Collection Cocu. Ma Belle-Mère, Quelle Salope (2/4)
Julien, tu es prêt à emmener les s à la plage, je te dépose avant daller à Royan chercher Arlette à son train.
Arlette, cest ma belle-mère qui habite à Bordeaux, pensionné de la gendarmerie à la suite du décès de son mari motard, mort au service de la France en pourchassant un malfrat.
Nous avons racheté à part égale avec Julien son fils la maison de Saint-Palais sur mer ou nous passons les trois mois dété sans mon mari qui chef dentreprise reste à Paris pour faire tourner notre boîte.
Cest à un bal du 14 juillet quelle ma troublé lors dun slow ou elle a caressé mon bas-ventre avec le sien et que nous sommes devenues des amantes.
Nous nous voyons à Noël surtout depuis deux ans que jai mis au monde Adrien et Adrienne nos faux jumeaux mévitant une nouvelle maternité mon homme ayant le choix du roi dun seul coup.
Il y a huit jours que je suis allée la chercher à Royan à son train, passant par la forêt dans larrière des terres, nous nous sommes donnés du plaisir.
Cest sans aucune forme de scrupule que dès que nous lavons remis au train, que nous nous retrouvons pour une nuit ou nos corps se sont retrouvés avec envie.
Le lendemain, nous descendons à la plage dès que mes s sont réveillés, je joue avec eux sur le sable, Adrien ne veut pas toucher le sable et hurle, sa sur semble sen foutre royalement.
Arlette est au bord de leau et joue dans les vagues assez grosses les coefficients de marée étant assez forts, dun coup, je la vois se rouler dans une vague sans ressortir, deux jeunes femmes se portent à son secours, je la vois recracher de leau.
Ce nest pas vrai, elle recommence, je la vois discuter assez longuement avec les jeunes femmes avant de leur serrer chaleureusement la main et de me rejoindre.
Arlette, tu recommences, je tai dit que cette année, je refuse de tromper Julien à la maison.
Je tiens parole, Véronique et Adeline sont en vacances pendant quinze jours non loin de chez nous et je les ai invités à prendre le café demain soir.
Cest ce que je disais, cest comme ça que chaque fois, tu as fini par moffrir à des hommes, certes avec beaucoup de plaisir pour moi, jai des s ce temps est révolu, tu avais promis.
Taratata, je tai promis de ne pas amener dhommes, là, ce sont des femmes, jaimerais te voir dans les bras dautres filles comme jai aimé te voir faire lamour avec dautres hommes.
Nest-ce pas avec eux que je tai fait découvrir les fellations et les parties carrées, demain, jai reconnu en elles des brouteuses de chattes, tu nous prépareras des encas pour lapéro, je moccupe de la sangria.
La sangria, cest comme ça quelle ma eu la première fois après avoir manqué de se noyer au bord de leau, aujourdhui elle a eu facile la première fois la mer était presque dhuile.
Elle a fait celle qui était prise de crampe pour finir le soir même, que ce soit ce beau gosse qui tire la sienne avec nous.
Elle me donne à dautres hommes, moi sa belle-fille, mais elle ne crache pas sur le morceau, je dois le reconnaître.
Nous passons une nuit comme nous savons en passer chaque fois que nous sommes seules toutes les deux, au matin alors quelle soccupe de ses petits-s, je descends par le petit chemin de terre au marché où jachète ce quil faut pour recevoir dignement nos invités.
Véronique, Adeline, Michelle ma belle-fille, nous lappelons Minouche, cest plus intime, vous savez déjà que je mappelle Arlette passons sur la terrasse à larrière de la maison, la terrasse est à labri de tous les regards.
Elle nen dit pas plus, mais le regard que ces deux femmes dans la quarantaine nous envoient est tout sauf anodin, tous puent en elle les salopes qui aiment baiser, dailleurs, elles se tiennent la main comme nous aimons à le faire avec Arlette chaque fois que nous le pouvons.
Amuse-gueules, sangria, détendre latmosphère, les deux belles garces sont assises sur des chaises voisines et dès quelles le peuvent, elles sembrassent.
Je pense que nous ne vous choquons pas, nous nous aimons, mais nous sommes très partageuses.
Comme moi avec Minouche, si lune dentre vous a envie de lembrasser, elle aime aussi ça, du moins avec moi, elle est vierge de tout autre rapport féminin.
Arlette, je te tutoie, javais tout de suite remarqué lamour que tu as pour les femmes, mais je naurais jamais pensé quand tu as rejoint Minouche près de ses s, que toutes les deux vous aimiez ça.
Ta belle-fille, cest surprenant !
Si tu savais la complicité que nous avons, nous sommes bisexuelles et dhabitude cest des mâles que je lui procure, mais cette année, elle a des remords à tromper mon fils qui est au travail à Paris dans lentreprise quil a créée.
Tu es extraordinaire Arlette, si javais eu une belle-mère comme toi, je crois que je serais toujours avec mon ex.
Non, Adeline, ne me regarde pas avec ce regard de chien battu, depuis je tai rencontrée, jadore notre vie, surtout comme ce soir ou nous sommes venues rencontrer des femmes ayant les mêmes envies que nous.
En disant ça, elle lembrasse goulûment sur la bouche, se retournant au bout dun moment pour me prendre la bouche.
Adeline, lève-toi et viens embrasser Minouche, Arlette la bien formé, elle embrasse divinement.
Cest ainsi quune fois de plus Arlette, fait de moi une salope, je me retrouve dans les bras de la jolie rousse, car elle est rousse à nous caresser pendant que ma belle-mère en fait de même avec Véronique qui semble apprécier son traitement.
Il faut dire quelle a déjà la main dans sa culotte, la nuit va être chaude et bien sûr elle lest.
Adeline menlève le peu de vêtements que jai sur moi, elle a juste à faire sauter un par un, les boutons de ma robe dété que jai passé sur mes épaules, car comme à notre habitude, nous sommes nues dessous quand Julien nest pas là.
Jen fais de même avec elle, je suis un peu inexperte, cest toujours Arlette qui le fait, elle me déshabille en enlevant ses vêtements, elle a un corps harmonieux, je dirais même de sportive.
Elle a des seins soutenus par un soutien-gorge à balconnet, la pointe de ses seins fortement développés reposant sur la demie corole, son sexe est protégé par un string rose avec petit ruban sur le devant.
Je me baisse, le prends dans ma bouche et tire vers le bas.
Dans le même temps, lodeur de rousse fortement poivrée monte jusquà mes narines, je finis de lemmener au sol avec ma main lautre entourant ses hanches et enserrant son fessier quelle doit entretenir tellement il est ferme.
Véronique, cest divin, tu avais raison de répondre à la sollicitation dArlette quand nous étions dans leau, regarde, une autre femme que toi va mettre sa langue dans mon intimité.
Ma belle-mère se joue de moi pour mon plus grand plaisir, Véronique se joue dAdeline, il est drôle que ce soit les deux femmes les plus dociles qui commencent à se donner du plaisir.
Elle a sa toison, je passe les joues dessus, elle crisse, mais je veux plus, je la pousse jusquà un transat où nous nous reposons pendant que les jumeaux font leur sieste et je laide à lallonger.
Ma bouche aidée de mes mains, écartent sa fente qui souvre sans aucune résistance, jy rentre ma langue, lodeur est une chose, le goût en est un autre, elle aime se tortiller sous mon attaque et en retire une jouissance à la limite de lorgasme.
Dans laxe de mon regard, je vois Arlette caresser lautre gouine et sasseoir sur une chaise, je connais bien la position quelle prend en écartant ses cuisses à 180°, nous le faisons souvent sur cette terrasse pendant nos siestes crapuleuses.
Je broute Adeline, elle se fait brouter par Véronique, nous sommes de fieffer salopes et dire que mon homme doit encore trimer à son travail pour que sa mère et moi, nous nous éclations avec ces femmes dans la moiteur de ce début de nuit.
À la nôtre, à nos débordements, que cest bon de nous retrouver entre femmes, Minouche, je vais voir les s, je reviens.
Ce nest pas nécessaire, jai mis lappareil sur le rebord de la fenêtre qui nous dira sils se mettent à pleurer.
Disons que je dois misoler quelques minutes, je voulais éviter de vous dire que je vais pisser un coup.
Arlette.
Tu vois, javais raison de vous dire que jallais voir les s.
Nous sommes assises à la table toute plus nue lune que lautre, quelques minutes et un morceau de musique endiablé sélèvent des enceintes que Julien a placées sous le rebord de toit de la terrasse.
Mesdames, nous avons déjà bien baisé quand ces jolies gonzesses sont venues, dansons maintenant.
Cest la première fois que je danse nue derrière la maison, chaque fois que la sono placée dans la salle joue, Julien est là et il va de soi que nous somme habillés sa mère et moi, la dernière fois, nous avons pu nous exister en nous frottant les pubis sans quil ne saperçoive de quoi que ce soit.
Véronique me prend dans ses bras se frottant lascivement, menflammant le bas-ventre, nos bouches se retrouvent, elle me couche à mon tour sur le transat, ses doigts agacent ma chatte qui est ruisselante sans pour autant être fontaine.
Arlette à Aline dans ses bras et nous regarde.
Véronique fiste là, elle adore ça, depuis sa grossesse.
Cest vrai, après la naissance de mes s, elle était là pour Noël comme tous les ans et elle a profité de louverture de mon corps après laccouchement pour menfoncer sa main, jai eu limpression que jaccouchais une nouvelle fois, depuis de temps en temps elle me fait ce plaisir.
Cest pour la première fois, une autre quelle qui entre entièrement sa main en moi, me faisant hurler de plaisir et déclenchant les jets de ma cyprine.
Jai massacré les coussins, demain, je vais les passer au jet deau, quand un portable sonne.
Ma belle-mère récupère sa robe, en sort un portable avec écran.
Excusez, je dois répondre.
Arlette se retire quelques minutes en allant vers la cuisine, elle revient quelques minutes après, bouchant le micro du portable.
Les filles, seriez-vous libre demain soir ?
La soirée ayant tellement bien débuté, sans problème nous sommes libres.
Pourriez-vous venir garder les s de Minouche ici, je lemmène au restaurant pour fêter nos débuts que vous avez vus très intimes entre belle fille et belle-mère ?
Sans problème, si on peut vous rendre service.
Excusez.
Oui, je note, 20 heures demain.
Qua-t-elle manigancé, pourquoi ce coup de fil, certes, cela fait quelques années que nous sommes sans limites sexuellement, mais à ce jour, nous navons jamais fêté ces moments de chaude intimité ?
Il est vrai que ses moyens sont limités avec la pension que la gendarmerie lui verse, qua-t-elle encore inventée
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