Un Jeu A La Con 03
UN JEU A LA CON 03
Une semaine plus tard j'étais perplexe en allant chez Marc.
Mais pourquoi j'ai dit oui moi ? Bon si je me rétracte il va être vraiment fâché. Et puis moi j'ai pas vu le truc. Ce sont nos copains de l'autre jour qui nous ont raconté ces histoires. Marc il a dit qu'il avait vu le truc ! Que c'était cool ! De toutes façons, avec lui tout est cool ! Il ne lui faut pas grand chose pour s'emballer !
Les idées se bousculaient dans ma tête. Je me demandais comment ça allait se passer, si ce truc se voit quand on le porte si ça gène les mouvements ...
Bon la première semaine c'est moi qui le porte ... Et pourquoi c'est pas lui d'abord ... Ah oui ! C'est vrai ... Il était fâché et j'ai dit oui pour lui faire plaisir ... Après ça il va me reprocher de ne pas l'aimer, vous allez voir ça ! Il me fatigue ... Tout ça parce que j'ai juté dans sa bouche ... Ouai bein on fait comme on peut, je l'ai pas fait exprès moi ... Ça arrive comme ça
On ne prévoit pas
Moi quand je me branle, je le fais pas exprès ! Ça arrive comme ça !
En général c'est quand je suis tout seul, une petite envie, je commence à me tripoter à travers mon pantalon, je bande
Cool
Ça j'aime bien
Ensuite je glisse une main dans mon pantalon
Ou bien j'ouvre mon pantalon
Ça dépend des jours, des envies, ou si j'ai le temps
Je me tripote et comme je bande ça prend plus de place et de toutes façons je finis toujours par ouvrir et baisser mon pantalon
Sous la douche aussi
A chaque fois
Je me branle tous les combien moi ? Tous les jours ! Ça c'est sûr ! Mais pas une fois par jour, non, un peu plus
!
Deux fois ?
Au moins oui, c'est un minimum ça ! Trois fois ?
C'est pas rare ! Plus ?
Quelquefois ! Oui quelquefois
Mais pourquoi j'ai dit oui moi à cette connerie ? Je ne vais pas pouvoir me branler pendant une semaine ! Vous allez voir je vais lui dire que j'ai changé d'avis moi à ce guignol
Et puis de toutes façons, il aime bien mon cul, il ne m'en voudra pas.
J'aime bien prendre mon temps. Le soir quand je suis seul par exemple. En général je me met à poil, je bande déjà avant de me déshabiller. Alors je commence à me caresser la bite sur toute la longueur, il ne faut pas se presser, je décalotte, le gland est sensible je ne le lubrifie pas, au contraire je m'y prend à sec
Pour ça il faut qu'il soit sec, je caresse tout doucement mon gland, rapidement il finit par sécher, sa surface est lisse, tendue, fine, douce et terriblement sensible. Je la caresse alors avec le pouce, en tenant ma bite dans le creux de ma main. Doucement il ne faut pas provoquer le plaisir trop rapidement.
Par moment ma bite se manifeste en se contractant, je le provoque aussi, mais si je caresse assez longtemps ça se fait tout seul. La main bien sèche je caresse avec la paume de ma main le bout de mon gland, puis toute sa surface.
Il ne faut surtout prendre soin de bien rester décalotter sinon le gland redevient humide et moite et ces caresses sèche ne sont plus possibles, il faut recommencer et attendre qu'il sèche à nouveau. Progressivement on intensifie les caresses, plus fortes mais pas trop, plus rapide mais pas trop non plus. On peut faire durer le plaisir un long moment.
Le plaisir fini par monter, je le repousse alors le plus longtemps possible, mais pas trop, toujours pas trop. Tout est dans le dosage. Quelques convulsions, il vient un moment ou le corps réagis seul, il se cambre, le bassin se relève d'un coup sans qu'on le veuille. Quelques tremblements, il ne fait pas froid, il faut toujours se branler dans le plus grand confort
Quelques tremblements incontrôlés, un petit gémissement
On continue, ensuite on respire plus fort, là il faut se laisser aller, savoir ne plus se retenir.
Les caresses sur la queue sont plus fermes, fortes, toujours régulières et c'est là, les yeux fermés, que je laisse le plaisir exploser ! Quelques gémissements, quelques dernières convulsions, le plaisir intense, il ne faut pas tenter de contrôler sa respiration et
Je me retrouve couvert de plusieurs belles giclées de sperme sur le corps et même sur le visage
En un mot
Cool !
Bon avec ce jeux à la con je vais devoir me retenir pendant une semaine
Ouai ! Je me disais que finalement je n'en mourrais pas et que la première fois que je remets ça après la semaine
Ça devrait être
.
J'arrivais chez Marc avec ces pensée en tête. Nos deux amis qui nous avaient parlé de ce jeux étaient déjà là
Marc lui n'était pas là, il avait été appelé pour une urgence et il deviendrait plus tard.
Je m'installais sur le fauteuil, et on me servait un verre. Nos deux amis José et Didier
Je ne sais plus lequel est le porteur en ce moment
Moi : Au fait c'est lequel qui porte le truc en ce moment ?
José levait la main.
José : Moi ! Depuis deux semaines !
Moi : La vache ! Deux semaines ! Et comment tu fais ?
José : Comment que je fais quoi ?
Moi : Mais comment tu fais pour supporter ce truc ?
Didier : Tu sais, c'est pas un problème ! Le truc, comme tu dis, est très solide ! Il ne risque pas de casser aussi quand tu l'a mis, tu le portes, tu n'as plus le choix. A moins de le détruire bien sûr. Sans la clé c'est le seul moyen de le retirer sans la clé.
José : C'est sans douleur. Il faut le prendre bien ajusté. Marc connaît ta taille, j'étais avec lui quand il a choisi le tien. Pour le sien c'était plus simple.
Moi : Il y en a un pour lui aussi ?
José : Ainsi que les colliers
Moi : Les colliers ?
Ils me montraient tous les deux leurs colliers. Celui de José était refermé par un tout petit cadenas doré de cinq millimètres de large qui fonctionnait vraiment, il était fermé court et il ne pouvait pas le retirer par la tête, Didier en avait un plus large qu'il pouvait retirer et qui retenait une petite clé dorée elle aussi, c'est elle qui ouvrait le collier de son camarade.
José : Quand tu connais le truc tu sais qui porte le dispositif
Didier : La clé ou le cadenas
Moi : Et Marc a acheté deux colliers aussi ?
Didier : Tu veux les voir ?
Il allait chercher une petite boite qui était rangée dans une autre pièce et me la présentait. Sans attendre je l'ouvrais, on me donnait une autre bière, il y avait dans la boite deux colliers dorés.
Didier : Attention c'est pas de la merde, c'est de l'or 18 carras. Il y en a pour une petite fortune là.
José : Deux jolis bijoux, élégant, juste assez discret pour que si tu ne connais pas le truc tu ne remarques rien.
Didier : On ne sait pas encore qui va porter ce collier ou celui-ci
Moi : Si on le sait !
José : Alors mets le !
Je terminais ma bière et on m'en donnait une autre. Sans hésiter je prenais le collier au cadenas et le refermais, j'en profitais pour tester le tout petit cadenas bijou, il marchait bien.
Moi : Mais les clés pour le dispositif, elles sont ou ?
Didier : Tu les verras plus tard, elles sont avec le dispositif.
Moi : Je peux les voir ?
Didier : Non ! Pas avant l'arriver de Marc !
Moi : J'aurais bien aimé voir à quoi ça ressemble ce truc. Vous n'avez pas des photos ?
José : Si tu me permets Didier ?
Didier : Ah oui ! Il ne faut pas l'oublier le porteur du truc est sous l'autorité du non porteur pour tout ce qui concerne le sexe. Si je demande à José de te sucer la queue, il le fera !
A ces mots je sentais déjà ma queue se manifester. Elle me disait
: '' Mais oui c'est une bonne idée ça
demande lui de le faire
''. Je me repositionnais sur mon fauteuil, je me sentais brusquement un peu à l'étroit dans mon pantalon. J'avalais une bonne gorgée de la nouvelle bière qu'on venait de me servir.
José se levait et baissait son pantalon, il me montrait le truc. C'était un choc, l'objet était joli, ma queue protestait de plus en plus fort. Là c'était clair je bandais
Moi : Et si tu lui demande
de passer l'aspirateur ?
Didier : Je me le prends dans la figure. Attention c'est pas mon esclave ! Juste mon
José : Jouet sexuel !
Didier : Ouai
Jouet sexuel
c'est le mot qui convient
José : Et il peut me prêter !
Didier : Cool ! Non ?
Moi : Cool !
T'as pas une bière ?
J'avalais d'un trait la dernière gorgée !
On était trois et la discussion continuait encore un long moment, Marc était retenu longtemps, aussi quand il arrivait il y avait il y avait six bières sur la table basse devant nous, ainsi que près de quarante canette vides bien rangées dans le pack, prêtes à partir pour le recyclage
Yo !
Marc : Excusez moi les mecs
Une urgence, et ils ne voulaient pas me laisser repartir.
Moi : Oué le voilà, tu sais ça me fait plaisir de voir, tu m'a manqué, je t'aime toi tu sais
Hips !
Je me levais, je titubais
Marc regardait le pack de canette de bières vides
Marc : Daccord j'ai compris, reste assis toi ! Ça sera plus sûr !
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