Cherche Fantasmes Pour Épouse Pudibonde 11

- Mes amis je vous dois maintenant la vérité. Le mari cocu de cette jolie bourgeoise est caché derrière cette porte au fond du salon. Il a assisté à la séance. Son plaisir d’assister, voyeur, à la débauche de sa femme, accompagné de celui de s’apercevoir qu’il est cocu, ont dû le combler. Je vais vous demander de proposer des fantasmes à réaliser ou faire réaliser par Chantal.
Le mari apparaît, tout penaud, essayant tant bien que mal, de se donner une contenance. Le mépris à son égard est manifeste dans la salle. Il faut dire que Chantal a bien excité l’assemblée et s’est livrée au stupre et à la fornication sans la moindre considération pour ses liens du mariage. Elle s’est libérée, un point c’est tout.
Lui a pu en même temps assouvir son penchant candauliste avec plusieurs éjaculations. Une vraie performance, vu son âge. Il convient que ces jouissances lui ont donné un plaisir qui met en second plan son statut de cocu. C’était l’objet de sa démarche auprès du beau-père de son collègue. Raviver sa libido sur le déclin en proposant des fantasmes avec sa femme comme actrice et objet sexuel.
Négligeant la présence du mari, Louis apostrophe ses amis.
- Qui commence ?
- Moi ! J’ai envie d’emmener Chantal dans une grande surface sous prétexte de lui acheter des sous-vêtements.
- Pas très original déclare Louis.
- Oui, mais je lui demande de se mettre nue dans une cabine d’essayage, sauf ses chaussures et un string ficelle, juste pour lui cacher les poils et les lèvres de sa chatte.
- Banal dit une voix dans la salle.
- Peut-être mais je lui confisque ses fringues et je lui donne rendez-vous au parking en plein air et la laisse se débrouiller pour me rejoindre ! Alors ?
- Pas mal dit Louis. Je devine son désarroi quand elle va devoir sortir nue dans le magasin, marcher dans les allées, prendre un escalator et marcher le long des voitures garées pour te rejoindre.
- Je la laisserai dehors quelques minutes pour que ceux des hommes qui l’auront ment suivie, puissent encore se régaler du spectacle.

Une fois dans l’auto je quitterai le parking lentement, je ferai une pause à la sortie pour attendre ceux qui on compris qu’ils pouvaient nous suivre. Je la baiserai dans la nature devant les voyeurs les plus méritants. Je les encouragerai à éjaculer leur foutre sur les parties du corps qu’ils souhaitent.
- Et après ?
- Je la ramènerai chez elle pour la baiser une seconde fois en présence de son cocu qui n’aura que le droit de regarder.
- Bof ! Moi j’ai une bien meilleure idée.
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En quittant la maison de Louis, Chantal réalise qu’elle est débordante de sperme. Elle se sent sale mais en même temps ravie de penser qu’autour d’elle, les inconnus qui la matent, seraient bien excités de connaître ce détail.
Il fait nuit, il est plus de minuit. Un taxi l’attend devant la maison. Elle est sensible à cette délicate attention de la part de celui qui est maintenant son amant. Elle remarque que le chauffeur la dévisage et la mate sans vergogne. Louis a dû lui faire des confidences… Elle se glisse au milieu de la banquette arrière et se laisse aller contre le dossier. Elle ferme les yeux et s’abandonne à la douceur velours du siège. Inconsciemment sans même s’en rendre compte, elle ouvre le compas de ses cuisses pour exhiber sa chatte poisseuse de foutre. Elle est détendue, sereine. Elle finit par s’endormir, bercée par le ronronnement du moteur. Elle ne réalise pas vraiment ce qu’elle est devenue en si peu de temps, une femme libre, affranchie des chaînes de son éducation et des liens matrimoniaux.
Elle ne voit pas que le taxi roule maintenant très lentement. Le chauffeur qui ne cesse de regarder dans son rétroviseur cette splendide noctambule, veut faire durer le plaisir des yeux. Il a reçu comme un coup de poing dans l’estomac quand il s’est rendu compte qu’elle ne portait pas de culotte ! Il a une vue directe sur son sexe dont les lèvres se détachent juste au dessous du triangle dessiné par la fine toison.
Elle sont humides et brillent à chaque fois que la voiture passe près d’un éclairage public. La lumière d’ambiance est faible mais à chaque fois c’est comme un éclair, une apparition lumineuse. Le chauffeur est sous le charme de cette exhibition inattendue et spontanée.
Une fois arrivés à destination, le taxi marque une pose laissant tourner le moteur pour ne pas réveiller la belle cendrillon et détruire la magie de l’enchantement. Le brave homme n’en peut plus, il se tourne vers l’arrière et mate la chatte offerte à sa vue. Chantal qui se réveille, prend très vite la mesure de la situation. Elle garde les yeux fermés mais observe entre ses paupières à peine entrouvertes, le voyeur qui, trop occupé à mater son entre-jambe, ne s’aperçoit de rien.
Aussitôt la chaleur qu’elle connaît bien maintenant envahit son bas ventre. La situation l’excite et au lieu de la refuser, elle veut en faire l’objet de son plaisir. Feignant toujours d’être endormie, elle ouvre un peu plus ses cuisses. L’homme imagine qu’elle est dans un rêve érotique et qu’elle s’abandonne. Son ami Louis lui a laissé entendre, en commandant la course, que sa cliente serait « chaude ». Aussi le spectacle qui se déroule devant lui ne le surprend pas. Il décide de rester silencieux et de mater.
Chantal est fatiguée suite aux nombreux orgasmes et saillies qu’elle vient de vivre, mais cette fatigue a du bon et l’excitation qui la gagne maintenant est une bonne panacée.
Lentement feignant toujours le sommeil, elle glisse un main entre ses cuisses et le contact de ses doigts sur son petit bouton lui soutire un gémissement. Elle s’est masturbée tout à l’heure devant les amis de Louis, mais maintenant elle le fait de sa propre initiative, pour elle même. Et aussitôt le plaisir qu’elle découvre est différent.
Le chauffeur du taxi est maintenant à genoux sur son siège et lui fait face. Elle ne l’a pas entendu bouger et elle est un peu surprise. Entre les dossiers elle s’aperçoit, malgré le peu de lumière, que l’homme a sorti sa bite et se branle lentement en la matant.
Son excitation croissante, elle perd la notion du danger, là arrêtée devant chez elle, éclairée par le lampadaire public. Doucement elle ouvre son chemisier et sort ses seins pour les montrer au voyeur. En même temps elle en caresse les pointes pour augmenter son excitation. L’homme accélère ses mouvements devant elle. Leurs deux respirations s’accélèrent. Elle a ouvert les yeux et fixe son regard dans celui de l’homme. Ce dernier s’est légèrement déplacé pour se trouver juste entre les deux dossiers avant. Il avance sa bite tout en se masturbant de plus belle. Chantal se laisse glisser sur le velours de la banquette, laissant remonter sa jupe et rapprochant son ventre de la queue dressée devant elle. Elle écarte les cuisses car elle a décidé que l’homme jouirait sur elle. Elle voulait à nouveau sentir le chaud liquide maculer sa peau. Pas un instant elle ne réalise pas que des voisins, ou même son mari pourraient la voir, à moitié nue en train de se branler devant un inconnu qui lui donne la réplique. Elle ne pense à rien, tendue qu’elle est dans l’attente de l’orgasme. Elle ne bouge pas quand le chauffeur allume le plafonnier de son taxi pour mieux contempler le spectacle. L’image est trop forte, l’homme respire de plus en plus vite et dans un râlement se déverse sur la femelle devant lui. A son tour elle est submergée par la jouissance. Les jets de foutre sont si puissants que les premiers viennent s’écraser sur son visage. Les autres, atterrissent entre ses seins, son ventre, souillant par endroits sa jupe et son chemisier. La jeune femme se met à pousser des petits cris pour accompagner son orgasme.
La pression tombe quelques secondes après, le silence revient dans l’auto. Les respirations redeviennent régulières. L’homme sourit à celle qui lui a offert ce spectacle. Elle lui sourit à son tour, sourire de complicité, avant de se rhabiller et quitter le taxi.
Après cette soirée et son épilogue dans le taxi, Chantal est fatiguée, mais heureuse.
Une fois chez elle, elle se met nue et file dans la salle de bain prendre une douche.
Elle constate que son mari n’est pas rentré. Elle réalise en même temps qu’elle n’a pas beaucoup pensé à lui. Assiste-t-il encore au dénouement du concours dont elle est l’objet promis pour un WE de soumission ? Cette idée lui fait peur mais encore une fois, c’est la perspective de jouissances qui l’emporte.
Elle fait couler contre son corps une eau tiède qui lui donne la chair de poule. Le jet qu’elle dirige vers son sexe réveille sa libido et elle en vient à se demander si elle ne s’est pas devenue simplement nymphomane. Toutes ces dernières heures ont éveillé chez elle les envies qu’elle avait dû refouler depuis son enfance.
Séchée, nue, épuisée elle est encore seule quand elle trouve enfin le sommeil dans son lit douillet, submergées par des images de cette soirée de folie.
Elle est réveillée par son époux qui se glisse dans le lit. Il est 3 heures du matin au réveil près d’elle. Elle fait semblant de dormir et lui tourne le dos. Il est nu aussi et elle sent sa queue toute dressée contre ses fesses. Il l’enlace et lui caresse les seins en passant ses mains par devant. Elle réalise immédiatement qu’elle ne veut pas de cette caresse. Non seulement elle ne lui procure aucun plaisir mais de surcroît, elle la rebute. Ce qu’elle ressent alors c’est une énorme pitié pour cet homme qu’elle croyait aimer. Cela la rend malheureuse cependant. Il a été l’homme de sa vie, du moins l’a-t-elle cru. Mais cet amour s’est brutalement enfui et cela lui semble irrévocable.
Le mari cocu vient en vérité d’entreprendre la reconquête de son épouse. Il a pu observer durant cette soirée qu’elle prenait des libertés à son égard.
- Tu dors, mon amour ?
Il dit cela d’une voix à peine audible. Visiblement il ne souhaite pas la brusquer. Chantal a bien l’intention de ne pas répondre. Elle émet un petit grognement d’agacement qui traduit bien son état d’esprit. Il insiste.
- Où étais-tu ce soir ?
Cette fois elle sent la colère l’envahir.
- Tu sais bien où j’étais. C’est bien toi qui m’as livrée au beau-père de ton collègue. Je ne suis pas dupe. Je t’ai bien vu prendre des photos de mon cul quand j’étais endormie. J’imagine que tu les lui as montrées.
- Mais mon amour, ce n’est pas vrai. Elles sont pour moi ces photos. Je les regarde quand je suis loin de toi.
- Tu n’es qu’un sale menteur ! Je n’ai plus confiance en toi.
Cependant en disant ces paroles, la femme se rend compte que cet homme est important pour son bien-être. Vénale elle fait ses comptes. « Il veut me voir me faire baiser ? Et bien il va être servi ». Se radoucissant, elle ajoute.
- Ton ami avait organisé une soirée en mon honneur. Champagne, musique, il y avait beaucoup de monde chez lui. J’ai été courtisée et si je l’avais voulu tu serais cocu ce soir.
- Tu as été sage ?
Chantal sent que le moment est critique. Lui mentir ? L’affronter en lui disant ce qui s’est réellement passé cette nuit ?
- Bien sûr que j’ai été sage. Je ne pouvais pas te trahir devant cet homme et ses amis.
L’estomac du mari cocu se noue. Cela lui fait mal d’entendre ce mensonge. Cette femme qu’il aime mais qui lui échappe.
- J’ai envie de toi. Je t’aime.
- Moi aussi je t’aime, mais je suis fatiguée. On fera l’amour demain.
Abattu, il se replie dans son coin. Il repense à cette soirée de débauche à laquelle Chantal s’était livrée. Les folles images lui maintiennent son érection. Il se sent encore capable de jouir alors qu’il a éjaculé deux fois au moins, caché derrière la porte du salon. Doucement, pour ne pas alerter sa femme qui semble endormie maintenant, il se caresse la bite et très vite il sent qu’il va jouir. Comme un jeune adolescent il rejoint rapidement les toilettes pour terminer sa petite affaire. A son âge !
Chantal qui a, bien entendu, compris le manège de son mari ne peut s’empêcher de sourire en constatant l’emprise qu’elle a sur lui maintenant. Emprise qui a changé de main, se souvenant de la femme docile et obéissante qu’elle était, il y a moins de deux semaines.
Une nouvelle vie commence pour elle. Elle est une jeune femme de 30 ans, belle, désirable et désirée. Sa libido vient de lui être révélée en quelques jours. Elle a osé se branler devant un inconnu dans un taxi juste devant chez elle, au mépris des risques d’être surprise. Son époux devra subvenir à l’intendance s’il veut continuer à assister en spectateur à ses débauches. Elle sait qu’elle le laissera jouir de son corps, mais à sa propre convenance. Déjà elle se sent prête à jouer le rôle d’esclave pour celui qui aura gagné le fameux concours qu’il a lui même initié.
C’est sur ces douces pensées que le sommeil finit par la surprendre.
FIN

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