Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (30)

Un plaisir partagé est un plaisir double (30)

J’avais envie d’aller marcher le long de l’eau, j’ai passé un petit caraco court sur mes épaules, n’ayant pas très chaud ce matin, laissant ma choupinette et mes fesses à l’air, il ne faut pas oublier que nous sommes dans un village naturiste et que la nudité est de mise. J’ai demandé à André mon mari et amant pour la journée s’il voulait bien m’accompagner.

Aujourd’hui le temps n’est pas très beau, il ne fait pas froid mais le soleil est absent. Nous décidons de consacrer cette journée pour nous quatre. Avec toutes ces aventures qui nous ont occupées depuis notre arrivée nous avons un peu laissé de côté notre complicité de couples échangistes entre nous. Aussi nous allons passer cette journée pour nous retrouver tous ensemble. Pour mettre un peu de piment dans cette relation fusionnelle, nous allons échanger nos maris pour la journée.

« - Bien sur ma chérie, je ne vais pas te laisser toute seule le premier jour de notre union. »

Les deux autres tourtereaux n’ont pas voulu nous accompagner, préférant rester au lit ensemble pour se cajoler et se faire des câlins et certainement plus mais nous ne serons pas là pour les voir.

Je suis partie main dans la main avec André et cela nous à permis de discuter.

« - Comment trouves-tu cette ambiance chez les culs nus, est-ce que cela te plaît ? »

« - Ici tout le monde est pareil, vieux, jeunes, minces ou plus ronds, on ne fait aucune distinction. Personne ne se regarde de travers, une caissière, une directrice, un ingénieur ou un éboueur, nous sommes tous logés à la même enseigne sans distinction de supériorité et je pense que si nous étions tous nus dans la vie il y aurait plus d’égalité. Respecter la nature, les autres et soi-même, c’est une philosophie. Une fois qu’on commence à se mettre nus, on se demande pourquoi on ne l’a jamais fait auparavant. »

« - Cela me fait plaisir, de voir que tu aimes ce contexte et je suis épatée de voir les progrès que tu as fait en si peu de temps.

Laissez sa femme se faire tripatouiller par des inconnus et même par ton meilleur copain devant toi, ce n’est pas évidant au début. »

« - Cela a été très difficile pour moi à accepter, j’avais une petite pointe de jalousie lorsque je la voyais prendre du plaisir avec d’autres hommes que moi et puis je me suis fait une raison, ce doit être pareil pour Bob qui me laisse sa femme pour que je te baise. J’ai beaucoup appris en me disant que ma femme avait le droit d’utiliser son corps comme elle le voulait et de jouir dans les bras d’un autre. Elle n’est pas ma propriété et ne m’appartient pas. »

« - J’ai eu le même sentiment de jalousie que toi au début, lorsque nous avons décidé d’être libertins et j’ai mis beaucoup plus de temps que toi à l’accepter. Maintenant je suis heureuse d’être épicurienne et de profiter pleinement des plaisirs de la vie. Je trouve également que notre couple est plus fusionnel. »

Le soleil commençait à pointer et je commençais à avoir chaud, j’ai retiré mon caraco, et je me suis mise à me trémousser toute nue sur la plage, en ballottant mes seins dans tous les sens. Puis, j’ai pris André dans mes bras et nous nous sommes embrassés. Il m’a pris ma main et comme deux gamins nous avons couru le long de l’eau en s’éclaboussant et en rigolant. Nous avons eu une bonne idée d’échanger nos maris pour la journée, c’était la première fois que je me trouvais seule avec André marchant nus au bord de l’eau, main dans la main comme de jeunes tourtereaux. C’était excitant érotique et romantique à la fois. Nous n’arrêtons pas de nous caresser et de nous embrasser. “L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps.”

Lorsque nous sommes arrivés à la plage de La Roquille qui est la limite de la plage naturiste nous avons fait demi-tour. André me proposa de rejoindre le village naturiste en passant par les dunes. Bien qu’il ne soit que dix heures, nous croisons de petits groupes de mecs nus. A chaque fois, ils me reluquent, je commence sérieusement à mouiller, je ne dirais pas ma culotte puisque j’en ai pas.
Ils poursuivent leur chemin pour mieux faire demi-tour au bout de quelques pas pour nous suivre de loin.

Nous voilà dans un petit coin de sable que nous croyons tranquille, charmant, à l’abri des regards indiscrets ou innocents. Nous nous embrassons chaudement, collés l’un à l’autre, je serrais la bite d’André dans ma main qui grandissait à vue d’œil. Et là, les hommes se sont rapprochés de nous en voyant bien qu’il se passait des choses entre nous. Il va falloir assurer le show seuls. André m’embrasse, commence à me peloter, je le masturbe. Il passe derrière moi, montre mes seins en me les soupesant bien que plus petit que ceux de sa femme il me prends les tétons entre ses pouces et ses index, il me les pétrit en tirant dessus. Ceux-ci ne tardent pas à enfler pour devenir entre ses doigts de la grosseur d’une noisette. ( Comme vous pouvez les voir sur mon avatar.) André s’est mis à me les téter.

Puis il me serra de ses bras musclés de nouveau contre lui, Il exposa mon cul aux regards des hommes qui s’étaient rapproché de nous en m’écartant les fesses . Je suis excitée d’être ainsi exhibée devant un public d’hommes qui se branlaient en nous regardant. Je me suis mise à genoux dans le sable devant le sexe bien raide d’André que j’engouffre dans ma bouche pour commencer à le pomper. Je prends en main ses testicules que je malaxe. Je le branle tellement bien avec mes lèvres qu’il ne tarda pas à faire gicler son sperme dans ma bouche en plusieurs salves. J’en ai avalé un peu en crachant le reste sur le sable. André me releva et m’embrassa une nouvelle fois pour me remercier. Certains hommes se sont encore rapproché de nous la bite à la main dans l’espoir que je leur fasse également une fellation. Quelques mains touchent mon corps. D’abord timides, puis ne voyant pas de réaction de la part de mon mari d’un jour. Ils comprirent qu’il était d’accord de me prêter. Ils ont commencé à me peloter les seins, les fesses et s’aventurent même entre mes cuisses pour me toucher la chatte.


André guide ma tête vers une énorme queue très dure et très raide que j’engloutis à son tour. J’adore me sentir salope comme ça, épiée et désirée par tous ces hommes. Mon mari mène la danse et décide en me faisant sucer plusieurs bites. Je me met de nouveau à genoux devant tout ces sexes en érections que je suce l’un après l’autre. Je me maintien aux queues d’à côté. Je n’ai aucune idée du nombre d’hommes qu’il y a autour de moi, on me tripote les seins, des mains se glissent le long de ma raie essayant de me doigter en passant par derrière. Mes jambes sont écartées pour qu’on me caresse ma fleur de nénuphar. Mon homme m’impressionne en remettant en place par son autorité certains hommes de cette meute déchaînée.

Des mecs commencent à jouir, d’abord dans leur coin, sur le sable, mais André fait vite comprendre aux suivants qu’il s’agit de m’honorer de leurs giclées de foutre. Plus je suce de queues, plus je sens d’autres hommes se répandre sur moi. André contrôle tout, maîtrise tout, je me sens en sécurité, j’ai envie de jouir, le foutre dégouline sur mon corps nu. Mon chéri a bien compris que j’aurais bientôt «fini ». Il écarta le mec que j’avais en bouche et me fiche sa belle queue au fond de ma gorge et se laisse téter. Plus je suis proche de l’orgasme, mieux je le pompe. Dans l’intervalle, plusieurs hommes en ont profité pour m’honorer de leur semence.

Tant pis pour les autres. Nous repartons vers le centre naturiste. Mon corps transpire le sperme. J’ai joui, mon homme aussi, je me sens la pire traînée que ce banc de sable à connu. Nous croisons d’autres groupes d’hommes qui vont vers ce coin de sable. Ils me regardent dégoulinante de sperme, comprenant qu’ils arrivent après la bataille. André m’a nettoyé comme il a pu avec mon caraco avant de rentrer à l’appartement pour prendre ma douche. Après ma douche j’avais l’impression que je sentais encore le sperme.

Annie et mon homme nous avaient préparé le déjeuner, elle était assise sur ses genoux sur la terrasse et ils nous attendaient.


« - Vous avez bien été longtemps ? Vous vous souvenez que ce soir nous avons rendez-vous pour sortir en boite. Nous attendons dix heures que les magasins ouvrent pour aller acheter la tenue de sortie qu’Annie a gagnée avec ses photos de dogging. Vous venez avec nous ? »

« - Oui cela nous fera une petite sortie, en même temps nous ferons quelques courses pour midi. »

Dans ce magasin de vêtements, c’est un peu comme chez Ahmed les essayages se font dans la boutique, il n’y a pas de cabines. Annie passa plusieurs toilettes toutes plus érotiques les unes que les autres. Il y avait une petite robe blanche qui lui plaisait bien, elle la passa plusieurs fois en nous demandant notre avis. Elle était très courte, peut-être même un peu trop, on lui voyait une partie de ses fesses. Sa robe était maintenue sur ses épaules par un lacet. Un décolleté géant dans le dos descendait jusqu’à sa raie. Sur le devant deux bandes de tissu cachaient une partie de ses seins mais cela est normal chez elle. Même ses soutiens gorge sont toujours trop petits pour sa généreuse poitrine. Elle s’est décidée pour cette robe ne prenant en compte que l’avis de mon chéri qui était le sien aujourd’hui pour la journée. André et moi nous la trouvons vraiment trop courte, d’ailleurs en se pendant au cou de mon chéri pour l’embrasser et le remercier sa robe légère était remontée, montrant son petit cul adorable et bronzé. Pour ici elle était très bien mais elle n’était pas portable chez nous même pour aller en club échangiste. Un petit courant d’air découvrirait son postérieur.

Nous avons passé la journée en compagnie de nos nouveaux maris chacune de nous recréant notre nuit de noces en passant pratiquement notre après-midi au lit.

Le soir était arrivé et nous nous sommes habillés pour sortir au restaurant et pour nous rendre en boite. Nous avons retrouvé Nathalie, Jasmine, Marc et Patrick sur le port. Les filles étaient dans des tenues aguichantes, provocantes tout en étant ravissantes. Moi je portais un ensemble, une jupe et un bandeau de poitrine moulant argenté qui montrait mes tétons dressés. Au moment de l’addition j’ai montré la preuve que j’étais bien sur la plage avec mon rosebud dans le cul pour me faire payer le restaurant.

Nous décidons de rentrer au Glamour que personne ne connaissait. Un club à l’image branchée, interdit aux hommes seuls ou, selon sa réputation, on partouze joyeusement entre couples. C’est à l’intérieur que tout se corse, rien ne se passe. A part quelques midinettes qui montrent leurs seins (la belle affaire, dans le quartier naturiste !) Le club ressemble étrangement à n’importe quelle discothèque. Il nous aura fallu un long moment, un très long moment, pour comprendre que les couples qui descendent les escaliers discrets en fond de salle ne vont pas ment aux toilette. Finalement, nous emboîtons le pas à l’un d’eux. Nous arrivons alors dans un petit vestibule éclairé par une vague lumière rouge. S’y amasse une foule indécise. On peut aller à droite ou à gauche. Nous optons pour la droite, où un vigile semble s’assurer discrètement que tous ces messieurs sont bel et bien accompagnés de leur moitié.

Là, c’est le choc. Même pour nous qui sommes habitués au milieu libertin, la partouze entre couples qui se joue là a de quoi frapper l’imagination. Des canapés et autres banquettes sont disposés autour d’un axe central. Ainsi, les nouveaux arrivants tournent, dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, à l’affût d’une scène d’orgie à laquelle ils pourraient s’ajouter. Nous sacrifions-nous aussi au rituel. Enfin, nous trouvons une petite place entre deux couples qui s’amusent ensemble. A peine suis-je assise que l’une des nanas me caresse doucement l’épaule.

Il n’y a pas de place pour André, qui n’en a cure. Il soulève ma jupe jusqu’à la taille, écarte mes cuisses et s’agenouille au sol devant moi. Alors que je suis déjà occupée à embrasser les tétons de ma voisine de banquette, mon homme se met à me lécher, avec toute la vivacité et le talent que je lui connais maintenant. Nouveau mouvement de foule sur la banquette, une nouvelle place se libère, où se place un couple qui prend exactement la même position que nous, la tête du gars plantée entre les cuisses de sa femme.

Autour de nous, la partouze entre couples bat son plein, et je suis un peu jalouse du fait que personne ne nous y convie franchement, quand la tête du mari surgit du minou de sa femme. Il tape sur l’épaule d’André et souriant, lui demandes :

« - On échange nos places ? »

En désignant les cuisses grandes ouvertes de sa moitié. André m’a alors échangé avec le type d’une quarantaine d’année pour butiner une petite rousse plus jeune que moi. Ah ! ces hommes qui ne savent pas résister au plaisir de chair d’une jeunette. Mais après tout, nous sommes là pour profiter de la vie et nous savons ce qui nous attendait en venant dans ce club.

Les lieux ont beau être vastes, il semble impossible de se faire une place sur les lits. Il y a des couples nus partout. La moyenne d’âge ne doit même pas monter à trente ans. Ici, deux petites nanas sucent deux jeunes mecs, vraisemblablement leurs petits amis. On regarde leurs culs nus se dandiner au rythme de la fellation. Les couples qui tournent autour des lits semblent de plus en plus nombreux. La petite rouquine n’est pas restée bien longtemps dans les bras d’André qui est venu me retrouver.

Nous finissons devant un lit où deux couples ont déjà entamé les préliminaires. D’un sourire, l’une des libertines nous invite à les rejoindre. Un regard entre nous, et nous nous faisons une place sur un lit bien trop petit pour six. Mon bandeau qui cachait encore mes seins fut vite relevé, libérant ma poitrine de ce morceau de tissu. La partouze va commencer. Apparemment, l’ambiance est au mélangisme. Je me retrouve avec la blonde qui nous a invités, ainsi qu’un homme, qui ne doit pas être le sien. De son côté, André caresse les seins d’une brune à lunettes, étendue, qui se fait lécher par le troisième gars. Il était tellement occupé à lui téter les seins de sa brune qu’il ne s’est même pas aperçu que s’était un homme qui était en train de lui sucer la bite.

C’est à ce moment que nous perdons totalement le sens du temps. André lui caresse les seins, redescend au clitoris. Elle semble en transe. Les partenaires changent constamment, au gré des remous de la partouze. Quand elle jouit finalement, la petite brune prend congé, en le remerciant d’un sourire. Nous avons perdu tout contact avec Annie et mon mari qui doivent profiter pleinement aussi de cette nuit de luxure.

En tout, durant cette nuit de débauche, nous aurons coquiné avec une demi-douzaine d’autres couples, allant et venant au gré de règles incompréhensibles. Le dernier d’entre eux se trouve être un couple d’une vingtaine d’années de plus que nous. Monsieur, très appliqué dans l’art du cunnilingus, aura raison de moi. Madame, quant à elle, après plusieurs orgasmes, s’acharnera, avec succès, à faire jouir André dans sa bouche.

Nous n’avons pas revu non plus Nathalie, Jasmine, Marc et Patrick qui ont du rencontrer d’autres couples de leur connaissance pour canailler ensemble.

Nous n’aurons pas le temps de visiter le reste des alcôves du Glamour. Car, une fois cette partouze terminée, nous nous apercevons que le club va bientôt fermer. Et que le jour n’est plus très loin de se lever. Nous retrouvons Annie et mon chéri sur une couchette entourés de deux autres couples. J’ai sucé aujourd’hui un nombre incalculable de queues de toutes sortes, entre le bukkaké de ce matin et cette nuit au Melrose, des grosses, des petites, des raides, des molles que je ne saurais plus dire à qui elles appartenaient. Annie était contente de me retrouver sur sa couche en fin de nuit elle m’a pris dans ses bras et nous nous sommes embrassés longuement. Nous avons réajusté nos fringues en remettant en place nos seins dans leur logement avant de rentrer chez nous pour prendre une douche.

Nous nous sommes mis au lit comme nous avons commencé en échangeant nos maris.




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