son opulente poitrine, l'arrosant de mon jus collant. Puis j'ai essuyé ma queue sur ses cheveux.
En signant son formulaire de présence pour ce jour-là, je lui ai dit que j'avais hâte de la voir le lendemain matin.
Je sentais qu'elle avait assez bien compris sa leçon, mais on n'a jamais fini d'apprendre, bien sûr.
Puis je l'ai renvoyée chez elle et, tandis qu'elle marchait dans le couloir, couverte de sperme, tous les garçons de l'école savaient qu'elle venait de se faire baiser dans tous ses orifices.
Mais bon, c'est la punition des vilaines petites filles, n'est-ce pas?
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