38-Mounir Et Sa Femme En Voyage De Noces Inédit:
38-Mounir et sa femme en voyade de noces inédit:
Je mappelle Mounir, âgé de 20 ans et travaillant avec mon père dans son magasin, mes parents ont décidé de me marier avec Aicha , une de mes cousines, âgée de 22 ans. A ma connaissance, tous les deux, nous étions vierges et après une nuit de noces assez difficile pour moi, je pense avoir réussi à déflorer ma femme et jai éjaculé dans son sexe. Cest tout ce que nos familles exigeaient et tout le monde était content. Après une semaine de fêtes familiales, où ma femme et moi avons été pratiquement séparés, mon père nous a offert un pêtit voyage de noces à deux, à Zelfana, une station thermale à 600 km de chez nous et nous sommes partis en car public.
A mon âge, je navais pratiquement ni barbe ni moustache et avec mon teint très clair et le visage joufflu, je paraissais encore un adolecent imberbe. Javais laissé mes cheveux longs jusquau cou, comme les jeunes, et à coté de ma femme je paraissais être plutôt son jeune frère que son époux. Elle, par contre était assez corpulante et bien charpentée. Certes, elle avit le visage dune jeune fille, mais ses seins etaient assez développés et forçaient sa poitrine visiblement. Son bassin était aussi large et assez bien rempli, ce qui faisait bien dégager son derrière et ses hanches qui tanguaient doucement lorsquelle marchait. En somme, elle était assez aguichante, malgré sa large et longue robe qui essayait de cacher, vainement, son corps
Elle était assise du coté fenêtre et moi à coté delle. La grand car était bondé et il y avait même des gens debout et il faisait chaud. Après quatre heures de routes, et à mi chemin, le car sest arrêté pour dix minutes afin que les voyageurs prennent un peu de repos et dair. Je suis sorti pour aller chercher une bouteille deau fraiche et à mon retour, ma femme était en train de discuter avec un homme dâge mur assis à coté delle. Il parlait en riant fort et ma femme répondait aussi avec le sourire.
Alors je me suis installé sur la place derrière eux et je me suis un peu penché pour écouter ce quils disaient. Effectivement, lhomme donnait des informations sur la ville de Zelfana, sur le différents hôtels et stations ainsi que sur les prix et les services pratiqués. Ma femme, le corps tourné légèrement vers lui, lécoutait avec attention et le visage souriant et intéressé. Pendant quil parlait, jai constaté que lhomme avait posé sa main gauche sur la cuisse droite de ma femme et de temps en temps, il la caressait comme pour insister sur ce quil disait. Et ma femme ne réagissait pas à ces caresses. Au contraire, à un moment elle lui disait quelle voulait aussi visiter la région et ses murs et comme pour insister sur ce point qui lintéressait, elle posa sa main, elle aussi, sur la cuisse gauche de lhomme et appuya comme pour confirmer. Cétait pratiquement une réponse positive de ma femme aux caresses de lhomme et jétais enragé, mais incapable de réagir.
Comme le car repartait, jai demandé à lhomme de reprendre ma place, mais cest ma femme qui ma répondu en insistant quon reste ainsi car elle prenait des informations importantes pour nous deux. Il y avait beaucoup de bruits maintenant dans le car, mais ma femme et lgomme continuaient à discuter. Mais maintenant, ils se penchaient beaucoup plus lun vers lautre pour mieux parler. Je ne comprenais pas ce quils disaient mais, on dirait que leurs corps se sont rapprochés encore plus entre eux. Par lespace entre les deux places, je pouvais vois que leurs cuisses étaient collés et que leurs mains se caressaient.
Pire encore, ma femme a bougé en se collant encore plus à lhomme et sa main sest aussi allongée pour aller vers lentre cuisses de celui-ci. Comme jétais certain quil bandait depuis un bon moment à cause de ses avances acceptées, ma femme était en train de caresser le sexe de lhomme, son zob bandé à travers le pantalon. Jétais enragé et je voulais faire un scandale mais javais peur des suites et jai tellement hésité que cétait trop tard. Ils se sont caressé et accepté avec mon acceptation ou mon ignorance supposée.
Nous avons continué ainsi jusquà notre arrivée à Zelfana. Pendant le reste du voyage, je me suis tourné de lautre coté pour ne plus supporter ce quils faisaient de leurs mains sous la couverture. Descendus du car, je me suis occupé des bagages pendant que ma femme attendait dans le hall. Quant jeu tout récupéré, je suis entré dans le hall et jai retrouvé ma femme en train de discuter avec lhomme qui navait pour tout bagages quun sac moyen. Elle ma expliqué que le monsieur était un retraité et son employeur mettait à sa disposition, chaque année pour sa santé, un bungalow pour trois semaines à Zelfana. Et il était daccord pour nous offrir lhospitalité afin de nous permettre de faire des économie dhôtel. Bien sur jai refusé, mais ma femme a tellement insisté en faisant semblant même de se fâcher et délever la voix devant les gens que jai accepté en refoulant ma rage. Je savais ce que ces deux excités projetaient de faire sexuellement pendant ces vacances dans le même bungalow.
Comme ma femme avait fini sa douche, et toujours en peignoir serré, elle avait commencé à tout installer dans les armoires et le frigo de la cuisine et lhomme est allé laider. Jétais dans le salon et je les observais. Ils discutaient et riaient ensemble tout en travaillant. Comme il mettait certains produits sur létage supérieur de larmoire, en levant haut les bras, ma femme la aidé en le soutenant les mains appuyées sur le dos de lhomme. Je voyais qie ce contact sur son dos et un peu au dessous sur ses reins, plaisait énormément à lhomme qui riait. Sous ses aisselles, ses touffes de poils noirs traduisaient sa force de mâle qui affolait ma femme. Que pouvais faire sinon patienter et cherchant peut-être une solution. Lhomme, excité par les mains de ma femme sur son dos et ses reins, lui proposa de placer, elle aussi un léger carton sur létagère supérieure. Il avait son idée. Alors ma femme prit le carton et leva ses mains et se souleva pour accéder à létagère. Alors lhomme laida en mettant ses mains sur le dos et les reins de la femme. Elle gloussa de plaisir, mais comme cela ne suffisait pas, lhomme souleva la femme par les hanches et la tenant errée contre sa poitrine il se colla à elle. A ce geste provocateur, ma femme poussa un grand cri de désir.
Puis il reposa ma femme sur le sol en la faisant glisser sur sa poitrine puis sur son short gonflé par son zob. Ma femme a nettement senti le zob de lhomme dabord contre ses cuisses, puis su sa Terma et elle dois, elle aussi, avoir la chatte ruisseler de désir sous le peignoir. Dans son glissement vers le sol, le peignoir sest beaucoup relevé en découvrant en gra,de partie toutes les cuisses de ma femme ainsi quun aprtie de ses larges et blanches fesses. Lhomme resta collé à la femme en teanant son bas ventre, donc son zob, contre le cul de ma femme qui riat de plaisir. Les deux devaient être au summum du désir sexuel et ils devaient baiser en urgence.
Et comme jétais à bout, et que je savais ce quils ressentaient, alors, je les ai libéré en quittant le bungalow et en faisant assez de bruits pour quils le remarque. Jai fait deux ou trois mètres dehors, puis je suis retourné dans le bungalow. Personne dans la cuisine, mais dans la chambre de lhomme, ils étaient la, tous les deux, totalement nus, sur le lit. Ma femme couchée sur le dos et les jambes et cuisses hauts levées et écartées offrait sa jeune chatte, presque vierge, au zob de lhomme. Je la i vu ce zob, brun et long, assez gros et bien gonflé pour être sur quil allait déflorer ma femme nettement mieux que moi. En effet, lhomme sabaissa sur sa proie, tenant son zob à la main et doucement, il lenfonça dans la chatte de ma femme qui hurla plus quelle ne cria de plaisir. Puis, les fesses de lhomme commencent à bouger et le zob de lhomme à danser dans la chatte de ma femme. Elle soufflait fort et criait des choses que je nai pas saisi mais je devinais quelle lui disait de la défoncer encore plus, de la baiser à fond. Jai toutefois reconnu nettement le mot zob dans les balbutiement de mon épouse déchainée. Elle lui parlait donc de son zob qui lui fouillait ses entrailles et que lhomme enfonçait dans sa chatte jusquaux couilles. Lhomme soufflait aussi très fort et sa respiration rauque et accélérée accompagnait ses puissants coups de reins, chaque fois quil senfonçait dans ma femme.
Tout en restant assez caché, je les ai observés jusquau bout. Javais moi aussi le zob bandé et je commençais à me masturber doucement. Ils ont baisé pendant plus dune demi-heure ou moins, je ne sais pas , durant laquelle ma femme a hurlé et frétillé brutalement par deux fois, comme une forcenée. Javais compris que les coups accélérés du zob de lhomme avaient réussi à provoquer à ma femme deux forts orgasmes, chose nouvelle pour elle. Lhomme continua à baiser avec force et coups de reins accélérés ma femme pendant encore plusieurs minutes. Enfin, il hurla en se collant avec encore plus de force au ventre de la femme. Et, nfin il déversa son sperme dans la chatte de ma femme par cinq jets puissants que jai bien observé par les brusques mouvements de ses reins à chaque éjaculation. Daprès ce que jai constaté, il doit avoir inondé les entrailles de ma femme et jai pensé à mon éjaculation la nuit de notre mariage. Aucune comparason avec ce volcan et cette puissance qui les a fait hurler tous les deux.
Puis lhomme se coucha sur le ventre de ma femme. Je voyais quil lui donnait des baisers sur tout le corps et lui murmurait des choses, certainement des mots doux et peut être dautres assez cochons pou exciter encore ma femme, sur sa douce et chaude chatte ainsi que sur son zob à lui, sa grosseur et sa puissance qui lont rassasiée. Ensuite, il se redressa légèrement et jai vu, par-dessous ses reins, son gros et long zob pointé et bandé. Il se dégageait doucement de la chatte de ma femme, en amenant avec lui des longs filets de sperme blanc. Ma femme bougeau aussi un peu et se retourna pour se coucher sur le ventre. Alors, lhomme se recoucha sur ma femme mais cette fois, sur son dos avec le zob sur les larges fesses dodues de mon épouse. Oui, jai eu le temps de les voir, ces blanches fesses qui oscillaient pour bien se positionner au zob qui allait leur donner tant de jouissances. Lhomme se frotta un bon moment sur les fesses de ma femme tout en lui caressant le dos et en lui chuchotant encore et encore des gentillesses. Puis il se redressa encore pour se mettre sur ses genoux. Ma femme se souleva aussi pour dégager haut son derrière et le visage collé au lit. Javais compris que lhomme désirait la baiser par derrière, soit par sa chatte soit par son cul encore vierge. Mais, quant il plaça son zob, jai vu quil le pointait toujours dans la chatte de la femme. Il le poussa avec force et lorsque le gros zob gonflé senfonça en puissance dans la chatte, ma femme hurla encore de plaisir. Un véritable cri hystérique a accompagné ce puissant enfoncement du mâle dans la femelle. Lhomme avait compris que ma femme aimait sa violence et il en profitait. Puis, la tenant par les hanches, il la baisa à fond, à grands coups de reins rapides et puissants. Dès le départ, il accéléra et pilonna la chatte de la femme qui narrêtait pas de crier de plaisir. Elle haletait avec bruit et disait des choses non comprises, mais lhomme aussi était excité et criait son plaisir. Jentendais mieux ce quil disait. Il lui parlait de son gros zob qui la défonçait et de sa chatte chaude et ruisselante de désir. Il lui disait que son zob allait lui sortir par le devant du ventre et elle cria encore plus sa jouissance en entendant ces mots. Puis, elle eu un troisième orgasme en hurlant à tue tête.
Javais devant moi deux être totalement enfoncés dans les jouissances de leurs palsirs sexuels et jen étais jaloux et peut-être même un peu excité. La preuve, jai réussi à éjaculer facilement dès que jai vu le zob de lhomme senfoncer dans ma femme par derrière. Est-ce quils savaient quil y avait tout e même quelquun dautre dans le bungalow ou bien ils mavaient oublié dans le summum de leurs plaisirs sexuels, de leurs jouissances. Surtout ma femme qui avait sauté cet interdit avec une vitesse déconcertante en moubliant totalement. Les caresses de lhomme sur sa cuisse dans le car lavaient totalement ensorcelées et je vois devant moi, les conséquences de sa folle excitation et de ma faiblesse. Alors que je messuyais difficilement le pantalon, jentendis lhomme hurler lui aussi de jouissances. Il était arrivé au top et allait éjaculer une seconde fois. Effectivement ses soubresauts contre les reins de ma femme témoignaient des jets de sperme quil projetait dans les entrailles de mon épouse. Ils restèrent ainsi un moment, et je voyais que lhomme parler à la femme en lobligeant rester en position, le derrrière en lair. Puis, il sortit son zob de la chatte. Il était légèrement courbé et luisant de sperme.
Il frotta son zob contre les fesses de la femme, puis avec un doigt mouillé de sperme, il essaya de lubrifier le sillon des fesses et lanus de la femme. Il a du essayer denfoncer son doigt dans lanus de ma femme mais elle lui sagita brutalement en lui criant des choses, donc elle refusait la sodomie. Lhomme ninsista pas et lui dit quil ne fera que ce quelle acceptait, rien de plus. Alors il se contenta de froter son zob luisant de sperme dans le sillon des blanches fesses. Bien sur, jétais sur quil le fera passer plusieurs fois par labus pour le sensibiliser. Frotter son gros zob, lourd de désir et chaud dexcitation arrivera tot ou tard à aguicher lanus et la Terma de la femme, ce nétait quune question de temps et de technique dapproche. Jarrivais presque à comprendre ce que devait ressentir ma femme par ces attouchements sur sa Terma.
Comme ma femme disait son refus de la sodomie, lhomme lui confirma encore une fois quil voulait seulement faire plaisir à son zob en lui faisant ressentir la douceur des fesses de la femme et leur odeur affolante qui le faisait gonfler et frétiller de désir encore plus quavant. Ma femme, à ces mots, et certainement ressentant le gonflement du zob sur sa Terma, riait et exprimait son contentement de lavoir excité encore plus, mais refusait toujours la sodomie. A chaque passage du zob devant lentrée de lanus, lhomme appuyait un peu plus mais sans essayer de le forcer et il expliqua à ma femme quà chaque passage, il avait de la peine à freiner son zob dès que ce dernier sentait lodeur enivrante de lentrée de sa Terma. Il expliqua à ma femme que sa Terma était mouillée par un suc de désir quelle produisait et qui sortait un peu par son anus et lubrifiait son zob et lexcitait à fond à chaque passage. Ma femme riait de ces mots et lui répondit queffectivement, sa Terma la démangeait un peu et elle voudrait bien laisser le zob la pénétrer pour la soulager, mais elle avait peur car elle na jamais fait cela.
Lhomme ninsista pas et il dit de laisser quils feront cela à sa convenance lorsque la Terma exigera dêtre soulagée. Et il retira son zob des fesses de ma femme. Seulement, il était gonflé et excité, alors il le dirigea vers la chatte. et lenfonça de nouveau jusquaux couilles, malgré le sperme qui continuait à suinter. Comme à chaque fois, cet enfoncement brutal jusquaux couilles fit hurler la femme de jouissances dans sa chattes et elle lui cria de la défoncer encore plus. Alors, lhomme se lança dans des vas et viens accélérés et puissants. Ensuite,, il ressortit son zob, ce qui fit hurler la femme, mais il lenfonça de nouveau avec violence encore une fois jusquaux couilles. Ce second enfoncement fit exploser la chatte de la femme qui eu un autre orgasme et avec un hurlement hystérique expulsa son suc de jouissances. Jeu limpression quelle perdit conscience, vu le relâchement de son corps après son orgasme. Lhomme continuait ses vas et viens rageurs et accentués malgré le jus de lorgasme féminin et les restes de son propre sperme, qui inondait encore la chatte. Jentendais les clapotis des mouvements des deux sexes mouillés et lhomme résista encore cinq bonnes minutes avant datteindre encore une fois son top. J(ai vu quelle néjacula que deux fois, car il devait être assez fatigué.
Jen ai assez vu, alors je me suis éclipsé dehors, juste au moment ou lhomme passant par le salon, était allé , toujours nu et le zob oscillant, vers la salle de bain. De lextérieur, et juste après, jai vu aussi ma femme, le rejoindre mais couverte de son peignoir. Je suis allé ensuite vadrouiller dans les environs pendant une bonne heure et je suis revenu au bungalow. Lhomme nétait pas la et ma femme, en tenue normale dintérieur, préparait des choses dans la cuisine. Elle ma regardé fixement, mais comme je nai rien dit, elle a tourné la tête et a continué son travail.
Le soir, on a diné tous les trois, normalement et comme on était fatigués, eux beaucoup plus que moi, on sest vite endormi sans autre problème. Dans mon lit jai toutefois, repensé à mon attitude et à celle de ma femme. Jarrivais sans difficulté psychologique à comprendre labandon de ma femme à cet homme qui croyait que jétais son jeune frère. Elle lui a dit quelle était veuve libre et en vacances aux thermes, accompagnée de son jeune frère. Donc, lhomme la baisait en toute liberté et ignorance de ma situation réelle. Elle a joué le rôle quéxigeait delle sa chatte, affolée par les caresses de ce mâle puissant et engagé. Et comme je ne réagissais pas assez, elle sest totalement abandonnée aux désirs du zob et du sexe.
Cest ma faiblesse que je ne comprenais pas bien. Au début, javais pris leurs caresses presque pour un jeu excitant et que tout sera terminé à notre arrivée à Zelfana. Mais quant jai vu ma femme lui répondre en lui caressant son zob, dans le car, sous la couverture, jai été pris dans un tourbillon dexcitation et détourdissement sexuels et jai laissé faire. Après cétait trop tard. Et dans le bungalow, jai presque eu du plaisir en les observant baiser et je me suis masturbé. Jai agi et continué à le faire comme si ce nétait pas vraiment encore ma femme, impression que je ressentais encore maintenant, et jai accepté de jouer le rôle de jeune frère quelle ma alloué. Nous allons donc continuer ainsi. On verra.
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