Une Nouvelle Collègue
Pour la fête des mères, mon homme ma offert une fontaine pour le jardin, mais comme à son habitude, il tarde à la poser ; moi , je nen ai pas les capacités et de plus elle est trop lourde. Cest alors que je réalise que des maçons travaillent à la maison voisine et prenant mon courage à deux mains, je leur explique mon problème. Très gentiment celui qui semble le chef me dit quà la fin de la journée, ils viendront maider
En effet deux heures plus tard, ils sont là, et en force puisquils sont trois. En un rien de temps, la fontaine est déplacée, scellée, et branchée. Un soulagement pour moi. Pour les remercier, je leur propose un rafraîchissement et nous nous installons sur la terrasse, à la fraiche. Les trois garçons sont sympathiques et lapéro est rapidement doublé, alors quils me chambrent gentiment, me faisant remarquer que je ne suis pas habillée pour ce genre de travaux ; je réalise alors que ma jupe, assez courte doit leur révéler une partie de mes cuisses et que mon corsage, transparent laisse deviner mes seins dont les pointes sont visibles. Jessaie de corrige ma position, mais le chef réagit « non, au contraire, ainsi cest un peu notre récompense »
En effet leurs regards se perdent souvent sur mes cuisses , me taquinant ; « cest très excitant, on peut en voir plus ? » sous mon corsage je sens mes pointes se durcirent et une douce chaleur envahie mon ventre. Provocante, sachant très bien que cela va dégénérer, jécarte légèrement mes genoux, ce qui fait remonter un peu plus ma jupe et ainsi, il est certain quils peuvent découvrir le fond de mon string. Leurs regards séclairent et une bosse se forme sous chaque pantalon. Le manque de sexe depuis huit jours (mon homme est en déplacement) , ou simplement lenvie commence à me donner des idées coquines. Et comme à mon habitude, avant de jouer avec un homme , jappelle jean :
« je suis avec trois jeunes maçons qui mont aidé à faire ce que tu avais laissé en plan et jai bien limpression quils ont envie de te remplacer pour autres choses ! » la réponse tombe aussi vite
« « si tu as envie, vas y, mais laisse ton téléphone branché, je pourrais ainsi tentendre prendre du plaisir.
« oui un peu, ils peuvent voir mon pubis et je viens douvrir deux boutons de mon corsage, mais je vais te quitter car ils se sont rapprochés de moi et leurs mains se posent sur mon corps «
En effet dabord surpris par mon appel , ils ont vite compris que jallais leur appartenir, et très rapidement mes seins sont à lair, le corsage sur le sol ; deux dentre eux me triturent les tétons, ce qui toujours me transporte vers la jouissance , alors que le chef a investi ma chatte et il me fouille avec deux doigts agiles. Puis me soulevant, ils me mettent à nue, offerte, les cuisses béantes maintenues par deux mains fermes ; sans hésitation, ils me posent sur la table, la chatte sur le bord, à portée de leurs envies et des miennes.
Et cela ne tarde pas ; alors que le chef sempare de mon téléphone, il sadresse à mon homme, à 500 km de chez nous ;
« ta femme va nous appartenir, elle nattend quune chose : nos bites dans sa chatte quelle nous offre, les cuisses écartelées. Puisque tu aimes la savoir saillie, je vais me mettre en mode vidéo et tu vas pouvoir la voir se faire prendre par mes deux ouvriers , avant quelle ne mappartienne complètement. Jespère que tu vas prendre le même plaisir que nous ; maintenant regarde
»
Pour jean, cela va être un régal, car sil aime moffrir en sa présence, il aime encore plus me savoir prendre du plaisir, alors que lui est loin, mais relié cependant par le téléphone ; et là il va pouvoir me voir, ce qui mexcite encore plus.
Les deux autres ont investit mon corps, lun se faisant sucer sa bite, le gland décalotté, senfonçant à chaque fois en gorge profonde, lautre sest engouffré dune seule poussée entre mes petites lèvres écartelées ; il faut reconnaitre que la pénétration est facilitée par ma mouille qui suinte déjà depuis un petit moment ; sa queue large et gonflée me remplit les entrailles et quand il vient buter contre le fond de mon vagin, je ne peux retenir un premier plaisir qui monte en puissance.
« putain, mon jean, je suis prise par une grosse bite qui ma déjà fait jouir deux fois ; jai envie quil me remplisse, quil se vide de sa semence en moi, quil mengrosse devant toi ;
.. » je ne peux en dire plus car semboitant au plus profond de ma matrice, il se vide à grands jets, me remplissant de son sperme, déclenchant une nouvelle jouissance :
« oh oui, il vient déjaculer, il me remplit, il me féconde, cest bon
.oh
.. ». je nai pas le temps de réaliser que déjà le deuxième me possède, sa queue senfonce dans ma chatte , engluée par la semence du premier ; lui est plus brutal ; son sexe me défonce sans pitié, alors que ses mains triturent mes pointes de seins , déjà très bandées ; cela est douloureux, mais jaime cela et je lencourage à me martyriser « vas-y, défonce moi, prend moi comme une pute, fais moi jouir que mon homme entende mon plaisir
. » Les coups de butoirs memmènent vers le nirvana et mes cris de jouissance emplissent la pièce. Et quand pour la deuxième fois, je me fais féconder, je ne peux que râler de plaisir.
Le chef filme toujours alors que mon baiseur vient se faire nettoyer la queue ; je le lèche, le gobe, retirant le mélange de nos sécrétions, mais jai envie de plus et je moffre sans hésitations : » jai envie de vos deux queues dans ma chatte, prenez-moi tous les deux
. »
Donnant le téléphone à son employé, le chef quitte ses vêtements et sallonge sur le sol, la queue droite, bandée, le gland complétement découvert et il me tend la main ; je sais ce quil veux et sans hésitation, je me plante sur le mat dressé ; sa queue glisse dans mon ventre, graissée par le sperme de mes deux précédents pourfendeurs ; il est gros et il me remplit le ventre ; soudain il mattire sur sa poitrine, faisant saillir mon postérieur ; un gland vient se poser contre celui dans ma chatte et doucement, il essaie de me prendre ; la place est déjà prise, mais il insiste et péniblement sa queue , me dilatant les parois, doucement sincruste ; la pénétration est douloureuse, mais lenvie est trop forte ; jai envie de cette double et je lencourage , le provoque ; soudain , dune poussée plus forte, il se retrouve en moi, collé à la queue de son chef ; écartelée , comblée, quand saccordants, ils commencent à me pistonner, je crie ma douleur et mon plaisir ; ils me possèdent tous les deux et quand je réalise que nous sommes toujours filmés, ma jouissance éclate, exacerbée par le fait que mon homme assiste, très certainement en se branlant, à ma folle saillie.
jentends vaguement le chef sadresser à mon homme « jespère que vous avez pris beaucoup de plaisir, pour elle soyez sur quelle a bien jouit ; mes deux hommes vont partir et moi je vais fermer le téléphone , mais par contre, vous allez pouvoir imaginer la suite ; la soirée va être longue et jai tout mon temps »
Et le temps il la pris et ce nest quau petit mati quil est parti, me laissant pantelante, la chatte ravagée, le cul douloureux, remplie de sa semence car il mavait engrossée plusieurs fois. Juste un petit sms à mon homme « jespère que tu tes bien branlé en pensant à ta petite salope qui a bien joui reviens vite me baiser ; je taime »
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