Collection Histoire Courte. Une Cuite Mémorable (1/1)
Alors bel étalon, on émerge !
Pardon, qui êtes-vous, je crois vaguement que je vous ai déjà vu, mais mon crâne me fait mal à exploser et jignore ou et quand.
Si tu ne te souviens pas que tu mas baisée toute la nuit, cest que tu en tenais une bonne, il est vrai que tu as eu du mal à monter jusquà ta chambre, mais je dois reconnaître que tu mas fait énormément jouir.
Ne me dites pas que je vous ai baisé, vous pourriez être ma mère.
Pourquoi pas ta grand-mère, pourquoi ce vouvoiement, cette nuit quand tu me sodomisais, tu me disais tu !
Sodomiser, cest sûr que cest quelquun dautre que moi, jai toujours refusé ces pratiques écoeurantes, tu nas pas de laspirine !
Ninverse pas les rôles, cest ta chambre, ta valise pas la mienne, j'habite dans un autre quartier de la ville, il va falloir que je rentre, javais du vague à lâme hier en fin daprès-midi et cest pour cela que je suis sortie dans le but daller au restaurant.
La mémoire me revient, je me vois dans un bar et non pas un restaurant, je memmerde et je bois deux, voire trois whiskys.
Ça, cétaient les premiers, jétais assise à côté de toi et tu as voulu me payer un verre, tu étais insatiable, je narrivais pas à te repousser, tu mettais tes mains partout sur moi.
Tu me disais que jétais la dernière merveille du monde, tu ne te souvenais pas combien il y en avait, je crois quun moment, jétais devenue la centième de ces merveilles.
Ne me dis pas que cétait du flan, jy ai cru surtout quand ta main est venue sous ma jupe et que tu mas caressé la fente, cest à ce moment que le patron du bar nous a foutu dehors.
Je me souviens de ça, je voulais lui casser la gueule.
Jai réussi à vous séparer, cest à ce moment que tu as voulu à toute force membrasser.
Jai résisté au début, tu dois avoir lâge de ma fille, dailleurs, cest un peu à cause delle que je suis sortie hier au soir.
Tu permets que je te caresse, jai tellement aimé quand tu mas baisée que jaimerais recommencer, comme je te lai dit, tu es un bon étalon et ma chatte quelque peu délaissée cette dernière année, cest réveillé sous tes assauts.
Suce-moi, tu es vieille, mais si je tai déjà sauté, pourquoi ne pas recommencer.
Oui, comme ça, je crois que jai dû beaucoup aimer te sauter, tu sembles être une belle salope.
Cest dur de faire deux choses à la fois, te sucer et te parler, je te masturbe, je peux te parler, que veux-tu savoir.
Tu parlais de ta fille à cause de qui tu es sortie pour te retrouver au bout de ma bite.
Ma fille, source de mes ennuis dans ma jeunesse.
Qua-t-elle fait ?
Venir au monde alors que jignorais qui était son père, un soir comme toi hier, jai pris la première cuite de ma vie, comme toi, lorsque je me suis réveillée, jétais couverte de sperme.
Comme toi, les choses me sont revenu par petits morceaux, javais mal au vagin, une copine mavait parlé de la perte de son pucelage et le mal que cela lui avait fait.
Javais donc été pénétré, le plus grave, cest que jignorais combien mavait pris quand je regardais le nombre de mecs qui nous entouraient, quinze jours plus tard, mes règles toujours à lheure sont devenues lettres mortes.
Tu aurais pu le faire passer.
Dans nos familles, très cul béni, certaines personnes vous aident à trouver un mal de substitution, ça été le cas pour moi, quelques jours plus tard, jépousais mon mari qui pensait mavoir engrossé.
Cétait un fils de bonne famille et notre mariage à permis à nos deux familles de multiplier les terres que nous possédions.
Ma fille est née et à ce jour, elle est persuadée quil est son père.
Tu me masturbes bien, regardes, je suis très tendu, si jai baisé ta vieille chatte, on peut recommencer, viens sur moi.
Merci, jai tellement joui pendant cette nuit, que ce nest pas de refus, tu seras mon souvenir pour mes vieux jours.
Cest bon, tu me remplis comme aucun homme ne la fait.
En as-tu eu beaucoup aux cours de ta longue vie ?
Attends, jai du mal à parler en montant et en descendant sur ta pine, cest partiii.
Dis, quand tu jouis, tu jouis, heureusement que jai une main de libre pour te bâillonner.
Je comprends, tu nes plus en état de répondre, tu digères lorgasme qui vient de te traverser, tu mas dit que je tavais sodomisé, veux-tu recommencer, je voudrais sentir comment ça fait davoir mon nud resserré dans ta rosette.
Attends, je reviens sur terre, jai saisi ce que tu souhaites, je me mets en levrette, cest dans cette position que la pénétration est la plus totale, quand je parlais de ma fille, la semaine dernière, je lai surprise sur notre canapé la bite dun nègre placé dans le même trou.
Mais cest sa vie, je vais devoir rentrer, à midi elle nous présente son fiancé, sil savait la salope quil va épouser, car ils souhaitent se marier, il se sauverait en courant.
Cest drôle, jai moi aussi rendez-vous avec ma fiancée, elle doit me présenter à ses parents.
Ce serait drôle que par un fait du hasard, ce soit mon amant qui soit son fiancé, mais aucune chance, il arrive aujourdhui à Paris.
Tu es sacrément serrée du trou de cul, je naurais jamais pensé que ce soit si bon, j'ai mal entendu, jétais concentré pour éviter de te faire mal, si jai bien compris ta fille, cest presque une pute.
Pas tout à fait, mais tout comme, jétais chaude du cul, elle s'est pire, jignore comment elle a fait pour accepter son futur époux, depuis quelle sait ce que le mot sexe veut dire, seul lautobus ne lui ait pas passé dessus.
Ça aurait pu être ma fiancée, mais la mienne est vierge, elle souhaite se présenter dans sa robe immaculée le jour de notre mariage, cest certainement pour ça que je nai pas été très regardant dans ma cuite à te sauter.
Naie pas peur, ma queue dans ton cul compense bien tes rides et vergetures.
Comment je dois le prendre, mais je vais jouir aussi, mon Dieu que tu es gros ?
Ah,je vais éclater et te remplir les intestins, jai rarement joui aussi fort, heureusement que tu mas fait connaître ce plaisir, je men souviendrais toute ma vie.
Sors de moi, il faut que jaille me préparer, mon mari ne serait pas satisfait que je sois en retard, sil savait les turpitudes que sa fille chérie fait, il tomberait de haut, il croit toujours quelle est adolescente.
Ma vieille maîtresse se lève, va dans la salle de bain, quelques minutes après un signe de main et elle me quitte, je la remplace dans la salle de bain, à cause des grèves de deux jours, je suis venue une journée plus tôt et jai couché à lhôtel.
Ce qui mest arrivé cette nuit, cest comme si javais enterré ma vie de garçon avec cette vieille cette nuit et ce matin.
À lheure ou mon train était prévu, je retrouve Clotilde dans la salle des pas perdus de la gare de Lyon, nous prenons le métro, ma petite chérie se colle à moi, je la conduis vers mon hôtel pour y poser ma valise.
Javais réservé une chambre pour aujourdhui et par chance la chambre hier était libre.
Deuxième coup de chance, le réceptionniste qui me donne ma clef nest plus le même, cela mévite des questions embarrassantes sil mavait dit comment vous allez depuis hier.
Nous montons dans la chambre qui a été faite et où le parfum de la veille salope que jai baisé cette nuit flotte encore.
Embrasse-moi mon amour, mais tu bandes, je te fais si envie que cela.
Nous sommes bêtes, je suis bête, on a un peu de temps pour rejoindre mes parents, faisons lamour.
Jen ai tellement envie, tu le vois, non, tu le sens, laisse-moi te déshabiller.
Tu es belle, au oui, je rentre en toi, je vais jouir depuis le temps que jattends.
Merci, mon cur, levons-nous, regarde tes draps, le sang de mon hymen.
Dépêchons, maintenant nous risquons dêtre en retard.
Jai joui dans la chatte de ma future, le sang de lhymen de Clotilde me fait plaisir, ce nest pas lautre salope, la fille de ma vieille qui aurait pu me montrer la même tache après ce que sa mère men a dit.
Tu es prêt, on entre, tu vas connaître mes parents, je te rappelle que cest des culs fermés, ne leur faisons pas voir que nous lavons fait, cest notre secret.
Bonjour maman, je te présente mon fiancé.
Cest ainsi que je rencontre un couple, lhomme, je ne le connais pas, mais la mère, cest ma vieille de ma nuit, plein de choses montent à mon cerveau, la fille qui se pend à mon bras est la salope que sa mère ma décrite.
Cette salope ma fait le coup de la poche de sang quelle avait dans sa main et a dû faire éclater sous elle pour me faire croire quelle était vierge.
Nul doute que dans trois semaines, japprendrais que je lai mise enceinte et quil faut nous marier en urgence.
La peur mhabite dun coup, la mère dans ses débauches à bien dit quelle lavait vu se faire baiser par un noir dans le salon où nous sommes et si mon naissait métisse, inventeraient-ils une ancêtre noire du temps des colonies ?
La mère ma bien sûr reconnu, je devrais me sauver en courant, je me baisse vers la main de ma belle-mère et maîtresse et je lui fais un baisemain comme jai appris à les faire dans le milieu où jai été élevé.
Je vais épouser la fille et ainsi, je pourrais continuer à baiser la mère malgré ses seins tombants et son ventre ridé, deux salopes à ma disposition pour le prix dune, jai du bol dans notre malheur.
Mon père avant que je monte dans le train ma dit de bien réussir à me faire épouser car il a fait de mauvaises affaires et nous sommes ruinés, grâce à cette union arrangée par des personnes compréhensives dans notre milieu, la toiture de notre manoir pourra être réparée.
La mère a blousé mon beau-père pour réunir leurs domaines et lui faire avaler Clotilde, je vais les blouser pour sauver le mien, quelle chance davoir pris cette cuite mémorable hier me faisant rencontrer par hasard une vieille salope et aujourdhui men faisant découvrir une deuxième.
Je vous quitte, nous allons passer à table, sous la table, ma belle-mère, ayant enlevé son escarpin me caresse le mollet, jai eu raison de ne rien dire, papa va être content de moi.
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