Vive Le Stock Car De Paris Bercy

Encore …

J’ai bientôt fini la boîte à souvenir. Mais celui-ci est très fort, car la situation l’a été. Ma passion pour les femmes mûres était toujours très forte. Cette histoire m’est arrivée un an et demi avant de rencontrer ma future femme. Alors fixons le contexte. Nous sommes en 1985. J’ai un copain dont j’ai déjà parlé d’ailleurs, celui qui avait une chambre de bonne avenue d’Iéna et qui était dans une école d’attaché de presse près des Champs Elyséees. Dans le cadre de ses études, il faisait un stage dans le service communication d’une célèbre marque de champagne, M.. et C…. Or, un jour, il m’explique que dans ce cadre, il a été chargé d’organiser une opération de communication avec des clients de cette entreprise et que celle-ci aurait pour lieu la loge que l’entreprise possédait dans le tout nouveau à l’époque Paris Bercy. Et il me propose de venir. C’était un dimanche à l’occasion du stock car de Bercy, l’écologie n’était pas encore à la mode ! Il y avait surtout le fameux Coluche qui y participait. Personnellement, je n’ai jamais vraiment adhéré à son humour, je trouvais qu’il y avait trop de vulgarité gratuite dans ses sketchs, même si depuis Bigard l’a largement écrasé dans le genre ! J’avais accepté sans enthousiasme, et j’ai eu bien raison de dire oui ! Nous étions obligés d’arriver avant tout le monde puisque mon pote était le grand gourou de cet après-midi. Bien sûr, il y avait champagne à volonté, grands traiteurs etc. Pour décrire l’endroit, c’était comme un salon assez vaste, avec un bar et un coin on va dire cosy avec des canapés. Il y avait bien sûr des toilettes attenantes au salon et on accédait directement à la salle de spectacle par une porte en haut d’un escalier et nous étions tout en haut des tribunes, mais séparés de la plèbe !
Les gens arrivent, nous étions les seuls jeunes ! Les dames sont très habillées, les messieurs aussi, en fait je m’emmerde car je n’ai rien à dire à ces gens là, et après 10 minutes de stock car, ça me gonfle vraiment.

Les invités ont tous déserté la loge et lorsque j’y retourne, je suis seul avec le barman. Heureusement, je devais dormir chez mon pote, donc champagne à gogo !
Je m’installe tranquillement sur un canapé et je sirote mon champ en lisant une revue. J’entends du bruit et je vois une femme d’une quarantaine d’années redescendre elle aussi des tribunes et se diriger vers le bar. Je ne l’avais pas remarqué jusque là. Elle prend sa flûte de liquide doré, regarde autour d’elle, me voit et s’approche. Mais au lieu de s’installer sur un canapé, elle s’assoit sur un tabouret de bar et me surplombe largement. Je saurai plus tard que ce n’était pas innocent. Je me retrouve plus ou moins avec ses chaussures devant moi et ses mollets. Elle s’adresse à moi, elle est très directe avec un ton assez sec :
- Bonjour, quelle est la raison de votre présence ici ?
- A dire vrai, je suis invité à titre amical par mon copain qui a organisé la chose.
- Le petit brun ?
- Oui. Je suis étudiant en Histoire, donc je n’ai rien à faire ici.
- Un intellectuel !
- Heu je n’en sais rien, mais si vous le dîtes ! Et vous ?
- Et bien je représente l’entreprise de mon mari, nous sommes grossistes en fruits et légumes. Visiblement, vous n’êtes pas passionné par le stock car.
- Pas vraiment ! Et vous ?
- Non plus, je suis en représentation, dit-elle.
Elle avait défait sa chaussure et balançait son escarpin noir devant moi. Cette vision me plaisait beaucoup. Ses jambes étaient plutôt pas mal, et dans cette position, sur son tabouret de bar, j’avais une vue directe sur ses cuisses, je ne pouvais m’empêcher d’essayer de voir le plus loin possible sous sa jupe, tout en essayant d’être discret. Elle croise ses jambes et j’ai une double révélation, elle porte des bas et une culotte noire en dentelle ! Ouf, j’ai chaud d’un coup. C’est une jolie femme en fait, je ne l’avais pas spécialement regardé avant, très brune, mais avec une mèche grise qui lui donnait un ait très sexy, je ne saurai dire pourquoi.
Petite cinquantaine ou fin de quarantaine à vue de nez. Elle finit son verre et me le tend, je comprends le message, je vais au ravitaillement. Nous discutons de choses et d’autres, je commence sérieusement à avoir envie d’elle. Mais un brouhaha et les autres invités arrivent, fin de la première manche. D’autres hommes viennent vers elle, mon pote aussi, bon ben fini la drague.

La seconde manche débute, les joyeux invités repartent, elle se tourne vers moi et me propose de l’accompagner. Oh oui ! Elle est juste devant moi et j’ai ses mollets à quelques centimètres de mon visage, quelle tentation ! Elle s’installe juste au bord de la tribune et comme il n’y a plus vraiment de places, je reste debout à côté d’elle. Et là s’est passé un des moments érotiques les plus excitant de ma vie ! Elle était au dessus et j’avais ses pieds et des mollets au niveau de mon visage. Elle a recommencé avec son escarpin qui se balançait juste devant moi, j’avais ses jambes à quelques centimètres de moi, je bandais comme un dingue. Il y avait une tension érotique terrible, je le sentais. Son pied se balançait de plus en près, l’air de rien, il faut rajouter que la luminosité était assez faible pour personne ne voit rien, à part moi. J’avais une boule au ventre, j’étais tendu, allez tant pis j’ose. J’effleure son mollet avec le dos de ma main, aucune réaction, il me semble même qu’elle le frotte sur ma main. Je recommence de façon beaucoup plus appuyée, là, c’est clair, elle me sent et elle ne dérobe pas sa jambe. Je lui caresse franchement le mollet, non seulement elle ne dit rien, mais elle rapproche sa jambe. Soudain, elle se penche vers moi ;
- Caresse mon pied !
Et elle enlève sa chaussure tout en me le mettant littéralement sous le nez. Je saisis son pied et le caresse du mieux que je peux. Ça dure quelques minutes, puis elle le pose sur mon sexe et appuie fortement dessus et commence à me masturber. Je suis tellement excité que j’éjacule immédiatement dans mon caleçon.
Elle l’a senti, se penche et me dit :
- Petit cochon ! Viens !
Elle se lève, remet sa chaussure, passe devant moi ; descend l’escalier et entre directement aux toilettes. Elle laisse la porte ouverte. Le barman me fait un petit signe ! J’entre, elle est debout au dessus des toilettes.
- Ferme la porte !
Puis elle soulève sa jupe, baisse sa culotte et urine devant moi !
- Ça t’excite petit vicieux !
C’est vrai que c’est le cas ! Puis dès qu’elle a fini, elle avance son pubis bien fourni d’ailleurs et me dit :
- Lèche-moi.
Je ne saurai dire pourquoi, mais sa façon de parler, son attitude me subjugue et me voilà accroupi devant elle à lui lécher le sexe. Elle se caresse en même temps et jouit assez vite en me collant la tête sur sa chatte.
- Bois ma chatte !
Puis elle me repousse et me demande de sortir mon sexe.
- Sors ta bite !
Elle me domine clairement, je le fais !
- Elle n’est pas longue, mais j’aime bien ton gland ! Masturbe-toi dans ma culotte !
Et me voilà à genoux devant elle, elle me touche les testicules avec sa chaussure, elle a sa culotte au milieu des mollets, je me branle comme un fou, elle remonte son pied et écrase à moitié mes couilles et j’arrose sa culotte de longs jets visqueux.
- Oui ! J’aime
Et elle remonte sa culotte et la remet, elle rabaisse sa jupe.
- Les autres vont bientôt revenir, tu sors !
Me voilà dehors, effectivement il y en a qui en ont eu assez des pitreries de Coluche et du coup personne ne remarque que nous étions deux aux toilettes. Le reste de l’après-midi se déroule comme si de rien n’était, à part le fait que sur la 3ème manche, elle recommença à me mettre son pied dans ma main en exigeant des caresses. Je pensais que cela allait s’arrêter là, mais juste avant qu’elle ne parte, elle me demande mon numéro de téléphone en me promettant de m’appeler.
J’étais encore sous le coup de cette violente émotion érotique lorsque je racontai ça à mon pote qui n’en revenait pas, il n’avait rien vu, même si la brune lui plaisait bien aussi.
Bien sûr, il souhaitait que je l’intègre à cette histoire, mais encore fallait-il qu’elle m’appelle ! Ce fut le cas plusieurs semaines plus tard, alors que j’avais perdu tout espoir de la revoir…


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