Collection Cocu. Ma Belle-Mère, Quelle Salope (4/4)

Sodomisée, enculée, labourée l’anus, prise en double pénétration, c’est le final que ma belle-mère a choisi pour que nous finissions la soirée avec les deux hommes qui nous ont payé à manger dans un resto trois fourchettes, une chambre dans ce 4 étoiles et 4 000 € pour nous baiser.
Au moment où la verge se présente à mon anus, j’ai un moment de peur vite réfréné, belle-maman à bien raison, je suis une salope, quand il entre, je crie, mais de plaisir satisfaisant l’homme qui sans le savoir prend mon pucelage anal.

Leurs verges satisfaites, notre fonction, assumée, nous nous apprêtons à rentrer, Arlette se rhabille et moi aussi bien sûr, je la vois ouvrir le frigo et prendre la bouteille de champagne.

• Petit cadeau les gars, je pense que ma fille l’a bien mérité, nous la boirons quand nous serons rentrées, elle conduit et ne peut pas boire avant, merci pour cette bonne soirée, vous avez mon numéro si vous voulez nous revoir.
• Minouche, elle a un numéro.
• Pas encore, vous passez par moi en cas de besoin, plutôt d’envies.

Nous rentrons sans un mot, il est une heure du matin quand nous entrons, les lesbiennes dorment dans les transats, la nuit étant douce.

• Champagne les filles, il est frais à point, je l’ai acheté au bar où nous sommes allées après avoir dîné au restaurant.

Elle sait toujours se sortir de situations bizarres, les filles qui se réveillent en nous entendant ne posent aucune question, ou aurions-nous pu trouver une bouteille encore fraîche dans une ville qui dort.

Dans les jours suivants, nous ne sortons pas, un soir, le téléphone d’Arlette sonne, elle me quitte vers 20 heures, je la vois descendre le chemin de terre menant à la place du marché.
Elle revient vers minuit, quand je la rejoins dans sa chambre, nue comme à mon habitude elle compte des billets.

• J’ai été bonne, mon client m'a donné 500 € de pourboire, je suis vraiment la reine des suceuses de bites, il a été impressionné par les fellations que je lui ai faites, il y a plusieurs façons de faire ça pour plaire à nos clients.


• Il n’y aura pas d’autre client, Arlette, je reste fidèle à Julien.

Trois jours plus tard, son téléphone sonne.

• Oui, elle est libre, 20 heures même endroit que l’autre fois, c’est un copain qui veut passer la soirée avec elle, merci d’avoir fait l’intermédiaire.
Vous mettez de l’argent de côté pour vous payer une soirée comme l’autre jour.
N’en dite pas plus, j’avais vu la trace de vos alliances, c’est difficile à cacher, que vous faisiez cocu vos femmes avec nous, nous nous en contrefichons, j’attends votre coupe de fils, encore merci pour ma fille.
• Arlette arrête de décider qui peut me sauter, je n’irai pas, tu n’auras qu’à assumer.
• Demain, tu seras prête à l’heure, je garderais les s.

Le lendemain, je suis à l’heure, la carte est la même, les serveurs aussi, il en va de même pour les réceptionnistes à l’accueil, tous doivent savoir que je viens me prosti, mais depuis que mon mari est retourné au boulot, j’accepte de baiser utiles.
Au resto, il m’a glissé l’enveloppe, je lui fais confiance, de toute façon, j’ignore pour combien, Arlette a vendu mon cul.
Nous faisons tout ce que les hommes savent faire avec une pute, aucun tabou, ils payent pour ça, mon anus semble le centre d’intérêt de mon client qui doit avoir la quarantaine grisonnante.

• Je conduis, la bouteille cadeau, je la boirais à mon retour chez moi.
• Avec ta mère !
• C’est ça ma mère, merci pour elle, nous la partagerons.

Je fais la route, belle-maman est à l’arrière semblant m’attendre.

• Je vois que tu apprends vite, 2 000 € et une bouteille de champagne, tu as très bien travaillé.
• Mieux, plus 10 qu’il m’a donné au moment où je suis partie.
• Avant ou après la bouteille ?
• Après.
• Tu me fais plaisir, viens dans mes bras, tu as dû être très performante, tu vois, c’est facile de gagner du fric à notre époque.

Les vacances continues, j’ai une difficulté avec les s qui courent de partout sur la plage, mais globalement à part les frasques d’Arlette, je passe de bonnes vacances.

Je suis lovée dans les bras de ma maîtresse quand j’entends la voix de Julien.

• Maman, tu es là, sais-tu où est Michelle ?
• Merde Julien, vite, il faut réagir.
• Attends mon fils, avec la chaleur, je dors nue, je passe un vêtement et je t’ouvre.

Comme d’habitude beaucoup de sang froid, elle me perle à l’oreille.

• Il est dans le couloir derrière ma porte, enjambe la fenêtre, cours t’allonger sur un transat et fait celle qui dort, la suite, tu sauras faire.

Je fais ce qu’elle dit, je vais passer le coin, quand j’entends.

• Que fais-tu là, tu aurais pu prévenir ?
• Où est ma femme, je suis allé dans notre chambre et celle des s, elle n’y est pas ?
• Calme-toi, que vas-tu penser, par ces chaudes nuits, il n’est pas rare qu’elle dorme près de la fenêtre de la chambre des s, va voir, elle doit y être, tu seras surpris, à chaque fois que je la vois sur la terrasse, elle est nue.

Je viens de m’allonger, je laisse une de mes jambes pendre comme si elle était tombée pendant mon sommeil, j’entends qu’il arrive, je sens ses lèvres sur ma chatte, et dire qu’il y a quelques minutes avant son arrivée, c’était d’autres lèvres familiales qui étaient elles aussi sur mon clitoris.
Julien passe les deux jours du week-end, belle-maman est calme, aucune turpitude, sauf le deuxième soir, elle sort, sur la plage, nous avons rencontré Véronique et Adeline, elle s’est fait inviter.
J’ai décliné l’invitation, mon mari repartant vers minuit pour être à Paris au matin, il me fait l’amour et je vois la voiture de location partir.
À oui, j’oubliais, hier et ce matin, il a comme à son habitude, lavé sa C4 Picasso, n’oublions pas grand modèle.

Les vacances avancent, bientôt il faudra me séparer avec du regret de belle-maman jusqu’à Noël, quand elle me demande de me préparer pour retrouver nos deux premiers clients, je me prépare en chantant.
Les lesbiennes ayant fini leur séjour, c’est une petite voisine qui vient garder les s, cette fois, ma maman, n’oublions pas avec ces clients, se fait prendre comme moi en double pénétration et repart avec le champagne.


Il est 15 heures quand on sonne, je vais ouvrir.

• Êtes-vous bien Michelle, la femme de Julien ?
• Oui, qui êtes-vous ?
• Mon nom importe peu, je suis l’avocat de votre mari.
• À qui parles-tu Minouche.

Belle-maman, vient aux nouvelles.

• L’avocat de votre fils, pourquoi êtes-vous ici ?
• Il y a quelques semaines, votre mari était venu pour vous dire qu’il vous quittait pour épouser sa chef comptable.
• Viviane ?
• Oui, c’est le nom qu’il m’a donné.
• Mais elle a 20 ans.
• Vous savez nous les hommes quand nous croisons un joli petit cul, c’est dur de résister, surtout quand on commence à vieillir.
Pendant ces deux jours, en vous voyant, je comprends pourquoi il n’a pas trouvé le courage de vous dire qu’il vous quittait, c’est pourquoi je suis là.
• Je pense que vous me conseillez de ne pas me battre.
• Ce serait idiot, je les ai vues ensemble, ils sont très amoureux, j’ai une proposition à vous faire de sa part, en préalable, il souhaite garder son entreprise.
• On en n’est pas encore là, lui faire tout vendre, ça pourrait me plaire, surtout si sa pute perd son emploi.
• Vous feriez un mauvais calcul vu la proposition qu’il veut vous faire pour subvenir à vos besoins et à ceux de ses s.
• Il a raison Minouche, un bon compromis vos mieux qu’une décision prise avec du ressentiment, mais nous allons étudier sa proposition.
• Mais vous êtes sa mère, il m’a dit que je vous trouverais là.
• J’étais sa mère, après ce qu’il fait à ma petite fille, je le renie.

Elle me prend dans ses bras et discrètement me passe une main aux fesses.

• Ses parts dans cette maison, 3 000 par mois, plus 500 par s.
• Il ne peut pas vous donner plus de 2 800 € par mois.
• Ma belle-fille est d’accord, mais avec toutes les charges du divorce à sa charge et surtout sa voiture, je le connais, je l’ai mis au monde, surtout depuis qu’il a son permis, lui prendre sa voiture ce sera sa plus grande punition.

• Il va couiner, j’avais prévenu la dépanneuse pour lui ramener à Paris, je vais l’annuler, à vous revoir au tribunal madame.
• Mesdames, je serais là, évitez de lui faire des entourloupes, vous vous attireriez mon courroux.
• Julien m’avait dit que j’aurais du fil à retordre avec vous madame, je sais que vous êtes femmes de gendarme.
• Je vous raccompagne, Monsieur, Minouche, j’ai entendu les s pleurés.

Elle parle à l’avocat qui bouge la tête et démarre sa voiture, son cabinet doit bien marcher, vu la grosseur de sa C6.

• Je suis de sortie ce soir, j’ai rendez-vous à Royan.
• Tu as reçu un coup de fil, tu vas rencontrer un client !
• Le client, il vient de partir dans sa grosse voiture.
• Ne me dis pas que tu lui as dit que tu te prostitues.
• Pas au premier abord, il m’a invité à dîner sur le port de Royan ce soir, c’est là qu’ayant accepté, je lui ai dit que c'était 2 000 €, il est en chemin vers sa banque.
• Mais ton fils ?
• Qu’elle fils.

C’est à ce moment que son téléphone sonne, elle décroche.

• Minouche, oui, elle est entièrement libre ce soir, 20 heures au restaurant habituel, elle sera là.

Elle coupe la conversation.

• On va aller faire de jolies photos de toi, pour les mettre sur mon site « Cougars escortes », avant nous achèterons un portable avec ton propre numéro.

Arlette vient de prendre le contrôle de ma vie, elle me prend dans ses bras.

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