Une Divine Surprise - 1

Jeudi 7 juillet 1960 – Distribution de publicités
Je suis Jean, j’ai 19 ans, physiquement rien de spécial 1,75 m, brun, sportif quand j’ai le temps et après une année de prépa à La Martin d’en haut à Lyon, j’avais réussi à intégrer une école d’Ingénieurs et j’étais en attente de l’arrivée de mes parents le 15 juillet avec qui je devais passer une quinzaine de jours de jours en Autriche.
Du campus qui se trouvait sur la colline de Fourvière, pas loin du funiculaire, j’étais descendu au resto U en bord de Saône qui était le seul ouvert à cette époque de l’année. A l’entrée, je remarquais un homme d’une cinquantaine d’année qui semblait hésiter à rentrée. Je lui demandais si je pouvais l’aider.
« Oui, je voudrais mettre une affiche, j’aurais besoin d’un étudiant pour distribuer des publicités dans les boîtes aux lettres »
« C’est pour quand cette distribution ? »
« Demain à Vienne, je vais fermer le magasin que j’ai là-bas et je fais des soldes importantes, il faudrait que j’en informe les gens »
« Je n’ai rien à faire, si vous voulez je peux faire ce boulot »
« Si les clients étaient nombreux, il serait possible que nous ayons besoin de vous au magasin »
« Mais, je n’ai aucune compétence pour vendre »
« Ne vous inquiétez pas ce serait pour aider à la manutention des cartons »
C’est ainsi que le lendemain je me trouvais le vendredi, à Vienne en train de distribuer des publicités dans les boites aux lettres et ce toute la journée.
Le samedi retour à Vienne ou je faisais connaissance de la vendeuse en charge et de la femme du patron qui officiait aussi comme vendeuse. La clientèle fut telle que même le patron s’y mit, quant à moi, j’allais chercher les cartons dans la réserve au sous-sol, quand les articles étaient mis en rayons, je redescendais les cartons, …
A la pose de midi, le patron après en avoir discuté avec sa femme décida de faire venir une vendeuse supplémentaire, Mme Evelyne B.

vendeuse employée à son magasin de Lyon.
Vers 14,00 heures arrivée la dite vendeuse accompagnée par son mari.
Evelyne était une jeune femme, environ la trentaine, brune coiffée d’un chignon banane, à vue de nez 1,60 m. Après avoir enlevé sa veste, elle était habillée, comme c’était la mode, d’un chemisier blanc ajusté, bien rempli, légèrement décolleté, mais épousant bien ses formes donc mettant en valeur ses seins, une jupe droite gris clair, elle aussi ajustée et à l’aise sur des escarpins. Une figure avenante, un sourire aimable et une particularité qui ajoutait à son charme des yeux légèrement bridés, qui, je l’appris plus tard, venaient de son arrière grand’mère japonaise. En somme une jolie femme.
A peine arrivée, connaissant le magasin et son sous-sol elle se mit rapidement au travail. Quant à moi, je montais et descendais des cartons ou des articles demandés, enfin l’après-midi se passa sans problème.
Le dimanche dernier jour du magasin fut le même que le samedi, avec beaucoup de clientes. En cours de matinée, Mme Evelyne B. me dit : « Jean tout le monde m’appelle par mon prénom, arrêtes avec tes Madames »
« Bien Madame, oh pardon bien Evelyne »
Dans le courant de l’après-midi, Evelyne étant en discussion avec une cliente, des corsages ou autres articles étalés sur une banque, je devais passer entre elle et des casiers le long du mur. Le passage était étroit, mais suffisant pour que je passe sans problèmes. Mais plusieurs fois, ne s’étant pas assez avancée vers la banque je me frottais contre ses fesses, sans qu’elle réagisse. J’étais gêné, et chaque fois je filais discrètement.
En milieu d’après-midi Evelyne me demanda d’aller dans la réserve chercher un lot de sweets et me dit :
« Je descends pour les choisir »
Je l’attendais au pied de l’escalier qui amenait à la réserve, inquiet qu’elle m’accuse de l’avoir frottée volontairement.
Elle regarda ce que je lui présentais choisit 3 sweets sur le lot et s’approchant de moi, elle posa ses lèvres sur les miennes et me dit « Merci »
Je me demandais ce qui venait de se passer.

Et je repris mon travail et encore plusieurs fois je dus passer derrière Evelyne, j’en profitais pour me frotter à son joli cul, il me semblait parfois que volontairement elle bloquait le passage, mais entre la réalité et le rêve, à vingt ans, je me méfiais de moi. Vers la fin de l’après-midi, j’étais dans la réserve à ranger les cartons vides, quand Evelyne descendit, s’approcha de moi et me donnant un papier me dit :
« Je t’attends demain à 2,30 heures pour prendre un café, mon mari ne sera pas là » et elle partit.
J’étais abasourdi, je n’aurais pas eu le papier je ne me serais pas cru, mais sur le papier son adresse.
Le lendemain, en mobylette je me dirigeais vers l’adresse donnée, boulevard des USA. Une grande rue avec des barres d’immeubles à droite et à gauche de 3 ou 4 étages. Rue sympa. J’avais malgré tout une certaine appréhension me demandant si ce n’était pas une mauvaise blague. Je suis donc arrivé avant 2,00 heures pour me repérer et aussi pour vérifier si véritablement le mari avait quitté les lieux.
A 2,30 heures je sonnais et Evelyne venait m’ouvrir, un joli sourire aux lèvres. La porte refermée elle venait poser ses lèvres sur les miennes et m’entraînait dans la salle de séjour ou un café été préparé. On s’installa et démarra une conversation de salon, je ne savais comment me comporter.
IL faut dire qu’à l’époque avec les flirts c’était la main dans la main, la main dans le machin, le machin dans la main mais jamais le machin dans le machin. J’avais un peu d’expérience avec mes flirts, mais avec des femmes, c’était voisin de zéro. Je pense qu’Evelyne s’en était rendu compte car au bout d’un certain temps elle se leva et vint s’asseoir sur mes genoux. Quelques baisers et m’enhardissant, je commençais à lui caresser les jambes qui étaient à portée de main en espérant progresser, mais, dans ma tête sans précipitations, comme on le faisait avec nos flirts qui ne fallait pas effaroucher, j’avais tout faux. Evelyne se leva et me dit : « Viens ».

Elle se dirigea dans la pièce contiguë qui devait être la chambre à coucher dans laquelle il y avait un canapé lit. Pendant qu’elle remontait sa jupe jusqu’aux hanches elle me redit « viens ».
Bien que me défaisant rapidement, je remarquais qu’elle était nue sous sa jupe, sur le moment cela ne fit qu’augmenter mon excitation. Avec le temps, je commençais à comprendre qu’en fait elle voulait une queue et qu’elle avait certainement, envie de se « taper » un jeune. Par chance j’étais là et c’est pour ça que j’avais été choisi.
Elle se laissa tomber sur le canapé en m’entrainant avec elle, je me trouvais entre ses cuisses largement ouvertes et elle prit, de nouveau, les choses en main, la chose étant dure à éclater et prête à servir. Elle me guida en elle. Je m’enfonçais dans une grotte ouverte chaude et détrempée. Et là, même si je n’avais pas grande pratique, je connaissais la théorie et je savais qu’elle voulait être baisée. J’entrepris un va et vient rapide, elle était tellement chaude et demanderesse de queue que rapidement sa respiration s’accéléra et se mit au rythme de mes pénétrations. Puis vinrent les « OH … OH … OH OUI … OUI OUIiiiiiii,, … »
L’avantage d’Evelyne, et cela je l’appris plus tard, toutes ces dames ne sont pas aussi bavardes pendant la baise. Son avantage c’est qu’on savait ou on en était.
Le rythme s’accélérant elle dit « Retiens toi, …, je sens que je vais jouir,… oh c’est bon, … continues , … surtout ne t’arrêtes, oui, …, oui, … retiens toi, …», je faisais tout ce que je pouvais pour me retenir, mais se cambrant brusquement, ce qui fit que surpris, n’y tenant plus et bien enfoncée dans sa grotte je me vidais brutalement d’un seul coup.
L’un contre l’autre, j’appréciais ce moment, qui ne dura que peu.
Evelyne, se levant, rabaissa sa jupe et se dirigeant vers la salle de séjour, dit « Je range les cafés et on va aller prendre l’air »
Nous sommes descendus dans la rue, fait le tour du bâtiment et derrière nous nous sommes retrouvés dans un petit square, tranquille et fort agréable.
Prenant place sur un banc, Evelyne se colla « amoureusement » contre moi. J’étais un peu réticent non pas de l’avoir contre moi mais d’être vue par quelqu’un la connaissant. Evelyne se rendit compte de ma gêne et me dit « ne t’inquiète pas nous ne venons jamais ici ». Donc séré l’un contre l’autre, nous avons devisé gentiment et il devait être 5,00 heures, quand elle se leva en disant « Il faut que je rentre » et embrassant son index elle le mit sur mes lèvres et partit sans se retourner. Je n’ai pas su quoi faire et c’était peut-être le mieux, qu’aurais-je pu dire ?

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