La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1220)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1218) -

L’ascension de la forteresse :

Le plan pour libérer Louis-Etienne était enfin élaboré. Il avait été décidé, pour faciliter la mission, que frère Justinien reprendrait ses fonctions de gardien après avoir prétexté que son départ avait été causé par un doute sur sa foi et que ce voyage lui avait apporté réponse à ses questions. Donc seuls, Alix et Antonin monteraient au sommet par une route peu fréquentée «la route merveilleuse». Grâce au plan et indications de frère Justinien, ils trouveraient sans problème leur chemin. Ils attendraient à l’entrée des souterrains que un de leur complice, à la fin de sa garde, les fassent entrer, moyennant une bourse pleine de pièces d’or (fiancée par le Seigneur d’Evans). Si après 72h, ils n’étaient pas de retour ou sans nouvelles de leur part, Godulfe et ses hommes devaient intervenir. Pour cela, la petite Emérentine allait pouvoir les aider, car chaque jour elle irait jouer non loin des souterrains et en cas de besoin, un complice lui remettrait un message à transmettre… Le grand jour arriva enfin et de bon matin Alix et Antonin se mirent en route. En ce chaud jour d’été, la montée ne fût pas aisée, mais cela n’était pas une mauvaise chose car ils ne virent personne qui pourrait se douter de quelque chose. Arrivés à destination, Alix et Antonin se firent passer pour des mendiants. Enfin un dénommé Ganelon les fit entrer dans les souterrains.

- Louis-Etienne est au plus bas niveau. Tenez, j’ai essayé de vous dessiner un plan et voici une craie. Faite des points de repères sur les murs au cas où car les souterrains sont un véritable labyrinthe. Bonne chance.

Leur progression avançait bien quand, soudain, ils tombèrent nez à nez avec Léonard et ses complices. Stupéfait celui-ci lance à l’adresse de son frère et Alix

- Mon frère, ma cousine, vous ici ?
- Léonard, je t’en prie, laisse-nous passer, lui demanda Antonin.


- Jamais, crois-tu que je vais encore laisser passer ma chance ? Attz-les, vous autres.

A 2 contre 5, ils n’avaient aucune chance. Désormais, ils étaient eux aussi prisonniers et furent enfermés ensemble. Epuisée, déçue, Alix fondit en larmes, Antonin la prit dans ses bras et la laissa pleurer, lui murmurant des mots apaisants, jusqu'à ce qu’elle se calma.

- Qu’allons-nous faire maintenant ? Savoir Louis-Etienne si proche et ne pas pouvoir le serrer dans mes bras est insupportable. Et nous retrouver nous-même prisonniers sans même avoir pu tenter quoi que ce soit, est désolant.
- Ne t’inquiète pas si Léonard est ici, mon père aussi et il ne résistera pas longtemps à une joute verbale avec toi, fait-moi confiance.

Et en effet peu après, un garde à l’aspect négligé se présenta devant eux.

- Vous, en s’adressant à Alix le Baron de Grenois veut vous parler.

La jeune fille le suivit mal à l’aise mais déterminée... Quand Alix pénétra dans la pièce où se trouvait son oncle, il eut un sourire mauvais.

- Ma nièce, vous voici dans un bel état
- C’est vous que je le dois, c’est vous qui nous avez fait arrêter.
- Peut-être, mais j’ai le pouvoir de vous faire sortir d’ici vous, votre frère et mon traitre de fils.
- Sachez Monsieur, que je ne négocie pas avec les gens de votre espèce.
- Parfait, si vous préférez rester dans ces souterrains, libre à vous.
- Très bien… Que proposez-vous ? Car vous demanderez bien sûr quelque chose en échange ?
- Je vous fais libérer sur l’heure ainsi que Louis-Etienne et Antonin contre votre promesse écrite d’épouser mon fils Léonard
- Jamais, je préfèrerai mourir plutôt que cela. Comment osez-vous ? Après avoir harcelé ma mère de votre demande en mariage. Vous n’avez jamais supporté de n’être que baron et le cadet des s du Comte et de la Comtesse de Maisondieu et que mon père ait hérité du titre et du nom. Jamais vous ou votre bon à rien de Léonard ne sera associé à la famille de Maisondieu et jamais vous ne mettrez la main sur notre patrimoine et richesse qui reviennent à Louis-Etienne car il n’y a que cela qui vous intéresse.

- J’aime les pièces d’or, je ne le nie pas. Mais une telle fortune ne peut être gérer par une femme et un jeune homme.
- Louis-Etienne à l’âge décidé par notre père dans son testament pour gérer notre famille.
- Et Sachez que j’appartiens au Seigneur Charles d’Evans. Ce tout puissant Seigneur est le seul pouvant donner son autorisation et il ne m’obligera jamais à épouser un homme que je hais.
- Ce cher Seigneur d’Evans ! Sachez ma chère, qu’en ce moment même, ma fidèle et complice Amélie est chez lui et nous avons bien l’intention que je prenne sa place.
- Je ne vous crois pas et quand bien même, elle est seule ! Et contre tous et toutes qui Lui sont fidèles et dévouées depuis des années pour certaines. Vous êtes avide de pouvoir et de fortune, mais vous n’arrivez même pas à la cheville du Seigneur Charles d’Evans.
- Vous n’êtes qu’une punaise ma nièce ! Nous verrons ! Mais vous épouserez mon fils si vous voulez sortir d’ici un jour.
- Vous n’êtes qu’un immonde personnage.
- Soit, réfléchissez mais si vous refusez, aucun de vous ne sortira d’ici... Ramenez-la en cellule.

Alix n’en revenait pas ! Alors c’était donc pour cela que Louis-Etienne avait été nappé et séquestré ! Pour mettre la main sur son héritage. Maintenant que faire si ce n’est attendre les renforts… Quand Antonin vit son visage défait, dépité, il comprit que les nouvelles étaient mauvaises…

Pendant ce temps au Château :

La vie au Château se passait bien. Un matin, lors de la leçon d’Enguerrand, celui-ci lui demanda :

- Clémence (elle l’autorisait en privé à l’appeler par son prénom) avez-vous quelque chose de prévu dans 12 nuits ?
- Je ne sais pas vous dire, mais pourquoi?
- Je vais avoir 16 ans et voudrais vous inviter à ma soirée.
- Demandez à votre père, et s’il est d’accord, ce sera avec plaisir...

La journée se passa sans évènement et quand le soir fut venu, les 6 filles discutaient mariage quand Clémence dit :

- A propos Kate, tu ne portes pas la bague d’Antonin ?
- Non, par respect pour le Seigneur à qui il m’a confié et qui en son absence est le Maître.
Ainsi, je ne veux pas la porter avant son retour.
- Puis-je la voir, demanda Amélie
- Volontiers !

Elle prit le coffret et montra aux autres la magnifique bague reçue le soir de leurs fiançailles. A ce moment Messire Léon entra et elles se toutes mirent à genoux immédiatement

- Amélie, le Seigneur exige ta présence dans Sa chambre dès le coucher du soleil… Vous autres, profitez-en pour lui expliquer les règles à ce sujet.
- Bien Messire, dirent-elles
- Toi, Lucie, viens avec moi

Lucie sortit avec Messire Léon. Lucie trouva étrange de se rendre non pas dans la chambre mais dans la pièce de réunion de Messire Léon (pièce que l’on nomme de nos jours un bureau).

- Je t’autorise à me regarder et assied toi sur une chaise j’ai à te parler.
- Merci Messire, si je peux me permettre, que se passe t’il, vous semblez bien soucieux.
- Tu es la plus ancienne ici et aussi la plus âgée. Tu es, pourrait-on dire, la chef des soumises, tu les conseilles, les écoutes et elles t’écoutent.
- Oui Messire, en effet
- Alors que penses- tu de la nouvelle ?
- Amélie, je ne la connais pas bien mais elle apprend bien les règles et semble faire de son mieux pour satisfaire le Maître. Je pense que s’Il la veut ce soir, c’est qu’Il en est satisfait.
- Bien, aurais tu remarqué un changement concernant Clémence et Kate ?
- Non, elles passent beaucoup de temps ensemble Antonin manque à Kate et elle se fait du souci pour lui de même que Clémence pour Alix et Louis-Etienne.
- A part ça, rien dans leur comportement ?
- Je ne vois pas Messire, mais pourquoi?
- Je ne peux pas te le dire, pas maintenant plus tard, peut-être, mais ouvre l’œil.
- Je ferai attention Messire et vous préviendrai si je remarque quelque chose.
- Très bien en attendant viens me sucer ma belle chienne …

Lucie s’exécuta, elle était une habile suceuse presque ce qu’elle faisait de mieux.
La belle prit le membre encore mou et le masturba doucement pour le faire gonflé de désir jusqu’à qu’il soit tendu. Puis, elle le lécha longuement de bas en haut et le prit totalement en bouche, suça, pompa avec ardeur et savoir-faire dans un rythme de plus en plus cadencé, rapide. Messire Léon lui attrapa sa queue de cheval et lui imposa son rythme à lui afin de contrôler les ardeurs buccales de la soumise motivée à le faire éjaculer le plus vite possible dans sa bouche tellement elle était gourmande, avide de sperme à avaler... Messire Léon lui tirait ses cheveux à lui, pour mieux s’enfoncer en cette bouche. Elle sentit ce sexe gonfler encore plus fortement dans sa bouche et devenir de plus en plus gros. Il lui tenait désormais fortement la tête pour accen les va-et-vient et pour la rentrer de plus en plus dans sa gorge.

- Humm!! Tu suces bien ma salope, lâcha-t-il.

Messire Léon lui baisait la bouche comme un simple trou et Lucie avait l’air d’apprécier ce genre de traitement. Quand, au bout de longues minutes de ce rythme digne d’un métronome, et avant de jouir, il la lâcha. Et avec une technique dont elle avait le secret, Lucie le fit éjaculer en puissant jets de sperme chaud. Lucie avala le tout avec bonheur et reconnaissance.

- Bonne chienne nettoie-moi après je te ramènerai et prendrai la chienne pour le Seigneur.

Avec tout autant de savoir-faire, Lucie nettoya de sa langue la verge de Messire Léon impeccablement…

(A suivre …)

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