Collection Dominant Domine. Les Filles De Monsieur, Les Filles De Madame (5/7)

C’est dans la cave que je me retrouve après avoir perdu la course du matin, est-ce bien ce matin que j’ai perdu, dans cette cave où aucune lumière n’entre, j’ai perdu la notion du temps, j’ai mal partout et surtout aux bras qui me retiennent à ce palan.
J’ai une sale impression, serait-ce possible que j’aie uriné sous moi comme Wanda quand elle s’est trouvée dans la même situation.

• Détacher là, après lui avoir donné un coup de jet, ses salopes finissent toujours par se pisser dessus, chaque fois qu’on les laisse quelques temps pendus.

Un jet d’eau froide m’atteint, elle est glacée, mais elle me fait du bien me ramenant à une condition de femme et non plus celle d’un animal.

• C’est bon, remontez-là dans sa chambre, Albert, montez afin de faire couler un bain, mettez en marche la température constante et laissez là, nous verrons demain matin l’état ou elle est.

C’est la voix de Monsieur qui vient de donner des ordres, je me retrouve rapidement dans de l’eau à 28 degrés qui va être constante tant que je resterais dedans.
Ce que mes bourreaux ont sous-estimé, c’est mon pouvoir de récupération, j’ai encore un peu honte d’avoir fait sur moi, mais dans le manoir plus rien ne semble bouger.

• Carla, comment ça va, je viens aux nouvelles, tu es restée presque deux jours dans la cave, la nuit dernière, je suis descendu, mais je ne pouvais rien faire, tu dormais pendu par les bras et je suis remontée.
J’avais prévu de redescendre ce soir quand j’ai entendu qu’il te ramenait, j’avais gardé cette pomme, que j’ai cachée entre mes cuisses après la finale de tennis jouée contre Jennifer tout à l’heure, mange.

Je prends la pomme, elle a le goût de la chatte de mon amie, il me faut peu de temps pour tout manger, même le trognon.

• Es-tu prête à m’aider ?
• Bien sûr, mais ne vas-tu pas te coucher ?
• Non, j’ai une vengeance à exécuter, aide-moi à m’essuyer, après je t’expliquerais.



Cinq minutes sorties de l’eau et je suis debout, j’ouvre ma porte et j’écoute ce qui se passe dans le couloir, tous semblent dormir.
Je traverse le couloir pour ouvrir l’une des portes des filles de Madame.

• Pourquoi vas-tu dans la chambre de Lucia ?
• Chut, pas un mot, entre.

La pièce est dans le noir, dans le couloir, le manoir doit être aux normes afin de recevoir du public et au-dessus de la porte menant à l’escalier, il y a une vérine de sécurité verte qui diffuse un peu de lumière.
Cette lueur me permet de me diriger, je mets ma main sur la bouche de l’endormie et je la prends par les cheveux.

• Suis-moi, pas un mot, j’ai un couteau près de ton cœur et je n’hésiterais pas à te planter si tu cries.

Elle ne résiste pas, c’est beau, d'être une soumise, tu donnes un ordre et elle s’exécute.

• Wanda prend son tube de rouge à lèvres sur sa table de maquillage, on va en avoir besoin.
• Tu es folle, pourquoi t’en prends-tu à cette petite salope ?
• C’est sa faute si j’ai passé des heures dans la cave et que j’aie fini par me pisser dessus.
• Toi aussi.
• Oui, et elle va payer le croche-patte qu’elle m’a fait pour finir avant moi, toi salope, suis-moi, si tu cries quand je vais enlever ma main, tu es morte.

Je tire sur ses cheveux, j’enlève ma main, elle pleure, nous descendons jusque dans la cave, ce qu’il y a de bien, c’est que nos gardiens pensent que nous ne tenterons rien pour nous échapper et la surveillance de nuit est limitée.

• Tu connais à quoi sert ce palan, petite salope, donne-moi tes mains.
• Ne me faites pas de mal, je serais à votre service chaque fois que vous voudrez de moi, je serais docile.
• Connais-tu un moyen de lui faire fermer sa gueule, excuse Wanda, nous sommes dans le beau monde, sa bouche ?
• Oui, dans l’armoire, il y a des boules à bouches.

Elle ouvre l’armoire, je vois les chats à 7 et 9 queues qui m’ont laissé des traces sur mon corps et qui me brûlent, ils vont m’aider dans ma vengeance.


• Qu’est-ce que je fais du bâton de rouge à lèvres ?
• Pose-le là, il nous servira à la fin, elle est belle avec sa boule lui bloquant la bouche, ils sont malins les dominants, elle est attachée comme je l’étais avant que l’on me remonte.
Passe-moi le chat à 9 queues et toi prends l’autre, je m’occupe de sa partie arrière, toi de sa partie avant, frappe le plus fort que tu peux, il faut que cette salope se souvienne qui est la maîtresse ici.
Mais attend, à quoi servent ces cônes en métal, comme j’étais placé sur le pilori, je ne les voyais pas.
• Ces des plugs, j’en ai eu un dans l’anus pendant trois jours quand j’ai été envoyée dans le groupe de Madame, il y a diverses grosseurs.
• Fais-moi passer le plus petit, merci.
Regarde, il y a un chiffre 6, c’est le diamètre.

Lucia se tortille comme si elle voulait parler, je lui détache sa boule.

• Pas de plug, je suis vierge, Madame veut me garder ainsi pour que ce soit la femme qui viendra me chercher qui me déflore, elle se contente de me fouetter et de me lécher le clitoris.
S’il vous plaît, faites pareil, je n’aurais plus aucune valeur marchande pour eux.
• Super, une salope qui fait tomber les autres et qui est vierge, on va bien s’amuser.

Je lui replace la boule.

• Passe-moi, celui du milieu.
• Le 12, tu es folle, 12 centimètres.
• Donne-le-moi, j’ai bien eu le pommeau de la canne de Monsieur dans l’anus quand j’étais sur le pilori.
• Tu as eu mal !
• Non, j’ai joui.
• Es-tu sûr que la salope, c’est Lucia ?
• Non, mais je ne ferais jamais rien pour que ce soit une autre qui ramasse.

Je pousse le cône dans l’anus de la suppliciée qui s’ouvre et qui l’absorbe, ce doit être douloureux, car je vois des larmes tomber au sol.

• Passe-moi le plus gros !
• Le 18, tu dépasses les bornes, tu vas l’éclater.
• Et ma bouche quand le prof de sport m’a fait entrer sa bite, il faisait combien.

• Je l’ignore, je te rappelle que Lucia et moi sommes des bouffeuses de chatte dans ce manoir, mais vas-y, le voilà.

Je retire avec du mal le 12 et sans attendre que les muscles se rétractent, j’entre le 18, avec un peu de mal, il est vrai.

• Maintenant fouettons là, insiste sur ses seins, une nouvelle fois sur le pilori, les miens ont ramassés, mon cul aussi aux marques que tu peux voir, je m’en occupe.

Combien de temps les lanières avec les petites boules de bois s’abattent, jusqu’à ce que nos bras ne puissent plus continuer, perle de ses fesses, et la faisant tourner comme une toupie, je m’aperçois que ces seins en plus des zébrures ont aussi des perles de sang.

• Pour continuer, passe-moi les pinces pour les seins et donne-moi le maximum de poids.
• Attention, si tu mets trop de poids, ça ne tiendra pas.

Wanda à raison, un kilo ça tient, plus ça tombe, je regarde dans l’armoire, il y a un rouleau de papier collant, je le montre à mon amie.

• À quoi ça leur sert ?
• C’est pour immobiliser les filles avant de les mettre dans cette cage, regarde, elle est juste dans les dimensions pour que nous puissions nous y glisser, avec les pieds et les mains liés, on ne peut plus bouger.
Lucia, vas-tu souvent dans la cage ?

Elle fait oui de la tête, je pourrais la faire finir dedans, mais je veux suivre mon plan jusqu’au bout.
Je découpe des petites bandes avec mes dents et fixe les pinces avec, je mets 1,5 kilos sur chacun, ça tient, je vois que ça doit faire mal, ses larmes se remettent à couler.

• Regarde comme elle est belle, passe-moi le chat à 9 queues, touche finale avant de montrer à tous qui est cette petite dinde.

Je prends le chat par le manche et je le présente au vagin de Lucia.

• Écarte ses grandes lèvres, les as-tu souvent sucées ?
• C’est la première fille avec laquelle je me suis gouinée.
• Comme moi avec toi, tu as été ma première femme.

• Je l’ignorais, ça renforce notre amitié et notre connivence.

Je pousse le manche dans le vagin, ça résiste et descend le long du manche en cuir, elle vient de perdre son pucelage.
Je laisse le chat pendre, je me recule, tableau final.

• Donne-moi le tube de rouge à lèvres, regarde.

Sur le front, je marque « pute », sur les seins, « salope ».

• À moi.
• Attention, change ton écriture, inutile que ce joli tableau nous soit attribué, je ne veux pas me retrouver dans la cage, c’est pour ça que c’est son rouge à lèvres qui nous sert.
• Tu as raison, j’écris « garce » sur ses fesses.

Avant de remonter, nous coucher, épuisée par tant de changement, je prends la cagoule et lui replace sur la tête, on peut faire des erreurs, mais n’en dévoilons pas trop…

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