Une Divine Surprise Suite - 3
Mercredi 9 aout 1960 - Visite au campus
Le mercredi, jétais à lextérieur de la gare du funiculaire un bon quart dheure avant le rendez-vous, supputant mes chances quEvelyne viennent ou non. Mais elle arriva à lheure. Une immense paire de lunette lui mangeait la moitié du visage et elle portait un surtout bleu clair. En arrivant elle me gratifia dun bonjour souriant et dun index qui alla de ses lèvres aux miennes.
Puis, elle me dit : « Avant que je noublie, nous devons recevoir, samedi, une grosse livraison au magasin, le patron a dit que si tu passais, il faudrait te demander de venir nous aider. Donc si tu veux, passe au magasin, mais je ne tai rien dit »
« OK, je passerais demain, on verra sil na pas changé davis »
Une dizaine de minutes après la sortie du funiculaire, nous étions installés dans le petit square du campus. Elle était venu naturellement se « blottir » dans mes bras et je lui expliquais les lieux, qui comprenaient 2 bâtiments modernes pour les étudiants, lun pour les filles, lautre pour les mariés et les garçons étaient logés dans ce qui sappelai le fort et qui aurait servi pendant la guerre de bureau à la gestapo ? Pendant ce temps, javais une main qui caressait, au travers de son chemisier, son sein droit, alors quelle avait une main sur ma cuisse, qui de temps en temps venait sarrêter sur ma braguette, qui navait pas besoin de ça pour être déjà bien gonflée. De temps en temps, nous échangions quelques baisers gentils et chastes, alors que jaurais voulu aller plus loin, du moins les prolonger, mais cela me fut gentiment refusé.
Menhardissant, malgré tout, je lâchais son sein et essayais de mattaquer aux boutons de son chemiser.
Opération arrêtée au deuxième bouton.
« Tu ne vas pas me déshabiller ici ? »
« Jaime caresser tes seins, même à travers ton chemisier, mais que jaimerais les voir «
« Tu ne veux pas que je te les montres ici »
« Mais on peut aller dans ma chambre, je suis seul actuellement »
« Je me demandais quand tu minviterais à la visiter »
Montant rapidement nous sommes rentrés dans la chambre quavec mon colocataire nous avions divisée en 2.
A peine arrivée et avant de lui faire faire le tour du propriétaire, je la coinçais, enfin, elle se laissa coincer, contre la porte et nous collant lun à lautre nous avons échanger quelques baisers plus profonds, nos langues se cherchant et semmêlant lune lautre. Je lui fis faire le tour du propriétaire et revenant au niveau de mon bureau, je pouvais enfin mattaquer aux boutons du corsage, qui me donnèrent beaucoup de soucis à tel point quEvelyne décida de finir lopération trouvant que jétais maladroit. Après avoir enlevé son chemisier elle enleva son soutien-gorge et là devant moi apparu deux beaux seins bien gonflés, la pesanteur nagissant que peu sur leurs formes, avec de larges, de très larges aréoles et des mamelons dressés, arrogants. Elle les prit en main et me les tendit « Viens, lèches les, suces les ». Je mempressais de les prendre en bouche, et obéissant les léchant, les suçant, passant de lun à lautre, me gavant de leur goût, de leur texture, ce que ma partenaire appréciait sans aucun doute si jen jugeais par ses soupirs. Enfin elle me dit « Têtes moi, jaime sentir quand on aspire mes seins, ça mexcite » et je ne me fis pas prier. Après un moment de ce traitement, elle marrêta. Elle remonta sa jupe jusquaux hanches et sasseyant sur le bureau fit descendre sa petite petite culotte transparente jusquau genoux, je savais ce qui me restait à faire, cétait de laider à lenlever, ce que je fis et comme par automatisme les cuisses sécartèrent pour laisser voir les lèvres gonflées et humides dune jolie chatte au milieu dune touffe brune claire brillante dhumidité et dont lodeur remontait à mes narines en me soulant. Elle se laissa tomber sur ma table de travail, ses mains sous ses genoux, tenant ses cuisses bien écartées.
Je plongeais entre ses cuisses et mattaquais à ses grosses lèvres en les léchant, les suçant et me rappelant ce quelle mavait dit je la pénétrais avec ma langue, elle coulait comme pas possible, une véritable fontaine dont je buvais la coulée.
Je continuais donc et mon doigt senfonça complétement dans sa grotte damour et je commençais un va et vient, lent et pénétrant. « Oui,
, continues,
., jen envie de jouir,
, fais moi jouir avec tes doigts,
, je moccuperais de toi après,
»
Puis je mis deux doigts, je me mis à la masturber en douceur : « Ohhh,
, continues,
cest bon ,
Oui,
continues,
» Encouragé par ces paroles, je joignais ma langue au mouvement aller retour de mes doigts, le débit de la fontaine de plaisir augmentait et surtout le rythme de respiration qui suivait le mouvement de mes doigts dans son minou et soudain :
« Oh, .., Oh ,
, ne tarrêtes pas,
, je vais jouir,
oui, je sens que ça vient,
ne tarrêtes pas,
» Tout dun coup ses cuisses se refermèrent sur ma tête, ses mains cramponnèrent le bord de la table, elle eu un violent spasme, puis successivement deux petits et elle resta allongée sur la table, à souffler, pendant un certain temps. Quant à moi javais une trique pas possible qui demandait un traitement sinon immédiat du moins rapide.
Elle se laissa glisser de la table, debout elle se colla à moi et mattrapant la tête, colla ses lèvres contre les miennes et membrassa, puis elle prit ma main et suça les doigts qui avaient uvrés dans sa grotte damour. Enfin, sa main glissa vers ma braguette et ralla en disant « Je suis à moitié nue et toi tes encore tout habillé, défais toi »
Pantalon, caleçon furent éjectés rapidement, elle prit ma bite dans ses mains «Tu tes bien occupé de moi, je vais moccuper de toi » et elle saccroupit, elle commença par parcourir plusieurs fois ma queue avec le bout de ses doigts, sensation exacerbée, puis elle me prit en bouche, commençant avec ses lèvres à sucer mon gland comme une glace, la langue le titillant, puis elle lavala entièrement, la ressortant les lèvres bien serrées, comme lenveloppant.
Au contraire de se retirer, Evelyne mavala encore plus, accélérant le mouvement de son fourreau et quelques aller et retour plus loin, je me vidais dans sa bouche en plusieurs jets quelle aspirait goulument et avalait au fur et de leur arrivée. Elle se releva et venant sa coller contre moi : « Cétait bon, as-tu aimé, moi aussi je peux te faire jouir avec ma bouche »
Moi : « Tu mas vidé »
« Tu pourrais moffrir un café ou autre chose à boire, tout cela me donne soif »
« Jai du café, je ten fais un et des biscuits »
En attendant que le café se fasse Evelyne ramassa son corsage et son soutien-gorge quelle rangea, du coup je réalisais ma tenue, en polo les fesses à lair, je ne devais pas avoir lair très sexy, du coup jenlevais mon polo et me trouvais nu, mais pas très à laise, alors quEvelyne se mouvait naturellement, bon, elle avait sa jupe remontée au niveau des hanches lui servant de ceinture. Le café fut enfin prêt et lon se mit au bureau pour le boire. Javais du mal à me concentrer sur mon café, car javais, constamment, les yeux attirés par les seins dEvelyne, pour le reste ayant les jambes croisées, je navais quune vue partielle sur sa toison. Je suis persuadé quEvelyne samusait intérieurement de cette situation. Se levant elle passa devant moi, un réflexe fit que je lattrapais par la taille et « lobligeais » à sasseoir sur mes genoux. La douceur de ses cuisses sur les miennes mexcita beaucoup. Perdant pas de temps et avant une réaction rapide je prenais ses seins et commençais à les malaxer avec une certaine vigueur. Je pense quelle nattendait que cela ou ce genre de réaction, car elle ne sen offusqua pas bien au contraire car elle mis ses mains sur les miennes et me guida pour des caresses dune douceur énergique, ce qui ne tarda pas à lui arracher quelques gémissements de satisfaction.
Elle se leva, jen fis autant puis passant devant moi, plus par réflexe que par une action réfléchie, je la saisie et la faisant tourner, je me collais à son dos et reprenais le malaxage de ses seins et je me frottais à son joli cul. Ses mains, semblèrent hésiter un petit moment et finalement se posèrent sur les miennes et me guidèrent dans mes caresses. Tour ça en parcourant son cou de mes lèvres, car javais remarqué que ces effleurements ou ces gentils baisers avaient lart de la faire frissonner. Tant et si bien que cet ensemble daction entraina une action incontrôlée de « popol » qui décida de se redresser et de sinsinuer, sans plus, gentiment dans la raie du joli cul. Celui-ci se mit à remuer et à se frotter contre lengin ce qui ne fit quaugmenter sa dureté,
Chacun se frottant à lautre la situation devenait explosive surtout de mon coté et la serrant un peu plus fort de façon à bien me sentir, je lui glissais dans loreille « Jai envie de toi »
« Tu s, mais avec tout ce que tu viens de faire, tu as réussi, viens, moi aussi jen ai envie »
Prenant appui sur la table, elle se pencha « Viens, prends moi comme ça » Je glissais ma main entre ses cuisses quelle écarta et me permit datteindre sa grosse moule, bien chaude et déjà bien humide. Jy enfoncé un doigt, puis deux histoires de préparer mon entrée dans sa grotte, mais elle était déjà bien ouverte et sa propriétaire commença à râler et se plaignit de mon manque dempressement à la prendre. Je mapprochais encore, elle se saisit de ma tige et la guida en elle. La pénétration fut aisée, son fourreau était bien ouvert, chaud et bien lubrifié et jentrepris de la satisfaire par mes aller et venu dans son minou. Il fallu un petit moment avant dentendre sa satisfaction de laction menée : « OHHHhh,
, cest bon,
, tu me remplis,
, Oh que jaime te sentir me pénétrer,
jaime quand tu me fais ainsi lamour,
, ça me fait grimper,
, surtout ne tarrêtes pas,
, cest bon, tes dur,
». La parole était libérée, mais dans cette position, Evelyne ne pouvait pas ou presque pas participer, elle ne pouvait que subir, ce quelle faisait en manifestant son plaisir. Il ne lui fallut pas très longtemps pour décoller : « Oui,
Oui,
OUIIIIIIIIIIII,
., OHHHhhhhh,
. » Elle un spasmes assez brutal, qui la fit se contracter et se relâcher complètement, il me parut quelle avait vraiment « pris son pied ». Par contre moi, jétais resté sur ma faim et je continuais à la ramoner avec toujours autant dénergie. Le temps quEvelyne se remette du plaisir quelle avait ressenti : « Arrêtes,
, je suis fatiguée,
» plus elle demandait que jarrête plus je continuais, en fait jétais devenu une machine à baiser, javais la queue qui allait éclater, le plaisir me monter dans les reins, et ne voulait pas encore sortir, je ne pouvais marrêter malgré les demandes réitérées dEvelyne, quand la mélodie changea, ça était : « Arrêtes,
, arrêtes,
Ohhh,
Ouiii,
, continues,
, tu es une brute, mais continues,
, je sens que ça vient,
, Ouiii,
, continues, baises moi fort,
, OUIIIIiii,
, jaime ça,
.» cétait le moment où cramponné à ses hanches, complétement enfoncé dans sa moule je lâchais tout, enfin tout ce qui me restait de réserve. Evelyne eu un nouveau spasme aussi brutal que le précédent et elle sétala sur la table alors que un peu surpris, étonné de ce que je venais de faire, jattendais « bêtement » la suite.
Ayant retrouvé ses esprits Evelyne se redressa me regarda et me dit : « Tas une sacré santé, mais,
, ça fait longtemps que ça ne métait pas arrivé,
, tu me rends dingue,
» puis regardant sa montre dit « Bon, jai encore deux courses à faire, il faut que je me dépêche un peu pour arriver à la maison avant mon mari,
, il pourrait se poser des questions »
Reprenant ses affaires elle sisola dans le coin de ce qui nous servait de salle deau (?) et revint quelque temps après, le chignon banane au garde-à-vous, pomponnée, élégante et toujours aussi désirable. Seuls des cernes un peu plus prononcés quhabituellement disaient quil sétait passé quelque chose.
Je la raccompagnais au funiculaire, en arrivant celui-ci venait de partir, nous avions un quart dheure à attendre. Je lui proposais, en attendant, de lui montrer la cour intérieure dun petit immeuble voisin. Avec son accord, nous nous sommes rendu dans lentrée de cet immeuble. Lentrée passée, je lappuyais contre le mur et lembrassais en me scotchant à elle. Javais craint une réaction un peu brutale, mais après quelques secondes dhésitations, elle se laissa faire et même se mit à participer, les langues se cherchant, son corps ondulant contre le mien, ce qui avait un certain effet sur mon anatomie et entre deux baisers, je lui dis « Remontes ta jupe »
Evelyne : »Tu es fou,
quelquun peut venir »
Moi : « Ne tinquiètes pas, pendant un an je suis passé devant cette porte, il n y a personne durant la journée, »
« Remontes ta jupe, juste pour une petite caresse,
tu nen as pas envie »
« Daccord » et remontant sa jupe « je ne me reconnais plus,
tu me rends complètement folle »
La jupe était remontée assez haut pour que je puisse atteindre son minou et commencer à le caresser à travers la petite culotte qui était déjà légèrement humide, pour enfin passer cette légère barrière et atteindre pour la pénétrer sa grotte chaude et humide. Cette pénétration nattira quun « OHhhh » et les jambes se plièrent et les cuisses sécartèrent, la grotte était ouverte et investie. Il fallu peu de temps pour quEvelyne décolle. Ce qui était le plus excitant, cétait que contrairement à ce qui se passait dans la chambre, était-ce le lieu, ou nous nous trouvions, elle gardait un silence relatif puisque cétait presque à loreille quelle murmurait son ressenti « OHhh,
, Oui,
, continues de me prendre comme ça,
, tu profites salaud,
oui baises moi comme une salope,
jaime moffrir à toi,
, ça vient,
, OUIIIIiiii ,
» et ainsi, sans prévenir et dun seul coup elle se cramponna à moi et expira comme un sportif ayant fait un 1000 mètres « OHHH,
je jouis,
». Reprenant ses esprits, elle rabaissa rageusement sa jupe, et me dit « Tu es un monstre,
me faire ça,
tu s,
, je me conduis comme une salope,
. Tu me rends folle,
là, il va falloir que je me dépêche pour être à lappartement à temps,
à demain, je tembrasse ». Elle eut juste le temps de prendre le nouveau funiculaire. Quant à moi, après ces gâteries, sans quelle nait rien fait, je navais plus quà changer de caleçon,
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