A La Campagne
Je revenais dune après midi chez mon amie Myriam. Il était tard et jétais pressée de rentrer à la maison. Malheureusement Myriam habitait à lextérieur dun petit village de la campagne meusienne, et je devais faire attention à la route qui ressemblait plus à un chemin quune départementale. Au sortir dune courbe, un petit animal traversa la chaussée. Donnant un coup de volant pour léviter je perdis le contrôle de la voiture qui alla sarrêter dans un petit fossé. Plus de peur que de mal, jétais coincée dans limpossibilité de sortir la voiture de ce fossé. Le chemin était boueux et pour couronner le tout, impossible dutiliser mon portable faute de réseau. Je sorti de la voiture salissant mes escarpins. Lornement de mes chaussures était recouvert de boue et je dois avouer que lélégance de mes escarpins Fiore-Kenzo marron contrasté avec la rudesse ces lieux. Je décidais de maventurer sur le chemin afin de trouver de laide sachant que personne ne passait sur la route, il me fallait aller au devant des secours, et avec mes 11cm de talon ce nétait pas simple. Emmitouflée dans mon manteau Max Mara, javançais péniblement sur ce chemin, sachant mes escarpins irrémédiablement foutus, mon déhanchement naturel tranché avec ces lieux rudes et froid. Au bout de virage jentendis le bruit dun moteur. Japerçu au loin un tracteur. Je fis de grand signe afin dattirer son attention. Enfin le tracteur, changea de trajectoire et se dirigea vers moi. Arrivé à mon niveau, un homme dune trentaine dannée sorti de la cabine et demanda ce qui se passait.
- Jai eu un petit accident un peu plus loin sur la route et jai besoin daide
- OK belle dame on va voir cela, monte dans la cabine.
Je me dirigeais vers le tracteur, dans ce champ boueux. Mes pieds senfonçaient dans la terre humide. Lagriculteur riait.
- Ah les belles dames de la ville ne sont vraiment pas équipées campagne. Attends je vais taider.
Il descendit du tracteur, et se dirigea vers moi. A mon niveau il me souleva dans ses bras, et me porta sur son épaule se dirigeant vers le tracteur. Jémis une plainte, surprise de tant de familiarité.
- Je vous en prie, restez correct
- Et si tu veux je te lâche grande dame, et tu te débrouilles toute seule dans la boue
Il me déposa sur la margelle du tracteur, et me demanda de monter et de sasseoir sur le coté. Jobéis, inquiète mais soulagée davoir trouvé de laide.
Il redémarra et conduit en direction de ma voiture. Après avoir observé mon véhicule, il conclu quil fallait retournait à la ferme chercher des cordes afin de tracter ma Berline BMW 330D en dehors du fossé.
- allez tinquiète pas cest juste a 15 minutes dici, le temps de faire laller retour. Mais peut être préfères-tu attendre dans ta bagnole ?
Inquiète à lidée de rester seule, je décidais de venir avec lui.
- Sage décision belle dame, les bois sont pleins de braconniers.
- Je mappelle Marc et toi
- Moi cest Patricia, je rentrais chez moi avant laccident. Je viens de chez Myriam X, je suis une de ses amies.
- Ah oui je la connais bien la Myriam on est super pote, une sacré coquine ta copine
Il posa sa main sur ma cuisse, que je repoussais immédiatement. Une fois à la ferme, nous descendîmes du tracteur. Il alla chercher la corde.
- Dis moi donc la belle, quest ce que je gagne à retourner à ta bagnole ?
- Je vous paierais nayez crainte
- Je ne veux pas dargent pour dire vrai je pensais à une autre forme de paiement
- Mais vous êtes dégoûtant, jamais, cest hors de question.
- Pas grave, tu peux rentrer a pied cest juste a 10 km dici et tu connais le chemin maintenant.
- Mais cest du chantage, je pourrais porter plainte
- Allons fait pas ta mijaurée, et la Myriam, elle ma déjà parlé de toi, il parait que tes une sacré coquine aussi, taime bien te faire forcer.
Il sapprochait de moi, me faisant reculer contre le tracteur.
- Enlève ton manteau maintenant la bourgeoise que je vois ce que tu nous cache
Jessayais de sortir de son emprise, mais il me retenu par le bras et me repoussa vers le tracteur. La peur et le désir me tenaillaient le ventre. Ce monstre meffrayait et mexciter à la fois, et je savais ne pas avoir dautres alternatives que de le laisser jouer de mon corps.
Jobéis inquiète, et enlevais mon manteau, je révélais mon ensemble Carroll composé dune jupe fourreau pied de poule, et dun pull laine loir moulant, faisant ressortir mon opulente poitrine. Mes collants noirs faisant ressortir mes longues jambes.
- Elle mavait dit que tu étais bien gaulée la Mymy mais je ne mattendais pas à un tel canon.
De sa main calleuse il mattrapa par les cheveux. Je sortais de chez le coiffeur qui mavait fait payer une fortune ma coupe carrée, et cet animal me tirait par les cheveux comme on att la crinière dune jument affolée.
- Jadore les brunes qui se colore en rousse ça mexcite. Tu vas me faire une petite gâterie et après on ira voir ta bagnole. Mais avant tu vas te mettre à laise. Relève ta jupe que je vois ce quil y a en dessous.
Mes collants noirs Wolford apparurent révélant mes cuisses, ainsi que ma culotte Lise Charmel noir. Il me retourna afin dobserver mes formes.
- Ouahhhh, quelle croupe, tas un beau gros cul ma cochonne, ça va être un plaisir et honneur de te saillir comme une belle jument. Mais attends on va libérer tout ça.
Déchirant mes collants en deux il écarta le nylon afin de libérer ma croupe. Il fit ensuite coulisser ma culotte dans la raie de mes fesses afin de dégager ma peau de tout issu protecteur. Il me poussa ensuite à masseoir sur le marche pied de son tracteur.
- Allez montre moi que tu es une bonne butineuse. Lèche moi et suce moi comme une vrai pro. La bourgeoise chaude du cul ça adore se faire envahir la bouche.
Il faisait allez et venir son sexe dans ma bouche le ressortant afin que je puisse lui lécher. Son bâton de chair coulissait au travers de mes lèvres peintes. Ressortant son sexe de ma bouche, ma langue passait délicatement sur son gland, mordillant de mes dents son gland gros et baveux, je détournais la tête simulant lécoeurement ce qui lexcitait encore plus. Me saisissant par les cheveux, il redirigea ma bouche vers son membre, me loffrant à lécher comme une glace.
- Vous êtes dégoûtant, cest ignoble.
- Oui cest ça cochonne, continu à protester. Regarde moi ça les belle grosses loches qui demande qua être malaxaient. Je vais te mettre sous ma machine a traire, je suis sur que je peux tirer du lait à une belle grande mameleuse comme toi. Regarde moi pendant que tu me suces, je veux voir ton regard de salope.
Cest mains me pétrissaient les seins pendant que son sexe me violait la bouche. Il releva mon pull et libéra mes seins de mon soutien gorge noir. Il plaça alors son sexe au milieu. Le fixant dans les yeux je pouvais percevoir dans son regard lubrique le désir dune bête qui allait mutilisait comme une poupée de chair.
- Fais moi une bonne cravate de notaire, cest la spécialité des bourgeoises qui ont des gros nichons
Serrant mes seins de mes mains gantés, je pétrissais son membre quil faisait coulisser.
- Oui cest bon continue salope tes une bonne chaudasse. Je vais te prendre maintenant. Je ne pourrais pas me retenir plus longtemps.
Il me retourna. Caressa mes fesses, sexclamant de la marque du marche pied sur ma croupe.
- Il est bien quadrillé ton beau gros cul, comme ça tu as ma marque.
Ecartant ma culotte il enfonça son gros membre en moi me tenant par mes seins ballotant dans le vide. Je sentais quil ne pourrait se retenir longtemps, excitait de baiser une belle bourgeoise dans la cour de sa ferme. Il me lamina cependant jusqu'à me faire jouir, son gros sexe labourant mon sexe, comme son tracteur retournait un champ. Sa grosse main calleuse pelotait ma poitrine, malaxant mes gros seins, alors que son autre main sétait saisie du haut de mon slip Lise Charmel le tenant comme les rennes dune jument chevauchée lors dune course effrénée. Il continuait inlassablement son travail de sape et à ma grande surprise il se faisait beaucoup plus résistant que je ne laurais imaginé.
Toujours retourné contre son tracteur, je sentis la pluie qui commençait à tomber.
- Allons nous mettre à labri beauté, je vais te faire visiter létable, cest la place pour une grosse cochonne comme toi. Tu vas voir mes bêtes elles ont des mamelles aussi grosses que les tiennes
Il se retira de moi, et mattrapant par les cheveux il memmena vers un bâtiment dans la cour qui faisait office détable. Nous traversions la cour sous la pluie, mes fesses à lair ainsi que mes seins libre de tout carcan, et entrèrent dans létable. Sur la gauche se trouvait de la paille, alors que sur la droite une dizaine de vache paisible mâchant tranquillement. Cétait sale et mes escarpins ainsi que le bas de mes collants étaient recouverts de bouses. Il me fit approcher de la première vache.
- Penche toi et prends ses pis dans la main, je veux que tu caresses ma belle génisse pendant que je vais moccuper de ton beau gros cul.
Jobéis. La scène était surréaliste. Penchées en avant les fesses offertes à un paysan rustre et sale, je caressais les pis dune vache, comme si javais masturbées le sexe dun homme. En même temps Marc, me mangeait la croupe, mordillant mes fesses, et enfonçant sa langue dans mon sexe. Ses mains toujours accrochées à mes seins, effectuaient des mouvements de traite comme pour mextirper du lait.
- Prends son pis dans la bouche et suce la, mordonna Marc
- Non jamais cest trop dégoûtant !!!!!!!!!!!!!!!!!!
- Obéis salope, ou je te fais dormir dans létable toute la nuit.
Jobéis et pris le pis da la jeune génisse dans la bouche et me mit à la sucer. Surexcité de mon humiliation marc me refourra son sexe dans la chatte, me prenant en levrette, et me martela à nouveau. Il me maintenait fermement la tête par les cheveux afin de maintenir ma fellation. Cela devait aussi provoquer certaines réactions car le bovidé beuglait de plus en plus fort.
- Tas vu elle aime ça la Marcelline, toi aussi on dirait que tes une vrai gourmande. Jvais te finir sur la paille.
Il me coucha sur la paille légèrement tourné sur le coté, et toujours par derrière me pénétra a nouveau. Quelle force, il me faisait jouir comme une folle, mes soupirs et halètements se faisaient de plus en plus fort. Jamais dans mes rêves les plus fous je navais pensée être prise et traitée de la sorte, comme une vulgaire catin, traînée, e, humiliée, tout cela me procurant une jouissance extrême. Et mon amant continuait ses commentaires extrêmes.
- Bouge moi ton gros cul ma belle, je veux te sentir remuer. Oui comme ça, cest bien tes une bonne baiseuse, tas aimé sucer la Marcelline, cétait bon hein, la prochaine fois je te ferais saillir par mon taureau, allez bouge poufiasse, je sens que cela vient, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Son sperme se rependit sur mes fesses, des quantités abondantes comme si il navait pas joui depuis longtemps. Il se blottit contre moi tout en me caressant les seins. Nous restâmes silencieux, sans bouger, collé lun a lautre.
- Je crois que tu as bien mérité ton dépannage maintenant
- Merci, je dois avouer que tu mas fait profondément jouir, cétait si bon
Je lembrassais tendrement et sentis sa langue en moi, nous échangèrent un baiser passionné, pendant de longues minutes. Toujours collé à moi je sentais son membre se durcir à nouveau. Mon nouvel amant avait décidément une belle constitution.
Nous repartîmes en tracteur vers mon véhicule en silence. La nuit tombée, il faisait sombre et froid.
Arrivé à ma voiture Marc utilisa la corde pour sortir de lornière et plaça la voiture sur le chemin. Il inspecta le véhicule rien ne semblait abîmé. Pendant ce temps javais ouvert la malle arrière afin de prendre des affaires de rechange se trouvant au fond du coffre. Penchée en avant pour attr quelques rechanges je sentis marc derrière moi. Il mattrapa par les hanches.
- Je crois que jai oublié de visiter quelque chose, va falloir corriger cela
Ramenant mes bras en arrière il me lia les poignets avec sa corde, me laissant a moitié dans le coffre offrant une fois de plus ma croupe libre daccès et sans défense à ses futurs assauts. Il releva à nouveau ma jupe laissant apparaître mes collants déchirés offrant mon orifice anal juste protégé par ma culotte souillée par ses précédentes attaques. Avec son couteau il découpa ma culotte de chaque coté et me la retira pour me la placer dans la bouche. Jétais donc attachée et bâillonnée a moitié enfermée dans le coffre de ma voiture. Son sexe se présenta à lentrée de anus forçant laccès du seul endroit quil navait pas encore visité. Bien raide, en dépit de sa précédente prestation, mais toujours gluant il me sodomisa avec force.
- Tu es toute étroite ma belle. Tu ne dois pas souvent te faire enculer par un vrai male.
Il me pistonna à nouveau tout en me fessant la croupe que je devinais virer au rouge, du fait des grandes claques quil mappliquait sur les fesses. Ses mains sacharnèrent à nouveau sur mes seins à nouveau libérés.
- Ohhhh tes mamelles, sont aussi grosses que la Marcelline, jadore ton gros cul et tes gros nichons, et toi taime te faire enculer sauvagement hein.
- Ouiii continue cest bon
- Allez je veux tentendre jouir et parler laisse toi allez ma belle
Mayant retiré la culotte de la bouche il me demanda dêtre obscène, de prononcer ses propres paroles comme pour asseoir encore plus sa domination.
- Oui, je suis une grosse cochonne, qui aime se faire prendre par des rustres, qui aime se faire défoncer et enculer, gicler dessus comme une pute, continue fais moi jouir oui vas y
.
Juste avant de jouir il me sorti du coffre de la voiture et maccroupi sur le chemin boueux. Il se masturba au niveau de ma bouche jusqu'à ce que de nouvelles traînées blanches envahissent ma bouche.
Quand je me suis éveillée, le réveil affiché 3h17, jétais en transpiration allongée dans mon lit à coté de Richard qui dormait. Je le réveillais afin de lui raconter mon rêve. Nous fîmes lamour immédiatement et rapidement, mon histoire ayant excité Richard autant que moi.
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