Quatuor (5)- Le Cadeau De Marion

Résumé des épisodes précédents : "La révélation", "Marion à la maison", ”Après midi filles” et “La clé USB”.
Dans les quatre premiers volets de cette histoire, un couple de quadras, Fred et Caro, tombent par hasard à la boulangerie sur leur baby-sitter Élodie (moi) qui leur présente Marion, sa «petite» copine. L’étudiante asexuée s’est soudain dévoilée en lesbienne vivant avec une gourmande qui n’avait pas froid aux yeux.
Caro fantasme régulièrement, depuis un certain temps, sur l’envie de voir son homme faire l’amour à d’autres femmes, en particulier une du style de Marion.
Caro propose à Élodie d’inviter sa copine à la rejoindre chez eux lors de sa prochaine soirée de baby-sitting. Une fois Caro et Fred rentrés tard dans la nuit, ils font l’amour sans se douter que la cloison entre leur chambre et celle des deux filles leur permet de suivre leurs ébats.
Les filles décident de passer une après-midi ensemble pour un atelier masque et manucure avec fraises et champagne. Marion laisse volontairement sur la table une clé USB avec des photos sensuelles et une sex tape. Caro et Fred font l’amour en la regardant. Elodie vient chercher la clé le lendemain et embrasse Caro sur la bouche à nouveau. Elles s’avouent qu’elles aimeraient bien voir Marion et Fred faire l’amour. Elodie laisse un cadeau de la part de Marion et s’en va.
Nous poursuivons donc cette petite arnaque sensuelle par un cinquième opus où le jeu a toute sa place, pour tout dévoiler aux voyeurs que vous êtes. Bonne lecture et faites-vous plaisir.

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Caro était émerveillée par le tournant que prenait sa vie intime. D’abord, cette complicité vraiment plaisante qu’elle entretenait avec sa douce baby-sitter qui lui avait avoué être amoureuse d’elle. Ensuite, par le ressenti brûlant de l’avoir embrassée si naturellement, à quelque reprises. Elle qui n’avait jamais encore été attirée par une femme trouvait cela très doux.

Puis il y avait ce projet où elle sentait un rapprochement inéluctable entre la terrible Marion et son petit mari Fred.

Toute à ses rêveries, en s’occupant d’une lessive, Caro ne savait comment profiter du double cadeau que lui avait fait Marion, par le biais d’Elodie. La clé USB, d’abord, continuerait à alimenter les jeux et fantasmes de son couple. Et ce petit cadeau… Elle décida d’attendre et de l’ouvrir avec Fred, sans imaginer une seconde ce qu’il pouvait contenir.

Fred rentra en fin de matinée accompagné des trois garçons. Les petits footeux commencèrent à se relayer sous la douche pendant que les amoureux débriefèrent leurs matinées respectives… Fred mourrait de savoir comment s’était passé le rencard avec Elodie … Caro ne lui avait envoyé aucun texto et son silence couplé à son regard en rentrant en disait long sur son trouble. Ils s’enfermèrent vite fait dans leur chambre à double tour. Caro n’osa pas lui parler des petits baisers échangés avec Elodie, comme si cela était un détail. Mais elle lui montra la clé USB et le regard vicieux du mari s’illumina.

- Quoi ? Elle t’a laissé la clé à la demande de Marion ? Elle est vraiment folle celle-là !

- Et ce n’est pas tout mon amour, Marion nous a fait un petit cadeau en plus...

- Un sex-toy tu paries ?

N’en tenant plus d’attendre, Caro alla droit au but et déchira le cadeau remis par la timide baby-sitter. Non sans surprise et avec énormément de désir dans leurs regards, les amoureux reconnurent tout de suite le magnifique maillot de bain blanc que portait Marion sur les photos intimes découvertes la veille pendant leur visionnage de la clé USB. Fred sans un mot, par un simple regard équivoque, en se pinçant la lèvre inférieure signifia à sa femme qu’il appréciait beaucoup cette forme d’offrande.

- Elle est folle cette Marion

Caro, toute émoustillée de s’imaginer se muer en Marion au travers de ce maillot de bain, telle une dédicace coquine pour les époux, posa le haut du maillot sur ses seins.
Fred bandait et se trouvait à l’étroit dans son boxer et son short.

- Oui mon chéri elle est vraiment dingue

Il s’assit sur le lit pendant que sa femme faisait semblant d’ajuster le maillot de bain sur sa poitrine. Marion et Caro n’avaient pas exactement la même taille, due à leurs différences d’âges ou à leurs vécus de femme, ou de mère. L’ensemble était réglable et devait permettre sans mal à Caro de se transformer en Marion avec sa jolie poitrine qui remplirait si bien les bonnets blancs. Fred bandait ferme, ce qui permit à Caro de se rassurer sur l’effet qu’elle faisait à son petit chéri. Elle savait ne pas disposer de beaucoup de temps pour un câlin complet…

- J’ai trop envie que tu me prennes ce soir en imaginant que c’est elle que tu baises … dans son petit maillot de bain blanc, qui ne cache rien de nos atouts…

- Regarde ma chérie, j’ai bandé directement en t’imaginant en Marion

Fred se mit à l’aise sur le lit en glissant short et boxer à ses pieds. Caro s’approcha dangereusement de lui

- Dommage que les garçons soient dans la maison...

Animale, Caro huma le tissu pour retrouver le parfum de Marion

- Sens moi l’odeur de cette salope

Fred se saisit du maillot de bain pour le sentir. Caro en profita pour tomber aux genoux de son homme. Elle lui goba le gland directement en prenant soin de malaxer ses belles couilles.

- Je te parie qu’elle s’est caressée avec le maillot avant de nous l’offrir

Elle enfonça sa gorge autour de la bite de son homme avec un appétit à couper le souffle. Puis elle contempla sa salive qui coulait vers ses testicules, et la turgescence des veines tellement il était excité.

- S’il faut c’est Elodie qui l’a caressée, va savoir

Elle frotta sa tige avec le tissu du maillot de bain. Fred de son côté, surpris par cette attaque féline devait lutter pour ne pas faire trop de bruit.

- Pense à elle, je suis cette belle salope de Marion, pour toi mon amour .
..

Caro avait un regard de braise, le feu était en elle. Avec dextérité, sans réfléchir, elle enroula les couilles et la base du sexe de son homme avec les fines cordelettes du maillot de bain. Elle avait réussi à faire un joli fagot et apprécia beaucoup de pouvoir sucer ce gland offert, en maintenant une forte pression sur les ficelles pour faire tendre la queue toujours un peu plus.

- Pense à elle, à ces deux beaux seins que t’as envie de peloter…

Cette délicate douleur n’était pas pour déplaire à Fred. Il savait que Caro le ferait jouir dans cette position, qu’elle le ferait monter au bord de l’orgasme et qu’en relâchant la pression sur les liens, il lâcherait toute la semence contenue en lui… Elle voulait qu’il expulse son désir de Marion dans son maillot de bain…

- Pense à sa petite chatte en feu quand elle te verra tout bandé pour la baiser…

Caro frotta sa poitrine et ses tétons dressés tout contre le sexe de son mari, tout en le frictionnant d’une main, avec la moitié de sa bite emmaillotée dans le triangle soyeux du bikini. Seul le gland dépassait de cet ouvrage et il s'empourpra à vue d’œil. Il ne tiendrait plus trop longtemps lorsque sa femme lui souffla :

- Pense que c’est elle qui te masturbe là…

Fred n’en pouvait plus et imagina tellement bien la scène qu’il se crispa net, jambes tendues, doigts de pied redressés, signalant l'imminence de son plaisir… Caro le regarda, avec l’esprit en ébullition, dans un état second, elle libéra les liens et la tension dans le bas ventre de son Fred. Les deux boules mâles explosèrent.

- C’est elle qui est là nue, à côté de toi, à tortiller du cul, tu la doigte, elle inonde ta main, elle est là, à te lécher ton gland… Vas-y, … hum, vas-y penses à elle...


Elle scruta avec passion, exaltation et fierté la liqueur masculine se répandre dans le petit maillot de bain de Marion. Elle avait de quoi être fière car elle venait de franchir un cap, elle regarda Fred droit dans les yeux

- Tu prendras bientôt son corps de coquine et tu la baiseras devant moi

Marion avec ces cadeaux s’invitait dans leurs fantasmes, en matant des photos ou des vidéos d’elle, en utilisant son maillot de bain offert comme un catalyseur.
Caro voulait une suite à tout ça, elle ne pouvait plus reculer. Elle vivrait pleinement son envie en se libérant de ses peurs, de ses réticences, de ses principes...


*
* *

Après un déjeuner copieux pour tous, les sportifs comme les parents s’entendirent sur l’organisation de leur après-midi. Le petit dernier était attendu pour un anniversaire chez un copain dans le village d’à côté et les deux grands avaient prévu une après-midi jeux vidéo chez un voisin à l’autre bout de leur rue.


Le couple, malgré le temps libre que leur offrait cette belle après-midi, avaient décidés de faire des travaux sur l’abri de jardin. Ils venaient de se mettre au travail quand une voix pleine d’énergie se fit entendre

- Coucou c’est Marion !

Caro bondit car elle ne s'attendait absolument pas à cette visite. Décidément Marion était la reine des surprises. La tête de la blonde volubile passa à l’angle de la maison. Elle s’avança vers Caro et Fred comme si elle était chez elle.

- Elodie est en pleine révision et m’a mise à la porte car je fais trop de bruit. Alors je suis passé à tout hasard. Vous bricolez ?
Caro eut un gros doute sur ce hasard bienheureux qui eut le mérite de faire bander Fred sur le champ. Il portait le petit short que Caro adorait car il lui moulait bien ses fesses, et du coup aussi ses attributs.
- On répare le toit de l’abri de jardin, rien de trop compliqué
Il faisait clairement chaud, nous étions fin Juin, la météo était au beau fixe. Tout le monde était à l’aise.
- Ce maillot te va à ravir lâcha Marion en embrassant Caro. Tu es trop belle.
Caro portait le fameux cadeau à la demande de Fred qui avait bien l’intention de faire du sexy bricolage, histoire de se motiver. Caro n’avait que le haut qui lui cachait ses seins et malgré un petit short en jean, on devinait les attaches blanches du bas du maillot de bain qui dépassaient un peu sur ses hanches. Le même maillot que Caro et Fred avait réussi à bien souiller deux heures plus tôt lors de cet épisode masturbatoire mémorable.
- Oui merci c’est un cadeau qui plaît beaucoup à mon chéri, n’est-ce pas Fred ? Caro gênée aux entournures essaya de détourner l’attention vers Fred
- Oui… euh …
Le trouble de Fred s’accentua quand Marion l’embrassa pour le saluer :
- Je peux vous aider ?
- Euh…. Ben oui…
Caro et Fred sous l’effet de cette visite surprise étaient timides comme deux ados amoureux transits.
- J’adore apprendre à bricoler. Mon père m’a déjà montré plein de trucs.
- Il y en a pour deux heures max, une peut être si on s’y met à trois !
- Super. Caro t’aurais pas un tee shirt de bricolage à me prêter, un vieux truc ?
- Si bien sûr, suis-moi.
Marion pris Caro par la main, à sa grande surprise. Ce n’était pas un geste anodin. Caro ne prenait jamais la main de ses copines depuis qu’elle avait quitté l’adolescence. Elle n’en menait pas large et elles partirent toutes les deux vers la maison. Fred les regarda s’éloigner. Il bandait à mort. Décidément cette Marion était pleine de vie et d’initiatives. Elle allait de l’avant dans ses projets. Caro cherchait un truc du côté de sa penderie.
- J’aurai préféré quelque chose de Fred, j’aime être à l’aise pour bricoler.
Caro marqua un temps d'arrêt. Bien sûr il fallait qu’elle lui prête un vêtement de son chéri, comme symboliquement lui prêter son mari. Cette diablesse savait y faire. Caro changea de penderie. Marion avait déjà quitté son débardeur et se retrouvait en soutien-gorge dans la chambre, porte ouverte.
- Tiens ce tee-shirt blanc fera l’affaire non ?
Marion avait pointé le tee-shirt préféré de Fred. Comment l'avait-elle devinée ? Il ne l’aurait jamais porté pour bricoler. Marion ôta son soutien-gorge et se retrouva seins à l’air dans la chambre du couple. Une incursion sans vergogne dans leur intimité, d’autant plus qu’elle posa sa lingerie sur le lit matrimonial.
- Parfait, merci.
Marion rangea soutien-gorge et débardeur dans son sac et s’éclipsa vers le jardin. Elle fit un nœud avec le tee-shirt trop grand pour elle afin de dévoiler un petit ventre blond et son nombril piercé. Comment Fred allait-il pouvoir rester insensible à cette femme qui arrivait droit vers lui, au regard inquisiteur pour analyser son petit effet sur lui.
- Je suis prête pour bricoler Monsieur le Professeur
Rien ne pouvait rendre Fred plus fier que d’être affublé de ce sobriquet par cette jeune fille pas féroce. Elle s'attacha les cheveux avec un chouchou, geste faisant remonter ses tétons dressés à fleur du tissu. Fred ne pouvait ignorer qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.
- J’adore apprendre plein de choses et avec votre expérience je suis sûre que vous allez être un prof idéal sur beaucoup de plans.
Marion faisait sa ta tentatrice. Fred ne doutait absolument pas qu’elle soit débrouillarde. Cette petite garce prenait des initiatives gonflées.
Caro ne tarda pas à les rejoindre. Ils commencèrent par débarrasser l’ancienne couverture. Puis au sol, avec une scie circulaire, ils purent débiter le bois pour le stocker facilement afin de l’emmener plus tard en déchèterie. Ne voulant pas qu’elle se blesse, Fred lui montra comment fonctionnait la machine avec beaucoup de pédagogie.
Il commença par lui expliquer la position de coupe en sécurité pour éviter tout accident. A son tour elle prit place, Fred se positionnant derrière elle pour l’accompagner dans ses mouvements. Il avait mis sa main sur la sienne et surtout, son corps tout contre le sien. Il avait essayé de se concentrer sur ses explications, évitant qu’elle devine à son contact la bosse qui déformait son bermuda… tout contre ses fesses moulées par son petit short sexy …
Fred était retourné sur le toit, pour se calmer, afin de poursuivre ses travaux, mais il continuait de la mater à distance. Comment la faire craquer, comment lui dire qu’il la désirait physiquement… Avait-elle ressenti son trouble derrière elle ? Avait-elle apprécié ce contact ? Aurait-il dû l'embrasser dans le cou devant Caro ?
Après une grosse heure de bricolage et de tension sexuelle tout était terminé et très beau :
- On va quand même plus vite à trois...
- Mince pourtant plus c’est long plus c’est bon
Marion avait égrené comme cela des messages à clés suggestifs tout au long de leurs échanges. La pause avait sonné, Marion et Caro partirent vers la maison pour revenir avec une carafe d’eau glacée, et 3 verres :
- Descendez de là-haut et venez-vous mettre un peu à l’ombre du chalet. Je vous offre un verre, Monsieur le professeur !! lui dit-elle avec un clin d’œil.
Marion venait à nouveau de le vouvoyer, contrairement à d’habitude. Fred avait bien soif, il devait calmer ses ardeurs et refroidir son esprit… Dans le chalet, Marion avait déjà rempli les grands verres d’eau avec quelques glaçons. Cela leur ferait du bien. Ils trinquèrent, Fred ne pouvant pas décoller son regard de sa poitrine qui ondulait en fonction de sa respiration. Fred savait l’effet que faisait une poitrine nue dans un tee-shirt fin. D’autant plus que Marion adorait visiblement exhiber ses petits seins nus sous le tee-shirt de Fred, un cadeau de sa Caro en plus.
Elle avait toujours le nombril à l’air, la peau de son ventre dorée et le piercing saillant. Fred aimait ses postures, la sensualité dans ses mouvements, ses regards brûlants, les courbes de son corps, et ressentait le désir monter en eux. “Rhooo la coquine…”, pensa-t-il avec envie.
En voyant que Fred avait repéré son petit jeu, Marion loupa l’entrée de sa bouche avec son verre et l’eau glacée coula sur son cou, mouillant un peu son tee-shirt… Cet acte manqué déclencha chez elle un regard coquin en direction de Fred :
- Oups, désolée, quelle idiote, j’ai renversé… Un grand sourire malicieux illuminait son visage…
- Vous êtes troublée jeune fille ? Fred posa son verre et s'appuya sur l’établi…
- Pas fait exprès mais cela fait du bien, … j’ai beaucoup trop chaud…. On commençait à rôtir dehors.
Marion vida son verre sur son tee-shirt avec malice
- Pffff j’ai vraiment trop chaud
L’eau glacée eut pour effet immédiat de rendre la belle poitrine de Marion plus transparente au travers de son tee-shirt qui ne cachait plus grand chose. La froideur de l’eau fit dresser instantanément ses tétons. Fred était ravi de la situation… Deux beaux mamelons turgescents pointaient dans sa direction et semblaient le supplier d’approcher…
Caro se tenait impassible, ébahie et troublée par le comportement de plus en plus tendancieux de son mari et de cette Marion plus allumeuse que jamais. Marion reprit :
- Faut pas me regarder comme cela vous deux, c’est gênant...
Le sexe de Fred avait réagi dans son short et le regard de Caro trahissait son excitation. La tension érotique était maximale dans le huis clos du cabanon. Marion remplit à nouveau son verre d’eau glacé et ni une ni deux elle le jeta en direction de Fred et de Caro afin qu’ils se retrouvent mouillés à leur tour. Elle essaya de s’enfuir mais Fred bloquait la sortie. S’en suivit une petite bagarre où Fred versa à son tour le contenu de son verre sur les cheveux de l’audacieuse Marion.
Les contacts des corps et les rires emmêlés firent leur effet. Bloqué par la force de Fred, Marion finit par capituler. Elle adora perdre cette partie et s’imagina devoir céder sous la force de ses coups de queue, lorsqu’il la posséderait. Marion fondait sur place en imaginant des scènes qu’elle avait entendu au travers de la cloison l’autre nuit, quand Fred prenait Caro, à leur retour de soirée.
L’époux lui avait attrapé ses poignets et l’avait serré à la taille, collé contre elle dans son dos, sans pouvoir lui cacher son érection. Il la força à vider ce qui restait de son verre entre ses seins et cela mouilla complètement son haut blanc devenu transparent…
- Faut pas énerver son Professeur
Fred sachant qu’il avait gagné diminua son emprise sur Marion et la laissa s’échapper. Il retira son tee-shirt tout mouillé et froid pour l’essorer. Fervente adepte de l’égalité des sexes, Marion, sans gêne, retira le sien pour faire de même. Emportée dans ce tourbillon amusant, Caro fit de même. Elle non plus ne portait pas de soutien-gorge. Tous trois essoraient leur tee-shirt en rigolant.
Fred était aux anges devant ses deux poitrines de femmes nues et magnifiques. Il n’avait jamais aimé les seins refaits qu’il avait déjà vus sur les sites pornos sur lesquels il surfait. Là, devant lui, se trouvaient deux belles poitrines naturelles. Il était subjugué par l’eau froide qui perlait en gouttelettes sur leur peau douce et cuivrée…. Il se retient de se jeter sur elles pour leur manger les seins… il leur devait plus de délicatesse, de tendresse… Il aurait prochainement le loisir ou le luxe de se lâcher avec cette terrible Marion.
Évidemment, il était impossible pour lui de contenir son érection… plus bas dans son short…
Marion remit son petit débardeur sec qu’elle avait rangé dans son grand sac et y déposa le tee-shirt mouillé.
- Merci c’était trop sympa ce cours de bricolage. Je dois filer surveiller si Elodie a bien fait ses devoirs. Je te ramènerai le tee-shirt demain Caro. Bise les amoureux
Marion fila à l’anglaise, aussi vite qu’elle était arrivée, sans les embrasser, comme pour éviter tout contact. Caro et Fred se retrouvèrent tous les deux torses nus dans la cabane avec une irrépressible envie de se jeter l’une sur l’autre.

*
* *

Fred et Caro partirent dans un grand éclat de rire nerveux. Un fou rire partagé et complice :

- Elle est dingue cette Marion !
- Et toi super sexy ma louve.

Le mari attrapa un glaçon dans l’un de leurs verres et commença à le faire tourner autour des lèvres esquisses de sa femme. Puis il s’amusa à faire dresser encore plus ses tétons en passant le glaçon sur sa poitrine et sur ses extrémités délicates toujours extrêmement fermes.

Leur baiser échangé fut assez torride… il ressentit mille sensations au travers de cet échange…

Il lui déposa naturellement un doux baiser sur le front. Caro se blottit contre le torse de son homme et pressa sa poitrine trempée contre lui. Fred frissonna en percevant ses mamelons pointant contre sa peau… Leur baiser dura un moment. Fred était en feu… dur de partout…. Comment basculer dans l’irréel avec son épouse dans ce chalet ?

- J’ai trop envie de toi ma Louve
Fred poussa Caro contre le mur. Il n’y avait guère de confort dans ce débarras en plein travaux … Il avait envie d’explorer son corps, de lui montrer ce dont il était capable de faire… Dans ses yeux elle perçut tout le désir charnel qu’il avait en lui, et le contact récent de la tornade Marion y était pour beaucoup. Caro appuya sur les épaules de Fred avec instance pour positionner sa tête entre ses seins. Il en profita pour les embrasser tendrement, les suçoter, les gober … Il prit un téton entre ses lèvres, ses dents… et le mordilla un peu pour en éprouver la tenue, la fermeté… Elle tressaillit sous cette emprise et ses délicates morsures… Humm l’autre sein étant jaloux, il décala sa bouche pour s’occuper du deuxième bonbon offert à ses succions…
- Tu me rends folle Fred
Caro en maintenant la tête de son amour sur ses seins savoura ses bisous, ses léchouilles. Il avait mis au service de son plaisir sa langue fine et avide pour lui sucer adroitement ses mamelons, ses aréoles et l’entièreté de sa belle poitrine naturelle.
Le mari remonta son visage vers celui de son épouse pour la galocher follement. Il aimait jouer avec sa langue dans sa bouche, il lui aspirait entre ses lèvres. Il avait envie de tout d’elle… elle le faisait perdre le contrôle. Tendrement, amoureusement, ils se sont embrasés. Elle, lui caressant le torse, passant ses mains dans son dos pour lui griffer la peau de ses ongles parfaits. Elle ressentait au travers de leur étreinte son fort désir. Ses mains descendirent vers son petit short craquant, vers ses fesses d’abord. Puis ses doigts glissèrent dans le short et par devant, s’emparant de l’objet désiré pour en palper les contours, la longueur, la dureté… Elle ne voulait pas aller trop vite, bien qu’en ayant très envie…
- J’en peux plus Fred
Fred replaça sa tête dans la poitrine de sa louve, ses deux mains empaumaient chacun de ses seins. Il immobilisa Caro dans cette position de douce soumission pour agréablement peloter sa poitrine, comme il l’avait fait lors de leurs premières fois. Il faisait si chaud dans le chalet que la poitrine de Caro était déjà « sèche » de sa précédente « inondation ». Fred reprit un glaçon dans un verre pour poursuivre ses jeux coquins…et il ne tarda pas à fondre entre ses deux globes parfaits et sous ses coups de langue.
- Tes seins sont sublimes mon amour
N’en tenant plus de ce torride plaisir, Caro appuya sur les larges épaules de Fred pour l'inciter ainsi à descendre plus bas…Il était à genoux devant elle, lui tenant la taille, bisouillant son ventre, tournant sa langue autour de son nombril, remontant aussi ses mains pour continuer de lui caresser, lui dorloter sa voluptueuse poitrine qu’il affectionnait vraiment beaucoup… Les yeux dans les yeux, il implorait son regard pour connaître la suite recherchée. Il avait ses mains sur le rebord de son short … il voulait finir de la déshabiller. En quittant son regard bouillant, et refermant les yeux, il sentit que Caro s’abandonnait complètement à lui, à leurs désirs mutuels.
- Je te veux mon chéri
Fred lui fit descendre son short, avec une infinie lenteur comme pour la faire mariner. Il se concentra ensuite sur le triangle blanc du maillot de bain offert par Marion. Ce monokini à lacets ne cachait presque plus rien de ses trésors intimes. Elle lui plaqua la tête sans sommation sur son sexe, au travers du fin tissu. Toute langue sortie, il furetait pour lui soutirer des gémissements de plaisir… Elle écarta d’elle-même le vêtement pour offrir à ses succions son magnifique minou tellement convoité. Il aimait lui faire des cunnilingus.
- Je t’aime ma Louve, parvint-il à souffler dans la moiteur de leurs ébats.
Caro lui plaisait, son corps, ses formes, ses courbes, sa poitrine, son sexe, tout lui plaisait. Il la léchait longuement avec application, et il fut encouragé par les râles de plaisir qui commencèrent à sortir de la bouche de sa chérie. Elle insistait sur son prénom et devenait vocale, comme à chaque fois qu’elle perdait pied :
- Fred, Fred, vas-y, c’est bon, continue…
Il adorait se sentir utile, agréable, et bon amant ! Il aimait la sentir arriver à ce point de désir, partager ces moments avec elle. Il aimait sa maturité, son air sexy, son regard de braise…. Ils avaient dépassé les limites… Tout irait vite ensuite…
- Fred tu me rend folle, souffla-t-elle en basculant la tête en arrière.
Sans jouir mais en mouillant abondamment, Caro transcrivait son indicible désir. Elle avait bien appuyé sur la tête mâle entre ses jambes que maintenant elle lui tirait presque les cheveux pour qu’il remonte…
- Fred, viens, …prends-moi comme tu prendras Marion, parvint-elle à dire en un souffle, en forme de supplication, de soulagement…
Fred se redressa, bien en appui sur ses jambes solides… Caro se retourna vite pour s’accouder à la paroi du chalet, lui offrant sa croupe… Fred baissa son short et présenta son sexe dressé contre le sien…
La suite fut une cavalcade vers le plaisir. Le désir accumulé jusque-là fut décuplé dans une débauche d’énergie, de coups de rein, en route vers l’ascension finale.
Caro ne se souciait guère du confort spartiate des lieux, elle l’avait en elle et le tenait bien au chaud, bien serré.
Elle se concentrait sur ses sensations, sur le plaisir bestial centré dans son ventre, entre ses jambes… Des frissons brûlants, et des frissons glacés lui parcoururent l’échine dans la montée du plaisir.
- Oui Fred prends moi, défonce-moi comme si j’étais cette petite salope de Marion.
Cette simple idée renforça encore la vigueur et la fougue du mari. Il en fallait peu à Fred pour s’imaginer en train de baiser la chaude copine de la baby-sitter.
Caro ne s’était absolument pas retenue de jouir bruyamment quand il lâcha tout de son côté. On peut dire que cet orgasme avait été violent dans l’intensité et bouillonnant dans leurs entrailles. Ils l’avaient surtout partagé en complicité, en échange, en émotions !
Difficile de décrire la suite… Elle s’est redressée vers lui, de dos… Il l'a prise dans ses bras, il lui a offert des bisous dans le cou, lui a caressé avec infinie tendresse sa peau, ses bras, son ventre, sa poitrine… Ils avaient déjà envie de recommencer… elle s’est tournée vers lui, lui a attrapé le visage de ses deux mains et l’a longuement embrassé.

Quand soudain la porte s’entrebâilla et un grand soleil rentra dans le cabanon avec l’ombre de Marion dans le fond :
- Waouh, pas mal les amoureux !
Le couple bondit. Marion était dans l'embrasure de la porte.

- Un peu bruyant quand même, faites attention aux voisins…

Caro sentit ses joues s’empourprer. Marion ramassa son sac à main qu’elle avait visiblement oublié. Bizarre car Fred pensait l’avoir vue le prendre en partant. L'avait-elle reposé là pour se donner l’excuse de revenir ? Après tout, Marion ne pouvait pas ignorer ce qui allait se passer entre eux après les avoir laissés dans cet état dans la cabane ? C’est elle qui avait allumé le feu.

- Quand Elodie va savoir cela ….

L’appareil photo du portable de Marion crépita

- A demain peut-être les amoureux ….

Marion déposa un baiser rapide sur les lèvres de Caro.

- Au fait la vraie petite salope c’est Elodie, moi je suis juste une grosse chienne !

Sur ce, elle colla ses lèvres sur celles de Fred et lui fit un baiser d'anthologie sous le regard ébahi de Caro. Elle s'empara de la queue de Fred qui s’était remise à la verticale et la serra dans sa main gracile.

- Il me tarde trop Fred, mais Elodie n’est pas là...dit-elle les yeux dans les yeux.

Marion partit en souriant, sans ne plus rien dire, le cul frétillant, aussi vite qu’elle était arrivée, s’enfuyant comme un tourbillon de vie.

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