La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1214)
chienne Vénus au Château (suite de l'épisode précédent N°1210) -
Et je my appliquais soigneusement
Les semaines se passèrent comme cela, entre mon activité professionnelle, séances de dressage, déducation, dinitiation avec Le Maitre, Marie ou Walter, moments de baise où Ils mutilisaient avec ou sans autres soumis (ses) ou esclaves. Les nuits, je pouvais soit dormir dans mon panier soit avec Lui ou avec mes surs et frères de soumission selon les Exigences de Monsieur le Marquis ordonnant qui dentre nous devait être dans Sa couche ou au pied de Son lit. Ou alors dans mon enclos au Chenil quand il nexigeait pas ma présence
Un jour, alors que nous étions en train de travailler, le Noble à Son bureau et moi à côté de Lui sur un projet dexporter la société dans linternational pour multiplier le chiffre daffaire et cela était possible grâce aux relations financières quavaient Monsieur le Marquis via Sa très puissante holding. Ainsi Ses relations financières étaient ainsi prêtent à nous aider
Au moment où Il regarda par la fenêtre, Son regard changea du tout au tout.
- Cristal, on a terminé, range tout, Jai de la visite et cest un
de Mes amis, dit-il en hésitant sur le terme amis comme sIl ne voulait pas citer de qui il sagissait
- Bien Maitre, permettez Maitre, ma curiosité. Je sais que je ny ai pas droit mais Vous me sembler hésiter à citer le nom de votre
ami
Que se passe-t-il ?
- Je ne sais pas du tout, cest très rare quIl vienne au Château, surtout sans invitation de Ma part. Ça ne présage rien de bon... Va dans ta chambre pour le moment, je dois savoir de quoi il en retourne. Tu nas quà continuer à avancer sur le dossier de la Chine avec nos investisseurs de Hong-Kong...
- A Vos Exigences, Maître.
Je pris donc la direction de la pièce dà côté pour continuer à travailler. De cette pièce attenante, je pouvais entendre ce quil allait se passer. Sans tarder, Walter toqua à la porte du bureau du Noble.
- Oui, entrer.
- Monsieur le Marquis, excusez-moi de venir Vous déranger, mais Votre vieil ami le Comte de Beusgley (voir les tous premiers épisodes de la Saga) est là et souhaite Vous parler, dit le Majordome dune voix neutre.
- Fais-le entrer, mon bon Walter et que personne ne vienne nous déranger.
- Bien, Monsieur le Marquis.
Walter fit entrer lami du Noble et au bruit des pas, il ferma la porte et partit vaquer à ses occupations. Le Comte de Beusgley sexclama sans attendre :
- Mon cher Edouard, comment-vas-tu ?
- Bien, merci, mais
que me faut ta visite en Ma demeure ?
- Eh bien, jai appris que tu as une nouvelle acquisition qui mintéresse beaucoup. Mademoiselle de Bourbon, nest-ce pas ! Comme tu vois, les nouvelles vont vite dans notre Communauté D/s
Et si mes renseignements sont exacts, elle est de sang royal, descendante directe de la famille de la Maison Capétienne des Bourbon. Et tu sais très bien que, depuis déjà longtemps, je suis à la recherche dune chienne bourgeoise et aristocrate avec qui je pourrais passer le restant de ma vie depuis que je suis veuf. Mon veuvage ne mempêchant pas de rester avant tout un Dominant qui ne veut pas vivre seul sentimentalement jusquà la fin de mes jours
- Oui, je te comprends et ny vois pas dinconvénients à la condition que cela te convienne et surtout à Ma chienne aussi ! Mais sache une chose mon cher ami ! Elle restera Ma chienne, elle sera peut-être ta femme uniquement si elle le souhaite et une soumise avec qui tu partageras ta vie, mais elle restera Ma propriété avant tout, dit Monsieur le Marquis sur un ton décidé
- Je ny vois pas de problème Edouard, dit-il
Le Châtelain sans un mot de plus, passa dans la pièce attenante pour venir me chercher et Il me fit entrer dans Son bureau. Je minstallais donc à Ses pieds à genoux.
- Ma belle petite chienne Vénus, je te présente
mon ami, le Comte de Beusgley
Il est venu spécialement pour toi, ayant eu vent de ta présence ici, et surtout il est au courant du pourquoi tu es au Château.
Je fis un signe de la tête pour Lui dire que javais compris. Et je suivis le Comte de Beusgley jusqu'à Sa chambre. Il sinstalla dans un fauteuil et moi en silence, tête baissée je me mis à genoux devant lui.
- Chienne Vénus, tu as autorisation de répondre à toutes mes questions
Si je suis bien renseigné, tu es la fille de Monsieur et Madame de Bourbon Louis de Neuilly-sur-Seine, un célèbre couple Dominant... Pourquoi tes tu tournée vers la soumission ? Tes parents en sont tous les deux, bouleversés !
- Monsieur le Comte, tout simplement parce que je ne me sens pas du tout lâme dune Domina mais bien au contraire depuis que Maitre ma pris pour chienne, je suis bien et heureuse de cette condition. Et de Le satisfaire et de faire passer Son plaisir avant le mien mapporte un bien être absolu. Cest privée de liberté que jai trouvé une liberté ! Celle dêtre enfin moi-même. Je ne me suis jamais sentie aussi vivante et épanouie que depuis que je suis à Ses nobles pieds.
- Je te félicite ? cest exactement ce que jattendais dune chienne du Cheptel de mon ami, le fameux Monsieur le Marquis dEvans
Tu es à Ses pieds depuis quand ?
- Il ma fait honneur de pouvoir être Sa chienne, il y a 4 mois
peu de temps après que jai annoncé mon choix de soumission à mes parents qui mont rejetée purement et simplement
Maitre a été dune grande aide depuis ce jour et aussi depuis que je suis Sa petite chienne
Je ne Lui en serai jamais assez reconnaissante...
- Daccord. Bien, maintenant, je vais tester tes capacités à la soumission.
Les caresses du Comte de Beusgley mexcitaient, je sentais en moi le plaisir monter en flèche. Maitre, durant mon dressage, mavait appris à me laisser aller sous diverses caresses et à en déduire ce quil fallait que je fasse... Après mavoir allègrement flatté mon fessier aux savoureuses rondeurs, il descendit doucement ses doigts autour de mon anus sattardant sur celui-ci pour ensuite aller au niveau de ma chatte brûlante et dégoulinante de cyprine.
- Eh bien petite chienne, je vois que mes caresses texcitent et que tu es en chaleurs ! Tu es trempée, regarde mes doigts ! Maintenant lèche les bien
Voila, cest bien
bonne chienne que tu es, tu me plais beaucoup, belle petite salope...
Je pris ses doigts en bouche en mexécuta. Une fois finie, je le vis défaire son pantalon où une bosse était mise en évidence... Sa verge dressée était donc déjà gorgée dun puissant désir sexuel et il ne se préoccupa dautres prémices pour me pénétrer bestialement en ma chatte excitée par un coup de reins puissant et profond. Et il fit quelques va-et-vient puis enchaina plus sauvagement afin de prendre pleinement possession de ma caverne humide. Jétais saillie, remplie, besognée par la grosse verge du Comte de Beusgley. Il ne faisait pas attention à mon éventuel plaisir en se concentrant sur le sien pour encore plus senfoncer dans mon entre chaude et trempé.
- Tu es bonne, regarde comme ton corps avale ma queue, tu es vraiment une grosse salope qui ne demande quà se faire saillir comme une bonne petite chienne qui ne désire quune chose : Donner du plaisir à celui à qui tu es offerte ou prêtée.
Le Comte de Beusgley se retira donc pour venir se coller près de ma rosette et en une poussée, il força lentrée et sarrêta pour laisser à mon cul le temps de sadapter, de se dilater à la grosseur de sa queue. Et dun coup, il commença à menculer vivement, me défonçant et me sodomisant le cul tel un mâle Dominant en rut. Je sentais petit à petit mon plaisir se mêler à la douleur, pour se transformer en plaisir
Lorgasme montait mais je le contrôlais, nayant pas eu laccord de jouir. Il se retira quelques instant, souffla et repartit à lassaut de mon cul en reprenant rapidement possession de mon cul déjà largement ouvert :
- Ton cul est exquis à enculer, petite salope, tu es très bien dressée, cela fait plus de 30 minutes que je te prends ton cul et ta chatte de salope en chaleur et tu nas pas joui, tu peux être fière de toi et je suis particulièrement fier de léducation que tu as reçu. Quand tu me sentiras jouir, belle salope de chienne, tu auras droit à lorgasme aussi autant de fois que tu veux, considère cela comme mon cadeau !
Sur ses mots, il accentua ses va-et-vient menculant et me baisant encore plus bestialement le cul jusquà la garde, à la hussarde, et quand jentendis un va sy jouit petite chienne, se fut une exposition dorgasmes sans interruption et plus je jouissais, plus je me vidais sur le sol dans des jets de cyprine
Jenchainais donc orgasme sur orgasme tous plus fulgurant des uns que les autres, tandis quil se vidait les couilles en mon fondement dans un dernier assaut. Une fois finie de jouir, lami du Maitre se rhabilla :
- Belle petit fontaine que je vois, nettoie ton plaisir qui jonce le sol de la chambre
. Bien tu as fini. Serais-tu daccord de devenir ma chienne, ma femme et mon jouet ? Bien-sûr, tu resterais la chienne de mon cher ami Monsieur le Marquis avant tout, mais quand tu seras avec moi, je tutiliserai à ma guise et tu seras toujours bien traitée et dans un aussi beau Château que celui-là. La journée, tu seras ma femme et la nuit ma chienne bonne à être saillie et baisée par tous les trous
.
- Monsieur le Comte, je Vous remercie de cette proposition mais je ne peux laccepter sans laccord du Maitre car je Lui appartiens complètement et je nai pas à pouvoir de décider sur ma vie.
- Alors va la chienne. Va voir Le Maitre et demande lui !, me dit-il lair bougon
(A suivre
)
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