Collection Dominant Domine. Les Filles De Monsieur, Les Filles De Madame (3/7)

Alors que je pensais partir de chez mes parents le jour de mes dix-huit ans ayant préparé mon escapade en préparant un sac à dos que j’avais caché sous mon lit et une lettre pour mes parents, Monsieur dans sa limousine m’enlève alors que je faisais du stop.
Je suis conduit dans un manoir où sont regroupées des filles, dormant au premier étage, à gauche cinq filles étant sous la coupe de Monsieur et à droite quatre sous le joug de Madame.
Les filles de Monsieur, dont je fais partie, semblent devoir être formée à être des mères de famille, mais sachant s’occuper de leur homme sur le plan, sexuel, les filles de Madame doivent avoir de l’expérience aussi, mais tourner sur les plaisirs sexuels féminins.
À gauche, des filles, limite putes et salopes, à droite des gouines où des lesbiennes tout aussi putes et salopes.
Monsieur me fait venir dans sa chambre, me demande de le sucer, je suis inexpérimentée pour faire une fellation, je me retrouve dans la cave ou pendant un long moment ou j’apprends à donner du plaisir avec ma bouche.
Albert, que j’appelle le pingouin à cause de sa tenue et Léon le chauffeur de Monsieur, me forme à cette pratique m’apprenant même à faire des gorges profondes, j’arrive à faire descendre les verges de ces deux hommes bien membrés le long de ma gorge sans avoir de haut-le-coeur au passage de ma glotte.

Ce matin, survêtement blanc pour les filles de Monsieur et rose pour les filles de Madame, nous courons sur dix kilomètres, trois tours de la propriété autour du manoir.
Je prends conscience qu’hier, si je n’étais pas revenue sur mes pas lorsque j’ai quitté la voiture, il m’aurait été impossible de franchir ou la grille ou le mur d’enceinte qui entoure le domaine.
Nous sommes dans une sorte de prison dorée, mais une prison tout de même sous les ordres d’un couple qui veulent nous dominer.
Hier, quand je me suis sauvée, Monsieur à parler de chiens qui allaient me rattr, c’était certainement pour m’intimider, sur l’arrière du manoir, deux courts de tennis, aucun chenil et aucun aboiement de chien.


J’aurais facilement gagné la course, leur donnant raison, je laisse donc gagner la jeune fille blonde en survêtement rose et aux cheveux blonds.

• Première Wanda, deuxième Carla, Wanda, je crois que tu viens de trouver une coureuse à ta pointure, finis le temps où tu gagnais dans un fauteuil, j’ai dans l’idée que dans les jours prochains, tu as du souci à te faire.
• Lucia, tu es encore la dernière, direction la cave, je vais finir par croire que tu aimes te faire punir, serais-tu masochiste ?

Lucia ne répond pas et prend le chemin de la maison, Albert nous attend en haut des marches du manoir.

• Montez dans vos chambres prendre votre douche, après, petit-déjeuner avant un cours de maquillage et de danse, cette après-midi, cours de maintien et pour finir matchs de tennis.
Carla, viens au bureau à côté de la salle à manger, la modiste va prendre tes mesures afin de te confectionner ta garde-robe.
• Quand tu seras sapée, tu pourras aller montrer ton cul à des hommes pour que l’un d’eux fasse de toi sa femme, nous, ce sera des gouines à qui nous serons proposées.

C’est Wanda que je viens de laisser gagner qui me glisse ces quelques mots assez bas pour n’être entendu que de moi seule, j’ai été enlevé par une bande de tarer qui souhaitent faire de nous de gentilles pouliches, il est vrai que chez mes parents, j’étais loin d’être l’une d’elles.
Dans les heures et les jours suivants, j’apprends à marcher avec des talons de plus en plus hauts, j’adore les cours de danse, Wanda écarte les autres filles pour danser avec moi, je suis douée, maman m’a appris, plusieurs fois, j’ai dansé avec Lucas mon parrain et père d’Adrien mon dépuceleur.
Je suis la reine des fellations prodiguées à Monsieur qui est satisfait de ma progression dans cet exercice.

• Carla monte dans la chambre de Monsieur, il t’attend.

Que va-t-il m’arriver, je prends goût à sucer sa verge, mais c’est la première fois qu’il est quatorze heures quand je me frappe à la porte de la chambre du Maître des lieux ?

• Entre, je te présente Charly, c’est le coiffeur qui vient vous faire belle chaque semaine, aujourd’hui, il est là pour toi pour te donner un look devant plaire aux hommes et surtout à moi, tu vas voir, c’est un magicien.

Il est capable de transformer une fille banale en une sublime créature.
• Mademoiselle, quand j’ai dans les mains une beauté comme vous, nul besoin de me forcer pour avoir de l’inspiration, je vois déjà la tête que vous aurez dans quelques minutes quand vous serez passé sous mes ciseaux.

Il m’entraîne dans la salle d’eau de Monsieur, un vrai bijou, les robinets sont dorés, il me coupe les cheveux et la glace face à moi me montre une tout autre fille, la guêpière met mon corps en valeur, je suis sûr que lorsqu’il finira, si je rencontrais ma mère, elle serait incapable de me reconnaître.

• Monsieur, pour me remercier de mon labeur, puis-je m’occuper de votre protégée ?
• Charly, elle est déjà formée pour les fellations, mais je t’ai réservé son anus, il faut qu’elle apprenne à se faire sodomiser et qui mieux que toi peut s’occuper du fondement de mes filles.

C’est la meilleure, ces deux tarés pensent me prendre ma rosette, je manque de demander que l’on me conduise à la cave, mais cela ne me protégerait pas pour autant des bites de ces hommes qui ont décidé de me former aux plaisirs pour celui qui donnera certainement très chère pour avoir une femme autant salope que bonne épouse.
Charly s’approche de moi, il me serait facile de prendre les ciseaux sur la table et de le planter, surtout quand il approche sa main et que je sens qu’il me flatte la croupe.

• Mets-toi à quatre pattes sur mon lit, Charly elle est à toi, quand tu auras ouvert le chemin, je la prendrais à mon tour, avant de finir comme nous le faisons chaque fois.

En tournant la tête, je vois Charly défaire son pantalon, ouf, il n’est pas trop impressionnant, il se place derrière moi, met de la salive sur sa main, me pénètre avec deux de ses doigts dans ma rosette et sans plus autre forme de procès, il m’encule.

• Monsieur, c’est bon de mettre un cul aussi serré que celui de mademoiselle, je vais décharger, c’est si bon.


Je sens le sperme gicler dans mon anus, il se retire, Monsieur n’est pas gêné de venir prendre la place laisser libre, très bien lubrifiée par le sperme qui tapisse mon anus.

• Allonge-toi Carla, pas de geste brusque que je ne sorte pas de toi.

Je fais ce qu’il dit, il est plus gros que Figaro, il m’éclate encore plus le cul.

• Mets-moi Charly, j’adore que tu m’encules quand je sodomise une de mes protégées.

Je voudrais bien avoir une photo de notre attelage, moi écrasé par ces deux hommes dans la force de l’âge qui finissent par décharger leur sperme dans chaque trou investi, ils se redressent.

• Carla retourne en cours de cuisine, comme nous en donnons à chacune de vous pour que vous sachiez nourrir vos hommes, la bouffe et la baise, ce sont les meilleurs ingrédients pour qu’un couple dure.

Il a sonné, Albert me conduit aux cuisines où toutes sont là, nous sommes placés en binôme, il manque une nouvelle fois Lucia, il sort nous laissant seule avant l’arrivée des profs de cuisines.

• Pendant que tu te faisais coiffer, nous avions court de tennis avec Sébastien et Valérie, il a encore fallu qu’elle se fasse punir, Charly t’a enculé, je sais que c’est ce qu’ils font aux filles du côté gauche du couloir.
Nous, Madame, c’est avec un gode ceinture qu’elle le fait, bien que nous soyons programmées pour rencontrer de riches gouines, ils veulent que nous connaissions l'introduction anale et vaginale avec des godes.
Les femmes portées sur ces pratiques sexuelles aiment prendre et se faire prendre par ces pâles copies de bites d’hommes.

C’est Wanda à côté de qui je suis placé qui me glisse ces propos une nouvelle fois du bout des lèvres.
C’est Agnès que je découvre, c’est la cuisinière du manoir qui entre pour nous donner des cours, entrées, plat dessert, très diététique, ce sera notre repas du soir, nous nous devons d’être maigres afin de plaire à nos époux ou épouse.

Nous sommes presque à la fin de notre cour, les plats sont prêts, Wanda est une bonne cuisinière, la cuisinière nous félicite.
J’ai eu du mal à rester debout, le cul me brûle, vivement que j’aille prendre un bain, j’ai encore du sperme qui doit couler le long de mes cuisses.
Après le repas, je me pouponne, moi qui étais un garçon manqué, je deviens une femme qui aime mettre son corps en valeur surtout quand je me regarde dans ma glace et que je vois ma nouvelle coiffure me faisant voir presque une femme du monde.
Je suis couché dormant à poings fermés quand je me réveille en sursaut, une main s'est posée sur ma bouche.

• Carla, tu dors, pousse-toi, fait moi une place, c’est moi Wanda, j’ai apporté de la pommade pour ton anus…

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