Notre Bar A La Campagne

Un jour nous avons quitté notre grande ville et ses tracas quotidiens pour nous installer définitivement à la campagne où Léa, et moi José, avons rouverts un vieux bistro d’un village du sud
Léa est très avenante et son attitude décontractée a tout de suite attiré les clients mâles célibataires ou non, je ne compte plus les fois où des mains baladeuses ont frôlés ses fesses rebondies, ça fait aussi partie de la partie ‘commerciale’, si je montrais les dents au moindre geste déplacé nous pourrions fermer boutique
Certains après-midi elle tape le carton avec des retraités qui lorgnent plus sur son décolleté ou ses cuisses dénudées que sur les atouts qu’ils ont en mains, pour tromper sa vigilance ils essaient même de la faire boire mais en bonne ‘bistroquette’ elle sait rester sobre… je ne peux pas en dire autant …
Beaucoup de clients paient leurs tournées et je ne suis pas en reste, en fin de journée je suis parfois ‘pompette’ ! Léa m’en fait le reproche, menaçant du fait que je suis moins vigilant pour céder aux avances de jeunes clients en quête de femelle en chaleur
Que ferais-je si elle acceptait des gestes plus précis sur son anatomie ? ces suppositions m’excitent plus qu’elles ne me suscitent de la jalousie mais je me garde bien de lui révéler, j’étais loin de me douter que j’allais bientôt en faire l’expérience …
Ce soir-là j’avais ‘encore ’un peu picolé, ce qui a énervé ma femme , soudain un jeune gars est entré, ça s’est passé comme dans les saloons de la conquête de l’ouest, ce ‘cowboy’ inconnu , chemise ouverte sur un tapis de poils bouclés marche vers le bout du comptoir d’une façon lente et déhanchée, roulant des mécaniques, ses yeux d’un bleu perçant ont tout de suite repérés la petite blonde derrière le zinc, il s’est assis nonchalamment sur le tabouret en mâchouillant un chewing-gum fade, le silence dût a son entrée n’a duré que quelques secondes avant que le brouhaha ne reprenne, Léa, surprise par sa beauté virile s’est dirigée fièrement vers lui faisant ressortir ce que dissimule mal son corsage ouvert à la limite de la décence
Ils se sont jaugés du regard comme deux malfrats avant un duel à mort, quand Léa s’est penchée ‘il’ a avalé difficilement sa salive quand elle lui a demandé de sa plus belle voix suave ce qu’il désirait prendre … la réponse m’a laissé pantois.

..
- Vous !
- A emporter ou à consommer sur place ?
- Hein ?? Hééé… un demi bien frais
- S’il vous plait, c’est trop vous demander ? !
- S’il vous plait mademoiselle, un demi bien frais
- Eh bien voilà ? je vous apporte ça jeune homme ! pour consommer la patronne s’adresser au patron, mais je doute qu’il soit d’accord
- Qui sait ? il suffit de lui demander ?
- Chéri ? ce monsieur veut me sauter qu’en pense-tu ?
- Ça dépend …
- Ça dépend de quoi ?...
- Combien ou comment ?
- Tu me prends pour une pute ? hé bien tu vas voir de quoi je suis capable, j’en ai marre de tes ivrogneries quotidiennes …
Voyant le ton monter les derniers clients se sont levés pour partir, pour eux de toute façon c’était l’heure de rentrer manger la soupe, Léa m’a nargué en défaisant lentement deux boutons a son chemiser qui expose désormais généreusement un soutien-gorge bien rempli
- Va fermer la devanture fainéant …
- Chérie tu ne devrais pas te comporter ainsi devant un client …
- Je vais même faire plus, monsieur ? d’après vous ce sein, c’est du refait ou non ?
- Pour en être certain il faudrait que je tâte
- Je vous en prie faites-vous plaisir…
Sans se soucier de moi Léa fait le tour du comptoir et tend son buste vers le gars qui avance timidement une main et empoigne le mamelon sorti du bonnet, visiblement ébahi par l’audace de ma femme il palpe et triture le nichon dont le téton s’allonge a vue d’œil, je ne saurais dire pourquoi mais ma queue prend elle aussi du volume dans mon slip
- Ça ce n’est pas du toc, c’est du vrai de vrai
- Vous pouvez vérifier l’autre aussi
- Léa que fais-tu ?
- Ce que tu ne fais plus depuis un an que nous somment dans ce trou perdu, je ne me fais plus draguer que par des pensionnaires de maison de retraite, j’en ai ras le cul !
- Quel dommage pour une si belle femme que vous … si j’osais …
- Osez que diable !
Je ne réagis pas lorsque le mec tend le bras pour passer sous la jupe courte, au contraire je me tâte la bite désormais raidie, mon seul réflexe est de m’avancer au bout du comptoir et de pencher la tête pour voir ce qu’il fait a Léa qui a écarté les jambes
- Vous mouillez Léa, votre petite culotte est trempée
- Enfoncez vos doigts dedans c’est un véritable marécage
Ma femme se tend comme un arc lorsqu’elle est pénétrée par une ou plusieurs phalanges, je perçois nettement le bruit mouillé que font les doigts dans son con ouvert, pour ne pas s’affaisser sous le plaisir ressenti elle s’accroche au cou du jeune mâle, leurs lèvres s’écrasent avant que les langues ne se mêlent, elle s’immisce entre les jambes du mec toujours en appuis sur le tabouret, queue en saillie sous le jean serré sur lequel elle se frotte généreusement
Ma bite au creux de ma paume je me décalotte en attendant la suite, l’homme a relevé la jupe et malaxe le cul rebondi faisant entrer la petite culotte entre les deux fesses qu’il sépare sans délicatesse, impatiente ma Léa délaisse le baiser ardant pour se laisser glisser aux pieds du cowboy, devinant son intention il lui maintient la tête pendant qu’elle défait le ceinturon et ouvre la braguette du jean, elle jure et peste contre ces putains de boutons serrés et pousse un soupir émerveillé lorsqu’elle extrait enfin une belle bite raide sitôt engloutie
- Rrraaaaaaaaahhhhhhhhhooooooouuuuuuuiii ! avale espèce de garce !
- Reste poli ducon ! même si elle désire te sucer ne lui manque pas de respect
- Désolé, mais je vais la baiser sous ton nez !
- Si je te disais qu’il y a longtemps que j’attends qu’un étranger vienne l’emmancher dans notre bar ?
- Tu déconne ?
- J’ai un flingue a portée de main, si tu ne la fait pas jouir comme elle le mérite tu y passe !
- Fais pas le con, promis, je vais lui péter la charnière, suce Léa je vais graisser tes amygdales !
- Mmmmmmmuuuuuummmmmm ! mmmmmmmuuuuuummmmmm !!
Visiblement inquiet par ma réaction il imprime en douce le bon mouvement de tête à Léa qui semble désorientée, résolue à me prouver de quoi elle est capable elle persévère, ses cheveux décoiffés cachent son visage mais je perçois nettement les succions gourmandes, ma queue suinte abondamment dans ma main rendant la masturbation très agréable, les effluves d’alcool dissipés je me régale de cette situation
- Ne t’arrête pas ça vient … accélère, oooooooohhhhhhh putain je vais décharger …
Léa couine à chaque giclée propulsée dans sa gorge, elle se redresse dépoitraillée, décoiffée, rouge de confusion et du foutre au coin des lèvres qu’elle ratt du coin de la langue, a peine un regard pour moi et elle se déshabille entièrement et se dirige au fond de la salle, déplace deux chaises en bout de table s’assoie au bord posant ses deux pieds dans les sièges
- Je ne sais pas ce qui me prend chéri, pardonne moi mais je vais aller jusqu’au bout, vient me lécher bel étranger
- Jules, je m’appelle Jules
- Va finir ce que tu as commencé Jules puisqu’elle désire que tu la baise
Allongée elle tressaille sous le froid du revêtement, les bras au-dessus de sa tête, totalement offerte, Jules une fois nu va se positionner entre les jambes écartées et tire sur l’étroite petite culotte imbibée de mouille, un long filet limpide relie encore le sexe et le fond en coton
- Tu es trahie par ta chatte salope ! je me demande si certains clients n’ont pas droit à tes faveurs durant vos concours de belote ? je me trompe ?
- Max et Albert m’ont déjà touchée la chatte en douce … et j’ai touché leur bite sous la table.
..
- Garce ! tu me le paieras
Jule s’agenouille et finit d’ouvrir la vulve de ses deux pouces, Léa se cabre lorsque la langue pointue s’introduit dans son vestibule, les doigts ne servant plus à ouvrir l’orifice, viennent pour les uns, décalotter le clitoris et pour les autres s’occuper plus bas… l’anus perforé la fait beugler et lui fait relever les jambes a la verticale , ma queue n’a jamais été aussi dure , la salope guide la tête là où ça fait du bien, Jules ronronne de plaisir en lapant la cramouille, une plainte lancinante de plus en plus forte emplie le bar, l’orgasme va exploser, je me sers un alcool fort ….
- Vas-y Jules ! triture moi le cul, bouffe ma chatte, écrase mon clito ! JE JOOOOOOOOUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIS !!!
Son amant se redresse le visage nappé de mouille pour se saisir de sa bite et la pointer direct sur la faille saturée de suc femelle et de salive, un coup de rein et ils sont accolés, elle le retient en elle de ses jambes ceinturées sur son dos
- Mmmmmuuuuuuuuummmmm, je sens bien ta queue, défonce ma chagatte
- Tu es trop ouverte je ne te sens pas assez, je vais changer de trou
- NON ! pas le cul, pas le cul !! WWWWOOOOOUUUUUUUAAAAAAAAAAAAAH !!! chéri il m’encule !!!
- Tu l’as bien cherché, ouvre le cul de cette pouffiasse
Elle a vite cessé mes jérémiades car les allers-retours suivant sont de plus en plus rapide, si j’en crois les plaintes de plaisir ont virés à l’extase, Jules la sodomise méticuleusement faisant claquer son ventre sur celui de sa maitresse, Léa se tord comme un ver durant l’orgasme qui n’en finit pas jusqu'à ce que l’homme reste enfoncé secoué de spasmes incontrôlables
Finalement nous avons embauché Jule au bar, il passe la main au cul de ma femme derrière le comptoir tandis que je fais le service en salle …il faut absolument que j’arrête de boire

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