Expressions Nouvelles

Je ne saurais vous dire quand est-ce que l’éventualité de voir ma femme au lit avec un autre a commencé à m’exciter. C’est arrivé progressivement, les vagues d’un fantasme de plus en plus violent, si brulant qu’il a fait fondre les digues de ma conscience. Je crois que le désenchantement érotique y est pour beaucoup.
La pornographie façonne notre sexualité. C’est si vrai que dans Games of Thrones les héros font des fellations et des cunnilingus ! Le scénariste de la série s’est laissé influencer par les mœurs sexuels de son époque qu’il a appliqué à une autre ; si j’arrive à imaginer des gladiateurs sodomites, je ne les vois pas faire des cunnilingus, peut-être que je me trompe, j’imagine mal l’australopithèque accros aux cunnilingus et fellations comme nous autres.
Je ne sais pas vraiment, il n’y a plus de vérité à notre époque. C’est arrivé progressivement. Après les premières fois intenses, la routine s’installe, les performances sexuelles déclinent, jusqu’au jour où faire semblant n’est plus nécessaire.
Cette nuit-là, je me trouvais allongé sur elle. Je venais d’éjaculer neutre, sans goût, sans plaisir, une éjaculation totalement mécanique. Elle n’a même pas pris la peine de râler, elle est restée morte durant tout l’acte. Je venais d’éjaculer après une baise médiocre. Le plaisir que j’avais pris était médiocre, tout aussi médiocre que celui que j’avais essayé de donner sans arriver à donner. Soudain, elle m’a renversé : elle s’est retrouvée au-dessus et moi en dessous. « Fais-moi jouir ! » cela n’a pas résonné comme un ordre, mais ses gestes suivants si. Elle a rampé sur moi puis elle s’est assise sur mon visage. Sa chatte ballonnait ma bouche. Mon propre sperme dégoulinait dans ma gorge. Ma langue léchait sa fente sexuelle.
Jusqu’à récemment les hommes de chez nous ne pratiquaient pas le cunnilingus, les femmes elles non plus ne pratiquaient pas la fellation. C’étaient des pratiques jusqu’à récemment dites insolites.

N’en parlons même pas de la sodomie. Aujourd’hui ces pratiques sont devenues banales, elles composent le menu basique. « La sodomie doit être agréable dans son gros cul ! » dit l’un. « Je voudrais qu’elle s’assoie sur mon visage ! » renchérit un autre. Aujourd’hui à chaque préliminaire ma femme me fait bouffer son sexe ; si son amant a éjaculé dans son vagin elle le nettoie avec ma bouche. Je suis devenu le paillasson de cette dame.
Une autre nuit, alors qu’elle me masturbait et me fellationnait, comme je n’arrivais pas à bander, elle me dit : « je connais des hommes qui banderaient déjà si je leur avais fait la moitié de ce que je t’ai fait. » Une érection subite souleva ma bite ! Parfois je trouve ma femme plus excitante vêtue que nue.
Cela dépend du contexte, nos humeurs, nos attitudes.
L’amant de ma femme viendra, il prendra ma femme sur notre lit conjugal. Ça ne sera pas la première fois qu’ils le feront devant moi, j’ai déjà assisté plusieurs fois à leurs ébats et à chaque fois c’est une source neuve, une excitation presque inattendue : je ne me lasse pas d’être cocu comme ma femme ne se lasse pas de me faire cocu comme son amant ne se lasse pas de la prendre devant moi.

Il fait nuit. Ma femme et moi nous sommes dans notre salon. Nous attendons son amant. Une chaleur intérieure et progressive m’envahit : cela me le fait chaque fois que son rendez-vous galant avec son amant se rapproche, cela me chamboule, cela me met dans une situation étrange. Elle est vêtue d’une robe d’été fleurie qui lui dénude le dos, de chaussures plates pour femme ressemblant à des ballerines. Elle n’a plus cette mine angoissée des premières nuits de cocufiage, mine rongée par le regret, le remord, la peur de blesser son cocu de mari en lui faisant cocu. Je devais tirer la même mine moi aussi tellement j’étais stressé. L’appréhension a disparu de sa figure. Elle a le visage d’une qui assume sa sexualité.
On sonne à la porte. Mon cœur palpite. Je vais ouvrir.
C’est l’amant de ma femme. Il tient en main un bouquet de roses, du genre, « je baise ta femme et je lui ramène des fleurs ! » Nous nous saluons. Il entre. Ma femme et son amant comme bonjour s’échangent un long baiser qui en dit long sur leur relation et sur la considération qu’ils me portent. Ils se sont manqués. Ils sont ravis de se rencontrer cette nuit. Ma femme dépose sur le bouquet sur le grand fauteuil. L’amant ne la quitte pas d’une semelle. La table est remplie de victuailles pour l’apéro mais l’amant n’y touche pas, il a faim, la faim d’un autre genre. Il soulève ma femme comme le nouveau mari puis l’emporte dans notre chambre conjugale. Je les suis.
Rapidement, les amants se déshabillent. L’amant allonge son dos sur le lit. Mon épouse s’assoit sur lui, elle s’assoit sur son long pénis noir, elle ouvre les cuisses, le long pénis disparait partiellement dans son vagin. Elle baise son amant accroupie devant moi. Je me sens terriblement jaloux ! Je suis incapable de la satisfaire alors un autre s’en charge ! Je me place derrière eux pour mieux les regarder s’envoyer en l’air. Devant moi le long pénis noir de l’amant de ma femme pénètre le vagin de ma femme comme si je n’étais pas là. De ses mains il saisit les fesses fermes, puis fait glisser ses coups de reins répétitifs au fond d’elle. Cette vision m’excite et m’angoisse.
« Regarde comment je baise ta femme ! Je la baise bien ta cochonne de femme ! » Il fait claquer le cul de ma femme. J’ai chaud. J’ai envie de me désaltérer. Elle écrase ses seins ronds contre ses pectoraux plats. Elle relève son cul puis le rabaisse dans un mouvement de monté puis de descente lancinant. Elle monte tellement que le long braquemart de son amant sort de son vagin. Je me saisis du braquemart noir, je l’emprunte à ma femme, le perd dans ma bouche où il colonise tout l’espace, le ressort tout luisant, puis le réintroduis dans le vagin affamé de ma cocufieuse. Aussitôt elle le chevauche lentement, profitant et dégustant chaque centimètre du membre masculin.
Ils font l’amour comme mari et femme ! C’est moi qui devrait être en dessous d’elle en train de lui faire les choses que son amant lui fait.
L’amant prend en main les seins de ma femme. Mon rival Une nouvelle fois le long pénis ressort du vagin. Cette fois l’amant lui-même d’un geste preste le remet en place. Son pénis frotte contre les parois vaginales du vagin de ma femme. Elle orale son plaisir comme elle ne le fait jamais avec-moi ! À l’aide de ses mains, il la serre aux omoplates contre lui, ensuite accélère ses profonds coups de reins. Ses testicules bruyants viennent obstruer temporairement la cavité vaginale. Ils ralentissent de cadence. presse les seins de ma cocufieuse. Il les dévore gloutonnement.
« J’ai envie de te prendre par derrière ! » Ils changent de position. Ma cocufieuse se met à quatre pattes sur le matelas. L’amant se met debout, derrière la croupe magnifique féminine. Il introduit son pénis horizontalement dans le vagin de ma femme. Il la laboure la saisissant aux hanches. Son long pénis noir défonce le vagin que je ne peux satisfaire. Une nouvelle fois ils changent de position. Je crois qu’ils revisiteront toutes les positions du Kamasutra. Elle passe de position à quatre pattes à celle étendue sur le dos, les cuisses en l’air et ouvertes. Elle se tortille sur le lit pendant que son amant la laboure. Le plaisir lui fait fermer les yeux et dessine sur son visage des expressions nouvelles.

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