Une Consultation À La Médecine Du Travail

Ce matin en me réveillant mon téléphone indique qu’aujourd’hui à 14h30 j’ai rendez vous avec le docteur Dominique M. J’avais complètement oublié qu’il y a 2 semaines j’ai reçu une convocation pour la médecine du travail.
Je file prendre une bonne douche et au moment de m’habiller je me rencontre que je n’ai plus de boxer propre mais que des slips. Normalement je les mets quand je fais du sport mais la pas d’autres possibilités. Bon je m’en fou c’est un mec comme moi.

Après ma pose déjeuner je vais directement chez ce fameux docteur M., je me présente à l’assistante qui immédiatement prends le combiné est dit:
« Mr Romain est là, c’est votre rendez vous de 14h30. »
Puis elle m’indique la salle d’attente. Je sais bien que je suis 10 minutes en avance mais il me fait patienter depuis maintenant une demi heure.

L’assistante m’appelle enfin. Je rentre dans le cabinet je vois assis derrière le bureau une femme d’une bonne cinquantaine d’années, au cheveux très courts et grisonnants. Merde j’avais pas pensé que Dominique pouvait être une femme, à ce moment la je repense à mon slip blanc!

Elle ne prend même pas la peine de lever la tête, tend son bras vers une des chaise en plastique de l’autre côté de son bureau et me dit sèchement:
« Asseyez vous ».
Sa façon d’articuler, ou plutôt de ne pas articuler, laisse imaginer qu’elle a une clope au bec mais pas du tout.

Elle lève un instant la tête pour me regarder et se met à chercher des papiers sur son bureau tout en me disant:
« Vous êtes Mr? »
« Romain », je réponds simplement.
Elle att un feuillet et l’ouvre avant d’ajouter:
« J’ai d’abord quelques questions à vous poser mais déshabillez vous en attendant et allez vous assoir sur la table. »
Alors qu’elle me pose des questions sur mes antécédents familiaux, ma consommation de tabac, alcool, drogue… je me déshabille et une fois uniquement avec mon petit slip blanc je me dirige vers la table.

D’habitude sur les tables d’auscultation il y a toujours du papier qui remplace le drap mais là c’est que du skaï noir et aucun rouleau dans les environs. Je m’assois directement sur ce pseudo cuir froid. Je sens rapidement ma bite et mes couilles se rétracter avec le froid. Un peu honteux du trou qui ce fait dans mon slip, je mets les mains devant en croix.

Les questions continue à fuser quand après m’avoir demandé si j’ai déjà subi des opérations elle me dit:
« A quelle fréquence vous masturbez vous? »
D’un coup je rougis, je n’ai aucune honte sur ma sexualité mais être interrogés de la sorte par ce médecin qui ressemble à une camionneuse me met mal à l’aise, du coup je marmonne :
« 2 à 3 fois par semaine! »
Elle en chaine direct:
« Avez vous des rapports sexuels réguliers? »
« Oui »
« Avec des hommes ou des femmes? »
Je rougis à nouveau quand je lui dit les deux
« Donc vous pratiquez la sodomie en donneur et receveur? »
« Oui »
« Avez vous déjà contracté une MST? »
« Non »
« Vous vous protégez? »
« La plus part du temps ».

Elle continue d’écrire mes réponses mais les questions s’arrêtent. Elle se lève enfin et vient vers moi, même dans sa démarche, elle a l’air d’un mec! Pas très excitant tout ça, ce n’est pas comme ça que ma queue va reprendre de la vigueur!

Elle sort son stéthoscope et commence l’auscultation. Puis s’en suit les palpations, ses mains se posent sur mon ventre et descendent le long de mon abdomen. Docteur M. baisse légèrement mon slip et continue à me palper au niveau du pubis.

Ensuite sur un ton sec elle me dit:
« Levez vous! »
Je me mets droit les bras le long du corps, mon sexe a repris sa taille normal voir plus avec ses massages si proche de lui. Elle s’assoie sur un tabouret et sa tête se retrouve au niveau de mon entrejambe. Elle pose ses mains sur ma taille pour me positionner bien en face d’elle.

Sans rien dire les doigts de ses deux mains se glissent sous l’élastique de mon slip qu’elle fait descendre d’un seul coup. Je ne m’attends pas à ça, je suis assez troublé. Les doigts de sa main droite se posent sur mes poils pubiens pour examiner la région mais je le ressens plus comme un massage et je commence à durcir surtout qu’elle ne met pas de gant donc sa peau est contre la mienne.

Avec 3 doigts elle att mon gland qu’elle triture dans tous les sens tout en disant:
« Le corps spongieux entourant l'urètre antérieur est souple et régulier, comme les corps caverneux »
Son pouce se pose sur mon frein alors que l’index et le majeur son sur le haut de ma queue de plus en plus droite et dure. Elle serre c’est doigts ce qui ouvre mon méat et enchaine:
«Le méat urétral est bien situé à l'extrémité du gland »
Elle enchaine quelques coups de pressions du bout des doigts et ajoute:
«La fente est souple et verticale d’environ 7 mm dans son grand axe »
Elle presse intensément mon gland et att une petite lampe pour regarder à l’intérieur du canal et elle dit juste:
« C’est propre! »

Elle repose la lampe et att un très long coton tige qu’elle commence à introduire dans mon méat. J’ai quelque fois pratiqué la pénétration urétral mais je suis quand même stressé en voyant à quel point elle l’enfonce. Comme pour se justifier Docteur M. me dit:
« L'examen de la verge est nécessaire, Mr Romain, il permet de reconnaître des anomalies de position du méat urétral, du prépuce mais vous n’en avez pas, du frein et des anomalies des corps caverneux et spongieux. C’est pour cela que je dois passer le majeur et l’index sur toutes les parties de la verge ».

Ce qu’elle fait maintenant me fait bander comme un taureau. Quand un peu de liquide coule de mon méat, elle le récupère du bout de doigts et continue de me caresser avec. Son examen de ma bite enfin fini elle la soulève et la plaque contre mon ventre et s’intéresse maintenant à mes couilles.

Avec une main elle att ma couille gauche qu’elle presse et malaxe, puis elle la serre entre ses doigts et avec 2 doigts de son autre main elle en fait le tour. Puis elle prend ma bourse dans la paume de sa main qu’elle presse. C’est étrange mais ça ne me fait pas débander au contraire. Ensuite elle fait la même chose avec ma couille droite.

Ensuite avec 3 doigts elle presse entre mes deux testicules à la séparations des deux poches sur le petit bourrelet qu’elle pince maintenant. Puis chacune de ses mains se pose sur une de mes couilles qu’elle se remet à malaxer.

Une grande quantité de liquide coule de mon méat avec les manipulation de Docteur M., avec le bout de son index elle récupère une goutte qui allait tomber et la triture en y ajoutant son pouce, comme pour vérifier la consistance ou autre.

Bien qu’elle ne me touche plus mon urètre continue de rejeter du liquide qu’elle récupère cette fois avec la paume de la main droite qu’ensuite elle pose sur ma queue qu’elle commence à branler alors que sa main gauche retourne sur mes couilles.

Je ne sais pas comment réagir, même si elle me masturbe son attitude et ses gestes restent professionnelle. Elle att une petit coupelle sur la table à côté d’elle, qu’elle place sous mon gland. Maintenant sa main droite se consacre uniquement à mon frein et mon gland. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir mais je rougis aussi de plus en plus.

Je décide de fermer les yeux et de profiter de ses caresses même si elle ne sont pas prodiguer par le genre de femme qui ont l’habitude de s’occuper de ma bite. Par contre elle s’est très bien ce qu’elle fait, malgré son look lesbienne sa main est une experte des queues!

Je sens mon sperme monter le long de ma tige qui se contracte. Docteur M; accélère le rythme de ses caresses et appuies fortement sur mon frein avec son pouce. Je lâche un premier jet qui vient s’écraser sur sa blouse, elle dirige mon gland vers la coupelle et 4 autres giclées s’écrasent dessus et même éclabousse autour.

Je sens sa main abandonner ma bite, j’ouvre les yeux le docteur me tend un mouchoir en me disant pour me rassurer:
« Pas de soucis Mr Romain, c’est naturel », puis elle me fait un petit sourire sadique.
Je m’essuie sur toute la longueur et je garde le mouchoir en main j’ai trop honte de lui redonner. Je ne bouge pas j’attends de voir la suite. Elle retourne derrière son bureau m’observe un moment entièrement nu avant de prendre son stylo et commencer à écrire.

Un moment après, alors qu’elle gratte toujours le papier, elle me lance sur un ton sec
« Rhabillez vous! »
Je remets rapidement mon slip et je vais vers la chaise où son mes autres habits quand elle ajoute:
« Je vous revois dans 2 ans et cette fois on vérifiera votre prostate. »

Même si j’ai pas encore l’âge pour des examens de la prostate j’ai hâte d’y être…