Rien Ne Vaut La Campagne ...

- C’est dommage que l’on ne se soit pas connues plus tôt Amandine
- Pas facile Cloé étant donné que nous venons de faire connaissance en première année de fac
- De plus tu es de la ville et moi de la campagne
- J’ai hâte de revenir en fin de semaine chez moi
- Tu y a un petit copain ?
- Non… enfin oui mais ….
- Tes reste évasive lorsque j’aborde ce sujet
- Tu ne peux pas comprendre, tu serais peut-être choquée …
- J’aimerais beaucoup connaitre ce milieu
- Et si tu venais en vacance chez mes parents la semaine prochaine ?
- D’accord à condition que tu m’en dises plus sur ce ‘sujet tabou ‘
- Je veux bien Cloé après tout je peux te faire confiance
- Nous prenons nos douches ensembles, voire plus … nous n’avons plus rien à nous cacher
- Arrête j’ai encore des frissons !
- Au fait ? tu l’as perdu à quel âge ?
- C’est là que c’est délicat …et toi ? c’est très récent et je n’en garde pas un bon souvenir, un de ces jours il faudra que je connaisse une autre expérience pour effacer çà de ma mémoire
- Je pourrais peut être t’aider …
- Comment ??????
- Vient près de moi, je vais te faire une confidence que personne ne connait
- Je sais garder un secret Amandine
- Donne-moi la main, dès que j’ai eu l’âge d’aller chercher le lait a la ferme voisine mes parents m’ont laissé y aller seule, le fermier était sympas, il s’appelle François, je le vois avec sa salopette bleue et son béret basque, son gros pif et ses mains larges comme des battoirs, j’avais le droit de faire des cabrioles sur les bottes de paille sous le hangar
- Ça devait être marrant
- Oui … jusqu’au jour où je me suis rendue compte que leur ouvrier matait mon fond de culotte …
- Zut quel âge avait-il ?
- Lui ? la vingtaine, mais moi bien moins mais tout de même je savais pourquoi il faisait ça … et ça m’a donné une idée, tu veux voir ? hé bien tu vas être servi
- Faire exprès de monter ta culotte ? tu prenais des risques non ?
- J’en étais consciente mais ça me mettait les sens en ébullitions, surtout que je venais juste d’avoir mes règles et je me sentais femme
- Je vois ce que tu veux dire, j’en ai les mains moites.

.. et pas que les mains !
- Moi aussi ! ont l’ôte ?
- Pourquoi pas sinon nous allons la tacher
- Donc je n’ai pas arrêté mes cabrioles, je poussais même le vice à baisser légèrement ma culotte afin qu’elle baille
- Une vraie chienne ! le pauvre garçon il devait …
- Bander ? je le confirme, sans se cacher il astiquait une longue trique rose terminée par un gros champignon cramoisi, il a voulu essayer de me toucher, c’était le début de mes premières mouilles
- Mais pas la dernière
- Comme tu dis ! je n’ose penser comment ça se serait terminé si François, son patron n’était arrivé
- Zut dommage non ?
- Peut-être, je ne sais pas, François aussi avait un drôle d’air, il m’a tapé sur les fesses mais trop gentiment pour que ce soit une correction, puis il m’a interdit de revenir seule, avec le recul je devine qu’il se protégeait de lui-même
- Pourquoi dit tu ça ?
- Parce que lorsque j’ai grandi, vers dix-sept ans, j’y suis revenue avec plus d’assurance, l’ouvrier n’était pas là mais François m’a accueillie à bras ouverts, toujours la même salopette et le même béret crasseux, en riant il m’a demandé si je voulais faire à nouveau des galipettes
- Et ?
- J’ai dit : chiche ? et j’en ai fait une belle devant lui ! il a failli s’ car je ne portais plus ces immondes ‘petits bateaux’ en coton mais des charmantes culottes à la mode qui mettais bien le bombé de ma chatoune en valeur
- Putain je mouille trop !
- Fait voir ? houa, touche la mienne c’est pareil !
- Muuuuuummmmm, tu arrêtes le récit un moment ?
- Il vaut mieux, la suite est torride, caresse-moi ….
- Met moi deux doigts … hhhaaaaaaaaaooooouuuuuiiii
Nous nous somment faites jouir mutuellement, apaisée Cloé respire un grand coup et reprend d’une voix rendue rauque par le plaisir
- Je disais donc que François était ravi d’avoir revu mon entrejambe, mes seins ne le laissait pas indifférent non plus, très gentiment il m’a fait visiter son domaine et son matériel, j’étais en admiration devant ces machine énormes dont les roues étaient plus hautes que moi, François m’a proposé de monter dans la cabine de l’un d’eux, mais les marches étaient trop espacées alors il m’a carrément mis la main aux fesses pour me propulser là-haut
- Et les doigts ont vite trouvé le chemin du bonheur ?
- Exactement ! il a pris tout son temps pour palper mes lèvres charnues par-dessus ma culotte, j’avais peur qu’il ne cherche à me pénétrer de ses gros doigts mais il s’est contenté de mater sous ma robe légère, - Accroche toi au volant poussinette je grimpe derrière toi -
- Houlàlà …
- La cabine me paraissait immense, devant moi un grand parebrise et une multitude de manettes qui se terminaient par une boule noire de différente grosseur, le temps qu’il s’installe sur le siège confortable j’en avais d’ailleurs une placée au bon endroit, mon clitoris était vachement sollicité, je voulais rester à cet endroit, François s’est tout de suite douté que je me faisais plaisir – Vas-y poussinette frotte toi bien le bouton, tu devrais relever ta robe pour être plus en contact …
- Mince, je recommence à mouiller …
- Moi aussi … François s’est lui-même chargé de relever mon vêtement ainsi il pouvait mater mes fesses et les caresser tandis que je me frottais de plus belle sur cette boule, soudain ce levier s’est affaissé bousculant mon fond de slip …
- Et ? dis vite !!
- En remontant mes lèvres se sont ouvertes permettant à la boule de rentrer direct dans mon vagin
- Tu t’es empalée sur la boule ?
- Oui mais … j’étais vierge …le fermier m’a demandé pourquoi j’avais poussé un cri de douleur et s’est aperçu qu’il avait sur les doigts, je lui ai avoué la cause, il était très malheureux pour moi et m’a fait assoir sur ses genoux pour me consoler, au fond de moi-même j’étais contente d’être devenue femme, je lui ai fait un bisou sur le front qu’il a mal interprété et a glissé une main entre mes cuisses – ‘ Après tout c’est une bonne chose poussinette , tu sais moi aussi je te regardais faire des galipettes devant mon ouvrier mais je ne pouvais hélas assouvir mon envie’ – ‘Quelle envie François ? – ‘De te mettre ce qui est devenu très raide dans mon pantalon dans la chatte, touche ma verge poussinette, ma braguette est ouverte ‘
- Tu l’as fait ?
- Bien sûr, il me susurrait qu’à l’époque mes cabrioles le faisait marrer mais après ce qu’il a vus cette fois-là je lui ai mis le feu au slip et d’après lui je devais lui éteindre, j’ai donc empoigné ce manche noueux que je sentais zébré de veines sous mes doigts, je n’osais le regarder, le fermier cherchait ma fente, un doigt s’est enfilé, puis deux, ça me picotais entre les cuisses, alors n’y tenant plus je me suis assise à califourchon sur ses genoux, François m’a soulevée le temps que je me le mette là où ma vulve était ouverte , je me suis assise sur ses genoux remplie de cette barre de chair qui m’a fait un bien fou
- C’est trop ! remet moi tes doigts dans le con Cloé
- Moi aussi je suis en feu ! tu as raison Amandine faisons une pose car ce n’est pas fini.
..
Nous nous somment bouffée la chatte en invitant nos doigts a la fête là ou une cible très intime nous démangeait, une demi-heure plus tard Cloé reprend son récit torride
- François ma fait connaitre l’extase plusieurs fois de suites, a sa dernière éjaculation et je ne sais combien d’orgasmes pour moi il s’est lâché … - ‘ Poussinette tu viens de faire le plus heureux des hommes _ Merci François, moi aussi j’ai énormément apprécié ! – Je peux te demander une faveur ? – Tu veux recommencer ? – j’en ai grande envie mais c’est de mon commis que je veux te parler – Ha ? - Aurais-tu une copine qui aimerait faire des ‘galipettes’ avec lui ? le pauvre est trop arriéré et timide pour trouver l’âme sœur – Hélas je ne vois pas... mais je te promets de rechercher, baise moi encore François … cette fois-là j’ai testé toutes les boules tandis que je le suçais !
- Ben ma salope tu t’es bien faite bourrée ! et cette copine, tu l’as trouvée ?
- Oooouuuiii ! c’est toi Amandine !
- MOI ?????
- Oui Cloé, je me souviens de sa queue elle est gigantesque ! et puis nous nous partagerons nos amants ?
- Vrai ? alors je viens chez toi !
Sans petites culottes, c’est ainsi que nous nous somment rendues à la ferme …
- François ? je te présente Amandine, ton ouvrier est là ?
- Amandine …tu es resplendissante
- François ? ma copine est destinée à ton commis, va le chercher
- Faites des galipettes, Arthur va arriver
- Vient sur les bottes de foin ma chérie nous allons leur montrer nos culs !
Inutile de nous fatiguer, rien que la vue de nos cuisses ont fait sortir le loup du bois, Arthur s’est manifesté la bite raide a la main en criant qu’il allait nous baiser
- Doucement Arthur, laisse Cloé tranquille, va caresser ‘la nouvelle’, vient poussinette, montons dans la moissonneuse
- Amandine ? tu me laisse en plan ?
- Il y a d’autres engins, mais le foin est très conseillé pour se bouger le cul !
- Arthur ? que fais-tu ?
- Moi baiser toi ! écarte les jambes
- D’accord mais enfonce d’abord ta langue dans mon vagin, je ne suis pas prête à recevoir un manche de pioche dans la chatte
- Oui ma langue dans ta moule et mes doigts dans ton cul !
J’en conviens le mec est très moche … mais quelle trique ! il m’a ramonée durant des heures, j’avais le dos et les fesses rougies au sang par le foin, mon entrecuisse était tapissé de croutes de foutre séché, mon anus semblait irrité … Arthur ronflait enfin, je reprenais doucement mes esprits lorsque je me suis sentie soulevée par des bras puissants
- Vient ma douce allons nettoyer tout ça dans ma chambre
- François ? ou est Cloé ?
- Elle dort dans la moissonneuse … Arthur va bientôt la réveiller ….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!