Lettre A Brian
Cher Brian,
Je vous écris ce petit mot pour vous dire que j'ai une liaison avec votre femme, Brigitte.
Quand je l'ai vue, ce jour-là, dans le magasin, jai été totalement subjugué par sa beauté. Elle était avec sa mère, Lorraine, et vous allez être surpris, et je la baise aussi. La raison est toute simple. Lorsqu'elle a découvert notre liaison, à Brigitte et moi, elle nous a menacé de tout vous révéler, à moins que je me sacrifie. Mais, bien sûr, je ne regrette pas, car Lorraine, malgré son âge, est très attirante.
Quoi qu'il en soit, en les voyant sortir du magasin, chargées de paquets, je leur ai demandé si je pouvais les aider. Elles m'ont dit où elles allaient et qu'elles rentraient en bus. Je me suis vite aperçu qu'elles devaient prendre plusieurs bus, avec des changements le long du parcours. Alors je leur ai proposé de les ramener avec ma voiture.
Arrivés chez Lorraine, elles m'ont invité à prendre un café pour me remercier. Nous étions au salon, assis sur le canapé, avec votre femme, et Lorraine était dans la cuisine pour préparer le café. J'ai demandé ce qu'elles avaient acheté et elle m'a dit que c'était des vêtements, et des sous-vêtements sexy. En riant, Brigitte m'a raconté qu'elle souhaitait rendre Lorraine un peu plus sexy, qu'elle la trouvait un peu vieux jeu. En baissant la voix, elle m'a confié qu'elle souhaitait que sa mère se trouve un copain.
Ensuite, votre femme m'a dit qu'elle étudiait au centre de formation des adultes, mais trouvait ses études plutôt difficiles. J'ai compris qu'elle étudiait certains sujets que je connaissais, alors j'ai proposé de lui donner des cours particuliers. Quand elle a expliqué cela à Lorraine, en buvant le café, Lorraine a proposé sa maison comme un endroit où nous pourrions étudier ensemble. Elle a dit que nous pourrions nous rencontrer quand elle était absente.
Donc, nous avons commencé à étudier ensemble. Plusieurs fois par semaine, Brigitte et moi, chez Lorraine, nous avons bossé dur.
Un jour, j'ai fait passer un test à votre femme pour juger de son niveau. Elle l'a réussi avec brio. Alors, pour fêter ça, Brigitte a sorti une bouteille de Champagne, trouvée dans la cave de Lorraine, et nous avons trinqué pour fêter notre réussite. Votre femme était très joyeuse et m'a dit qu'elle voulait m'embrasser pour me remercier de mon aide. Alors qu'elle m'embrassait sur la joue, j'ai sollicité un baiser plus coquin. Alors, très hardiment, elle m'a pris les joues entre ses mains et m'a embrassé sur les lèvres. Immédiatement, nous nous sommes sentis tous les deux très attirés, et je l'ai enlacée tendrement. C'est Brigitte la première qui a ouvert la bouche pour insérer sa langue entre mes lèvres. Très vite, nous avons perdus le contrôle de la situation.
Enlacés sur le canapé, échangeant des baisers torrides, j'avais le corps sexy de votre femme dans mes bras, et un début d'érection.
Je n'ai pas pu me contenir, j'ai dégrafé son soutien-gorge. Puis, progressant rapidement, j'ai défait quelques boutons de son chemisier. Elle n'a montré aucune résistance, au contraire. Souriante, elle s'est redressée pour défaire le reste des boutons et faire glisser le léger vêtements sur ses épaules et l'ôter complètement. Torse nu, elle s'est blottie dans mes bras en miaulant doucement.
J'appréciais le spectacle de cette femme magnifique, son opulente poitrine m'attirait, ses tétons turgescents m'ont rendu fou de désir, je me suis jeté sur ses seins bouche ouverte, je les ai palpé, sucé, léché et j'ai soupesé leur masse pulpeuse.
Brigitte ne restait pas inactive, pendant que je bécotais ses charmants seins, sa main experte était remontée le long de ma cuisse, masser mon entre-jambes, avait découvert ma protubérance et s'est exclamée:
"Oh, David, comme cela doit être douloureux, votre tige coincée ainsi dans vos vêtements. Soulevez-vous un peu que je vous aide à vous sentir mieux. Voilà, c'est plus confortable, vous vous sentez mieux! Oui, moi aussi, je vous sens mieux, bien mieux! Oui, c'est cela, occupez-vous de mes seins, sucez-les, n'essayez pas de parler la bouche pleine, oui, ne vous arrêtez pas, sucez-les, massez-les, j'adore ce que vous me faites, David!"
Tandis que notre excitation grandissait, votre femme massait doucement doucement ma tige dure comme un roc d'une main, et de l'autre elle continuait mon déshabillage, dégrafant un à un mes boutons de chemise.
Revenant à ma tâche première, dévorer sa merveilleuse poitrine, elle s'exclama en riant:
"Attends, grand fou, j'ai pas fini d'ôter ma jupe! Si je ne la plie pas correctement, elle sera froissée!"
Tout en me parlant, elle exécutait un strip-tease devant mes yeux ravis, tournant sur elle-même pour ôter sa jupe et sa petite culotte, ne gardant que son porte-jarretelles, ses bas et ses talons aiguilles. Elle revint se frotter contre moi, et tandis que je dévorais ses globes laiteux, elle me dit:
"Je te plais comme ça? Je me suis habillée sexy pour toi, pour te plaire, tu aimes? J'avais très envie de toi, depuis qu'on étudie ensemble. Pousse-toi, que je m'allonge sur le canapé, tu pourras mieux me câliner."
Amoureusement, je me suis blotti contre elle, commençant le processus des préliminaires, caressant, suçant, léchant chaque centimètre de peau nue. Votre femme n'était pas inactive et, tout en me guidant de la voix et du geste, caressait ma bite et mes couilles d'une main de velours. Comme j'insérais un doigt inquisiteur dans sa chatte exquise, elle me chuchota à l'oreille d'en mettre deux et de masser son clitoris avec mon pouce.
Elle ronronnait doucement à mon oreille et j'ai compris que le moment était venu de passer aux choses sérieuses. M'allongeant sur elle, je présentais ma fierté à l'entrée de sa grotte humide, mais prenant les choses en main, elle se caressa longuement la fente, humidifiant mon gland, me plongeant dans un délicieux supplice, désirant la pénétrer au plus vite, mon excitation atteignant son paroxysme.
Elle leva les yeux vers moi et mutine, m'a déclaré: "Tu te retiens, n'est-ce pas? Tu m'attends, tu ne me laisses pas tomber en route comme le fait si souvent mon mari! Si tu sens que ça vient, dis-le, on fera une pause, mais ne balance pas la purée n'importe comment, tu verras, je suis un peu longue à venir, mais tu patientes, hein?"
Alors, Brigitte m'a guidé et j'ai commencé à enfiler lentement sa chatte délicate.
Ensuite, de la voix et du geste, Brigitte m'a encouragé à augmenter la cadence. Mon visage blotti dans son cou, je la léchais derrière l'oreille le long de la veine jugulaire, en poussant des grognements de plaisir pour l'exciter un peu.
Mon excitation grandissait au fur et à mesure que le rythme de mes coups de rein s'accélérait, je commençais à m'inquiéter pour ma promesse de me retenir et de ne pas éjaculer trop tôt lorsque soudain
Soudain, nous avons très distinctement entendu la porte d'entrée se refermer.
"Oh! mon Dieu, c'est maman, déjà!" s'écria Brigitte, tandis que j'essayais, vainement, d'arrêter ce que nous faisions.
"Hé bien, hé bien, qu'avons-nous ici?" s'écria Lorraine.
"Maman, sois gentille, ne reste pas plantée là, repars faire un tour!"
"Pourquoi devrais-je aller faire un tour?" dit Lorraine. "Maintenant, avec mon smartphone, je peux toujours prendre quelques clichés et les montrer à Brian, en lui racontant votre petit manège ..."
"Maman! Tu plaisantes! Pourquoi ferais-tu une chose pareille!" s'exclama Brigitte.
"En fait, je n'ai pas très envie de faire une chose pareille! Ce dont j'ai envie, c'est de me joindre à vous et de participer
à votre petit jeu! Je vois que David est bien outillé et je ferais volontiers un petit voyage sur une bite de cette qualité!"
"Maman! Tu dérailles!"
"Pas du tout, jeune fille! Moi aussi je suis une femme! Et j'ai des besoins! Et j'aime ça! Comme toi! Alors, tu te décides, je racontes tout à ton mari, ou tu me prêtes ton étalon?"
Faisant contre mauvaise fortune bon cur, nous acceptâmes le marché qu'elle nous proposait.
Lorraine nous a alors demander de reprendre nos activités là où nous les avions interrompues pendant qu'elle allait se changer.
Elle a précisé à mon attention qu'elle avait plusieurs fantasmes qu'elle souhaitait réaliser, et que si je regrettais ma décision, c'était tant pis pour moi, elle ne reviendrait pas en arrière et je devrais tenir mes engagements, quoi qu'il m'en coûte.
Lorraine a disparut dans le couloir des chambres et nous avons recommencé notre marivaudage, mais la fièvre était retombée et nous étions anxieux dans l'attente de savoir ce que nous réservait Lorraine. Bien sûr, l'opulente poitrine de votre femme m'hypnotisait toujours autant, bien évidemment sa main de velours qui enserrait ma bite et me masturbait délicatement m'enchantait toujours. Mais le fait de se sentir coincé, sans option pour s'échapper du piège tendu, m'agaçait et me faisait douter de tout, y compris de la bonne foi de Brigitte, que je soupçonnais de complicité avec sa mère.
Nous avons pu continuer nos caresses pendant un bon moment, et notre fièvre sexuelle est repartie de plus belle. Sans plus penser à Lorraine qui mettait beaucoup de temps à se préparer, je me suis de nouveau allongé entre les cuisses ouvertes de Brigitte et j'ai recommencé à la pénétrer. Faisant coulisser ma bite dans son vagin sur toute sa longueur, je commençais à atteindre mon rythme de croisière et Brigitte vocalisait sa douce mélopée, lorsque Lorraine surgit devant mes yeux hagards. Ça m'a foutu un choc!
Imaginer le tableau, mon cher Brian. En effet, la vioque s'était déguisée en dompteuse de fauve: corset en cuir noir, bas résille, bottes de cavalerie noires! Mais le clou du spectacle était sur sa chatte, elle s'était équipée d'un gode-ceinture noir du plus bel effet et de fort belle dimension!
J'hésitais à éclater de rire et à me foutre de sa gueule lorsque la cravache qu'elle tenait à la main et que je n'avais pas vue, m'a zébrée les fesses. J'ai sursauté et crié sous la douleur, mais elle a recommencé à plusieurs reprises, et votre chère femme, Brigitte, s'est mise à jouir sous moi, m'enserrant avec ses bras et ses jambes, m'empêchant de fuir les coups. Elle se tortillait sous moi et criait son plaisir, et à ce moment j'ai été convaincu que la mère et la fille étaient complices.
Lorsque que Brigitte s'est calmée, Lorraine s'est assise à côté de moi et s'est mise à frotter mes fesses avec un onguent pour calmer mes plaies. La caresse était très douce, votre femme Brigitte ondulait sous moi en m'embrassant tendrement, je ne suis qu'un homme. La forme est revenue et tandis que je reprenais mon assaut à l'intérieur de la chatte à Brigitte, Lorraine m'expliqua que désormais elle allait être la maîtresse de cérémonie et que je devais suivre tous ses ordres.
Tandis que la fièvre montait en moi et que jaccélérais la cadence de mes coups dans le vagin de votre femme, j'ai remarqué que la caresse de la main pleine de crème apaisante se concentrait sur mon anus, et bientôt dans mon anus. Inquiet, me rappelant de la présence du gode-ceinture, je serrais vainement les fesses tandis que Lorraine m'enjambait et se positionnait pour m'enculer. N'ayant jamais pratiqué la sodomie, j'étais anxieux de la douleur que je pouvais ressentir. Mais Lorraine m'avait bien préparé, et l'introduction du gode se fit sans grosse difficulté. Après une pause pour m'accoutumer à la présence d'un corps étranger dans mon fion, j'ai remarqué que l'excitation de votre femme, Brigitte, avait de nouveau fortement augmenté. Elle avait pris ma tête à deux mains et m'embrassait goulûment, gémissante et geignante, au bord de l'orgasme. Lorsque Lorraine m'a pénétré totalement avec son gourdin en plastique, cela a déclenché un orgasme tonitruant de la part de votre épouse, Brigitte. Je peux vous assurer, mon cher Brian, que c'est particulièrement déstabilisant d'avoir une femme allongée sous vous, qui s'envoie en l'air, alors que pour vous c'est le calme plat ou presque.
Longtemps, Lorraine m'a bourré le cul avec sa bite artificielle, déclenchant des vagues d'orgasmes à répétition chez votre femme, Brigitte. Mais bon, la chair est faible, et ainsi sollicité, ma prostate a décidé de m'octroyer le plus fantasmagorique orgasme de toute ma vie, et j'ai éjaculé mon foutre dans la vulve de votre femme en hurlant, tandis qu'elle hurlait de plaisir elle-même en se tordant sous moi.
Bien évidemment, je n'ai pas apprécié le piège tendu et qu'elles m'ont avoué après coup.
Je vous ai écris ce petit mot pour vous prévenir de vous méfier de ces deux tordues, je vous jure que c'est la plus stricte vérité, Brian.
Veuillez croire en ma plus profonde sincérité, David D.
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