Collection Cocu. La Pêche Au Carrelet. (2/2)
Cest dur à avaler, je suis cocu par une femme faisant glousser la mienne.
Jai bien entendu cest loin dêtre la première fois.
Je le suis à chaque vacances, je suis cocu depuis plusieurs années.
- Oui, mange-moi ma chatte, je suis dégoulinante, lape ma jouissance, je coule tu es divine.
Jai limpression dêtre dans une alcôve les pieds et les points liés, mais surtout les yeux bandés à entendre les deux femmes se donner du plaisir sans pouvoir intervenir au risque de voir mon couple voler en éclat.
Jai épousé une lesbienne.
Assis sur cette chaise je prends conscience que jai une envie damour envers ma femme plus fort que le jour ou je lai demandé en mariage.
Jai certainement abusé en passant toutes nos vacances en haut de mon carrelet, je dominais la mer et je pense que je me suis vu le capitaine dun bateau restant au port.
À quoi bon en entendre plus, à part affronter Gisèle et risquer de tout perdre surtout quand je me lève les deux femmes semblent avoir une jouissance simultanée.
Je suis tellement troublé que mon pied oublie les épines et en écrase, les faisant crisser une nouvelle fois.
- Tu as entendu, il y a quelquun à côté.
- Tu fais une fixation, je vais faire un tour, tu seras rassurée et nous pourrons enfin passer un après-midi agréable.
Dans la voiture, tu mas bien dit quil rentrerait à la nuit.
- Oui, mon cur, nous avons encore de longs moments ensemble.
Surtout que tu as bien commencé à toccuper de moi.
Je suis frustrée depuis le nombre de jours ou jai attendu que nous nous retrouvions.
Où as-tu mis mon maillot, si je sors à poils, je vais faire sensation si les voisins maperçoivent.
Je vois la ficelle de ton maillot, tu es assise dessus.
Je suis coincé, si je sors, ma voiture se trouve loin et cette salope de Matilda risque de me voir.
Il faut que je me cache.
À droite un mur, en face un mur, à gauche le mur mitoyen avec la maison ou ma femme vient me cocufier avec cette femme depuis plusieurs années.
Surtout que jignorais que Gisèle était une bouffeuse de chatte.
Il y a trois murs et la maison les volets sont fermés.
La seule échappatoire possible le long de la villa, je suis pris au piège.
Je réfléchis vite et il me reste une porte de sortie.
Les trois pins !
Lun deux à une branche assez basse pour que je grimpe le plus vite possible. Jai un peu de chance celui dans lequel je monte, cest le plus éloigné des trois et assez près du mur mitoyen pour que je puisse voir chez la copine de ma femme.
Gisèle est debout de dos regardant par lallée menant au portail dentrée se mordant le point rongé par lanxiété.
Les pins sont dans laxe de la même allée, mais je suis assez haut et cacher quand Matilda fait son entrée par le portail que jai oublié de fermer derrière moi en arrivant.
- Miaou.
- Eh bien, toi tu peux dire que tu as fait peur à mon amie, oui elle est belle ta souris, va la manger plus loin.
Sauvé par un chat, Matilda lui donne une petite tape avec son pied évitant de toucher la souris que je vois dans la gueule du félin entièrement roux.
Elle le suit et je la vois repartir refermant le portail.
Une minute, les deux femmes se parlent à distance.
- Gisèle, cétait un chat qui avait attrapé une souris.
Je vais aux toilettes et je tapporte une surprise, mets-toi dans la position que jadore, tu es rassurée, chez les voisins rien à craindre, nous allons nous détendre.
Ma femme très belle dans sa nudité se retourne et sapproche du transat ou elle se place agenouillée le cul en lair dans une pose très perverse.
Perverse, mais très bandante pour moi qui suis à moins de cinq mètres en surplomb.
Si elle lève la tête, immanquablement elle me verra.
Son visage est tourné et ce que je vois me laisse pantois.
Assis sur une branche, étonné, car depuis que nous nous sommes mariés le visage quelle me montre mest inconnu.
Quand je dis le visage, cest une façon de parler, car cest plus son cul quelle me montre quand sa maîtresse la rejoint un objet multicolore tournant à la main.
- Regarde, le nouveau godemichet que jai acheté à Paris pour amuser mes clients.
Il raffole de me voir me le mettre et quil tournoie de ses mille couleurs, je vois que tu es prête, comme je te lai demandé.
Et dire que je vois tout cela depuis mon arbre.
Jaurais envie de sauter par-dessus le mur et de venir lui mettre mon sexe dans son vagin.
Elle demande à être pénétrée comme dans les beaux jours de notre mariage où elle mouillait dès que je mapprochais.
Matilda approche son engin en forme de sexe mâle.
Dès quelle le place dans sa vulve appuyant certainement sur un bouton, car le bruit et la lumière quil émet se remettent en marche.
- Salope, tu vas me le donner, il tourne dans ma chatte et je sens que mon plaisir monte déjà.
Tu es diabolique, je suis sûre que tes clients doivent bander à mort quand tu te le places dans la chatte.
Mes clients, tes clients, Matilda serait-elle une pute en vacances.
Le plus surprenant cest quand elle sagenouille et que sa langue que japerçois une fraction de seconde se place sur sa rosette
Cette scène pourrait être comique, moi dans mon arbre, mon épouse sur son transat un gode dans la chatte et une langue fouillant son anus.
Ajouté à ça ma main venue naturellement dans mon slip où je me surprends à me masturber.
Je bande facilement, mais là jai une trique denfer.
Il faudrait que jai le courage de descendre, passer le premier portail entrer par son jumeau dans lallée symétrique à celui que je vois quand je baisse la tête.
Que je passe le coin pour aller sur leur terrasse.
Que je bouscule celle qui a fait de ma femme une lesbienne.
Que je lui arrache le gode et que je la plante dans le vagin ou dans lanus, peu importe.
Le principal, cest que je la plante et que je la remplisse de mes longs jets de sperme.
Que, que, que.
- Miaou.
Quel con je my voyais tellement que jai giclé et que mon sperme est tombé sur la tête de ce putain de chat qui essayait de monter dans larbre comme moi.
La seule chose de positive cest que je le vois partir en courant certainement pour se nettoyer.
Jai perdu pied et je me serais bien vu de lautre côté, mais le morceau flasque qui pend entre mes jambes après mon éjaculation me force à rester sage.
Jaurais lair dun con darriver en bandant mou.
Un con, je le suis certainement dans cet arbre à matter ma femme qui change de position.
Matilda lui enlevant le gode qui je maperçois à un mouvement hélicoïdal qui doit donner des sensations extraordinaires à la fille qui se lintroduit là où cela fait du bien.
- Allonge-toi sur cette couverture que jai posée sur la terrasse, je veux te lécher la chatte.
Je manque de me mettre à rigoler, la pelouse fait trois mètres sur trois,
Merde, cest foutu, Clotilde va avoir la tête en lair et immanquablement me voir.
Je me redresse, il va falloir que je tourne espérant que le tronc est assez large pour me cacher.
« Crac »......
Excusez ce blanc, la branche a cassé.
Je suis tombé en cascade sur deux ou trois branches, elles cèdent toutes lune après lautre.
- Là, cest un chat, regarde les branches cassées.
- Jy retourne, mais il y a eu une tempête cet hiver, javais deux pins moi aussi, lun deux, je lai fait couper au printemps quand je suis venue.
Une grosse branche était tombée sur les tuiles en cassant quelques-unes.
- Je sens que tu as de la rancur, tu mas appelé pour que je vienne te rejoindre.
Cétait lanniversaire de Sylvain et nous avions réservé le restaurant où nous allons chaque année.
Pendant quelle discute, je cherche, il y a un tas de bois, certainement stocké là pour lhiver.
En plus de ma légère commotion, mais côtes me font mal.
Je me traîne jusque-là.
La toile est assez grande pour recevoir plus de bois.
Je me glisse espérant être assez caché.
Cest toutes les deux quelles arrivent, je les vois car la toile à une légère fente dusure.
Elles commencent à discuter.
- Tu vois je te lavais dit, deux branches cassées et personne ou alors il a détalé plus vite que son ombre.
- Miaou, miaou.
Je vois du roux passer, merde de nouveau le chat.
- Cest bien, tu as caché ta souris sous ce tas de bois.
- Atchoum.
La toile cirée est pleine de poussière et je suis allergique, ça ma fait éternuer.
- Sylvain, cest toi qui étais perché sur cet arbre.
Tu nous épiais.
Si tu as tout entendu et vu que jaime Matilda, il y a longtemps que je voulais te quitter.
Adieu.
On a divorcé, dans le dossier, japprends que son amante est en profession libérale et vend des godes.
Elle habite à Bordeaux et faisait du porte-à-porte lété sur nos plages, car comme ma femme, la maison de Saint-Palais, cest un héritage.
Elle était venue sur la plage de Nozan et avait proposé un de ses godes à Gisèle.
Elles étaient remontées chez nous et elles sétaient trouvées.
Nous louions à Montrouge, jai gardé le logement.
Elle a demandé sa mutation à Bordeaux et comme ladministration était trop longue, elle a démissionné.
La seule chose que les deux salopes moffrent cest le carrelet.
Le lit que jhésitais à y mettre, je lai installé.
Cest lété, je viens daller faire mes courses, jarrive vers le petit portillon empêchant les touristes de prendre la passerelle de bois.
Une jeune petite blonde est là, 25 à 30 ans.
- Cest à vous ce truc pour pêcher !
- Ce truc, cest un carrelet.
Oui, pourquoi ?
- Je pourrais le visiter et voir, comment vous pêchez ?
Je la conduis à la cabane.
Vu par larrière, joli petit cul, jai bien fait dinstaller un lit, la marée, cest dans deux heures.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!