Une Rencontre Libertine Et Bi
Jarrive 10 minutes en avance sur notre lieu de rendez vous, le parking dun gros centre commercial le lieu de rencontre est à côté de la station service. Il y a quelques restaurant autour de moi et la galerie marchande un peu plus loin. Je suis à la recherche dune berline noir allemande.
Jattends Maurice, un homme de 54 ans avec qui jéchange depuis un moment par mail pour une rencontre avec lui et sa femme. Il a quand même souhaiter avant de démarrer notre plan que nous déjeunions entre homme pour se mettre daccord sur le déroulement de notre après midi festive.
Il est pile midi quand la berline allemand vient se garer à côté de moi. A travers nos vitres baissées un homme, cheveu poivre sel et un regard bleu très clair, me demande:
« Romain? »
« Oui, bonjour Maurice »
« Parfait, on va déjeuner? »
Nous fermons chacun notre voiture et nous dirigeons vers le restaurant qui est juste à côté, pendant la marche il casse un instant le silence en me disant:
« Je viens souvent ici, ne vous inquiétez pas on sera au calme pour parler tranquillement ».
Ce qui colle très bien avec leur annonce qui avait pour titre « Cherche relation très discrète ».
Une fois à lintérieur, sans même attendre un serveur il se dirige directement vers une table un peu à lécart des autres. Une fois assis sur un ton plus directif quinterrogateur il me dit:
« On va démarrer par un verre de vin » et il appelle le serveur.
Jai le sentiment depuis le début de nos échanges quil a besoin de sassurer que cest uniquement lui qui va mener la danse, je nai pas de soucis avec ça alors je vais le laisser mener.
Rapidement une femme avec un magnifique décolleté nous apporte nos verres, quand elle se penche nous ne pouvons nous empêcher dadmirer sa magnifique poitrine. Je vois quavec Maurice nous sommes daccord sur les atouts de madame. Nous trinquons et il me dit:
« On va se tutoyer, cest plus simple.
« Ok »
Puis il me demande si jai déjà rencontré des couples, je lui réponds que oui, cela fait quelques années que je pratique le libertinage et le candaulisme.
Ensuite il mexplique quavec sa femme Béatrice, ils rencontrent assez régulièrement des couples. Cela fait un moment quil ont envie dun plan uniquement avec un autre homme mais quils ont une idée plutôt précisé du scénario. Leur annonce ciblée un homme bi plutôt poilu, bien membré et endurant donc je pense savoir ce quils ont en tête mais je le laisse parler. Pendant que la belle serveuse brune revient vers nous pour prendre notre commande il me dit à voix basse
« Bien sur ma femme doit tapprouver aussi! ».
Ce qui veut dire que rien nest encore décidé.
Pendant que nous attendons, il me pose pas mal de questions sur ma vie personnelle, mes pratiques
. mes réponses semblent le satisfaire. La serveuse nous amène nos plats, je vois que Maurice effleure intentionnellement sa cuisse dénudée. Quand elle repart il me dit avec un sourire coquin
« Elle est belle hein? »
« Oui et en plus elle le sait! »
« Cest tout a fait ça, à chaque fois que je viens manger ici elle me sert et me charme. Mais je ne crois pas quelle aille plus loin avec les clients, dommage! »
Il mange très doucement et tout en mâchant il observe les autres clients du restaurant, mais surtout les clientes, ses yeux retournent régulièrement sur notre serveuse. Tout dun coups sans aucun rapport avec le reste il me dit:
« Si tu ne corresponds pas à notre recherche cest évident que nous niront pas plus loin »
Sur un ton un peu vexé je lui répond
« Si je ne correspondait pas je naurai pas répondu! »
« Je vérifierai ça tout à lheure! » conclue t il.
Il veut donc tester la marchandise avant daller plus loin!
Quand notre serveuse nous apporte le café et quelle se penche pour attr le pot avec les sucres et les sucrettes qui est à lautre bout de la table, Maurice en profite pour lui caresser le sein droit, elle se laisse faire.
« Rejoins moi dans 5 minutes au toilettes ».
Je le regarde séloigner en buvant mon café, je fais attention à son corps il doit mesurer 1m80 il est assez fin malgré un petit ventre (ce qui est courant à son âge). Sa démarche est déterminée, il sarrête à la caisse pour régler le déjeuner et disparait aux toilettes. Quelques minutes plus tard je pars le rejoindre.
Sur le chemin je sens ladrénaline monter, je ne peux empêcher mon érection vu toutes les images que jai dans la tête. Jouvre la porte des toilettes en face de moi il y a 2 cabines portes fermées, à droite deux lavabos et à gauche un mur pissotière avec de la place pour 3 personnes et aucune séparation. Maurice est au milieu, jentends le jet de son urine taper le carrelage du mur.
Je me rapproche et me place à sa gauche, pendant que je déballe mon costume 3 pièces je regarde sa queue qui malgré une demi molle semble de belle taille mais plus petite que la mienne, par contre tout aussi large mais avec aucune veines apparentes. Une fois mon sexe dehors je pousse un peu pour faire sortir un jet durine plutôt timide. Difficile de pisser quand on a une méchante érection.
Maurice à les yeux fixés sur mon entrejambe et avec sa main gauche il empoigne fermement ma bite. Il la serre un peu entre ses doigts se qui me fait encore plus durcir et bander et me dit:
« Bien! Dure et chaude comme nous adorons! »
Je suis plutôt flatté.
Maurice commence à me branler, ses doigts sont très expert il fait tressaillir ma bite. Il le sent et me lance:
« Tu as lair daimer ça! »
Il pose son index sur ma queue et son pouce sur mon frein et les serre fort. La sensation est divine, jen perle. Il récupère les gouttes qui coulent de mon méat et me masturbe énergiquement avec pendant quelques minutes avant de repositionner son pouce et son index et de les presser à nouveau.
« En plus tu as lair de bien tenir lendurance. Je suis sur que Béatrice va être comblée. »
En disant cela il sort son téléphone de sa poche avec son autre main et film ma tige quil branle pour envoyer la vidéo à sa femme. Il continue ses caresses alors que je vois que lui aussi est droit comme un piquet, sa queue doit faire 14 cm, je commence à le caresser moi aussi.
Son téléphone fait un bip, il abandonne mon sexe alors que je le branle toujours pendant quil lit son message et il me dit:
« Ma femme nous attend, on y va? »
Je lâche sa bite, nous nous rhabillons difficilement vu comme nous sommes tendu et droit.
Chacun rejoint sa voiture et je le suis, nous avons roulé presque 30 minutes. Après avoir quitté la ville nous nous enfonçons dans la campagne jusquà une grande maison de plein pied avec un immense terrain.
Je me gare derrière sa berline, jatt ma veste et je sors de ma voiture rejoindre Maurice.
Sur le pas de la porte une blonde de plus 1m70, mais avec des talons aiguilles denviron 10 cm, nous attend. Elle a les cheveux tirés en arrière, porte un tailleur jupe droite stricte et serrée. Elle vient vers nous, pose ses lèvres contre celles de Maurice et vient me faire la bise.
« Bonjour Romain »
« Béatrice ».
Et nous rentrons chez eux.
Une fois dans le salon, où des tasses et des biscuits nous attendent sur une table basse, nous nous installons. Pendant que Béatrice me questionne comme la fait son mari au restaurant, jadmire sa peau laiteuse et ses lèvres charnues qui contraste avec un beau rouge. Sa poitrine est compressée dans son tailleur mais semble quand même très généreuse.
Elle mexplique quils ont déjà rencontré quelques hommes seuls mais ils ne sont jamais allé jusquau bout parce quaucun deux ne leur convenaient. Elle ajoute quil ne cherche pas un homme qui dirige leur trio mais plus quelquun qui est capable de leur servir de jouet sexuel à tous les deux.
Je ne lui dis pas mais sa voix douce et les jeux que nous envisageons me refont bander. Jadmire aussi sa belle manucure et ses longs ongles rouges qui promettent plein de belles caresses. Maurice lui est silencieux et nous observe. En fait cest pas lui qui dirige mais elle, tant mieux!
Béatrice me propose de me resservir à boire, mais entre les deux cafés et toutes mes érections jai besoin de me vider la vessie. Elle mindique les toilettes et jen profite pour les laisser seuls un moment, cest ma technique avec les couples. Au bout de 10 minutes je retourne les rejoindre en faisant assez de bruits au cas où
Quand je passe derrière Béatrice jeffleure son dos, elle réagit discrètement. Mais ça lui a fait de leffet parce que je nai pas le temps de massoir quelle me dit:
« La vidéo cest bien mais je préfère juger en direct. »
Comme je ne réagis pas elle ajoute sur ton autoritaire:
« Déshabilles toi! »
Apparement léchauffement est fini, je commence par déboutonner ma chemise que je pose délicatement sur le canapé derrière moi. Puis je retire mes chaussures avant denlever en même temps mon pantalon et mon boxer et me retrouver entièrement nu comme Beatrice me la demandé.
Le couple me scrute, pour les motiver je tourne sur moi afin quil puisse madmirer sous toutes les coutures. Je commence légèrement à bander bien que jai un peu froid quand madame nous annonce:
« Le scénario peut commencer. Maurice, mon chéri va préparer Romain pour la suite. » sans me quitter des yeux.
Obéissant son mari se lève est vient sagenouiller devant nous. Il att avec sa main droite il saisi ma queue quil met directement dans sa bouche. Pendant que ses lèvres coulissent le long de ma tige sa femme lui indique:
« Suce le sans les mains! »
Sa main droite me lâche et elle ajoute:
« Je veux que le désir monte en vous deux mais interdiction de jouir! »
Il ne prend plus que mon gland en bouche quil suce, lèche, aspire et même mordille. Pour moi aucun problème le désir monte. Au fur et à mesure quil me prend de plus en plus en bouche je vois sa bite gonfler et se lever. Alors quil me suce magnifiquement depuis plusieurs minutes Béatrice ordonne:
« Maintenant occupe toi de ses bourses, lune après lautre »
Maurice sexécute, sa langue lèche mes couilles totalement glabres, lune après lautre. Ensuite il prend la gauche en bouche et serre ses lèvres afin de tirer dessus, jadore ça, il passe à lautre pour lui faire le même traitement. Je trouve que les hommes me sucent souvent mieux que les femmes ça doit être parce quils savent ce que je vais ressentir.
Après avoir aspirer mes testicules Béatrice lui ordonne de me bouffer le petit trou. Il écarte un peu plus mes jambes et vient entre mes cuisses. Avec ses mains, il écarte mes fesses et sa langue vient me titiller la rosette. Il commence à peine à me pénétrer avec sa bouche quand sa femme lui dit sèchement:
« Stop! »
Maurice se crispe entre mes jambes.
Béatrice enchaine:
« Romain est prêt! Viens toccuper de moi mon chéri. »
Elle se lève et remonte sa jupe serrée le plus haut possible, elle ne porte pas de culotte, pour dévoiler sa chatte entièrement lisse et qui semble déjà bien ouverte. Elle se rassoit et écarte les jambes avant dajouter toujours à lintention de son mari:
« Viens me faire ce que tu aimes tant! »
Il se retourne et marche à quatre pattes jusquentre les cuisses de son épouse. Quand il commence ses coups de langue sur le sexe de sa femme qui doit déjà être dégoulinant, elle me dit:
« Romain interdiction de te toucher! Tu admires cest tout! Sinon
»
Je nai pas du tout envie que notre plan sarrête maintenant alors je garde les bras le long du corps.
Je vois dabord la bouche de Maurice embrasser le sexe de sa femme comme il le ferait avec une bouche, puis du bout de la langue il commence par lui titiller les grandes lèvres avant de remonter sur le petit bouton ce qui la fait immédiatement gémir. Apparement monsieur est très doué avec sa bouche, aussi bien avec les femmes quavec les hommes. Je vois les lèvres et la langue de Maurice sactiver de plus en plus sur et dans lintimité de sa femme mais surtout je vois et jentends Béatrice prendre de plus en plus de plaisir.
Ses gémissements deviennent des cris, elle doit être au bord de lorgasme mais elle att les cheveux de son mari, toujours à 4 pattes devant elle, et le repousse pour ne pas coder au plaisir ultime trop rapidement. Puis elle sécroule dans le canapé derrière et tend les bras vers moi et me dit:
« Viens Romain, notre beau jouet, je veux que tu me prennes lentement et longuement. Je te dirai quand, où et comment jouir. »
Pour la rassurer je lui dit que son jouet arrive et je mavance.
Une fois devant elle, Béatrice me fait mettre à genoux et écarte bien ses cuisses. Je vois sa chatte littéralement dégouliner, jempoigne ma queue par la base et avec mon gland je lui caresse le clito et les lèvres pour menduire de son jus. Elle se remet immédiatement à gémir. Je la pénètre doucement bien quelle soit bien ouverte et je ne marrête quune fois entièrement en elle quand elle me dit:
« Oui continue comme ça! Prends moi bien à fond! »
Je commence à ramoner la grotte de Béatrice aussi doucement que je suis rentré en elle.
Je recule jusquà ce que je sente la base de mon gland contre ses lèvres intimes, je commence à me renfoncer en elle mais Béatrice cesse de gémir et me dit sur un ton très autoritaire:
« Non, sors entièrement! »
Je me retire.
« Attends un peu! »
Je mexécute
« Maintenant prends moi! »
Je la pénètre tout aussi doucement et lentement que la première fois.
Une fois que je suis totalement au fond, elle rajoute entre 2 soupirs:
« Voila! »
Je ressors tout aussi lentement de son intimité qui compresse mon sexe gonflé au maximum. Quand je suis dehors je vois des filets de cyprine couler de ma bite tendu. Jattends encore un peu et je la reprends.
Je continue ainsi pendant un bon quart dheure sous le regard salace de son mari, que je vois dans un miroir, il prend son pied uniquement en regardant sa femme se faire baiser par un autre. A chaque fois que je suis totalement en elle je sens le bout de mon sexe compressé dans son intimité. A certain moment, Béatrice contracte son vagin autour de ma bite ce qui augmente mon plaisir.
Je la ramone, toujours au même rythme, quand son corps commence a être pris de spasmes. Sa tête, penchée en arrière, se balance sous les saccades de son corps. Ses mains attnt mes bras et ses ongles se plantent dans ma chair. Je suis moi aussi sur le point de jouir mais je dois me retenir surtout si je veux que le jeu continue encore un moment.
Quand Béatrice commence à reprendre ses esprits et que ses ongles ressortent de ma peau, elle ordonne à son mari:
« Viens lui caresser les couilles, je vois que tu en meurs denvie »,
alors que je continue à la pénétrer toujours au même rythme. A peine quelques secondes plus tard Maurice et assis derrière moi, je sens son sexe tendu contre mes fesses à travers son pantalon, il passe sa main devant mon corps et commence à me caresser les boules totalement rasées avant de les comprimer lune contre lautre.
Je ne vais plus réussir à me retenir et mon hôtesse doit le comprendre parce quelle mordonne de quitter son sexe humide et de céder la place à son mari. Maurice se déshabille entièrement et prend exactement la même position que moi, il y a quelques secondes, et la pénètre exactement comme elle me lavait demandé, doucement. Je profite de ce moment pour calmer un peu mes ardeurs mais avec ce magnifique spectacle que ce couple moffre ce nest pas évident.
Au bout de quelques minutes Béatrice a lair de sapprocher une nouvelle fois de lorgasme. Elle demande à son mari de me laisser la place. Je la lime au même rythme que précédemment. Au bout de 10 minutes son corps se crispe, elle me plaque contre elle, je sens son bassin remuer et son sexe se contracter. Mon ventre shumidifie et je sens un coup violemment au niveau du bat ventre. Ses mains lâchent mon dos et je suis projeter en arrière alors que de nouveaux jets sortent de son entrejambe et me trempe encore plus. En plus notre petite bourgeoise toujours dans son tailleur avec la jupe relevée, est une femme fontaine.
Quand son corps se calme, elle me demande de massoir à côté delle et une fois que je suis en place elle sinstalle devant moi entre mes jambes ouvertes. Elle commence à me branler très doucement, tout en agitant sa main le long de ma queue Béatrice fait signe à son mari de venir nous rejoindre.
Elle pose ses lèvres sur mon gland et me prend entièrement en bouche jusquà ce que mon gland bute. Puis elle me fait ressortir en serrant bien ses lèvres autour de moi alors que son mari est installé à côté delle. Une fois que je suis ressorti de sa bouche elle tend ma bite vers son mari qui menglouti à son tour très doucement et en aspirant, elle me dit:
« Maintenant tu vas enfin pouvoir te vider, mais cest le hasard qui décidera dans laquelle de nos deux bouches ».
Quand elle a fini de parler son mari me fait sortir dentre ses lèvres et cest la femme qui me prend en bouche.
A tour de rôle, leurs lèvres engloutissent mon sexe et lavale le plus possible avant de me recracher tout aussi doucement et de moffrir à la bouche de lautre. Je ferme les yeux pour encore plus profiter de ce moment, je narrive pas à faire la différence entre les coups de langue de madame et ceux de monsieur. Cela fait bien 5 minutes que je me retiens de jouir, cette fois cest moi qui veut en profiter au maximum. En même temps je sens toujours une main qui serre la base de mon sexe alors quune autre main me caresse les couilles et une dernière main ou plutôt des ongles se balade sur ma cuisse gauche.
Je narrive plus à me retenir, je laisse un dernier échange de bouche et je me lâche. Je sens ma bite gonfler dans la bouche qui me tient chaud. Un premier long jet vient sécraser sur le palais qui maccueille alors que les mains sagitent encore plus sur mes bourses. Jentrouvre les yeux et je vois que je suis dans la bouche de Maurice et que se sont les mains de Béatrice qui me caressent. Je lance encore un grande quantité de jus, je vois la bouche de monsieur se remplir, il fait le maximum pour ne pas en perdre une goute.
Alors quelle admire son mari me vider jusquà la dernière goutte, elle lui dit:
« Cette fois tu as très bien choisi! ».
Quand Maurice libère ma queue qui a commencé à ramollir, Béatrice pose ses mains sur les joues de son homme et ils se roulent une pelle pour se partager mon sperme.
Quand nous reprenons nos esprits il est plus de 18 heures, je me rhabille pour laisser le couple seul mais on sest promis de se revoir et très vite. Je me dépêche de rentrer chez moi, ma femme mattend
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