Le Cours Finit Bien (3)

Me voici donc de bon matin, à 7h45 un samedi, dans ma voiture vers l’adresse que m’avais donné ma prof la veille. Je suis à la fois impatient de la revoir et de regoûter à son magnifique petit cul, mais également un peu tendu. Je commence à me sentir piégé par cette coquine, et je me demande ce qu’elle me réserve pour aujourd’hui.

J’arrive devant une petite maison assez charmante, qui semble bien entretenue, juste à l’extérieur de la ville et totalement isolée. En sortant de la voiture, je remarque la mention « Mr et Mme » sur la boite aux lettres et me fait la remarque qu’elle est soit mariée, soit qu’elle habite toujours chez ses parents.

Je sonne, et là, comme à chaque fois, je suis émerveillé par la simple vue de cette superbe femme. Aujourd’hui, elle porte un petit débardeur plongeant offrant une vue imprenable sur son décolleté, ainsi qu’un mini short moulant parfaitement ses fesses. C’est pied nus qu’elle vient m’accueillir :
- Allez, entre et ferme derrière toi.

Je la suis dans le couloir. Un coup d’œil à la déco ainsi qu’aux photos sur les meubles me suffisent pour déduire que l’on est bien chez ses parents, sûrement absents ce weekend.
- Bien tu es à l’heure, déjà un point positif. Allez, prends ta position à genoux petit soumis et nettoie moi les pieds. Tu adores ça je le sais, et moi aussi.

J’adore ça c’est vrai, les pieds féminins sont mon plus grand fantasme, mais à ce moment-là, elle avait marché pieds nus sûrement depuis qu’elle s’était levée. Je la vois deviner mon hésitation.
- Je te rappelle que tu n’as pas le choix, alors exécute toi ! Oui tu vas bien me les nettoyer.

Elle s’installe donc dans son canapé, et me regarde me mettre à genoux devant elle bien docilement. Je prends sa première jambe, puis commence à embrasser son pied. Je m’applique à lui lécher la plante afin de la faire briller. Je passe ensuite ma langue entre ses orteils, avant de les prendre un par un en bouche.

Je fais de même avec son autre pied, en observant ses réactions. Elle a d’ailleurs l’air d’apprécier alors qu’étrangement, de mon côté, j’y prends bien plus de plaisir que je ne l’aurais cru au départ. Cependant, au bout d’une demi-heure, je commence à trouver cela un peu long.

Mes pensées sont interrompues quand on sonne à la porte. Surpris, je lâche ses pieds.
- Ne t’arrête pas ! C’est un ordre ! Les filles, vous pouvez rentrer c’est ouvert.
Les filles ? Mais qu’a t’elle préparé ? Je me repenche sur ses pieds quand je vois entrer dans le salon deux filles de ma classe, Hélène et Anaïs. La première est une magnifique brune aux jambes très longues, plutôt minces avec une poitrine agréable à l’œil bien que paraissant un peu petite. Ses fesses sont toujours bien mises en valeur par les jeans qu’elle porte. Anaïs quant à elle est blonde, je la trouve magnifique aussi, bien que ma préférence aille à Hélène. En revanche, ses lunettes lui donnent un air coquin délicieux, et sa poitrine et son cul sont bien plus rebondis. Elle est un peu plus petite qu’Hélène. Dans d’autres cours, il m’arrivait régulièrement de fantasmer sur elles.
Pourtant c’est bien de la peur et de la gêne que je ressens à cet instant, humilié devant des femmes que je fréquente tous les jours.
- Regardez les filles, le petit soumis dont je vous ai parlé hier soir. On va pouvoir pimenter un peu nos activités !

J’en déduis donc que ces trois-là se fréquentent à priori depuis un moment. Quelle cochonne, elle m’a bien piégé avec son air innocent, ses fausses excuses pour m’avoir mal parlé devant la classe, m’avoir donné l’impression que c’est moi qui la faisait céder alors que c’est elle qui me manipulait. Et moi j’étais là, ses orteils toujours dans ma bouche.
Les deux filles ricanèrent, et j’entendais leurs commentaires.
- Regarde le ce petit toutou, bien à genoux à nettoyer les pieds de sa maîtresse.
- Mais tellement, si on avait imaginé ça on aurait pu s’amuser avec lui depuis bien longtemps.
Allez ne tardons pas et rattrapons le temps perdu.
- T’as raison. Allez au travail, mes pieds aussi ont besoin d’être nettoyés ! Et applique-toi !

Elles se sont installées dans le canapé de chaque côté de ma prof. Pendant que j’enlevais leurs baskets (des converses), elles ont salué cette dernière chacune leur tour par un baiser très sexy. Je voyais leurs langues se mélanger et tourner l’une autour de l’autre, c’était très excitant. D’ailleurs, je bandais dur depuis un long moment et je commençais à avoir mal, du fait du peu d’espace dans mon pantalon.
J’ai ainsi passé une bonne partie de la matinée à lécher leurs pieds. Ceux de ma prof étaient les plus agréables, mais ceux de mes camarades étaient un délice aussi chacun à leur façon. Pendant ce temps, elles avaient fait tomber leur vêtements et continuaient de s’embrasser en se touchant mutuellement leurs intimités. Ma prof était la mieux lotie puisqu’elle pouvait profiter des deux autres en même temps.
Vers 10h30, elles ont finalement décidé de changer un peu d’activité.
- Allez, reste à genoux et viens t’occuper de nos entrejambes. Tâche de t’appliquer !

Ma prof continuait de dicter les ordres. Je m’approchais donc d’elle rapidement. Les trois étaient à quatre pattes sur le canapé, et attendaient ma langue. Je me suis penché sur le cul de cette dernière, comme ordonné la veille, et ai commencé à lui lécher la rondelle avec appétit. Je tournais avec ma langue avant de la pénétrer, c’était toujours aussi délicieux. Je me suis ensuite penché sur l’intimité d’Hélène. Totalement épilée, elle paraissait toute douce et était luisante d’excitation. Je me suis appliqué en goutant ce nectar. Elle avait un goût fort mais très agréable.
- Alterne avec mon cul, j’adore !

Je lui ai ainsi léché la chatte et le cul en même temps, et ses gémissements trahissaient le plaisir qu’elle en retirait. Elle se dandinait sous mes coups de langue, et ne tarda pas à jouir bruyamment.

Je suis donc passé derrière Anaïs et ai commencé le même traitement. Son intimité avait un goût beaucoup plus doux, mais tout aussi appréciable. Son cul bombé était si parfait… J’étais à leurs ordres mais terriblement excité de pouvoir combler ces trois magnifiques femmes. Anaïs aussi finit par jouir, moins bruyamment mais avec quelques spasmes.

Après environ une heure, elles me firent mettre debout et me déshabillèrent. Naïf, je pensais que j’allais avoir droit à une petite fellation. Loin de là… elles me firent marcher à quatre pattes jusque la chambre. Ce que je ressentais à cet instant était étrange, mélange de honte et d’excitation pour la suite.
Hélène et Anaïs s’allongèrent sur le lit en position de 69, et commencèrent à se donner du plaisir, mêlant leurs langues et leurs doigts, dans chaque trou. Le spectacle était magnifique et je bandais à m’en faire mal.
- Allez Antoine, encule moi et tu as intérêt à y mettre du cœur !

Ma prof s’est installée en levrette sur le lit, prête à être perforée. Après l’avoir travaillée avec mes doigts, je me suis enfoncé en elle comme dans du beurre. Son cul était si accueillant. Je la pilonnais avec vigueur, pendant que les filles à côté commençaient à enchainer les orgasmes.
Ma prof quant à elle grognait de plaisir, et un orgasme la foudroya rapidement. Loin de la calmer, elle m’ordonna d’y aller encore plus fort, ce que je fis sans me faire prier. Après un deuxième orgasme, elle décida d’échanger avec Anaïs. Cette dernière m’allongea sur le lit, et vint empaler sa chatte sur ma queue. Elle était trempée et commença rapidement à se faire coulisser dessus. Quel pied je prenais, c’était incroyable. Un nouvel orgasme la fit glisser sur le côté. Hélène prit sa place aussitôt, pendant que ma prof caressait Anaïs pour la faire repartir. Hélène aussi s’empala sur moi, alternant entre ses petites lèvres et sa rondelle. C’était un supplice, car je n’étais pas supposé jouir tant que je n’y étais pas autorisé.

Après deux orgasmes presque coup sur coup, Hélène se retira.
- Antoine, mains dans le dos, tout de suite !

Ma prof sortit une paire de menottes et deux foulards, et m’attacha les mains dans le dos et les pieds à ceux du lit. J’étais tellement frustré… J’étais au bord de la jouissance, mais elles me laissèrent planté là, s’en allant manger. Je dû patienter une bonne heure, attaché et humilié par ces trois femmes.
En revenant, ma prof vint s’asseoir sur mon visage :
- Allez lèche moi et fais-moi jouir. Tu as le droit à mes deux trous, profites-en.

J’étouffais un peu, mais regoûter à la cyprine luisante de ma prof était un délice. Pendant ce temps, les deux filles avaient commencé à me branler… mais avec leurs pieds. Quel supplice c’était de résister, quand tous mes fantasmes étaient en train de se réaliser. Ma prof se leva soudain, sortit, et revint avec un verre. Les filles accélérèrent leur masturbation, quand ma prof m’ordonna de jouir dans le verre. Ce que je fis sans difficulté. Mais quand elle me demanda de boire le verre, l’excitation tomba rapidement. Devant mon hésitation, elle se retourna et commença à m’écraser les couilles avec son pied :
- Obéis soumis, allez !

Je pris le verre et bu le contenu avec dégoût. C’était vraiment horrible. Les trois filles s’esclaffèrent bruyamment, moquant ma soumission et mon état pitoyable.
- Ah quel pied ce soumis, c’est le cas de le dire.
- Tu m’étonnes, et encore on a été sympas. La prochaine fois ce sera encore pire pour toi.
- Les filles merci, vous pouvez y aller. On se revoit le weekend prochain.

Anaïs et Hélène partirent après s’être rhabillées :

- Antoine tu reviens demain, même heure. Compris ?
- Oui madame.
- Tu es un bon petit soumis, je pense que je vais bien m’amuser avec toi sale chienne. Maintenant dehors !

Je me suis revêtu en vitesse et suis parti, réalisant peu à peu que je devenais bien sa chienne jour après jour. Que me réservait-elle pour demain ?

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