Quatuor (5)- Le Cadeau De Marion
Résumé des épisodes précédents : "La révélation", "Marion à la maison", Après midi filles et La clé USB.
Dans les quatre premiers volets de cette histoire, un couple de quadras, Fred et Caro, tombent par hasard à la boulangerie sur leur baby-sitter Élodie (moi) qui leur présente Marion, sa «petite» copine. Létudiante asexuée sest soudain dévoilée en lesbienne vivant avec une gourmande qui navait pas froid aux yeux.
Caro fantasme régulièrement, depuis un certain temps, sur lenvie de voir son homme faire lamour à dautres femmes, en particulier une du style de Marion.
Caro propose à Élodie dinviter sa copine à la rejoindre chez eux lors de sa prochaine soirée de baby-sitting. Une fois Caro et Fred rentrés tard dans la nuit, ils font lamour sans se douter que la cloison entre leur chambre et celle des deux filles leur permet de suivre leurs ébats.
Les filles décident de passer une après-midi ensemble pour un atelier masque et manucure avec fraises et champagne. Marion laisse volontairement sur la table une clé USB avec des photos sensuelles et une sex tape. Caro et Fred font lamour en la regardant. Elodie vient chercher la clé le lendemain et embrasse Caro sur la bouche à nouveau. Elles savouent quelles aimeraient bien voir Marion et Fred faire lamour. Elodie laisse un cadeau de la part de Marion et sen va.
Nous poursuivons donc cette petite arnaque sensuelle par un cinquième opus où le jeu a toute sa place, pour tout dévoiler aux voyeurs que vous êtes. Bonne lecture et faites-vous plaisir.
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* *
Caro était émerveillée par le tournant que prenait sa vie intime. Dabord, cette complicité vraiment plaisante quelle entretenait avec sa douce baby-sitter qui lui avait avoué être amoureuse delle. Ensuite, par le ressenti brûlant de lavoir embrassée si naturellement, à quelque reprises. Elle qui navait jamais encore été attirée par une femme trouvait cela très doux.
Toute à ses rêveries, en soccupant dune lessive, Caro ne savait comment profiter du double cadeau que lui avait fait Marion, par le biais dElodie. La clé USB, dabord, continuerait à alimenter les jeux et fantasmes de son couple. Et ce petit cadeau
Elle décida dattendre et de louvrir avec Fred, sans imaginer une seconde ce quil pouvait contenir.
Fred rentra en fin de matinée accompagné des trois garçons. Les petits footeux commencèrent à se relayer sous la douche pendant que les amoureux débriefèrent leurs matinées respectives
Fred mourrait de savoir comment sétait passé le rencard avec Elodie
Caro ne lui avait envoyé aucun texto et son silence couplé à son regard en rentrant en disait long sur son trouble. Ils senfermèrent vite fait dans leur chambre à double tour. Caro nosa pas lui parler des petits baisers échangés avec Elodie, comme si cela était un détail. Mais elle lui montra la clé USB et le regard vicieux du mari sillumina.
- Quoi ? Elle ta laissé la clé à la demande de Marion ? Elle est vraiment folle celle-là !
- Et ce nest pas tout mon amour, Marion nous a fait un petit cadeau en plus...
- Un sex-toy tu paries ?
Nen tenant plus dattendre, Caro alla droit au but et déchira le cadeau remis par la timide baby-sitter. Non sans surprise et avec énormément de désir dans leurs regards, les amoureux reconnurent tout de suite le magnifique maillot de bain blanc que portait Marion sur les photos intimes découvertes la veille pendant leur visionnage de la clé USB. Fred sans un mot, par un simple regard équivoque, en se pinçant la lèvre inférieure signifia à sa femme quil appréciait beaucoup cette forme doffrande.
- Elle est folle cette Marion
Caro, toute émoustillée de simaginer se muer en Marion au travers de ce maillot de bain, telle une dédicace coquine pour les époux, posa le haut du maillot sur ses seins.
- Oui mon chéri elle est vraiment dingue
Il sassit sur le lit pendant que sa femme faisait semblant dajuster le maillot de bain sur sa poitrine. Marion et Caro navaient pas exactement la même taille, due à leurs différences dâges ou à leurs vécus de femme, ou de mère. Lensemble était réglable et devait permettre sans mal à Caro de se transformer en Marion avec sa jolie poitrine qui remplirait si bien les bonnets blancs. Fred bandait ferme, ce qui permit à Caro de se rassurer sur leffet quelle faisait à son petit chéri. Elle savait ne pas disposer de beaucoup de temps pour un câlin complet
- Jai trop envie que tu me prennes ce soir en imaginant que cest elle que tu baises
dans son petit maillot de bain blanc, qui ne cache rien de nos atouts
- Regarde ma chérie, jai bandé directement en timaginant en Marion
Fred se mit à laise sur le lit en glissant short et boxer à ses pieds. Caro sapprocha dangereusement de lui
- Dommage que les garçons soient dans la maison...
Animale, Caro huma le tissu pour retrouver le parfum de Marion
- Sens moi lodeur de cette salope
Fred se saisit du maillot de bain pour le sentir. Caro en profita pour tomber aux genoux de son homme. Elle lui goba le gland directement en prenant soin de malaxer ses belles couilles.
- Je te parie quelle sest caressée avec le maillot avant de nous loffrir
Elle enfonça sa gorge autour de la bite de son homme avec un appétit à couper le souffle. Puis elle contempla sa salive qui coulait vers ses testicules, et la turgescence des veines tellement il était excité.
- Sil faut cest Elodie qui la caressée, va savoir
Elle frotta sa tige avec le tissu du maillot de bain. Fred de son côté, surpris par cette attaque féline devait lutter pour ne pas faire trop de bruit.
- Pense à elle, je suis cette belle salope de Marion, pour toi mon amour .
Caro avait un regard de braise, le feu était en elle. Avec dextérité, sans réfléchir, elle enroula les couilles et la base du sexe de son homme avec les fines cordelettes du maillot de bain. Elle avait réussi à faire un joli fagot et apprécia beaucoup de pouvoir sucer ce gland offert, en maintenant une forte pression sur les ficelles pour faire tendre la queue toujours un peu plus.
- Pense à elle, à ces deux beaux seins que tas envie de peloter
Cette délicate douleur nétait pas pour déplaire à Fred. Il savait que Caro le ferait jouir dans cette position, quelle le ferait monter au bord de lorgasme et quen relâchant la pression sur les liens, il lâcherait toute la semence contenue en lui
Elle voulait quil expulse son désir de Marion dans son maillot de bain
- Pense à sa petite chatte en feu quand elle te verra tout bandé pour la baiser
Caro frotta sa poitrine et ses tétons dressés tout contre le sexe de son mari, tout en le frictionnant dune main, avec la moitié de sa bite emmaillotée dans le triangle soyeux du bikini. Seul le gland dépassait de cet ouvrage et il s'empourpra à vue dil. Il ne tiendrait plus trop longtemps lorsque sa femme lui souffla :
- Pense que cest elle qui te masturbe là
Fred nen pouvait plus et imagina tellement bien la scène quil se crispa net, jambes tendues, doigts de pied redressés, signalant l'imminence de son plaisir
Caro le regarda, avec lesprit en ébullition, dans un état second, elle libéra les liens et la tension dans le bas ventre de son Fred. Les deux boules mâles explosèrent.
- Cest elle qui est là nue, à côté de toi, à tortiller du cul, tu la doigte, elle inonde ta main, elle est là, à te lécher ton gland
Vas-y,
hum, vas-y penses à elle...
Elle scruta avec passion, exaltation et fierté la liqueur masculine se répandre dans le petit maillot de bain de Marion. Elle avait de quoi être fière car elle venait de franchir un cap, elle regarda Fred droit dans les yeux
- Tu prendras bientôt son corps de coquine et tu la baiseras devant moi
Marion avec ces cadeaux sinvitait dans leurs fantasmes, en matant des photos ou des vidéos delle, en utilisant son maillot de bain offert comme un catalyseur.
*
* *
Après un déjeuner copieux pour tous, les sportifs comme les parents sentendirent sur lorganisation de leur après-midi. Le petit dernier était attendu pour un anniversaire chez un copain dans le village dà côté et les deux grands avaient prévu une après-midi jeux vidéo chez un voisin à lautre bout de leur rue.
Le couple, malgré le temps libre que leur offrait cette belle après-midi, avaient décidés de faire des travaux sur labri de jardin. Ils venaient de se mettre au travail quand une voix pleine dénergie se fit entendre
- Coucou cest Marion !
Caro bondit car elle ne s'attendait absolument pas à cette visite. Décidément Marion était la reine des surprises. La tête de la blonde volubile passa à langle de la maison. Elle savança vers Caro et Fred comme si elle était chez elle.
- Elodie est en pleine révision et ma mise à la porte car je fais trop de bruit. Alors je suis passé à tout hasard. Vous bricolez ?
Caro eut un gros doute sur ce hasard bienheureux qui eut le mérite de faire bander Fred sur le champ. Il portait le petit short que Caro adorait car il lui moulait bien ses fesses, et du coup aussi ses attributs.
- On répare le toit de labri de jardin, rien de trop compliqué
Il faisait clairement chaud, nous étions fin Juin, la météo était au beau fixe. Tout le monde était à laise.
- Ce maillot te va à ravir lâcha Marion en embrassant Caro. Tu es trop belle.
Caro portait le fameux cadeau à la demande de Fred qui avait bien lintention de faire du sexy bricolage, histoire de se motiver. Caro navait que le haut qui lui cachait ses seins et malgré un petit short en jean, on devinait les attaches blanches du bas du maillot de bain qui dépassaient un peu sur ses hanches. Le même maillot que Caro et Fred avait réussi à bien souiller deux heures plus tôt lors de cet épisode masturbatoire mémorable.
- Oui merci cest un cadeau qui plaît beaucoup à mon chéri, nest-ce pas Fred ? Caro gênée aux entournures essaya de détourner lattention vers Fred
- Oui
euh
Le trouble de Fred saccentua quand Marion lembrassa pour le saluer :
- Je peux vous aider ?
- Euh
. Ben oui
Caro et Fred sous leffet de cette visite surprise étaient timides comme deux ados amoureux transits.
- Jadore apprendre à bricoler. Mon père ma déjà montré plein de trucs.
- Il y en a pour deux heures max, une peut être si on sy met à trois !
- Super. Caro taurais pas un tee shirt de bricolage à me prêter, un vieux truc ?
- Si bien sûr, suis-moi.
Marion pris Caro par la main, à sa grande surprise. Ce nétait pas un geste anodin. Caro ne prenait jamais la main de ses copines depuis quelle avait quitté ladolescence. Elle nen menait pas large et elles partirent toutes les deux vers la maison. Fred les regarda séloigner. Il bandait à mort. Décidément cette Marion était pleine de vie et dinitiatives. Elle allait de lavant dans ses projets. Caro cherchait un truc du côté de sa penderie.
- Jaurai préféré quelque chose de Fred, jaime être à laise pour bricoler.
Caro marqua un temps d'arrêt. Bien sûr il fallait quelle lui prête un vêtement de son chéri, comme symboliquement lui prêter son mari. Cette diablesse savait y faire. Caro changea de penderie. Marion avait déjà quitté son débardeur et se retrouvait en soutien-gorge dans la chambre, porte ouverte.
- Tiens ce tee-shirt blanc fera laffaire non ?
Marion avait pointé le tee-shirt préféré de Fred. Comment l'avait-elle devinée ? Il ne laurait jamais porté pour bricoler. Marion ôta son soutien-gorge et se retrouva seins à lair dans la chambre du couple. Une incursion sans vergogne dans leur intimité, dautant plus quelle posa sa lingerie sur le lit matrimonial.
- Parfait, merci.
Marion rangea soutien-gorge et débardeur dans son sac et séclipsa vers le jardin. Elle fit un nud avec le tee-shirt trop grand pour elle afin de dévoiler un petit ventre blond et son nombril piercé. Comment Fred allait-il pouvoir rester insensible à cette femme qui arrivait droit vers lui, au regard inquisiteur pour analyser son petit effet sur lui.
- Je suis prête pour bricoler Monsieur le Professeur
Rien ne pouvait rendre Fred plus fier que dêtre affublé de ce sobriquet par cette jeune fille pas féroce. Elle s'attacha les cheveux avec un chouchou, geste faisant remonter ses tétons dressés à fleur du tissu. Fred ne pouvait ignorer quelle ne portait pas de soutien-gorge.
- Jadore apprendre plein de choses et avec votre expérience je suis sûre que vous allez être un prof idéal sur beaucoup de plans.
Marion faisait sa ta tentatrice. Fred ne doutait absolument pas quelle soit débrouillarde. Cette petite garce prenait des initiatives gonflées.
Caro ne tarda pas à les rejoindre. Ils commencèrent par débarrasser lancienne couverture. Puis au sol, avec une scie circulaire, ils purent débiter le bois pour le stocker facilement afin de lemmener plus tard en déchèterie. Ne voulant pas quelle se blesse, Fred lui montra comment fonctionnait la machine avec beaucoup de pédagogie.
Il commença par lui expliquer la position de coupe en sécurité pour éviter tout accident. A son tour elle prit place, Fred se positionnant derrière elle pour laccompagner dans ses mouvements. Il avait mis sa main sur la sienne et surtout, son corps tout contre le sien. Il avait essayé de se concentrer sur ses explications, évitant quelle devine à son contact la bosse qui déformait son bermuda
tout contre ses fesses moulées par son petit short sexy
Fred était retourné sur le toit, pour se calmer, afin de poursuivre ses travaux, mais il continuait de la mater à distance. Comment la faire craquer, comment lui dire quil la désirait physiquement
Avait-elle ressenti son trouble derrière elle ? Avait-elle apprécié ce contact ? Aurait-il dû l'embrasser dans le cou devant Caro ?
Après une grosse heure de bricolage et de tension sexuelle tout était terminé et très beau :
- On va quand même plus vite à trois...
- Mince pourtant plus cest long plus cest bon
Marion avait égrené comme cela des messages à clés suggestifs tout au long de leurs échanges. La pause avait sonné, Marion et Caro partirent vers la maison pour revenir avec une carafe deau glacée, et 3 verres :
- Descendez de là-haut et venez-vous mettre un peu à lombre du chalet. Je vous offre un verre, Monsieur le professeur !! lui dit-elle avec un clin dil.
Marion venait à nouveau de le vouvoyer, contrairement à dhabitude. Fred avait bien soif, il devait calmer ses ardeurs et refroidir son esprit
Dans le chalet, Marion avait déjà rempli les grands verres deau avec quelques glaçons. Cela leur ferait du bien. Ils trinquèrent, Fred ne pouvant pas décoller son regard de sa poitrine qui ondulait en fonction de sa respiration. Fred savait leffet que faisait une poitrine nue dans un tee-shirt fin. Dautant plus que Marion adorait visiblement exhiber ses petits seins nus sous le tee-shirt de Fred, un cadeau de sa Caro en plus.
Elle avait toujours le nombril à lair, la peau de son ventre dorée et le piercing saillant. Fred aimait ses postures, la sensualité dans ses mouvements, ses regards brûlants, les courbes de son corps, et ressentait le désir monter en eux. Rhooo la coquine
, pensa-t-il avec envie.
En voyant que Fred avait repéré son petit jeu, Marion loupa lentrée de sa bouche avec son verre et leau glacée coula sur son cou, mouillant un peu son tee-shirt
Cet acte manqué déclencha chez elle un regard coquin en direction de Fred :
- Oups, désolée, quelle idiote, jai renversé
Un grand sourire malicieux illuminait son visage
- Vous êtes troublée jeune fille ? Fred posa son verre et s'appuya sur létabli
- Pas fait exprès mais cela fait du bien,
jai beaucoup trop chaud
. On commençait à rôtir dehors.
Marion vida son verre sur son tee-shirt avec malice
- Pffff jai vraiment trop chaud
Leau glacée eut pour effet immédiat de rendre la belle poitrine de Marion plus transparente au travers de son tee-shirt qui ne cachait plus grand chose. La froideur de leau fit dresser instantanément ses tétons. Fred était ravi de la situation
Deux beaux mamelons turgescents pointaient dans sa direction et semblaient le supplier dapprocher
Caro se tenait impassible, ébahie et troublée par le comportement de plus en plus tendancieux de son mari et de cette Marion plus allumeuse que jamais. Marion reprit :
- Faut pas me regarder comme cela vous deux, cest gênant...
Le sexe de Fred avait réagi dans son short et le regard de Caro trahissait son excitation. La tension érotique était maximale dans le huis clos du cabanon. Marion remplit à nouveau son verre deau glacé et ni une ni deux elle le jeta en direction de Fred et de Caro afin quils se retrouvent mouillés à leur tour. Elle essaya de senfuir mais Fred bloquait la sortie. Sen suivit une petite bagarre où Fred versa à son tour le contenu de son verre sur les cheveux de laudacieuse Marion.
Les contacts des corps et les rires emmêlés firent leur effet. Bloqué par la force de Fred, Marion finit par capituler. Elle adora perdre cette partie et simagina devoir céder sous la force de ses coups de queue, lorsquil la posséderait. Marion fondait sur place en imaginant des scènes quelle avait entendu au travers de la cloison lautre nuit, quand Fred prenait Caro, à leur retour de soirée.
Lépoux lui avait attrapé ses poignets et lavait serré à la taille, collé contre elle dans son dos, sans pouvoir lui cacher son érection. Il la força à vider ce qui restait de son verre entre ses seins et cela mouilla complètement son haut blanc devenu transparent
- Faut pas énerver son Professeur
Fred sachant quil avait gagné diminua son emprise sur Marion et la laissa séchapper. Il retira son tee-shirt tout mouillé et froid pour lessorer. Fervente adepte de légalité des sexes, Marion, sans gêne, retira le sien pour faire de même. Emportée dans ce tourbillon amusant, Caro fit de même. Elle non plus ne portait pas de soutien-gorge. Tous trois essoraient leur tee-shirt en rigolant.
Fred était aux anges devant ses deux poitrines de femmes nues et magnifiques. Il navait jamais aimé les seins refaits quil avait déjà vus sur les sites pornos sur lesquels il surfait. Là, devant lui, se trouvaient deux belles poitrines naturelles. Il était subjugué par leau froide qui perlait en gouttelettes sur leur peau douce et cuivrée
. Il se retient de se jeter sur elles pour leur manger les seins
il leur devait plus de délicatesse, de tendresse
Il aurait prochainement le loisir ou le luxe de se lâcher avec cette terrible Marion.
Évidemment, il était impossible pour lui de contenir son érection
plus bas dans son short
Marion remit son petit débardeur sec quelle avait rangé dans son grand sac et y déposa le tee-shirt mouillé.
- Merci cétait trop sympa ce cours de bricolage. Je dois filer surveiller si Elodie a bien fait ses devoirs. Je te ramènerai le tee-shirt demain Caro. Bise les amoureux
Marion fila à langlaise, aussi vite quelle était arrivée, sans les embrasser, comme pour éviter tout contact. Caro et Fred se retrouvèrent tous les deux torses nus dans la cabane avec une irrépressible envie de se jeter lune sur lautre.
*
* *
Fred et Caro partirent dans un grand éclat de rire nerveux. Un fou rire partagé et complice :
- Elle est dingue cette Marion !
- Et toi super sexy ma louve.
Le mari attrapa un glaçon dans lun de leurs verres et commença à le faire tourner autour des lèvres esquisses de sa femme. Puis il samusa à faire dresser encore plus ses tétons en passant le glaçon sur sa poitrine et sur ses extrémités délicates toujours extrêmement fermes.
Leur baiser échangé fut assez torride
il ressentit mille sensations au travers de cet échange
Il lui déposa naturellement un doux baiser sur le front. Caro se blottit contre le torse de son homme et pressa sa poitrine trempée contre lui. Fred frissonna en percevant ses mamelons pointant contre sa peau
Leur baiser dura un moment. Fred était en feu
dur de partout
. Comment basculer dans lirréel avec son épouse dans ce chalet ?
- Jai trop envie de toi ma Louve
Fred poussa Caro contre le mur. Il ny avait guère de confort dans ce débarras en plein travaux
Il avait envie dexplorer son corps, de lui montrer ce dont il était capable de faire
Dans ses yeux elle perçut tout le désir charnel quil avait en lui, et le contact récent de la tornade Marion y était pour beaucoup. Caro appuya sur les épaules de Fred avec instance pour positionner sa tête entre ses seins. Il en profita pour les embrasser tendrement, les suçoter, les gober
Il prit un téton entre ses lèvres, ses dents
et le mordilla un peu pour en éprouver la tenue, la fermeté
Elle tressaillit sous cette emprise et ses délicates morsures
Humm lautre sein étant jaloux, il décala sa bouche pour soccuper du deuxième bonbon offert à ses succions
- Tu me rends folle Fred
Caro en maintenant la tête de son amour sur ses seins savoura ses bisous, ses léchouilles. Il avait mis au service de son plaisir sa langue fine et avide pour lui sucer adroitement ses mamelons, ses aréoles et lentièreté de sa belle poitrine naturelle.
Le mari remonta son visage vers celui de son épouse pour la galocher follement. Il aimait jouer avec sa langue dans sa bouche, il lui aspirait entre ses lèvres. Il avait envie de tout delle
elle le faisait perdre le contrôle. Tendrement, amoureusement, ils se sont embrasés. Elle, lui caressant le torse, passant ses mains dans son dos pour lui griffer la peau de ses ongles parfaits. Elle ressentait au travers de leur étreinte son fort désir. Ses mains descendirent vers son petit short craquant, vers ses fesses dabord. Puis ses doigts glissèrent dans le short et par devant, semparant de lobjet désiré pour en palper les contours, la longueur, la dureté
Elle ne voulait pas aller trop vite, bien quen ayant très envie
- Jen peux plus Fred
Fred replaça sa tête dans la poitrine de sa louve, ses deux mains empaumaient chacun de ses seins. Il immobilisa Caro dans cette position de douce soumission pour agréablement peloter sa poitrine, comme il lavait fait lors de leurs premières fois. Il faisait si chaud dans le chalet que la poitrine de Caro était déjà « sèche » de sa précédente « inondation ». Fred reprit un glaçon dans un verre pour poursuivre ses jeux coquins
et il ne tarda pas à fondre entre ses deux globes parfaits et sous ses coups de langue.
- Tes seins sont sublimes mon amour
Nen tenant plus de ce torride plaisir, Caro appuya sur les larges épaules de Fred pour l'inciter ainsi à descendre plus bas
Il était à genoux devant elle, lui tenant la taille, bisouillant son ventre, tournant sa langue autour de son nombril, remontant aussi ses mains pour continuer de lui caresser, lui dorloter sa voluptueuse poitrine quil affectionnait vraiment beaucoup
Les yeux dans les yeux, il implorait son regard pour connaître la suite recherchée. Il avait ses mains sur le rebord de son short
il voulait finir de la déshabiller. En quittant son regard bouillant, et refermant les yeux, il sentit que Caro sabandonnait complètement à lui, à leurs désirs mutuels.
- Je te veux mon chéri
Fred lui fit descendre son short, avec une infinie lenteur comme pour la faire mariner. Il se concentra ensuite sur le triangle blanc du maillot de bain offert par Marion. Ce monokini à lacets ne cachait presque plus rien de ses trésors intimes. Elle lui plaqua la tête sans sommation sur son sexe, au travers du fin tissu. Toute langue sortie, il furetait pour lui soutirer des gémissements de plaisir
Elle écarta delle-même le vêtement pour offrir à ses succions son magnifique minou tellement convoité. Il aimait lui faire des cunnilingus.
- Je taime ma Louve, parvint-il à souffler dans la moiteur de leurs ébats.
Caro lui plaisait, son corps, ses formes, ses courbes, sa poitrine, son sexe, tout lui plaisait. Il la léchait longuement avec application, et il fut encouragé par les râles de plaisir qui commencèrent à sortir de la bouche de sa chérie. Elle insistait sur son prénom et devenait vocale, comme à chaque fois quelle perdait pied :
- Fred, Fred, vas-y, cest bon, continue
Il adorait se sentir utile, agréable, et bon amant ! Il aimait la sentir arriver à ce point de désir, partager ces moments avec elle. Il aimait sa maturité, son air sexy, son regard de braise
. Ils avaient dépassé les limites
Tout irait vite ensuite
- Fred tu me rend folle, souffla-t-elle en basculant la tête en arrière.
Sans jouir mais en mouillant abondamment, Caro transcrivait son indicible désir. Elle avait bien appuyé sur la tête mâle entre ses jambes que maintenant elle lui tirait presque les cheveux pour quil remonte
- Fred, viens,
prends-moi comme tu prendras Marion, parvint-elle à dire en un souffle, en forme de supplication, de soulagement
Fred se redressa, bien en appui sur ses jambes solides
Caro se retourna vite pour saccouder à la paroi du chalet, lui offrant sa croupe
Fred baissa son short et présenta son sexe dressé contre le sien
La suite fut une cavalcade vers le plaisir. Le désir accumulé jusque-là fut décuplé dans une débauche dénergie, de coups de rein, en route vers lascension finale.
Caro ne se souciait guère du confort spartiate des lieux, elle lavait en elle et le tenait bien au chaud, bien serré.
Elle se concentrait sur ses sensations, sur le plaisir bestial centré dans son ventre, entre ses jambes
Des frissons brûlants, et des frissons glacés lui parcoururent léchine dans la montée du plaisir.
- Oui Fred prends moi, défonce-moi comme si jétais cette petite salope de Marion.
Cette simple idée renforça encore la vigueur et la fougue du mari. Il en fallait peu à Fred pour simaginer en train de baiser la chaude copine de la baby-sitter.
Caro ne sétait absolument pas retenue de jouir bruyamment quand il lâcha tout de son côté. On peut dire que cet orgasme avait été violent dans lintensité et bouillonnant dans leurs entrailles. Ils lavaient surtout partagé en complicité, en échange, en émotions !
Difficile de décrire la suite
Elle sest redressée vers lui, de dos
Il l'a prise dans ses bras, il lui a offert des bisous dans le cou, lui a caressé avec infinie tendresse sa peau, ses bras, son ventre, sa poitrine
Ils avaient déjà envie de recommencer
elle sest tournée vers lui, lui a attrapé le visage de ses deux mains et la longuement embrassé.
Quand soudain la porte sentrebâilla et un grand soleil rentra dans le cabanon avec lombre de Marion dans le fond :
- Waouh, pas mal les amoureux !
Le couple bondit. Marion était dans l'embrasure de la porte.
- Un peu bruyant quand même, faites attention aux voisins
Caro sentit ses joues sempourprer. Marion ramassa son sac à main quelle avait visiblement oublié. Bizarre car Fred pensait lavoir vue le prendre en partant. L'avait-elle reposé là pour se donner lexcuse de revenir ? Après tout, Marion ne pouvait pas ignorer ce qui allait se passer entre eux après les avoir laissés dans cet état dans la cabane ? Cest elle qui avait allumé le feu.
- Quand Elodie va savoir cela
.
Lappareil photo du portable de Marion crépita
- A demain peut-être les amoureux
.
Marion déposa un baiser rapide sur les lèvres de Caro.
- Au fait la vraie petite salope cest Elodie, moi je suis juste une grosse chienne !
Sur ce, elle colla ses lèvres sur celles de Fred et lui fit un baiser d'anthologie sous le regard ébahi de Caro. Elle s'empara de la queue de Fred qui sétait remise à la verticale et la serra dans sa main gracile.
- Il me tarde trop Fred, mais Elodie nest pas là...dit-elle les yeux dans les yeux.
Marion partit en souriant, sans ne plus rien dire, le cul frétillant, aussi vite quelle était arrivée, senfuyant comme un tourbillon de vie.
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