Retour En Tanzanie

Retour en Tanzanie
Pour la deuxième fois, et pour notre plus grand plaisir, nous allons faire un safari ; mais cette fois c’est sur l’invitation d’un ami tanzanien que nous avions reçu lors d’un séjour professionnel qu’il a effectué en France ; séjour où il avait pu apprécier les qualités hospitalières de ma petite coquine de femme. En effet pendant son mois chez nous, il avait eu plusieurs fois l’occasion de la posseder, parfois sans ma présence. De ces épisodes , Mico avait en souvenir de solides pénétrations par un sexe de belle facture , plus de 25 cm et surtout très épais, ce qui lui avait procuré de belles jouissance et j’en étais témoin.
A notre arrivée, son accueil est toujours aussi chaleureux et c’est sur ses lèvres qu’il dépose le baiser d’accueil ; cela promet de belles aventures très certainement. Par contre, nous découvrons que notre chauffeur et guide est un homme que nous connaissons aussi : Moa, notre guide lors de notre premier voyage et cela ne semble pas trop plaire à Mico qui se terre dans un mutisme révélateur. Surtout que lui à un grand sourire moqueur ; il se souvient sans aucun doute de ses étreintes avec elle , mais peut être aussi et j’en ai peur de ses refus de s’offrir à lui à la fin du séjour (récit mico79 dec 2010).
Je m’en étonne auprès de notre ami, car nous lui avions raconté notre séjour et l’aventure avec Moa, et il nous explique que comme nous souhaitions aller au contact du peuple Masaï, c’est le guide idéal, mais que cela ne poserait pas de problème. Notre première journée est très calme et très sage en récupération des fatigue du voyage et préparation du départ pour la réserve du Serengeti prévu très tôt en raison de la distance à parcourir. Le lendemain, Moa nous attend, au volant d’une land rover toute neuve et c’est le départ. Cette fois Mico a mis la tenue adéquate, à savoir petit short découvrant ses cuisses fuselées et simple corsage, pour une fois non transparent, mais laissant deviner ses pointes sous le fin tissu ; ce qui ne laisse pas indifférent notre ami qui lui en fait compliment et notre guide qui la dévore des yeux
Pour nous c’est une véritable découverte, car notre ami, sans doute bien placé , a obtenu des autorisations spéciales pour des zones interdites en principe aux touristes, zone où la faune est très garnie de toutes les espèces ; et le soir, nous arrivons à une loge « Masai-Serengeti », simplement époustouflante, au milieu d’une végétation luxuriante et de nombreux animaux sauvages déambulant au milieu ; un vrai régal.

Mico est aux anges et saute au cou de notre ami ( que nous appellerons Dan),d’autant plus qu’il dormira dans notre loge, ce qui promet. La nuit tombe vite et nous nous retrouvons pour une douche bienfaitrice avant de prendre l’apéro ; alors qu’elle vient de se rafraichir, elle ressort de la salle de bain, sûr de son succès et du déroulement de la soirée.
En effet, c’est avec seulement une tunique en dentelle, parfaitement transparente, laissant la pointe de ses seins tendue et bien visible, et son ventre libre de tout slip ; avec un baiser vers moi, elle se dirige vers Dan et sans ambages elle lui dit :
« j’ai envie de toi ; cela fait trop longtemps que je n’ai pas profité de ta grosse queue et tant pis pour jean, mais prends moi, baise moi, refait de moi la femme qui t’a appartenu sans réserves en France » et retirant sa tunique , elle s’allonge sur le lit, les cuises écartées, dévoilant une chatte déjà brillante de cyprine. D’abord surpris, il a vite fait de se dévêtir et d’arborer ce sexe qui fait tant envie à ma petite coquine. Lui attrapant les jambes, il les pose sur ses épaules et son gland vient frotter la vulve offerte et d’une poussée, il s’enfourne entre les lèvres écartelées ; sous l’impact, elle ne peut retenir un oh, de surprise, mais surtout de plaisir et quand il commence à la pilonner, sa jouissance tant attendue déferle
Me rapprochant d’eux, la tige bandée, je lui donne ma tige à sucer et avidement , elle la gobe, entre deux râles de plaisir. Aucun de nous deux ne peut se retenir, tant notre plaisir est intense et presqu’en même temps, nous jutons en elle, moi dans sa bouche, lui, lui remplissant le vagin de sa semence prolifique ; pour elle manifestement elle a trouvé son plaisir, sachant que ce n’est le début de nos échanges ; mais la suite allez nous déborder. Les deux jours qui ont suivis ont été conformes, le jour découverte de sites merveilleux, traversés par de nombreux et divers animaux, et le soir et parfois même la nuit, elle s’offrait à nous deux, jouissant parfois en continue entre deux pénétrations ; d’autant plus que Dan ne semblait jamais en difficulté pour retrouver une performance incroyable.

Enfin le grand jour arrive ; notre arrivée dans le village Massaï ; pas celui pour touriste où il faut payer pour voir quelques danseurs et une exposition de collier ; non, un véritable village, très éloigné des pistes. Et Dan nous explique que c’est le peuple natif de notre guide et que nous allons vivre pendant deux jours avec eux, selon leurs activités et leurs coutumes. J’avoue que cela m’inquiète un peu car le Moa en question est devenu beaucoup plus fier depuis notre arrivée, et je me souviens de nos derniers rapports avant le départ, et surtout son attitude quand Mico, les derniers jours s’est refusée à lui.
Le programme est assez simple, à savoir vivre le soir avec la tribut, découvrir leurs coutumes, dormir dans une vraie case et le lendemain suivre des pisteurs devant nous faire approcher certains félin proches de leur village. S’ils sont devenus berger, ils n’en restent pas moins de fameux guerriers et chasseurs, même s’ils n’ont plus le droit de les lions. La première surprise est notre séparation ; en effet les Masai ne mangent pas avec leurs femmes ; c’est une coutume et nous sommes invités, Dan, Moa et moi a consommer de la chèvre cuite sur le bois ; Dan me dit que c’est un honneur car ils ne mangent pas de la viande tous les jours ; alors que Mico sous la conduite d’une femme parlant un peu anglais, est dirigée vers le centre du village. Et ce n’est que le soir, à la tombée e la nuit que nous la retrouvons ; couchage sommaire dans une grande case et avec Dan, ce qui nous permet quelques fantaisies sexuelles, entre autres pour elle nous appartenir en double vaginale ; mais la fatigue aidant, nous sombrons dans un profond mais inconfortable sommeil.
Il fait encore nuit quand Moa vient nous chercher pour la traque et bien sur Mico ne peut venir ; elle restera au camps avec les femmes, ce qui n’a pas l’air de déplaire à Moa qui me regarde avec un sourire ironique. Pour la suite, c’est le récit de Mico.
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Je regarde avec appréhension le départ de jean et dan, d’autant plus que je vois Moa en grande discussion, en me regardant, avec celui qui semble diriger le clan.
Très vite , je suis accaparée par les femmes qui veulent à la fois me découvrir, mais aussi me montrer leur mode de vie ; cela m’occupe et je ne vois pas le temps passer ; la femme qui me sert de guide me propose alors de m’habiller comme elles et sans plus attendre, elle me fait quitter mes affaires, qui entre parenthèses, doivent les choquer , et m’aide à revêtir leurs tuniques colorées et elle m’entraine dans leurs danses ; petit à petit, je me sens un peu plus proche d’eux et je m’enquière auprès de ma guide de leur vie et de la supériorité de l’homme dans la tribut et rapidement , je découvre que si certaines sont mariés, très jeunes d’ailleurs, il n’y a pas de fidélité , chaque homme ayant le droit de posseder m’importe quelle femme, à partir du moment où elle a été exciser , et me regardant fixement, elle me dit que moi aussi, selon la coutume, les hommes peuvent me courtiser.
Soudain, j’ai un grand froid dans le dos, car je revoie le regard et j’imagine la conversation de Moa, d’autant plus que j’apprends que les guerriers ne seront pas sur de rentrer avant le matin, ce qui est fréquent. Fruits et boisson me sont offerts ce qui m’aident à me détendre ; et j’avais tort, car alors que les femmes partent à leurs occupations, sans doute pour le repas, la femme m’entraine dans une case ; elle commence alors à me faire quitter ma tuniques et mes parures , puis m’allongeant sur une couche sommaire, ses mains m’enduisent de crème en un doux massage ; mon appréhension diminue d’autant plus qu’une douce chaleur m’envahie et que dans mon ventre, les premiers signes de plaisir arrivent ; je me laisse aller et quand ses doigts frôlent mon pubis une décharge de plaisir me traverse ; j’ai envie de ses mains sur mon corps et dans mon ventre mais , elle ne s’éternise pas à mon grand regret ;
Soudain un géant rentre dans la case, libre de tout habit et malgré ma plénitude, je découvre un sexe bandé, agité de soubresauts, le gland décalotté. Je n’ai pas le temps de réagir, d’ailleurs l’aurais je pu, qu’il est sur moi, me plaquant les épaules sur la couche et se plantant dans ma chatte sans hésitation ; le passage n’est pas dilaté, mais sa tige progresse malgré tout, puissamment , pour finalement toucher le fond de mon vagin ; je devrais me révolter, me débattre , mais au contraire , j’écarte le plus possible mes cuisses , favorisant ainsi la saillie, car s’en ai une ; peu importe mon avis, il me baise, il prend son droit de cuissage, fier, puissant ,performant ; sous ses coups de butoirs, je ne suis que jouissance, il me possède et je suis à lui et il en profite.
Je ne sais combien de temps il m’a besogné, se libérant au moins deux fois de sa semence, avant de quitter la case comme il y était rentré, en silence.
Alors que son sperme s’écoule sur mes cuisses, j’essaie de récupérer de mes jouissances ; il vient de me saillir et j’y ai pris plaisir. Plaisir qui ne vas pas durer car alors que je m’apprête à me relever, je vois avec terreur entrer Moa, lui aussi nu, le sexe bandé, arrogant et ses paroles me figent de peur :
« tu m’as repoussé à la fin du séjour, tu as pris ton plaisir avant de me jeter , et ce devant ton mari ; ici il ne peut rien et tu m’appartiens, tout à fait normalement ; c’est le droit de tout homme et je vais pouvoir faire de toi ma femme ; tu as bu de notre boisson pour l’amour et après mon départ , ma queue te manquera »
Je n’ai pas le temps de répondre que son corps s’abat sur moi et que sans aucune difficulté son mandrin s’enfonce en moi, conduit il est vrai plein de semence ce qui lubrifie le passage ; il est brutal, possessif, et je retrouve bizarrement les sensations lors de mon premier séjour, où il m’avait fait jouir plusieurs fois intensément. Et là bien que je ne devrais pas me libérer, je sens mon corps s’ouvrir à ce vit qui me défonce et il le comprend vite
« tu vois, ma queue déjà te possède et tu y prend plaisir ; tu es à moi et je vais te couvrir sans tu puises retenir ta jouissance » et il a raison car mon ventre est plein de désir et réclame ses coups de butoirs ; il le sens et il se déchaine , me percutant, dilatant ma matrice de son membre conquérant ; je râle , je crie mon plaisir, je m’accroche à son corps , réclamant encore plus , lui demandant de me remplir de sa jute. Mais il joue avec mon corps et se retirant, il me retourne me mettant à genoux sur la couche et d’une poussée, il réinvestit mon antre dilatée ; sous son emprise, je ne suis que plaisir, plus rien ne compte que sa bite qui me ravage le ventre et quand il éjacule, je me cambre allant au-devant de ces jets. Je pensais en avoir fini, à mon grand regret, je le reconnais, mais j’aurai du me méfier..
Car sa queue encore bandée vient se frotter sur mon sillon, et pleine de sécrétion, elle pousse l’anneau ; je me débats car la tige est trop grosse pour me sodomiser mais à nouveau , me bloquant contre lui il me dit
« pour prouver sa puissance devant moi, ton mari t’a possédé ainsi, et ce soir c’est moi qui vais te saillir le cul ; tu es ma chose et tu vas gouter à ma sodomie, et je suis sûr que tu vas l’aimer » poussant sur mes fesses , son gland me perfore l’anneau ; mes cris doivent s’entendre car il me déchire le conduit , mais il ne s’arrête que quand il l’a complètement investi ; il commence alors un ballet , me pistonnant sans délicatesse ; il me pourfend, élargissant le passage , pour finalement glisser sans problème ; je ne suis plus qu’une poupée qui se fait saillir et alors que la douleur s’estompe, une déferlante m’envahie et je ne peux retenir un puissant cri de plaisir ; je m’offre, je me donne, tout au plaisir de me faire défoncer par ce mandrin énorme ; c’est la première jouissance culiaire aussi puissante et quand il se déverse après un long baisage, je m’écroule sur la couche, inerte ; quand je reprends conscience il a disparu.
Sans doute avertis par Moa, deux guerriers sont venus me prendre, rapidement, juste pour m’avoir et se faire plaisir , je suppose ; pour moi, pas de jouissance et enfin seule , je m’écroule sur la couche ,épuisée ; mais Moa est venu pour le deuxième fois prendre son trophée et une nouvelle fois , il m’a sodomisé, arrogant, me disant que désormais sa queue resterait dans ma mémoire ; pour moi s’en était trop et même s’il a réussi à me faire jouir, je n’avais qu’une hâte , celle de quitter le camps
Lorsque jean et dan sont revenus, ils ont vite compris qu’il s’était passé quelque chose et après mes explications, difficiles dans les bras de jean, dan s’est dirigé vers la case du chef ; je ne sais pas la teneur des explications, cependant, c’est un autre masaï, rangers lui aussi qui nous a accompagné, alors que dan prenait le volant. ; le reste du séjour a été beaucoup plus calme, mes hommes me laissant récupérer des événements ; ce n’est que la dernière nuit avant le départ que je me suis offerte à Dan, pour le remercier, mais surtout pour notre plaisir ; et je sais que nous le reverrons bientôt.

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