Visite D'Adieux
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Tu es là, debout devant moi, avec ta tronche de jeune salope arrogante, ta bouche à vider des couilles et à éponger des bites. Tu te donnes un genre. Un faux genre de petite bourgeoise, ça peut faire illusion un temps, mais pour ça il faut que tu te taises, parce que dès que tu louvres, on sait doù tu viens, tu nas pas besoin de passeport. Tu es la fille dune trainée qui sest faite démonter par tous les gars de la cité quand elle avait 20 ans et on peut se demander par quel miracle tu es blanche de peau et un peu rousse, vu quà lépoque cétait le défilé des magrébins et des négros chez ta mère, sur le canapé du salon.
Tu es là parce que je te manque depuis plus de quatre mois que jai renoncé à nos petits babillages sur le net. Javais le pressentiment que ça marcherait, que tu tomberais dans la nasse. Tu mas promis, si tu venais, si jacceptais de te recevoir pour un ultime au revoir, pour des adieux, que pour une fois tu la fermerais et que tu ferais tout ce que je veux de toi, alors inutile de te dire que je vais en profiter.
Quand je pense quavec ton ascendance, tu tes permise de faire la tronche la première fois que jai tenté de toucher tes nibards ridicules. Pauvre connasse !
Tu es là et rien quà te regarder je sais que tu as accepté une totale soumission. La jupe courte te va bien, elle valorise ton gros cul de salope, tes jambes donnent envie de sy coincer la bite. Comme je suis assis, tu pourrais me regarder de haut, mais tu ne le fais pas, tu sais quil ne faut pas sinon tu vas dérouiller. Jai tellement eu souvent envie de te mettre une grosse branlée, une magistrale tannée quintuitivement, tu sais faire attention. Jai du coup le nez à la hauteur de ton con. De ce garage à bites qui mest encore étranger mais que tu offres çà et là quand ça te chauffe trop.
Tu es là et je me suis juré de ne rien te dire.
Dun signe tu comprends que tu dois te retourner et relever ta jupe pour me faire voir ton fion. Je tire sur des bras qui pendent pour que tu tinclines plus encore. Là, jai tes fesses sous le nez mais la position nest pas idéale, je ne vois pas ton trou de balle. Des deux mains jen écarte les lobes et dévie la cordelette du string pour enfin accéder à ta rosette qui surplombe une moule charnue, complétement épilée avec des grandes lèvres très larges, presque pendantes. Juste pour la vue de ta petite étoile pour linstant, je te laisse là, pendouiller comme une conne, les bras ballants, à attendre je ne sais quoi.
Tu es là, je te remets face à moi, tu glisses à genoux maintenant alors que je ne tai rien demandé et tu tentes déjà de me débraguetter pour sortir mon dard. Non ! Tu feras ta pute quand et comme je te le dirais ! Je veux dabord voir ses seins qui te font honte et que tu caches tout le temps. Je dégrafe ton petit haut bon marché, tes yeux tentent un sourire mais tu as peur, peur dêtre à contretemps, peur de prendre une grande tarte. Tu es maquillée, trop de noir autour des yeux, je mouille mon pouce et le passe sur tes paupières pour faire dégouliner tout ça. Ton soutif est rembourré comme un siège de notaire. Tu redoutes que je le détache, tu redoutes que je voie ce qui manque et létat de ce qui reste. Je le sais et je ne vais pas tépargner cette humiliation. Deux déchets pendants couverts de vergetures à laréole déconfite. Quel débris, tu nas même pas trente ans. Pas de quoi bander. Heureusement que ton cul peut encore donner des idées.
Tu es là, les cheveux haut serrés en chignon. Tu crois que ça te donne de la prestance, moi je trouve que ça te donne lair con de celle qui veut se faire passer pour ce quelle nest pas.
Tu es là. Des larmes font maintenant dégouliner leye-liner que jai généreusement graissé sur tes paupières. Cest bien tes larmes, ça parle les larmes. Relève-toi. Et ne couvre pas tes seins avec des mains. Tu les as tellement cachés que personne, je suppose, na jamais osé jouer avec. Je nai pas besoin dêtre devin pour imaginer les limites de tes jeux amoureux, nous en avons tellement souvent débattu. Mais la partie théorique et philosophique a pris fin dès que tu es entrée dans cet appartement. Tu es grotesque, le chemisier ouvert sur les plis de ton ventre avec les seins qui pendent. Je te laisse là, juste pour savoir comment tu vas tenter de sortir de la situation. Je sais que tu nas pas envie de moi, que mon corps grassouillet de vieillard te dégoutte et quil ta toujours été impossible dimaginer un rapprochement physique avec moi sans éprouver une forte nausée. Mais je sais aussi que je tai souvent faite mouiller par mes écrits ou mes conversations au téléphone. Je suis déjà entré dans ta sphère intime et jai déjà agi sur ton désir. Je me souviens de cette soirée où pendant plus dune heure nous nous sommes branlés respectivement en se versant au téléphone des douceurs érotiques dans les trompes dEustache, celles de Fallope étant trop distantes. Tu as fini par exploser et jen ai éprouvé une telle victoire que jai giclé simultanément comme un porc.
Tu es là. Et quand je pense à ces quelques moments tendres je hurle de douleur à lidée que tu te fasses défoncer régulièrement par des mecs de passage. Tu enlèves tes bottes et dépose ton chemisier sur le fauteuil. Ta jupe tombe delle-même et te voilà en string. Dun signe de la tête tu obtempères à ma demande de le voir tomber aussi. De face ta moule porte bien son nom parce que sans un poil une chatte nest plus une chatte. Cette manie de vouloir ressembler aux actrices de porno en espérant mieux faire bander les mecs. Tu défais ce chignon que je déteste et tes cheveux roux viennent couvrir tes épaules. Tu tassoies près de moi sur le canapé, me prends la main pour que je vienne à genoux près de toi. Tu passes ta main derrière ma tête et, maintenant à demi allongée, tu minvites à téter un sein. Tu sens bon. Pas de parfum outrancier et entêtant. Juste lodeur dune toilette récente. Je gobe ce sein presquentièrement et reviens vite eu téton que je titille doucement. Ton attitude quasi maternelle mattendrit, apaise ma colère et je me prends au jeu de te faire du bien à cet endroit tant décrié. Tu te détends, tes jambes se relâchent et sentrouvrent un peu, au fil de ma succion ton bas ventre sagite en cadence par vaguelettes successives. Tu prends ma tête entre tes mains, mattires vers ta bouche et me roules une pelle magistrale. Tu prends ton temps, tu délies ta langue comme tu le ferais dans la chatte dune copine, tu fourrages, tu cherches, tu engloutis, tu remplis, tu avales ma langue et la suce à son tour comme pour me dire que tu sais sucer et tu sais que ça fait du bien. Pour reprendre ma respiration, je retourne au téton. Enfin à lautre, il ne faut pas faire de jaloux.
Ma main gauche glisse sur ton ventre et masse légèrement en direction du pli inguinal. Tu ouvres tes cuisses comme une grosse salope qui attend la pénétration. Je nen demande pas tant. Ton con passe-partout, aujourdhui je men branle. Mes doigts sont emplis de mouille et ils glissent naturellement en remontant vers ton bouton de rose.
Ta jouissance dure. Je me concentre sur lintérieur de ta moule que je mixe maintenant à trois doigts et tu te détends tellement, comme un appel à une large pénétration que je sens ma main senfouir dans tes entrailles. Je te pilonne maintenant en profondeur, tu as relevé ton buste et le souffle coupé, rouge comme une parturiente tu minvites à accélérer la cadence et à tenfourner comme une dinde à farcir. Je sens une crampe qui me monte dans le biceps, tes genoux sont levés au plus haut, tu gicles de partout comme si tu pissais et là, tu pousses un hurlement danimal blessé.
Et tu perds connaissance. Merde, celle-là on ne me lavait jamais faite !
Tu es là, pâle comme une morte, un léger sourire sur les lèvres qui laissent passer un souffle court et saccadé. Tes jambes largement écartées ne cachent rien de ta féminité. Ton sein gauche est à vif, jaurais dû me raser de plus près. Le canapé est inondé. Enfin tu ouvres un il, puis deux
.
Salaud. Cest le premier mot que tu prononces. Sans même tenter dessuyer quoi que ce soit, tu te relèves et me tournant le dos, à genoux sur le canapé, tu me tends la croupe. Quel cul ! Cest ton point fort. Ton cul est au-delà de toute imagination, costaud sans être massif, moulé de manière régulière, dune peau de pêche insoupçonnable, jai envie de bouffer ton cul. Je passe ma main dans ton entrejambe inondé et fais remonter de lhumidité vers ton anus. Tu comprends mes intentions et tentes de men dissuader. Une bonne baffe sur le haut de ta cuisse te rappelle que tu dois fermer ta grande gueule et juste faire ta chienne. Tu sais faire ça, cest dans ta nature de salope. Fille de salope. Je te hais mais je suis incapable de te faire souffrir, thumilier encore ça passe, mais je naccéderais pas à ton pucelage anal sans précaution, sans préambule dans le vestibule. Mon pouce bien graissé de tes écoulements tourne maintenant sur ta rondelle toujours crispée, ce muscle est redoutable à qui ne sait lui parler. Si je ne lapprivoise pas je cours à léchec, nétant armé que dune courte bite pas toujours dune raideur militaire. Je ne sais pas pourquoi, mais maintenant tu entreprends de te branler au rythme de mes caresses et je pressens un léger relâchement du sphincter. Mon pouce entre à demi et amorce un léger va et vient pendant que ta main sactive un peu plus vite. Je pousse un peu, tu résistes, tu te resserres. Ça ne va pas le faire. Pousse comme si tu voulais chier. Je mentends hurler ce cri dagacement. Tu comprends aussitôt et je lengage entièrement jusquà la base de sa partie la plus large. Et là, surprise ! Je constate que tu tes emplie le fion de gel. Juste ce quil faut pour que mes allers et retours soient indolores. Tu nas dailleurs rien manifesté qui puisse me faire penser que tu souffres. A force de manipulation, une vraie détente sinstalle et ton trou devient maintenant accessible, il ne se referme plus entre les entrées et les sorties. Il est temps de te verser mon foutre dans le cul comme une ultime vengeance. Cest con mais à ce moment, je ne pense quà çà et je le pense comme çà. Je dégaine ma vieille pine qui fait au mieux pour être à la hauteur du projet et jenfile, difficilement, mais jenfile. Aussitôt passées les portes, tu te contractes et memprisonnes le gland avec force et vigueur, tes contactions me tirent sur la tige et en confortent lérection. Je pousse sans ménagement et te fourre jusquaux couilles. Tu nas pas cessé de te branler et lidée me vient que tu jouirais encore un peu si cétait possible. Jai quand même une grosse envie de décharger et si je te lime le fion je crains que ça ne dure pas trop longtemps. Tu me serres tellement que la sortie est presque impossible et cest toi qui mène la barque. Les envois profonds ne mexcitent pas outre mesure mais semblent bien te profiter. Je sens ta mouille me couler sur les bourses et à la fin je ne tiens plus. Jaccélère, ça monte et jenvoie la purée. Ça gicle dans tes entrailles et tu couine comme une truie. Jai le souffle court. Tu te retournes et tentes minablement une pipe impossible sur un escargot retourné à sa coquille. Que tu veuilles me sucer après lenculade me dégoûte. Je rassemble tes vêtements et les pose près de toi pour éviter des explications inutiles. Tu voulais quon se voie une dernière fois, cest fait.
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