Collection Dominant Domine. Les Filles De Monsieur, Les Filles De Madame (4/7)

Hier, j’ai été sodomisé par Figaro le coiffeur qui semble officier dans le manoir sur les filles, Monsieur a suivi à son tour, sa queue baignant dans le foutre de celui qui semble être son amant.
Monsieur est à voile et à vapeur, c’est ainsi que j’ai entendu que l’on disait des hommes aimant les hommes, il ne rechigne pas sur la petite bite de Figaro dans l’anus alors qu’il me sodomise.
Je me rends en cours de cuisine ou je me retrouve en binôme avec Wanda, la brouteuse de chatte que j’ai laissé gagner ce matin avant de pouvoir aller prendre un bain me passant la savonnette le plus longtemps possible pour calmer la douleur.
Je dors quand une main se pose sur ma bouche me réveillant d’un coup, Wanda est là me demandant de me faire une place.

• J’ai de la pommade, Madame aime elle aussi nous sodomiser avec un gode ceinture, mais aime que cela glisse facilement quand c’est nous qui lui pilonnons le fion.
Elle apporte de la pommade pour elle, j’ai réussi à cacher un tube un jour où elle l’a oublié.

La lune qui est pleine laisse entrer assez de lumière, Wanda ayant enlevé le drap, me relève les jambes qui se trouvent au-dessus de ma tête, elle avance sa bouche et commence à me lécher de l’anus à mon clitoris, c’est la première fois qu’une autre femme s’occupe de moi, j’apprécie, serais-je moi aussi une gougnotte ?

• Tu aimes que je te fasse une feuille de rose, moi dans les amours saphiques, c’est ce que je préfère et pas trop de bruit, mort le drap, je sens que tu aimes ce que je te fais.
• Je dois reconnaître que ta langue sur mon clitoris et qui vient poindre au fond de mon anus m’apporte des sensations nouvelles, mais dis-moi, tu prends des risques en venant dans ma chambre.

Elle éclate d’un petit rire plein de retenue.

• Si l’une de nous a à s’en faire, si nous sommes découvertes, c’est toi, je suis du côté droit du couloir et je ne peux aller autre part que dans la cave à être flagellée par ces deux salopes de Clodette et Magali.


• Quelquefois, elles se relaient avec Valérie la femme du prof de sport, c’est ce qui m’est arrivé il y a six mois quand on m’a amené ici et que je me suis réveillée dans le lit où nous sommes en ce moment.
J’étais dans une soirée, je venais de baiser avec un pote qui était mon amant de passage quand j’ai bu une vodka orange qu’une main me tendait, je me suis réveillé ici.
J’ai cherché ce que l’on me voulait, Monsieur m’a frappé avec sa canne, je pense qu’il en a fait de même pour toi.
• Oui, plusieurs fois dans sa limousine.
• Mais, je n’ai pas accepté cette situation, j’ai eu l’impression que l’on voulait faire de moi une pute, une escorte si tu préfères, quand Monsieur a voulu que je le suce, j’ai failli l’émasculer d’un coup de dent.
Si tu l’as sucé, tu as dû encore voir les traces, il a mis longtemps à cicatriser.
• Une ligne brune interrompue par endroits.
• Mes dents, j’ai lâché quand d’un coup de sa canne, il m’a assommé, je me suis réveillé dans la cave attachée les mains au-dessus de la tête, je tenais sur la pointe des pieds.
J’y suis resté trois jours, urinant même sous moi, je me suis endormie plusieurs fois jusqu’à ce que je sois réveillé par de l’eau froide sur mon corps, elles avaient un jet d’eau et une rigole évacuait l’eau vers un puits perdu.
Quand elles m’ont détaché, elles m’ont remonté dans la chambre du côté droit du couloir se marrant, car elles disaient qu’avec des femmes, je serais dans l’impossibilité de couper des bites.
On m’a enlevé mon collier blanc pour me mettre un rose, je bouillais prenant conscience que les sexes masculins ici s’étaient terminés.
• Tu aurais pu couper le clito de Madame !
• Tu ne peux pas mieux dire, cette femme à un clito hors du commun des autres femmes, une vraie petite bite, mais j’ai un autre plan, j’espère qu’une vieille flachera sur moi et dès que je serais chez elle, baye.
Pour fêter ma libération, je réunirais un max de putain de mec et je me ferais un gang bang d’enfer.

Faisons-nous une promesse avant que je ne te broute la chatte, si l’une de nous a la possibilité de quitter ce manoir, elle fera ce qu’il faut pour libérer l’autre, je te le jure.
• Moi aussi.
• Alors regarde ce qu’avec les autres salopes, j’ai appris.

Une partie de la nuit, nous nous retrouvons tête-bêche, elle sa bouche sur mon clito et au fond de mon vagin avec sa langue, en bonne élève lui en faisant de même.
Quand la sonnerie me rappelle à la dure réalité, la pommade a fait un peu effet, mais pas suffisamment, j’ai encore mal au cul et dire qu’il va falloir courir.
Ce que je redoutais se produit, au deuxième tour, j’ai trop mal et je perds de la distance, Wanda se laisse décrocher et viens à ma hauteur.

• Accroche-toi, aucune fille de Monsieur n’a jamais fini dernière, excuse, j’ai un rang à tenir.

Et je la vois repartir vers l’avant, je suis juste devant Lucia, les profs se sont arrêtés et nous attendent sur la ligne d’arrivée, je vois Wanda finir une nouvelle fois première quand je sens la pointe d’une basket sur mon talon droit, je pars en soleil et tombe de tout mon long à deux mètres de la ligne que Lucia passe levant les bras.

• Pas de pot, t’as perdu.

La petite peste, mais comment lui en vouloir, tous les matins, c’est elle qui a le droit à la cave.

• Clara, tu vas souffrir à double titre, tu les la première fille de Monsieur finissant dernière et bien sûr tu as perdu la course, relève-toi et suis-moi.

C’est ainsi que je me relève, les genoux en sang et que je la suis, il me fait descendre dans la cave, après ce que m’a dit Wanda, qui est resté un long moment, que va-t-il m’arriver.

• Voilà le pilori où tu vas passer un long moment, met toi à genoux la tête et les mains sur le carcan que je vais fermer, tu m’as déçu, si une fille de Monsieur devait être celle qui arriverait en queue de peloton, j’étais loin de penser que ce serait toi.

Je vais te mettre une cagoule avec un trou pour respirer et plus si nécessaire suivant les intervenants, tu deviens notre chose.
Avant de te fermer les yeux, regarde, c’est toi qui vas faire le choix de l’objet qui va te caresser les fesses.

Devant moi, il ouvre une armoire, des fouets, des martinets et deux sortes de martinets avec des grandes lanières et des petites boules de bois, je n’ai jamais vu ce type d’engin de , mais je me doute que s’en est.

• Pour la première fois, je devrais prendre notre chat à sept queues, mais comme tu as cumulé les imprudences, mon courroux est tel que tu vas subir celui à neuf queues, il est plus puissant et te fera énormément souffrir.

Ces derniers mots prononcés, il ajuste la cagoule et je ne vois plus, rapidement, je trouve les coups de lanière supportable, car il frappe en retenant ses coups, malgré ça, je sens mes fesses et mon dos commencer à me cuire.

• Valérie, te voilà, regarde comme mon élève est bien docile, mais que fais-tu là, tu as puni une de tes élèves.
• Non, je viens m’occuper de la tienne, cette salope en tombant m’a fait perdre le plaisir de m’occuper de Lucia, j’ai pris l’habitude de m’occuper de son corps tous les matins, je dois dire qu’elle a tendance à aimer cela.
Je pense qu’elle fait exprès de perdre pour que je m’occupe d’elle.
• Pourtant, tu as vu comme moi qu’elle a fait un croche-patte à Carla !
• Rivalité entre les blanches et les roses, elle devait avoir quelque chose à lui reprocher, tu me laisses m’occuper de ses seins, tu sais que c’est la partie du corps des femmes que je préfère.
Je vois que tu la fouettes avec le chat à neuf queues, je crois que c’est sa première punition, tu y vas fort, je vais pouvoir la fouetter avec celui à 7 queues.

Mes seins pendent dans la position où je suis, je pense qu’elle doit frapper de bas en haut pour les atteindre, ce qu’elle fait très bien, car en plus de mon cul, ils doivent eux aussi commencer à rougir.


• J’ai mal au bras, j’aimerais lui mettre les poids accrochés à ses seins, j’aime voir ceux de Lucia attirés vers le bas par la gravité de la terre.
• Je vais l’enculer pendant ce temps-là, Monsieur m’a dit qu’il avait fait le passage avec Charly.
• Charly, ça me rappelle que je dois l’appeler pour qu’il me coupe les cheveux, que dirais-tu si je changeais de tête !
• Aucun souci, mais je te connais, tu aimes toi aussi qu’il t’encule, je passerais derrière lui, tu auras moins mal avec mon gros engin.

Coucou, je suis là, c’est moi qui ai perdu la course, je me fiche que ta putain de femme aime la sodomie.

• Tu ne vas pas enculer Carla, j’ai une autre envie pour elle, toi occupe-toi de sa bouche pendant que ta femme s’occupe de ses seins, elle a déjà goutté à ma canne dans ma limousine, mais ici, elle va adorer comme je m’en sers, c’est le moment de m’occuper de sa chatte.

C’est dur, d’être cloué au pilori comme il est dit dans les livres qui parlent de l’époque où ils servaient à faire parler les suppliciés.
Je n’ai rien à dire, seulement que j’aime, devenir heures après heures un objet, pour quel but, je l’ignore, mais je le saurais un jour.
Ce qui me fait le plus peur, c’est que Monsieur a parlé de sa canne et de ma chatte, je comprends à quoi elle va lui servir au moment où il écarte mes lèvres vaginales.
J’allais hurler non pas de peur, mais c’est à ce moment que Valérie place une pince sur mon sein droit et qu’elle y suspend un poids qui me le tire sur le bas.
Je vais hurler, mais la bite de Sébastien le prof de sport me force les mâchoires pour m’enfiler son sexe, si gros qu’il entre juste et encore en forçant en me tenant la tête étouffant mon cri.
C’est aussi à ce moment que Monsieur pousse sa canne jusqu’au plus profond qu’il peut, la pierre précieuse glissant au fond de mon vagin m’apportant un orgasme comme jamais de ma vie, je n’en avais autant ressenti.

Je commence à être faible sous l’assaut, il ne faut pas croire que je suis insensible à la douleur, j’ai plusieurs fois crié sous les coups, mais je reçois le sperme au plus profond, car Sébastien a réussi à me la mettre en gorge profonde.

C’est le seul repas que je fais dans les heures suivantes, Monsieur va quitter la cave quand il donne un ordre.

• Suspendez Carla avec le palan, ses pieds posés sur le sol, il ne faut pas l’abîmer, son commanditaire ne devrait pas tarder à venir la récupérer, laisser lui les pinces, mais alléger les poids, je ne voudrais pas qu’il la retrouve avec des seins ayant perdu leur galbe parfait.

Les sons me viennent aux oreilles dans un certain brouillard, je n’ai pas tout compris, ce que je sais, c’est que Lucia a du souci à se faire, la vengeance est un plat qui se mange froid…

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